Premier League,transferts, news,...
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Re: Premier League,transferts, news,...
Les clubs de football britanniques accusés de ne pas investir assez pour la sécurité
Les clubs de football professionnels anglais et écossais lésinent sur la sécurité, selon un responsable de la police britannique, qui s'est exprimé après les incidents du week-end.
Après plusieurs incidents ayant impliqué des supporteurs et des joueurs ces deux dernières semaines en championnats d'Angleterre et d'Écosse, un responsable de la police britannique a accusé, mardi dans le Daily Mail, les clubs de football professionnels de lésiner sur les dépenses de sécurité. « L'an dernier, les clubs ont payé 211 millions de livres (près de 250 M€) aux agents mais ils prennent des risques avec leur facture de sécurité. Pour le prix d'un défenseur moyen de Premier League, le foot pourrait être plus sûr », a dénoncé l'officier Mark Roberts, responsable des opérations de sécurité dans le football.
Selon lui, les clubs préfèrent payer des stadiers pour assurer la sécurité lors des matches, que recourir aux services de la police, bien plus coûteux. Une politique qui commence à avoir « des conséquences ». Un supporter de Birmingham City, qui avait agressé en plein match le capitaine du club rival d'Aston Villa Jack Grealish dimanche, a été condamné lundi à quatorze semaines de prison. Le même jour, lors de Arsenal-Manchester United, un supporter londonien est lui aussi entré sur le terrain touchant Chris Smalling, sans l'agresser. Vendredi, le capitaine des Glasgow Rangers, James Tavernier, avait été pris à partie par un fan d'Hibernian à Edimbourg.
Les clubs de football professionnels anglais et écossais lésinent sur la sécurité, selon un responsable de la police britannique, qui s'est exprimé après les incidents du week-end.
Après plusieurs incidents ayant impliqué des supporteurs et des joueurs ces deux dernières semaines en championnats d'Angleterre et d'Écosse, un responsable de la police britannique a accusé, mardi dans le Daily Mail, les clubs de football professionnels de lésiner sur les dépenses de sécurité. « L'an dernier, les clubs ont payé 211 millions de livres (près de 250 M€) aux agents mais ils prennent des risques avec leur facture de sécurité. Pour le prix d'un défenseur moyen de Premier League, le foot pourrait être plus sûr », a dénoncé l'officier Mark Roberts, responsable des opérations de sécurité dans le football.
Selon lui, les clubs préfèrent payer des stadiers pour assurer la sécurité lors des matches, que recourir aux services de la police, bien plus coûteux. Une politique qui commence à avoir « des conséquences ». Un supporter de Birmingham City, qui avait agressé en plein match le capitaine du club rival d'Aston Villa Jack Grealish dimanche, a été condamné lundi à quatorze semaines de prison. Le même jour, lors de Arsenal-Manchester United, un supporter londonien est lui aussi entré sur le terrain touchant Chris Smalling, sans l'agresser. Vendredi, le capitaine des Glasgow Rangers, James Tavernier, avait été pris à partie par un fan d'Hibernian à Edimbourg.
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Re: Premier League,transferts, news,...
La Fédération anglaise veut réagir après les débordements de ce week-end
Le football britannique a connu un week-end mouvementé, avec pas moins de trois supporters qui sont entrés sur la pelouse lors de trois rencontres différentes, prenant à chaque fois à partie un joueur (James Tavernier des Glasgow Rangers, Jack Grealish d’Aston Villa et Chris Smalling de Manchester United). Ces débordements, inacceptables aux yeux des autorités, vont peut-être conduire à des changements au niveau des normes de sécurité et des sanctions au sein du football anglais. C’est en tout cas la volonté du gouvernement anglais, avec la ministre des sports Mims Davies qui a appelé la Fédération anglaise (FA) à réagir après ces « incidents disgracieux », selon ses termes relayés par The Sun.
Les deux principaux syndicats de football anglais, celui des joueurs (PFA) et des entraîneurs (LMA), ont soutenu le gouvernement dans sa démarche, et appellent à plus de mesures restrictives concernant les supporters. « Il doit y avoir une action sévère, a indiqué Gordon Taylor, directeur de la PFA. Les yeux du monde sont sur nous et nous avons une responsabilité concernant les jeunes joueurs dans la façon dont ils se comportent en match. Nous devons faire attention et ne pas provoquer la foule dans la façon dont les buts sont célébrés, pour veiller à ce que les choses ne débordent pas. Il existe une combinaison de sanctions potentielles. Nous pouvons envisager des amendes, des fermetures de tribunes, des huis clos et même des déductions de points. Mais lorsque nous avons rencontré la ministre des sports, nous avons discuté de la question du maintien de l’ordre, de l’éducation et de sanctions plus strictes. Il y a maintenant besoin d’avoir une approche multifacette impliquant tous les organismes concernés, comme ce fut le cas dans les années 1980 (lorsqu’il fallait combattre le hooliganisme, ndlr). » Même son de cloche chez son homologue de la LMA, Richard Bevan : « nous avons le devoir de protéger les individus, y compris les entraîneurs et les autres personnes du staff technique, contre les agressions physiques ou verbales. Il est essentiel que les normes de sécurité soient respectées et renforcées. »
Le football britannique a connu un week-end mouvementé, avec pas moins de trois supporters qui sont entrés sur la pelouse lors de trois rencontres différentes, prenant à chaque fois à partie un joueur (James Tavernier des Glasgow Rangers, Jack Grealish d’Aston Villa et Chris Smalling de Manchester United). Ces débordements, inacceptables aux yeux des autorités, vont peut-être conduire à des changements au niveau des normes de sécurité et des sanctions au sein du football anglais. C’est en tout cas la volonté du gouvernement anglais, avec la ministre des sports Mims Davies qui a appelé la Fédération anglaise (FA) à réagir après ces « incidents disgracieux », selon ses termes relayés par The Sun.
Les deux principaux syndicats de football anglais, celui des joueurs (PFA) et des entraîneurs (LMA), ont soutenu le gouvernement dans sa démarche, et appellent à plus de mesures restrictives concernant les supporters. « Il doit y avoir une action sévère, a indiqué Gordon Taylor, directeur de la PFA. Les yeux du monde sont sur nous et nous avons une responsabilité concernant les jeunes joueurs dans la façon dont ils se comportent en match. Nous devons faire attention et ne pas provoquer la foule dans la façon dont les buts sont célébrés, pour veiller à ce que les choses ne débordent pas. Il existe une combinaison de sanctions potentielles. Nous pouvons envisager des amendes, des fermetures de tribunes, des huis clos et même des déductions de points. Mais lorsque nous avons rencontré la ministre des sports, nous avons discuté de la question du maintien de l’ordre, de l’éducation et de sanctions plus strictes. Il y a maintenant besoin d’avoir une approche multifacette impliquant tous les organismes concernés, comme ce fut le cas dans les années 1980 (lorsqu’il fallait combattre le hooliganisme, ndlr). » Même son de cloche chez son homologue de la LMA, Richard Bevan : « nous avons le devoir de protéger les individus, y compris les entraîneurs et les autres personnes du staff technique, contre les agressions physiques ou verbales. Il est essentiel que les normes de sécurité soient respectées et renforcées. »
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Premier League : peines de prison pour trois propriétaires de sites de streaming illégaux
Trois personnes ont été condamnées à de la prison ferme par la justice anglaise pour avoir diffusé illégalement des rencontres de la Premier League.
La justice anglaise a frappé fort en condamnant très sévèrement les propriétaires de sites de streaming illégaux, ayant diffusé des rencontres du Championnat anglais.
Steven King, à l'origine de la fraude, a été condamné à sept ans et quatre mois d'emprisonnement. Paul Rolston à six ans et quatre mois et Daniel Malone, à trois ans et trois mois à l'issue d'un procès qui aura duré quatre semaines.
Via des sites Web (dreamboxtv.co.uk et yourfootie.com), les trois hommes avaient fourni des accès illégaux à la Premier League à plus de 1 000 pubs, clubs, et des particuliers partout en Angleterre et au pays de Galles, pour un chiffre d'affaires de plus de 5 millions de livres sterling (5,8 M d'euros).
Le juge a également condamné les publicitaires, qualifiés de « profondément malhonnêtes », présents sur les pages de ces sites illégaux.
« La décision d'aujourd'hui a apporté la preuve supplémentaire que la loi rattrapera les sociétés et les individus qui fraudent les propriétaires de droits et violent le droit d'auteur. Les peines privatives de liberté prononcées ici reflètent la gravité et l'ampleur des crimes » a déclaré Kevin Plumb, le directeur des services juridiques de la Premier League.
Trois personnes ont été condamnées à de la prison ferme par la justice anglaise pour avoir diffusé illégalement des rencontres de la Premier League.
La justice anglaise a frappé fort en condamnant très sévèrement les propriétaires de sites de streaming illégaux, ayant diffusé des rencontres du Championnat anglais.
Steven King, à l'origine de la fraude, a été condamné à sept ans et quatre mois d'emprisonnement. Paul Rolston à six ans et quatre mois et Daniel Malone, à trois ans et trois mois à l'issue d'un procès qui aura duré quatre semaines.
Via des sites Web (dreamboxtv.co.uk et yourfootie.com), les trois hommes avaient fourni des accès illégaux à la Premier League à plus de 1 000 pubs, clubs, et des particuliers partout en Angleterre et au pays de Galles, pour un chiffre d'affaires de plus de 5 millions de livres sterling (5,8 M d'euros).
Le juge a également condamné les publicitaires, qualifiés de « profondément malhonnêtes », présents sur les pages de ces sites illégaux.
« La décision d'aujourd'hui a apporté la preuve supplémentaire que la loi rattrapera les sociétés et les individus qui fraudent les propriétaires de droits et violent le droit d'auteur. Les peines privatives de liberté prononcées ici reflètent la gravité et l'ampleur des crimes » a déclaré Kevin Plumb, le directeur des services juridiques de la Premier League.
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Le sport anglais tremble avec le Brexit: la Premier League sera-t-elle toujours richissime et mondialisée?
Du foot à la F1, le sport anglais, qui a profité à plein de l'ouverture des frontières européennes, n'échappe pas aux inquiétudes provoquées par le Brexit.
La plupart des observateurs interrogés par l'AFP sont prudents sur l'impact final du divorce, mais tous citent deux effets possibles: une dépréciation de la livre, qui pèse déjà sur l'ensemble de l'économie, et des restrictions sur les transferts de joueurs étrangers, dont l'ampleur reste inconnue.
Les regards se tournent vers la Premier League, exemple le plus criant d'un football sans frontières, avec 62,7% de joueurs expatriés au 1er octobre 2018, d'après des chiffres de l'Observatoire du football CIES. Un record pour les grands championnats.
Du Belge Hazard au Français Kanté, de l'Argentin Aguëro à l'Egyptien Salah, cette diversité de vedettes "est au coeur de la marque Premier League", explique à l'AFP Simon Chadwick, professeur d'économie du sport à l'université de Salford, près de Manchester.
"Tout ce qui viendra bouleverser cet équilibre sera un facteur de risque", relève-t-il.
Droits TV
A l'origine, il y a bien sûr l'arrêt Bosman, qui a mis fin en 1995 aux limitations des transferts dans l'espace européen, puis ses extensions (arrêt Malaja et traité de Cotonou) à d'autres zones. Mais pas seulement.
"Les clubs anglais ont construit leur force financière en amont", sur les décombres du drame du Heysel en 1985 (39 supporteurs décédés lors de la finale de la Coupe des champions entre la Juventus et Liverpool), qui les ont privés de coupes européennes pendant cinq ans, et la tragédie du stade de Hillsborough en 1989 (96 morts dans un mouvement de foule lors d'un Liverpool-Nottingham Forest), explique à l'AFP Didier Primault, économiste du sport au Centre de droit et d'économie du sport (CDES) de Limoges.
"Dans ce contexte-là, ils n'ont pas eu le choix et ont dû rapidement reconstruire les stades pour qu'ils soient sûrs, développer et diversifier leurs revenus", poursuit l'économiste.
Portée par les dépenses illimitées de riches investisseurs (le magnat russe Abramovitch à Chelsea, les Emirats arabes unis à Manchester city) et la hausse spectaculaire des droits télé dans les années 2000 et 2010, la Premier League vit sur une autre planète. Treize clubs anglais figurent parmi les 30 générant le plus de revenus, selon le rapport annuel 2019 du cabinet Deloitte. Jusqu'à quand ? "La concurrence rattrappe son retard" et les autres grands championnats européens, à commencer par la Liga, "se sont adaptés", pense Simon Chadwick. "Le pilier de la Premier League, ce sont les droits télé, mais le paysage de la radiodiffusion est actuellement en pleine mutation et personne ne sait vraiment à quoi il ressemblera dans cinq ans", ajoute-t-il. Les revenus TV domestiques de la Premier League ont stagné à 5 milliards de livres (5,77 milliards d'euros) pour la période 2019-2022, toujours loin devant les autres. Reste-t-il des territoires inexplorés à l'international (1,2 milliard de livres, 1,4 milliard d'euros par saison) ?
"Mauvais moment"
L'après-Brexit dépendra aussi des éventuelles restrictions qui seront appliquées aux joueurs européens, une fois le Royaume-Uni sorti de l'UE. D'autres championnats sont concernés, comme la Premiership en rugby. Dans le football, la fédération y verrait un moyen de valoriser les joueurs nationaux.
Lors d'une audition à la chambre des communes, en février 2018, des représentants du syndicat des joueurs et de la fédération de rugby s'étaient aussi alarmé des complications éventuelles pour aller et venir, pour les supporteurs, les encadrants, les employés occasionnels ou saisonniers.
Le sujet inquiète la F1, avec sept écuries sur dix basées au Royaume-Uni et son promoteur, Formula One, qui a son siège à Londres. Son patron Chase Carey, a assuré que des "mesures de contingence" étaient en préparation, au cas où il deviendrait "plus difficile de faire entrer et sortir de Grande-Bretagne des personnes et des biens" comme les pièces mécaniques.
"A l'image de la Premier League, le Brexit intervient au mauvais moment pour la F1", estime Simon Chadwick, après un "déplacement vers l'est" de son économie. Depuis les années 2000, la majeure partie des nouveaux grands prix se situent en Asie ou dans des pays du golfe persique.
"Il n'est pas inconcevable de penser que si les écuries de F1 sont désavantagées par rapport à la concurrence en étant basées au Royaume-Uni, il y a des endroits comme Abou Dhabi qui les accueilleraient très facilement. Ils ont investi des sommes énormes pour se positionner comme une plaque tournante des sports automobiles", ajoute-t-il.
RTL
Du foot à la F1, le sport anglais, qui a profité à plein de l'ouverture des frontières européennes, n'échappe pas aux inquiétudes provoquées par le Brexit.
La plupart des observateurs interrogés par l'AFP sont prudents sur l'impact final du divorce, mais tous citent deux effets possibles: une dépréciation de la livre, qui pèse déjà sur l'ensemble de l'économie, et des restrictions sur les transferts de joueurs étrangers, dont l'ampleur reste inconnue.
Les regards se tournent vers la Premier League, exemple le plus criant d'un football sans frontières, avec 62,7% de joueurs expatriés au 1er octobre 2018, d'après des chiffres de l'Observatoire du football CIES. Un record pour les grands championnats.
Du Belge Hazard au Français Kanté, de l'Argentin Aguëro à l'Egyptien Salah, cette diversité de vedettes "est au coeur de la marque Premier League", explique à l'AFP Simon Chadwick, professeur d'économie du sport à l'université de Salford, près de Manchester.
"Tout ce qui viendra bouleverser cet équilibre sera un facteur de risque", relève-t-il.
Droits TV
A l'origine, il y a bien sûr l'arrêt Bosman, qui a mis fin en 1995 aux limitations des transferts dans l'espace européen, puis ses extensions (arrêt Malaja et traité de Cotonou) à d'autres zones. Mais pas seulement.
"Les clubs anglais ont construit leur force financière en amont", sur les décombres du drame du Heysel en 1985 (39 supporteurs décédés lors de la finale de la Coupe des champions entre la Juventus et Liverpool), qui les ont privés de coupes européennes pendant cinq ans, et la tragédie du stade de Hillsborough en 1989 (96 morts dans un mouvement de foule lors d'un Liverpool-Nottingham Forest), explique à l'AFP Didier Primault, économiste du sport au Centre de droit et d'économie du sport (CDES) de Limoges.
"Dans ce contexte-là, ils n'ont pas eu le choix et ont dû rapidement reconstruire les stades pour qu'ils soient sûrs, développer et diversifier leurs revenus", poursuit l'économiste.
Portée par les dépenses illimitées de riches investisseurs (le magnat russe Abramovitch à Chelsea, les Emirats arabes unis à Manchester city) et la hausse spectaculaire des droits télé dans les années 2000 et 2010, la Premier League vit sur une autre planète. Treize clubs anglais figurent parmi les 30 générant le plus de revenus, selon le rapport annuel 2019 du cabinet Deloitte. Jusqu'à quand ? "La concurrence rattrappe son retard" et les autres grands championnats européens, à commencer par la Liga, "se sont adaptés", pense Simon Chadwick. "Le pilier de la Premier League, ce sont les droits télé, mais le paysage de la radiodiffusion est actuellement en pleine mutation et personne ne sait vraiment à quoi il ressemblera dans cinq ans", ajoute-t-il. Les revenus TV domestiques de la Premier League ont stagné à 5 milliards de livres (5,77 milliards d'euros) pour la période 2019-2022, toujours loin devant les autres. Reste-t-il des territoires inexplorés à l'international (1,2 milliard de livres, 1,4 milliard d'euros par saison) ?
"Mauvais moment"
L'après-Brexit dépendra aussi des éventuelles restrictions qui seront appliquées aux joueurs européens, une fois le Royaume-Uni sorti de l'UE. D'autres championnats sont concernés, comme la Premiership en rugby. Dans le football, la fédération y verrait un moyen de valoriser les joueurs nationaux.
Lors d'une audition à la chambre des communes, en février 2018, des représentants du syndicat des joueurs et de la fédération de rugby s'étaient aussi alarmé des complications éventuelles pour aller et venir, pour les supporteurs, les encadrants, les employés occasionnels ou saisonniers.
Le sujet inquiète la F1, avec sept écuries sur dix basées au Royaume-Uni et son promoteur, Formula One, qui a son siège à Londres. Son patron Chase Carey, a assuré que des "mesures de contingence" étaient en préparation, au cas où il deviendrait "plus difficile de faire entrer et sortir de Grande-Bretagne des personnes et des biens" comme les pièces mécaniques.
"A l'image de la Premier League, le Brexit intervient au mauvais moment pour la F1", estime Simon Chadwick, après un "déplacement vers l'est" de son économie. Depuis les années 2000, la majeure partie des nouveaux grands prix se situent en Asie ou dans des pays du golfe persique.
"Il n'est pas inconcevable de penser que si les écuries de F1 sont désavantagées par rapport à la concurrence en étant basées au Royaume-Uni, il y a des endroits comme Abou Dhabi qui les accueilleraient très facilement. Ils ont investi des sommes énormes pour se positionner comme une plaque tournante des sports automobiles", ajoute-t-il.
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Re: Premier League,transferts, news,...
Barclays, mordu de Premier League
Le groupe bancaire a dernièrement confirmé la signature d’une prolongation de son contrat de sponsoring avec la Premier League. Avec une revalorisation à la clé.
On n’abandonne pas si facilement le football anglais. Alors que Barclays a donné son nom au championnat anglais durant une quinzaine d’années, la firme financière a depuis 2016 changé de braquet en se contentant du titre de partenaire bancaire officiel de Premier League.
Un package qui semble ravir les dirigeants de la firme britannique puisque ces derniers ont confirmé la prolongation d’un tel accord. Engagé initialement jusqu’à la fin de l’actuelle saison, Barclays a ainsi étendu son engagement pour 3 saisons supplémentaires, jusqu’à l’issue de l’exercice 2021-22.
Une renégociation qui a permis au Board de la Premier League d’obtenir une revalorisation de contrat. Selon les informations de la presse anglaise, Barclays déboursera 31,5 M£ sur la période 2019-22 pour maintenir son package de droits. Un montant en hausse de 15% par rapport à la somme de 9,25 M£ actuellement déboursée par saison. Un contrat qui reste néanmoins bien inférieur à l’accord de naming précédemment détenu par le groupe, dont la somme a atteint jusqu’à 40 M£ par saison.
Barclays va intensifier sa visibilité au sein du football anglais la saison prochaine en donnant son nom au championnat de première division féminine anglaise. Un accord à 10 M£ qui illustre la volonté de la société britannique de promouvoir la pratique du football pour tous sur son marché domestique.
Le groupe bancaire a dernièrement confirmé la signature d’une prolongation de son contrat de sponsoring avec la Premier League. Avec une revalorisation à la clé.
On n’abandonne pas si facilement le football anglais. Alors que Barclays a donné son nom au championnat anglais durant une quinzaine d’années, la firme financière a depuis 2016 changé de braquet en se contentant du titre de partenaire bancaire officiel de Premier League.
Un package qui semble ravir les dirigeants de la firme britannique puisque ces derniers ont confirmé la prolongation d’un tel accord. Engagé initialement jusqu’à la fin de l’actuelle saison, Barclays a ainsi étendu son engagement pour 3 saisons supplémentaires, jusqu’à l’issue de l’exercice 2021-22.
Une renégociation qui a permis au Board de la Premier League d’obtenir une revalorisation de contrat. Selon les informations de la presse anglaise, Barclays déboursera 31,5 M£ sur la période 2019-22 pour maintenir son package de droits. Un montant en hausse de 15% par rapport à la somme de 9,25 M£ actuellement déboursée par saison. Un contrat qui reste néanmoins bien inférieur à l’accord de naming précédemment détenu par le groupe, dont la somme a atteint jusqu’à 40 M£ par saison.
Barclays va intensifier sa visibilité au sein du football anglais la saison prochaine en donnant son nom au championnat de première division féminine anglaise. Un accord à 10 M£ qui illustre la volonté de la société britannique de promouvoir la pratique du football pour tous sur son marché domestique.
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Les clubs de Premier League face à l'incertitude du Brexit
https://www.ouest-france.fr/sport/football/angleterre/football-les-clubs-de-premier-league-face-l-incertitude-du-brexit-6302522
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Re: Premier League,transferts, news,...
Premier League : des revenus records pour 2017-2018 mais des salaires en hausse
Les clubs de Premier League ont enregistré 5,56 milliards d'euros de revenus la saison passée. Un record.
Les clubs de Premier League ont enregistré des revenus records de 4,8 milliards de livres (5,56 milliards d'euros) la saison passée, mais leur rentabilité a été affectée par la hausse des salaires, selon un rapport du cabinet Deloitte dévoilé ce jeudi. Selon l'étude, les revenus ont augmenté de 6 % par rapport aux 4,6 milliards de livres de la saison 2016/2017, mais les bénéfices d'exploitation n'ont atteint que 0,9 milliard de livres (1,04 milliard d'euros) en raison d'une augmentation de 15 % des salaires, pour atteindre 2,9 milliards (3,36 milliards d'euros).
Dans le même temps, Tottenham a enregistré un bénéfice net record de 113 millions de livres (132,3 millions d'euros) grâce à l'augmentation des recettes des matches disputés à Wembley la saison dernière et son parcours en Ligue des champions. Liverpool avait brièvement détenu le record du monde avec son bénéfice de 106 millions de livres (120 millions d'euros), porté notamment par sa participation à la finale de la Ligue des champions et la vente de Philippe Coutinho à Barcelone pour 142 millions de livres.
La participation de cinq clubs anglais à la Ligue des champions, pour la première fois la saison dernière, a contribué à l'augmentation des revenus. Une amélioration atténuée par la hausse des salaires et des transferts, survenue pendant l'été 2017 et l'hiver 2018, alors que les dépenses des clubs de Premier League avaient atteint des niveaux records. Toutefois, avec le ralentissement de la croissance des droits TV pour le cycle 2019-2022, Deloitte prévoit une diminution des montants des transferts et des salaires lors des prochaines saisons.
« La valeur totale des droits de diffusion de la Premier League ne devrait augmenter que marginalement au cours du cycle 2019-2020 à 2021-2022, et l'on peut s'attendre à ce que les augmentations des salaires et des dépenses de transfert ralentissent à moyen terme, comme l'indique déjà la réduction estimée à 1,4 milliard de livres des [...] transferts pour la saison en cours », a estimé Tim Bridge, directeur du Sports Business Group chez Deloitte.
Les clubs de Premier League ont enregistré 5,56 milliards d'euros de revenus la saison passée. Un record.
Les clubs de Premier League ont enregistré des revenus records de 4,8 milliards de livres (5,56 milliards d'euros) la saison passée, mais leur rentabilité a été affectée par la hausse des salaires, selon un rapport du cabinet Deloitte dévoilé ce jeudi. Selon l'étude, les revenus ont augmenté de 6 % par rapport aux 4,6 milliards de livres de la saison 2016/2017, mais les bénéfices d'exploitation n'ont atteint que 0,9 milliard de livres (1,04 milliard d'euros) en raison d'une augmentation de 15 % des salaires, pour atteindre 2,9 milliards (3,36 milliards d'euros).
Dans le même temps, Tottenham a enregistré un bénéfice net record de 113 millions de livres (132,3 millions d'euros) grâce à l'augmentation des recettes des matches disputés à Wembley la saison dernière et son parcours en Ligue des champions. Liverpool avait brièvement détenu le record du monde avec son bénéfice de 106 millions de livres (120 millions d'euros), porté notamment par sa participation à la finale de la Ligue des champions et la vente de Philippe Coutinho à Barcelone pour 142 millions de livres.
La participation de cinq clubs anglais à la Ligue des champions, pour la première fois la saison dernière, a contribué à l'augmentation des revenus. Une amélioration atténuée par la hausse des salaires et des transferts, survenue pendant l'été 2017 et l'hiver 2018, alors que les dépenses des clubs de Premier League avaient atteint des niveaux records. Toutefois, avec le ralentissement de la croissance des droits TV pour le cycle 2019-2022, Deloitte prévoit une diminution des montants des transferts et des salaires lors des prochaines saisons.
« La valeur totale des droits de diffusion de la Premier League ne devrait augmenter que marginalement au cours du cycle 2019-2020 à 2021-2022, et l'on peut s'attendre à ce que les augmentations des salaires et des dépenses de transfert ralentissent à moyen terme, comme l'indique déjà la réduction estimée à 1,4 milliard de livres des [...] transferts pour la saison en cours », a estimé Tim Bridge, directeur du Sports Business Group chez Deloitte.
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Premier League : Liverpool va toucher le jackpot avec les droits TV !
https://www.programme-tv.net/news/evenement/premier-league-2018-2019/232186-premier-league-liverpool-va-toucher-le-jackpot-avec-les-droits-tv
https://www.programme-tv.net/news/evenement/premier-league-2018-2019/232186-premier-league-liverpool-va-toucher-le-jackpot-avec-les-droits-tv
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Droits TV à l'étranger : un milliard de plus pour la Premier League
Les droits télévisés à l'étranger pour la période 2019-2022 vont rapporter un milliard d'euros de plus
aux clubs du Championnat d'Angleterre.
La Premier League a annoncé la vente de ses droits télévisés à l'étranger pour la période 2019-2022 contre 4,8 milliards d'euros, soit une augmentation de 30 %. Les clubs de l'élite anglaise avaient touché 3,65 milliards pour la période précédente (2016-2019).
Cette hausse compense largement la légère baisse des droits domestiques pour la même période.
Les droits télévisés à l'étranger pour la période 2019-2022 vont rapporter un milliard d'euros de plus
aux clubs du Championnat d'Angleterre.
La Premier League a annoncé la vente de ses droits télévisés à l'étranger pour la période 2019-2022 contre 4,8 milliards d'euros, soit une augmentation de 30 %. Les clubs de l'élite anglaise avaient touché 3,65 milliards pour la période précédente (2016-2019).
Cette hausse compense largement la légère baisse des droits domestiques pour la même période.
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Re: Premier League,transferts, news,...
Gains Premier League : Liverpool devant Manchester City, plus de 100 M€ pour la lanterne rouge !
La Premier League a dévoilé la répartition des revenus liés au marketing et aux droits TV pour la saison 2018/19. Liverpool, vice-champion, a touché davantage que le vainqueur Manchester City. Les sommes donnent le tournis.
L’argent coule à flot outre-Manche. Il suffit de jeter un œil sur la répartition des revenus liés au marketing et aux droits TV pour la saison 2018/19 publiée par la Premier League pour s’en convaincre. Les chiffres donnent le tournis. Et ô surprise, ce n’est pas Manchester City, champion, qui a perçu le plus. C’est son dauphin Liverpool qui est en tête de ce classement, avec 173 M€ reçus.
Diffusés plus souvent cette saison, à 29 reprises en direct (soit 3 fois plus que des écuries comme Bournemouth, Southampton ou Huddersfield), les Reds de Jürgen Klopp ont donc touché un peu plus que leurs concurrents en Angleterre. Maigre consolation. Les Citizens suivent tout de même de près avec 171,4 M€ glanés. Le podium est complété par le troisième du championnat, Chelsea, 165,7 M€, juste devant Tottenham, quatrième, avec 164,7 M€.
Le dernier Huddersfield touche deux fois plus que le PSG champion
Manchester United, malgré une saison délicate, se classe 5e, avec des gains de 161,6 M€. Arsenal, emmené par Pierre-Emerick Aubameyang, Alexandre Lacazette et Mattéo Guendouzi, est juste derrière avec 161,2 M€ remportés. Bon dernier et donc relégué en Championship, Huddersfield Town pourra de son côté se consoler avec un joli chèque de 109,6 M€. De quoi tenter de rebâtir une équipe capable de jouer la montée la saison prochaine.
Un chiffre qui témoigne, si besoin était, de la puissance financière des clubs britanniques puisqu’à titre de comparaison, le Paris SG, champion de France en 2017/18, avait perçu 56,7 M€ seulement au titre des droits TV, soit presque deux fois moins... Une fois encore, forts de cette grosse marge de manœuvre, les Anglais risquent de se montrer offensifs sur le marché des transferts.
Le tableau de répartition complet pour la saison 2018/19 (entre parenthèses, le classement sportif) :
Liverpool (2e) - 173 M€
Manchester City (1er) - 171,4 M€
Chelsea (3e) - 165,7 M€
Tottenham (4e) - 164,7 M€
Manchester United (6e) - 161,6 M€
Arsenal (5e) - 161,2 M€
Everton (8e) - 145,7 M€
Wolverhampton (7e) - 144 M€
Leicester (9e) - 139,7 M€
West Ham (10e) - 138,8 M€
Newcastle (13e) - 136,1 M€
Crystal Palace (12e) - 129,4 M€
Watford (11e) - 129 M€
Bournemouth (14e) - 122,5 M€
Burnley (15e) - 121,6 M€
Brighton (17e) - 119,8 M€
Southampton (16e) - 118,1 M€
Cardiff (18e) - 116,3 M€
Fulham (19e) - 115,4 M€
Huddersfield (20e) - 109,6 M€
La Premier League a dévoilé la répartition des revenus liés au marketing et aux droits TV pour la saison 2018/19. Liverpool, vice-champion, a touché davantage que le vainqueur Manchester City. Les sommes donnent le tournis.
L’argent coule à flot outre-Manche. Il suffit de jeter un œil sur la répartition des revenus liés au marketing et aux droits TV pour la saison 2018/19 publiée par la Premier League pour s’en convaincre. Les chiffres donnent le tournis. Et ô surprise, ce n’est pas Manchester City, champion, qui a perçu le plus. C’est son dauphin Liverpool qui est en tête de ce classement, avec 173 M€ reçus.
Diffusés plus souvent cette saison, à 29 reprises en direct (soit 3 fois plus que des écuries comme Bournemouth, Southampton ou Huddersfield), les Reds de Jürgen Klopp ont donc touché un peu plus que leurs concurrents en Angleterre. Maigre consolation. Les Citizens suivent tout de même de près avec 171,4 M€ glanés. Le podium est complété par le troisième du championnat, Chelsea, 165,7 M€, juste devant Tottenham, quatrième, avec 164,7 M€.
Le dernier Huddersfield touche deux fois plus que le PSG champion
Manchester United, malgré une saison délicate, se classe 5e, avec des gains de 161,6 M€. Arsenal, emmené par Pierre-Emerick Aubameyang, Alexandre Lacazette et Mattéo Guendouzi, est juste derrière avec 161,2 M€ remportés. Bon dernier et donc relégué en Championship, Huddersfield Town pourra de son côté se consoler avec un joli chèque de 109,6 M€. De quoi tenter de rebâtir une équipe capable de jouer la montée la saison prochaine.
Un chiffre qui témoigne, si besoin était, de la puissance financière des clubs britanniques puisqu’à titre de comparaison, le Paris SG, champion de France en 2017/18, avait perçu 56,7 M€ seulement au titre des droits TV, soit presque deux fois moins... Une fois encore, forts de cette grosse marge de manœuvre, les Anglais risquent de se montrer offensifs sur le marché des transferts.
Le tableau de répartition complet pour la saison 2018/19 (entre parenthèses, le classement sportif) :
Liverpool (2e) - 173 M€
Manchester City (1er) - 171,4 M€
Chelsea (3e) - 165,7 M€
Tottenham (4e) - 164,7 M€
Manchester United (6e) - 161,6 M€
Arsenal (5e) - 161,2 M€
Everton (8e) - 145,7 M€
Wolverhampton (7e) - 144 M€
Leicester (9e) - 139,7 M€
West Ham (10e) - 138,8 M€
Newcastle (13e) - 136,1 M€
Crystal Palace (12e) - 129,4 M€
Watford (11e) - 129 M€
Bournemouth (14e) - 122,5 M€
Burnley (15e) - 121,6 M€
Brighton (17e) - 119,8 M€
Southampton (16e) - 118,1 M€
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Re: Premier League,transferts, news,...
Droits TV : La Premier League plus équitable que la Liga ?
Quelques semaines après la fin de la saison en Angleterre, la Premier League a officiellement révélé les recettes des droits de diffusion des matchs reversés à chaque club du championnat. La ligue prétend même, à l’occasion, avoir le système de partage le plus équitable des grands championnats européens.
Ces sommes sont données aux clubs avec l’objectif "d’entretenir leurs stades, d'acquérir et de développer des joueurs talentueux, en plus de permettre d’investir dans des programmes caritatifs". La Premier League et ses clubs représenteraient près de 100.000 emplois au Royaume-Uni.
Les sommes faramineuses récoltées grâce à la vente de diffusion des matchs se divise entre les clubs selon différents facteurs. Tout d’abord, les vingt clubs de l'élite 1 se partagent de manière égale les recettes des droits TV internationaux, les revenus commerciaux et 50% des droits TV au Royaume-Uni. Tous les clubs de Premier League empochent donc plus de 93 millions d’euros en cette fin de saison selon les chiffres officiels.
A cela, il faut ajouter deux primes qui varient en fonction de la position finale du club au classement et du nombre de matchs joués par l’équipe ayant été diffusés en direct à la télévision anglaise. Le champion Manchester City repart donc avec près de 171 millions d’euro, un peu moins que Liverpool (172, 5 millions) qui a une prime de diffusion légèrement supérieure.
Ces profits astronomiques touchent donc l’intégralité des clubs de Premier League. Huddersfield par exemple, bon dernier et relégué en Championship, peut se consoler en empochant... plus de 109 millions d’euro. Joli coup pour une équipe qui n'a remporté que 3 rencontres en championnat. La saison passée, l’Atletico Madrid, vainqueur de l’Europa League, avait touché 110 millions grâce aux droits de diffusion espagnols suite à sa troisième place en championnat annonçait la Liga espagnole. Il n’y a donc qu’un million de différence entre le dernier club anglais et le troisième meilleur espagnol.
"La distribution la plus équitable"
Si les montants des droits télévisuels anglais sont largement supérieurs aux droits espagnols (2,8 milliards contre 1,4 milliard), la redistribution au sein des équipes diffère en effet. Les 154 millions du FC Barcelone en 2017-18 sont bien loin des 43, 3 millions récoltés par Leganes et Gérone, les moins bien payés cette année-là. L’écart entre le premier et le dernier espagnol est plus important qu’entre le premier et le dernier anglais : 110 millions en Espagne contre 63 millions en Angleterre. Le système de redistribution anglais permettrait donc plus d’équité entre les équipes et mènerait vers davantage de concurrence qu’en Espagne. Le palmarès des différentes compétitions nationales en témoigne.
En effet ces dernières années en Espagne, la domination du FC Barcelone et du Real Madrid n’est que de rares fois remise en cause par le seul Atletico Madrid. Les trophées se disputent, la plupart du temps, entre trois équipes. Du côté anglais, davantage de prétendants sérieux, principalement le fameux Big Six, s'arrachent les différentes compétitions.
Cependant sur la scène européenne, la logique ne se vérifie pas forcément. Si l’on parle de domination anglaise cette saison avec deux finales 100% anglaises, il faut toutefois se rappeler que le phénomène n’est pas habituel. L’Espagne remplit le plus souvent ce rôle avec six Champion’s League et cinq Europa League remportées sur les dix dernières années. Malgré un système de redistribution en apparence plus élitiste, cinq clubs espagnols différents se sont tout de même qualifiés pour des finales européennes depuis dix ans : le FC Barcelone, le Real Madrid, l’Atletico Madrid, l’Athletic Bilbao et le FC Séville. Seulement un de moins que du côté de la Premier League où Chelsea, Arsenal, Tottenham, Liverpool, Manchester United et Fulham ont fait de même.
Le budget grandissant des clubs anglais fait en tout cas partie des facteurs qui leur permettra d'aligner quatre représentants cette semaine lors des finales européennes, d'alimenter le prochain mercato... Et de participer un peu plus à l'escalade des prix des transferts lors des prochaines saisons.
https://www.rtbf.be/sport/football/detail_droits-tv-la-premier-league-plus-equitable-que-la-liga?id=10232905
Quelques semaines après la fin de la saison en Angleterre, la Premier League a officiellement révélé les recettes des droits de diffusion des matchs reversés à chaque club du championnat. La ligue prétend même, à l’occasion, avoir le système de partage le plus équitable des grands championnats européens.
Ces sommes sont données aux clubs avec l’objectif "d’entretenir leurs stades, d'acquérir et de développer des joueurs talentueux, en plus de permettre d’investir dans des programmes caritatifs". La Premier League et ses clubs représenteraient près de 100.000 emplois au Royaume-Uni.
Les sommes faramineuses récoltées grâce à la vente de diffusion des matchs se divise entre les clubs selon différents facteurs. Tout d’abord, les vingt clubs de l'élite 1 se partagent de manière égale les recettes des droits TV internationaux, les revenus commerciaux et 50% des droits TV au Royaume-Uni. Tous les clubs de Premier League empochent donc plus de 93 millions d’euros en cette fin de saison selon les chiffres officiels.
A cela, il faut ajouter deux primes qui varient en fonction de la position finale du club au classement et du nombre de matchs joués par l’équipe ayant été diffusés en direct à la télévision anglaise. Le champion Manchester City repart donc avec près de 171 millions d’euro, un peu moins que Liverpool (172, 5 millions) qui a une prime de diffusion légèrement supérieure.
Ces profits astronomiques touchent donc l’intégralité des clubs de Premier League. Huddersfield par exemple, bon dernier et relégué en Championship, peut se consoler en empochant... plus de 109 millions d’euro. Joli coup pour une équipe qui n'a remporté que 3 rencontres en championnat. La saison passée, l’Atletico Madrid, vainqueur de l’Europa League, avait touché 110 millions grâce aux droits de diffusion espagnols suite à sa troisième place en championnat annonçait la Liga espagnole. Il n’y a donc qu’un million de différence entre le dernier club anglais et le troisième meilleur espagnol.
"La distribution la plus équitable"
Si les montants des droits télévisuels anglais sont largement supérieurs aux droits espagnols (2,8 milliards contre 1,4 milliard), la redistribution au sein des équipes diffère en effet. Les 154 millions du FC Barcelone en 2017-18 sont bien loin des 43, 3 millions récoltés par Leganes et Gérone, les moins bien payés cette année-là. L’écart entre le premier et le dernier espagnol est plus important qu’entre le premier et le dernier anglais : 110 millions en Espagne contre 63 millions en Angleterre. Le système de redistribution anglais permettrait donc plus d’équité entre les équipes et mènerait vers davantage de concurrence qu’en Espagne. Le palmarès des différentes compétitions nationales en témoigne.
En effet ces dernières années en Espagne, la domination du FC Barcelone et du Real Madrid n’est que de rares fois remise en cause par le seul Atletico Madrid. Les trophées se disputent, la plupart du temps, entre trois équipes. Du côté anglais, davantage de prétendants sérieux, principalement le fameux Big Six, s'arrachent les différentes compétitions.
Cependant sur la scène européenne, la logique ne se vérifie pas forcément. Si l’on parle de domination anglaise cette saison avec deux finales 100% anglaises, il faut toutefois se rappeler que le phénomène n’est pas habituel. L’Espagne remplit le plus souvent ce rôle avec six Champion’s League et cinq Europa League remportées sur les dix dernières années. Malgré un système de redistribution en apparence plus élitiste, cinq clubs espagnols différents se sont tout de même qualifiés pour des finales européennes depuis dix ans : le FC Barcelone, le Real Madrid, l’Atletico Madrid, l’Athletic Bilbao et le FC Séville. Seulement un de moins que du côté de la Premier League où Chelsea, Arsenal, Tottenham, Liverpool, Manchester United et Fulham ont fait de même.
Le budget grandissant des clubs anglais fait en tout cas partie des facteurs qui leur permettra d'aligner quatre représentants cette semaine lors des finales européennes, d'alimenter le prochain mercato... Et de participer un peu plus à l'escalade des prix des transferts lors des prochaines saisons.
https://www.rtbf.be/sport/football/detail_droits-tv-la-premier-league-plus-equitable-que-la-liga?id=10232905
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LE CLASSEMENT DES REVENUS TÉLÉVISÉS DES CLUBS EN PREMIER LEAGUE !
Découvrez le classement des revenus télévisés obtenus par les clubs de Premier League cette saison.
Malgré leur deuxième place en Premier League, ce sont les Reds de Liverpool qui terminent à la première position de ce classement, en ayant obtenu 1,44 M£ de plus que le champion de Premier League Manchester City, avec certes 3 matchs de plus diffusés sur la télévision anglaise. Huddersfield, lanterne rouge de Premier League, est également bon dernier de ce classement :
1 - Liverpool = 152,425,146 M£ (29 matchs diffusés à la télévision)
2 - Manchester City = 150,986,355 M£ (26 matchs diffusés à la télévision)
3 - Chelsea = 146,030, 216 M£ (25 matchs diffusés à la télévision)
4 - Tottenham = 145,230,801 M£ (26 matchs diffusés à la télévision)
5 - Manchester United = 142,512,868 M£ (27 matchs diffusés à la télévision)
6 - Arsenal = 142,193,180 M£ (25 matchs diffusés à la télévision)
7 - Everton = 128,603,905 M£ (18 matchs diffusés à la télévision)
8 - Wolverhampton = 127,615,114 M£ (15 matchs diffusés à la télévision)
9 - Leicester City = 123,328,078 M£ (15 matchs diffusé à la télévision)
10 - West Ham = 122,528,663 M£ (16 matchs diffusés à la télévision)
11 - Newcastle United = 120,130,418 M£ (19 matchs diffusés à la télévision)
12 - Crystal Palace = 114,215,215 M£ (12 matchs diffusés à la télévision)
13 - Watford = 113,895,527 M£ (10 matchs diffusés à la télévision)
14 - Bournemouth = 108,139,973 M£ (10 matchs diffusés à la télévision)
15 - Burnley = 107,340,558 M£ (11 matchs diffusés à la télévision)
16 - Brighton = 105,741,728 M£ (13 matchs diffusés à la télévision)
17 - Southampton = 104,302,937 M£ (10 matchs diffusés à la télévision)
18 - Cardiff City = 102,704,107 M£ (12 matchs diffusés à la télévision)
19 - Fulham = 101,904,692 M£ (13 matchs diffusés à la télévision)
20 - Huddersfield = 96,628,865 M£ (10 matchs diffusés à la télévision)
Découvrez le classement des revenus télévisés obtenus par les clubs de Premier League cette saison.
Malgré leur deuxième place en Premier League, ce sont les Reds de Liverpool qui terminent à la première position de ce classement, en ayant obtenu 1,44 M£ de plus que le champion de Premier League Manchester City, avec certes 3 matchs de plus diffusés sur la télévision anglaise. Huddersfield, lanterne rouge de Premier League, est également bon dernier de ce classement :
1 - Liverpool = 152,425,146 M£ (29 matchs diffusés à la télévision)
2 - Manchester City = 150,986,355 M£ (26 matchs diffusés à la télévision)
3 - Chelsea = 146,030, 216 M£ (25 matchs diffusés à la télévision)
4 - Tottenham = 145,230,801 M£ (26 matchs diffusés à la télévision)
5 - Manchester United = 142,512,868 M£ (27 matchs diffusés à la télévision)
6 - Arsenal = 142,193,180 M£ (25 matchs diffusés à la télévision)
7 - Everton = 128,603,905 M£ (18 matchs diffusés à la télévision)
8 - Wolverhampton = 127,615,114 M£ (15 matchs diffusés à la télévision)
9 - Leicester City = 123,328,078 M£ (15 matchs diffusé à la télévision)
10 - West Ham = 122,528,663 M£ (16 matchs diffusés à la télévision)
11 - Newcastle United = 120,130,418 M£ (19 matchs diffusés à la télévision)
12 - Crystal Palace = 114,215,215 M£ (12 matchs diffusés à la télévision)
13 - Watford = 113,895,527 M£ (10 matchs diffusés à la télévision)
14 - Bournemouth = 108,139,973 M£ (10 matchs diffusés à la télévision)
15 - Burnley = 107,340,558 M£ (11 matchs diffusés à la télévision)
16 - Brighton = 105,741,728 M£ (13 matchs diffusés à la télévision)
17 - Southampton = 104,302,937 M£ (10 matchs diffusés à la télévision)
18 - Cardiff City = 102,704,107 M£ (12 matchs diffusés à la télévision)
19 - Fulham = 101,904,692 M£ (13 matchs diffusés à la télévision)
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Premier League: certaines images du VAR seront diffusées sur les écrans géants des stades
Si les stades ne disposent pas d’écrans géants, les fans présents dans le stade seront alertés via le marquoir et par des messages du speaker.
Lors des matches de la prochaine saison de Premier League, les écrans géants présents dans les stades seront autorisés à diffuser certains ralentis du VAR (arbitrage vidéo), a fait savoir la Premier League dans un communiqué mercredi.
Ces images ne pourront être diffusées qu’en cas de décision définitive du VAR, précise la Premier League. Des illustrations seront également proposées au public pour expliquer tout délai inhabituel dû au VAR ou tout changement de jugement.
Étant donné qu’il s’agit de la toute première année de l’utilisation du VAR dans le championnat anglais, la Premier League a tenu à souligner que cet instrument n’interviendrait que dans le cas « d’erreurs claires et évidentes » et « de situations susceptibles de modifier l’issue du match : but, carte rouge, interventions dans le rectangle ou afin de vérifier l’identité d’un joueur ».
La NG
Si les stades ne disposent pas d’écrans géants, les fans présents dans le stade seront alertés via le marquoir et par des messages du speaker.
Lors des matches de la prochaine saison de Premier League, les écrans géants présents dans les stades seront autorisés à diffuser certains ralentis du VAR (arbitrage vidéo), a fait savoir la Premier League dans un communiqué mercredi.
Ces images ne pourront être diffusées qu’en cas de décision définitive du VAR, précise la Premier League. Des illustrations seront également proposées au public pour expliquer tout délai inhabituel dû au VAR ou tout changement de jugement.
Étant donné qu’il s’agit de la toute première année de l’utilisation du VAR dans le championnat anglais, la Premier League a tenu à souligner que cet instrument n’interviendrait que dans le cas « d’erreurs claires et évidentes » et « de situations susceptibles de modifier l’issue du match : but, carte rouge, interventions dans le rectangle ou afin de vérifier l’identité d’un joueur ».
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Premier League : le nouveau ballon dévoilé
https://www.kickfootball.fr/premier-league/premier-league-le-nouveau-ballon-devoile-15058
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Re: Premier League,transferts, news,...
Le VAR ne sera pas utilisé sur le positionnement des gardiens sur penalty
https://www.20minutes.fr/sport/2544895-20190620-premier-league-var-utilise-positionnement-gardiens-penalty
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Les archives Premier League depuis 1961
https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Les-archives-premier-league-depuis-1961/1031585
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Summer 2019 Premier League transfer news
https://www.premierleague.com/news/1213395
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Mercato anglais: le top 10 des transferts entrants et sortants
Il s’est terminé jeudi à 18h.
Le mercato anglais a de nouveau été très animé. Retour sur les principaux mouvements enregistrés avec le top 10 des transferts entrants et sortants.
TOP 10 des transferts entrants
1. Harry Maguire (Ang)
de Leicester à Man. United – 87 millions
2. Nicolas Pépé (Civ)
de Lille à Arsenal – 80 millions
3. Rodri (Esp)
de l’Atlético à Man. City – 70 millions
4. Tanguy Ndombélé (Fra)
de Lyon à Tottenham – 60 millions
5. Joao Cancelo
de la Juventus à Man. City – 65 millions
6. Aaron Wan-Bissaka (Ang)
de Cr. Palace à Man. United – 55 millions
7. Mateo Kovacic (Cro)
du Real Madrid à Chelsea – 45 millions
8. YOURI TIELEMANS (BEL)
de Monaco à Leicester – 45 millions
9. Joelinton (Bré)
de Hoffenheim à Newcastle – 44 millions
10. Sébastien Haller (Fra)
de Francfort à West Ham – 40 millions
TOP 10 des transferts sortants
1. EDEN HAZARD(BEL)
de Chelsea au Real Madrid – 100 millions
2. Harry Maguire (Ang)
de Leicester à Man. United – 87 millions
3. ROMELU LUKAKU (BEL)
de Man. United à l’Inter – 65 millions
4. Aaron Wan-Bissaka (Ang)
de Cr. Palace à Man. United – 55 millions
5. Danilo (Bré)
de Man. City à la Juventus – 37 millions
6. Ayoze Perez (Esp)
de Newcastle à Leicester – 33,4 millions
7. Ryan Sessegnon (Ang)
de Fulham à Tottenham – 27 millions
8. Marko Arnautovic (Aut)
de West Ham à Shanghai SIPG
– 25 millions
9. Tyrone Mings (Ang)
de Bournemouth à Aston Villa
– 22,3 millions
10. Danny Ings (Ang)
de Liverpool à Southampton
– 22,2 millions
La NG
Il s’est terminé jeudi à 18h.
Le mercato anglais a de nouveau été très animé. Retour sur les principaux mouvements enregistrés avec le top 10 des transferts entrants et sortants.
TOP 10 des transferts entrants
1. Harry Maguire (Ang)
de Leicester à Man. United – 87 millions
2. Nicolas Pépé (Civ)
de Lille à Arsenal – 80 millions
3. Rodri (Esp)
de l’Atlético à Man. City – 70 millions
4. Tanguy Ndombélé (Fra)
de Lyon à Tottenham – 60 millions
5. Joao Cancelo
de la Juventus à Man. City – 65 millions
6. Aaron Wan-Bissaka (Ang)
de Cr. Palace à Man. United – 55 millions
7. Mateo Kovacic (Cro)
du Real Madrid à Chelsea – 45 millions
8. YOURI TIELEMANS (BEL)
de Monaco à Leicester – 45 millions
9. Joelinton (Bré)
de Hoffenheim à Newcastle – 44 millions
10. Sébastien Haller (Fra)
de Francfort à West Ham – 40 millions
TOP 10 des transferts sortants
1. EDEN HAZARD(BEL)
de Chelsea au Real Madrid – 100 millions
2. Harry Maguire (Ang)
de Leicester à Man. United – 87 millions
3. ROMELU LUKAKU (BEL)
de Man. United à l’Inter – 65 millions
4. Aaron Wan-Bissaka (Ang)
de Cr. Palace à Man. United – 55 millions
5. Danilo (Bré)
de Man. City à la Juventus – 37 millions
6. Ayoze Perez (Esp)
de Newcastle à Leicester – 33,4 millions
7. Ryan Sessegnon (Ang)
de Fulham à Tottenham – 27 millions
8. Marko Arnautovic (Aut)
de West Ham à Shanghai SIPG
– 25 millions
9. Tyrone Mings (Ang)
de Bournemouth à Aston Villa
– 22,3 millions
10. Danny Ings (Ang)
de Liverpool à Southampton
– 22,2 millions
La NG
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Re: Premier League,transferts, news,...
Tableau des transferts Premier League 2019/2020
http://www.footmercato.net/premier-league/tableau-transferts
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Re: Premier League,transferts, news,...
La Premier League, ce club de riches
https://www.letemps.ch/economie/premier-league-club-riches
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Re: Premier League,transferts, news,...
La Premier League confirme les dates du mercato d’hiver
Dans un mois et demi, le mercato hivernal ouvrira ses portes en Europe. Ce jeudi, la Premier League vient d’ailleurs d’officialiser les dates de la fenêtre de 2020. Et si les Anglais ont raccourci leur marché estival, ils continueront à faire comme les autres championnats en janvier, à quelques détails près.
Le mercato ouvrira en effet ses portes le 1er janvier et mais sera fermé le 31 janvier à 22h, soit deux heures avant la deadline habituelle fixée partout ailleurs à minuit. A noter que les formations réalisant un transfert le 31 janvier entre 20h et 22h devront utiliser la fameuse fiches transfert et l’envoyer à la Premier League.
Dans un mois et demi, le mercato hivernal ouvrira ses portes en Europe. Ce jeudi, la Premier League vient d’ailleurs d’officialiser les dates de la fenêtre de 2020. Et si les Anglais ont raccourci leur marché estival, ils continueront à faire comme les autres championnats en janvier, à quelques détails près.
Le mercato ouvrira en effet ses portes le 1er janvier et mais sera fermé le 31 janvier à 22h, soit deux heures avant la deadline habituelle fixée partout ailleurs à minuit. A noter que les formations réalisant un transfert le 31 janvier entre 20h et 22h devront utiliser la fameuse fiches transfert et l’envoyer à la Premier League.
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Re: Premier League,transferts, news,...
Amazon va diffuser des matches de Premier League gratuitement en décembre
La plateforme Amazon Prime Video diffusera six rencontres pour le Boxing day, le 26 décembre.
Dans sa stratégie de s’attaquer au marché de la diffusion d’événements sportifs, la plate-forme Amazon va diffuser, en accès libre, des rencontres de la Premier League, tout le mois de décembre. Une première depuis 27 ans.
Amazon Prime Video, la plate-forme de streaming du géant américain de la technologie, va diffuser 20 rencontres du championnat d’Angleterre de football, en accès libre au Royaume-Uni, à partir de mardi, brisant le monopole détenu par Sky et BT Sport. Amazon avait obtenu en septembre dernier un lot lui permettant de diffuser 20 rencontres par an de 2019 à 2022, ne pouvant s’agir que de rencontres de milieu de semaine et de jours fériés.
Amazon lance une offre de trente jours d’essai pour un service de diffusion qu’il facture en général 7.99 livres par mois (9,3 euros) ou 79 livres par an (92,7 euros), comprenant notamment les streamings musicaux.
Cinq rencontres de Premier League seront notamment diffusées simultanément sur la plate-forme mercredi et six en même temps le 26 décembre.
Sky a déboursé 3,58 milliards de livres (4,2 milliards d’euros) pour acquérir les droits de la Premier League pour trois ans (2019-2022), soit 128 matches, alors que BT Sport y est allé de 885 millions de livres (1 milliard d’euros) pour 52 matches.
Amazon, qui compte 6 millions d’abonnés, se teste ainsi pour entrer dans la danse lors de la prochaine vente des droits du championnat anglais dans trois ans. L’entreprise américaine s’est aussi mise sur les rangs pour la Liga espagnole.
Amazon détient l’exclusivité de diffusion en Angleterre du circuit de tennis ATP depuis le début de l’année, dont l’US Open, et fera de même en 2020 pour le circuit WTA féminin.
En France, Amazon Prime Video a acquis les droits pour diffuser Roland Garros sur le net pour les trois prochaines années (à partir de 2021) sur le marché français au détriment d’Eurosport.
Les Gafa (Google-Amazon-Facebook-Apple), souvent cités, font ainsi leur entrée sur le marché des droits du football premium.
La NG
La plateforme Amazon Prime Video diffusera six rencontres pour le Boxing day, le 26 décembre.
Dans sa stratégie de s’attaquer au marché de la diffusion d’événements sportifs, la plate-forme Amazon va diffuser, en accès libre, des rencontres de la Premier League, tout le mois de décembre. Une première depuis 27 ans.
Amazon Prime Video, la plate-forme de streaming du géant américain de la technologie, va diffuser 20 rencontres du championnat d’Angleterre de football, en accès libre au Royaume-Uni, à partir de mardi, brisant le monopole détenu par Sky et BT Sport. Amazon avait obtenu en septembre dernier un lot lui permettant de diffuser 20 rencontres par an de 2019 à 2022, ne pouvant s’agir que de rencontres de milieu de semaine et de jours fériés.
Amazon lance une offre de trente jours d’essai pour un service de diffusion qu’il facture en général 7.99 livres par mois (9,3 euros) ou 79 livres par an (92,7 euros), comprenant notamment les streamings musicaux.
Cinq rencontres de Premier League seront notamment diffusées simultanément sur la plate-forme mercredi et six en même temps le 26 décembre.
Sky a déboursé 3,58 milliards de livres (4,2 milliards d’euros) pour acquérir les droits de la Premier League pour trois ans (2019-2022), soit 128 matches, alors que BT Sport y est allé de 885 millions de livres (1 milliard d’euros) pour 52 matches.
Amazon, qui compte 6 millions d’abonnés, se teste ainsi pour entrer dans la danse lors de la prochaine vente des droits du championnat anglais dans trois ans. L’entreprise américaine s’est aussi mise sur les rangs pour la Liga espagnole.
Amazon détient l’exclusivité de diffusion en Angleterre du circuit de tennis ATP depuis le début de l’année, dont l’US Open, et fera de même en 2020 pour le circuit WTA féminin.
En France, Amazon Prime Video a acquis les droits pour diffuser Roland Garros sur le net pour les trois prochaines années (à partir de 2021) sur le marché français au détriment d’Eurosport.
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Re: Premier League,transferts, news,...
Premier League: Sir Alex Ferguson s’oppose fermement à une ligue européenne fermée
L’ancien entraîneur emblématique de Manchester United s’est montré fermement opposé au projet de Superligue, dans lequel les clubs anglais y perdraient, selon lui.
Alors que l’idée d’une « Superligue » européenne, consistant à deux divisions de vingt des meilleures équipes européennes a été initiée par le président du Real Madrid, Florentino Perez, Sir Alex Ferguson s’est montré fortement hostile à la proposition.
Pour lui, les clubs anglais auraient beaucoup plus à y perdre qu’à y gagner, notamment en raison des gros sponsors présents en Premier League. « J’ai lu le rapport suggérant une superligue pour les meilleurs clubs européens, ce qui permettrait d’avoir de meilleures finances pour les clubs. Aucun doute, ce serait une décision orientée vers l’argent. Mais cela ne serait certainement pas attrayant pour nos clubs de Premier League. Nous avons actuellement le meilleur championnat du monde, qui dispose de nombreux grands sponsors », a expliqué l’ancien coach de Manchester United au Daily Mail.
D’autant plus qu’en plus de la compétitivité de la Premier League, la Ligue des Champions se suffirait largement à elle-même, en terme d’affrontements entre les grands cadors du continent. « J’ai du mal à voir pourquoi une équipe anglaise devrait partir. L’attrait de jouer la Ligue des champions est déjà énorme pour les joueurs, les entraîneurs et les supporters, car la compétition représente encore le test ultime pour toutes les équipes », ajoute-t-il au média anglais.
La NG
L’ancien entraîneur emblématique de Manchester United s’est montré fermement opposé au projet de Superligue, dans lequel les clubs anglais y perdraient, selon lui.
Alors que l’idée d’une « Superligue » européenne, consistant à deux divisions de vingt des meilleures équipes européennes a été initiée par le président du Real Madrid, Florentino Perez, Sir Alex Ferguson s’est montré fortement hostile à la proposition.
Pour lui, les clubs anglais auraient beaucoup plus à y perdre qu’à y gagner, notamment en raison des gros sponsors présents en Premier League. « J’ai lu le rapport suggérant une superligue pour les meilleurs clubs européens, ce qui permettrait d’avoir de meilleures finances pour les clubs. Aucun doute, ce serait une décision orientée vers l’argent. Mais cela ne serait certainement pas attrayant pour nos clubs de Premier League. Nous avons actuellement le meilleur championnat du monde, qui dispose de nombreux grands sponsors », a expliqué l’ancien coach de Manchester United au Daily Mail.
D’autant plus qu’en plus de la compétitivité de la Premier League, la Ligue des Champions se suffirait largement à elle-même, en terme d’affrontements entre les grands cadors du continent. « J’ai du mal à voir pourquoi une équipe anglaise devrait partir. L’attrait de jouer la Ligue des champions est déjà énorme pour les joueurs, les entraîneurs et les supporters, car la compétition représente encore le test ultime pour toutes les équipes », ajoute-t-il au média anglais.
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Re: Premier League,transferts, news,...
Boxon Day, la grande foire du Boxing Day en Premier League
https://www.francefootball.fr/news/Boxon-day-la-grande-foire-du-boxing-day-en-premier-league/1091225
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Re: Premier League,transferts, news,...
BOXING DAY, DU SAPIN ET DES JEUX !
Les Anglais ne font rien comme tout le monde. En pleines fêtes de fin d’années, ils jouent au football. Et pas qu’un peu.
Les arènes de Premier League seront pleines de gladiateurs aux crampons aiguisés pendant les fêtes de fin d’année. Plusieurs matchs sont en effet au programme et pas n’importe lesquels.
DU SAPIN ET DES JEUX
Comme son nom l’indiquerait presque (même si en l’occurrence il fait plutôt référence au jour où on déballe les cadeaux des boîtes), le Boxing Day est une foire d’empoigne festive dans la joie et la bonne humeur et l’édition 2019 ne devrait pas déroger à la règle. Une règle qui veut que depuis la fin du XIXe siècle, on joue chaque 26 décembre au Royaume-Uni. Petit détail qui a son importance, le taux de remplissage dans les stades anglais avoisine les 95 à 100% sur cette période. Le Boxing Day, c’est la tradition avec encore de belles affiches cette saison. Des pains, du jeu, de l’enjeu donc.
Si Manchester United avait hérité d’Huddersfield lors du Boxing Day de la saison dernière, les coéquipiers de Paul Pogba feront face à un test plus ardu en recevant Newcastle cette année. Le Chelsea de Frank Lampard, qui commence un peu à rentrer dans le rang depuis quelques semaines, accueillera Southampton. Everton, qui devrait enrôler Carlo Ancelotti très prochainement, se mesurera à Burnley.
DE BELLES AFFICHES ET DES ENJEUX
Manchester City devra faire face à un périple difficile chez les Loups de Wolverhampton le lendemain de Noël tandis qu’Arsenal, probablement avec un certain Mikel Arteta installé sur son banc, se rendra à Bournemouth. Le clou du Boxing Day 2019 sera certainement le choc entre le leader Liverpool et son dauphin au classement Leicester City. Et oui, car souvent le champion à Noël en Angleterre finit champion tout court. Il s’agit donc d’une période décisive. En attendant de découvrir le programme forcément chargé de cette année, vous reprendrez bien un peu de Christmas pudding ?
Vous pensez Liverpool déjà champion, ou vous croyez que Leicester peut rééditer son exploit de 2016 ? Quid de Manchester City ? N’hésitez pas à vous lancer sur un pronostic Premier League. Les paris peuvent rapporter gros, surtout si vous minimisez les risques grâce à ce code promo PMU.
Le programme du Boxing Day 2019 :
Tottenham vs Brighton (13h30)
Bournemouth vs Arsenal (16h00)
Chelsea vs Southampton (16h00)
Aston Villa vs Norwich City (16h00)
Everton vs Burnley (16h00)
Sheffield United vs Watford (16h00)
Crystal Palace vs West Ham (16h00)
Manchester United vs Newcastle United (18h30)
Leicester City vs Liverpool (21h00)
Wolverhampton Wanderers vs Manchester City (27 décembre, 18h45)
Les Anglais ne font rien comme tout le monde. En pleines fêtes de fin d’années, ils jouent au football. Et pas qu’un peu.
Les arènes de Premier League seront pleines de gladiateurs aux crampons aiguisés pendant les fêtes de fin d’année. Plusieurs matchs sont en effet au programme et pas n’importe lesquels.
DU SAPIN ET DES JEUX
Comme son nom l’indiquerait presque (même si en l’occurrence il fait plutôt référence au jour où on déballe les cadeaux des boîtes), le Boxing Day est une foire d’empoigne festive dans la joie et la bonne humeur et l’édition 2019 ne devrait pas déroger à la règle. Une règle qui veut que depuis la fin du XIXe siècle, on joue chaque 26 décembre au Royaume-Uni. Petit détail qui a son importance, le taux de remplissage dans les stades anglais avoisine les 95 à 100% sur cette période. Le Boxing Day, c’est la tradition avec encore de belles affiches cette saison. Des pains, du jeu, de l’enjeu donc.
Si Manchester United avait hérité d’Huddersfield lors du Boxing Day de la saison dernière, les coéquipiers de Paul Pogba feront face à un test plus ardu en recevant Newcastle cette année. Le Chelsea de Frank Lampard, qui commence un peu à rentrer dans le rang depuis quelques semaines, accueillera Southampton. Everton, qui devrait enrôler Carlo Ancelotti très prochainement, se mesurera à Burnley.
DE BELLES AFFICHES ET DES ENJEUX
Manchester City devra faire face à un périple difficile chez les Loups de Wolverhampton le lendemain de Noël tandis qu’Arsenal, probablement avec un certain Mikel Arteta installé sur son banc, se rendra à Bournemouth. Le clou du Boxing Day 2019 sera certainement le choc entre le leader Liverpool et son dauphin au classement Leicester City. Et oui, car souvent le champion à Noël en Angleterre finit champion tout court. Il s’agit donc d’une période décisive. En attendant de découvrir le programme forcément chargé de cette année, vous reprendrez bien un peu de Christmas pudding ?
Vous pensez Liverpool déjà champion, ou vous croyez que Leicester peut rééditer son exploit de 2016 ? Quid de Manchester City ? N’hésitez pas à vous lancer sur un pronostic Premier League. Les paris peuvent rapporter gros, surtout si vous minimisez les risques grâce à ce code promo PMU.
Le programme du Boxing Day 2019 :
Tottenham vs Brighton (13h30)
Bournemouth vs Arsenal (16h00)
Chelsea vs Southampton (16h00)
Aston Villa vs Norwich City (16h00)
Everton vs Burnley (16h00)
Sheffield United vs Watford (16h00)
Crystal Palace vs West Ham (16h00)
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Re: Premier League,transferts, news,...
Amazon Prime, une révolution tranquille pour la diffusion du foot anglais
En diffusant les dix matches de Premier League du fameux Boxing Day, le 26 décembre sur Amazon Prime, le géant du commerce en ligne entend révolutionner en douceur le paysage télévisuel du foot anglais.
La plateforme de vidéo à la demande (VOD) avait créé la sensation en étant le premier des GAFA (Google, Amazon, Facebook, Apple) à prendre pied dans le très cher mais potentiellement très lucratif championnat anglais.
Pour 90 millions de livres (105 millions d'euros), il s'était adjugé les droits de diffusion de 20 matches par an, pendant trois ans.
La première salve de matches, pour la 15e journée du 3 au 5 décembre, était aussi attendue par les défenseurs du concept, qui espéraient monts et merveilles, que par les contempteurs guettant le moindre faux pas.
Les deux camps en ont été pour leurs frais, la diffusion n'ayant connu aucune anicroche et Amazone Prime ayant joué la sécurité dans sa couverture pour ne pas bousculer d'emblée un public nourri aux formules immuables du duopole Sky Sports/BT Sport.
Certaines petites touches innovantes ont tout de même retenu l'attention.
La diffusion de Manchester City - Burnley en ultra-haute définition 4K, la possibilité d'accéder à des statistiques ou de voir tous les buts des autres matches sans rien rater de la rencontre suivie ou encore le mode "comme au stade" qui épargne les logorrhées parfois envahissantes des commentateurs, pourraient rapidement devenir les nouveaux standards de retransmission des matches.
- Relais de croissance espéré -
Seul le décalage de certains coups d'envoi à 20h15 locales en milieu de semaine a provoqué un début de grogne anti-Amazon chez les supporters.
Cela sera encore pire pour le deuxième round qui se profile à l'occasion du Boxing Day, où les 10 matches de la 19e journée seront étalés de 12h30 à 20H00 le 26 décembre, jour où les footballeurs sont traditionnellement convoqués sur le pré mais où les transports en commun savourent un jour férié.
Mais les enseignements tirés de l'an 1 après Amazon Prime seront nombreux et capitaux.
Déjà pour la plateforme de VOD qui comptait 9 millions d'abonnés au Royaume-Uni et qui espère se rapprocher voire dépasser le leader Netflix et ses 11,3 millions, grâce à cette opération.
Amazon Prime n'a pas donné de chiffre sur le nombre de nouveaux abonnés début décembre attirés par le mois d'essai gratuit. Mais la question sera surtout de savoir combien paieront à partir de janvier 7,99 livres (9,30 euros) par mois.
Si le modèle prend, la Premier League espère voir d'autres acteurs (Netflix, Google, Facebook) se lancer dans la bataille et représenter un relais de croissance pour les droits télés.
- Vers 100% de matches diffusés ? -
Lors de la dernières attribution, en 2018, pour la première fois depuis 14 ans le montant du nouveau contrat a été inférieur à l'ancien et les diffuseurs arrivent presque au bout de ce qu'ils peuvent tirer des fans de foot.
La société financière eToro et le cabinet d'analyse KPMG Football Benchmark avaient révélé début novembre que le prix des abonnements télé pour suivre la Premier League avait explosé de 40% depuis 2014/2015 alors que le prix des billets dans les stades avait grappillé 1% (pour un supporter abonné et qui fait au moins 5 déplacements).
Ce ballon d'essai à prix bradé - le coût par match du lot acquis par Amazon Prime était 50% moins cher que celui des lots principaux remportés par Sky et BT - porte aussi en germe une révolution culturelle pour le football anglais: la remise en cause de l'embargo sur la diffusion des matches du samedi à 15h00.
Une mesure faite pour protéger les affluences dans les stades, mais aujourd'hui beaucoup trop facilement contournée par le piratage en streaming, puisque ces matches sont diffusés légalement dans d'autres pays.
Les acteurs de la VOD ne viendront sans doute en masse que si tout est ouvert à diffusion, surtout vu le prix du "ticket d'entrée" pour les principaux lots.
RTL
En diffusant les dix matches de Premier League du fameux Boxing Day, le 26 décembre sur Amazon Prime, le géant du commerce en ligne entend révolutionner en douceur le paysage télévisuel du foot anglais.
La plateforme de vidéo à la demande (VOD) avait créé la sensation en étant le premier des GAFA (Google, Amazon, Facebook, Apple) à prendre pied dans le très cher mais potentiellement très lucratif championnat anglais.
Pour 90 millions de livres (105 millions d'euros), il s'était adjugé les droits de diffusion de 20 matches par an, pendant trois ans.
La première salve de matches, pour la 15e journée du 3 au 5 décembre, était aussi attendue par les défenseurs du concept, qui espéraient monts et merveilles, que par les contempteurs guettant le moindre faux pas.
Les deux camps en ont été pour leurs frais, la diffusion n'ayant connu aucune anicroche et Amazone Prime ayant joué la sécurité dans sa couverture pour ne pas bousculer d'emblée un public nourri aux formules immuables du duopole Sky Sports/BT Sport.
Certaines petites touches innovantes ont tout de même retenu l'attention.
La diffusion de Manchester City - Burnley en ultra-haute définition 4K, la possibilité d'accéder à des statistiques ou de voir tous les buts des autres matches sans rien rater de la rencontre suivie ou encore le mode "comme au stade" qui épargne les logorrhées parfois envahissantes des commentateurs, pourraient rapidement devenir les nouveaux standards de retransmission des matches.
- Relais de croissance espéré -
Seul le décalage de certains coups d'envoi à 20h15 locales en milieu de semaine a provoqué un début de grogne anti-Amazon chez les supporters.
Cela sera encore pire pour le deuxième round qui se profile à l'occasion du Boxing Day, où les 10 matches de la 19e journée seront étalés de 12h30 à 20H00 le 26 décembre, jour où les footballeurs sont traditionnellement convoqués sur le pré mais où les transports en commun savourent un jour férié.
Mais les enseignements tirés de l'an 1 après Amazon Prime seront nombreux et capitaux.
Déjà pour la plateforme de VOD qui comptait 9 millions d'abonnés au Royaume-Uni et qui espère se rapprocher voire dépasser le leader Netflix et ses 11,3 millions, grâce à cette opération.
Amazon Prime n'a pas donné de chiffre sur le nombre de nouveaux abonnés début décembre attirés par le mois d'essai gratuit. Mais la question sera surtout de savoir combien paieront à partir de janvier 7,99 livres (9,30 euros) par mois.
Si le modèle prend, la Premier League espère voir d'autres acteurs (Netflix, Google, Facebook) se lancer dans la bataille et représenter un relais de croissance pour les droits télés.
- Vers 100% de matches diffusés ? -
Lors de la dernières attribution, en 2018, pour la première fois depuis 14 ans le montant du nouveau contrat a été inférieur à l'ancien et les diffuseurs arrivent presque au bout de ce qu'ils peuvent tirer des fans de foot.
La société financière eToro et le cabinet d'analyse KPMG Football Benchmark avaient révélé début novembre que le prix des abonnements télé pour suivre la Premier League avait explosé de 40% depuis 2014/2015 alors que le prix des billets dans les stades avait grappillé 1% (pour un supporter abonné et qui fait au moins 5 déplacements).
Ce ballon d'essai à prix bradé - le coût par match du lot acquis par Amazon Prime était 50% moins cher que celui des lots principaux remportés par Sky et BT - porte aussi en germe une révolution culturelle pour le football anglais: la remise en cause de l'embargo sur la diffusion des matches du samedi à 15h00.
Une mesure faite pour protéger les affluences dans les stades, mais aujourd'hui beaucoup trop facilement contournée par le piratage en streaming, puisque ces matches sont diffusés légalement dans d'autres pays.
Les acteurs de la VOD ne viendront sans doute en masse que si tout est ouvert à diffusion, surtout vu le prix du "ticket d'entrée" pour les principaux lots.
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Re: Premier League,transferts, news,...
Les "tribunes debout" en Premier League : stop ou encore ?
Les "tribunes debout" ont une histoire particulière dans le football. Elles permettent de vivre le match pleinement. Historiquement populaires, c'est là que se créent l'ambiance mythique des stages anglais également.
Mais à en croire le Daily Mail, ce n'est plus au goût de certains. La Police anglaise voudrait profiter des comportements racistes de certains supporters pour empêcher de construire de nouvelles tribunes debout, et pour que des sièges soient installés dans celles qui existent déjà.
Le rapport ? Dans de telles tribunes, les policiers auraient plus difficile à identifier les supporters qui ne se comportent pas conformément aux lois et règlements dans les stades. Alors que le Parti Conservateur étudie la possibilité de créer de nouvelles tribunes dans lesquelles les supporters resteraient debout durant les matchs, les officiers se sont farouchement opposés à ce genre de mesure, d'après la presse britannique.
Pour défendre son opinion, un policier habitué des stades anglais a argumenté que la plupart des comportements "dérangeants" se faisaient dans les tribunes sans siège. Selon lui, les stewards n'y ont pas assez la mainmise. Un avis que ne devraient pas partager de nombreux supporters.
walfoot
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Re: Premier League,transferts, news,...
Un arbitre viré de la Premier League explique qu'une vidéo à l'humour douteux est à l'origine de sa disgrâce
Bobby Madley raconte sur son blog que s'il n'est plus apparu en Premier League depuis 18 mois, c'est que la vidéo privée d'une blague douteuse est parvenue à la commission des arbitres qui l'a sanctionné.
L'ancien arbitre de Premier League Bobby Madley a révélé qu'il avait été licencié en raison d'une vidéo qu'il a décrit comme une « blague d'humour noir » entre amis mais qui est parvenue à ses employeurs qui l'ont écarté. Il n'a plus officié dans l'élite depuis août 2018 et le Professional Game Match Officials Limited (PGMOL) avait expliqué à l'époque qu'il déménageait en Norvège. En réalité, le sifflet de 32 ans a révélé mardi sur son blog que cette vidéo, où il se moquait d'un handicapé, a été transmise au PGMOL, ce qui a donné lieu à une audience disciplinaire officielle et à son congédiement.
« J'étais assis dans ma voiture avec mon téléphone à la main quand une personne qui présentait une déficience de la marche est passée devant moi »
Le récit de Bobby Madley sur son blog
Madley explique qu'il voulait commenter un article de presse dans lequel l'ancien arbitre Mark Halsey racontait qu'il avait commis des erreurs en raison de son surpoids. « J'étais assis dans ma voiture avec mon téléphone à la main quand une personne qui présentait une déficience de la marche est passée devant moi », détaille Madley. « Sur la vidéo, j'ai écrit : "J'ai une chance de gagner la course des parents cette année." Hors contexte, je reconnais que cela peut paraître honteux, mais mon idée était de tourner la plaisanterie contre moi-même. »
Comment cette vidéo est-elle parvenue à la commission des arbitres ? Madley explique qu'il l'avait envoyée en privé à quelqu'un en qui il avait confiance, qu'elle était destinée à n'être rien d'autre qu'une blague et ne devait pas être vue par quelqu'un d'autre. Il avoue que son « monde s'est effondré » quand la vidéo a fuité. Et termine en précisant que la décision de l'exclure n'était à ses yeux « ni nécessaire ni proportionnelle à (sa) faute ». « Ces dix-huit derniers mois ont été une torture mentale pour moi », conclut-il.
Bobby Madley raconte sur son blog que s'il n'est plus apparu en Premier League depuis 18 mois, c'est que la vidéo privée d'une blague douteuse est parvenue à la commission des arbitres qui l'a sanctionné.
L'ancien arbitre de Premier League Bobby Madley a révélé qu'il avait été licencié en raison d'une vidéo qu'il a décrit comme une « blague d'humour noir » entre amis mais qui est parvenue à ses employeurs qui l'ont écarté. Il n'a plus officié dans l'élite depuis août 2018 et le Professional Game Match Officials Limited (PGMOL) avait expliqué à l'époque qu'il déménageait en Norvège. En réalité, le sifflet de 32 ans a révélé mardi sur son blog que cette vidéo, où il se moquait d'un handicapé, a été transmise au PGMOL, ce qui a donné lieu à une audience disciplinaire officielle et à son congédiement.
« J'étais assis dans ma voiture avec mon téléphone à la main quand une personne qui présentait une déficience de la marche est passée devant moi »
Le récit de Bobby Madley sur son blog
Madley explique qu'il voulait commenter un article de presse dans lequel l'ancien arbitre Mark Halsey racontait qu'il avait commis des erreurs en raison de son surpoids. « J'étais assis dans ma voiture avec mon téléphone à la main quand une personne qui présentait une déficience de la marche est passée devant moi », détaille Madley. « Sur la vidéo, j'ai écrit : "J'ai une chance de gagner la course des parents cette année." Hors contexte, je reconnais que cela peut paraître honteux, mais mon idée était de tourner la plaisanterie contre moi-même. »
Comment cette vidéo est-elle parvenue à la commission des arbitres ? Madley explique qu'il l'avait envoyée en privé à quelqu'un en qui il avait confiance, qu'elle était destinée à n'être rien d'autre qu'une blague et ne devait pas être vue par quelqu'un d'autre. Il avoue que son « monde s'est effondré » quand la vidéo a fuité. Et termine en précisant que la décision de l'exclure n'était à ses yeux « ni nécessaire ni proportionnelle à (sa) faute ». « Ces dix-huit derniers mois ont été une torture mentale pour moi », conclut-il.
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Re: Premier League,transferts, news,...
VERS DES PEINES DE PRISON POUR LES SUPPORTERS COUPABLES D’ACTES RACISTES EN PREMIER LEAGUE ?
Le syndicat des joueurs anglais milite pour des sanctions allant jusqu’à des peines de prison pour les supporters coupables de comportements racistes.
Le Daily Mail affirme que la lutte contre le racisme va prendre une nouvelle dimension. En effet, d’après cette source, le syndicat des joueurs anglais (PFA) milite pour des sanctions allant jusqu’à des peines de prison pour les supporters coupables de comportements racistes dans les stades. Le Mail affirme que la PFA a décidé de présenter son projet devant les autorités anglaises dans l’optique de durcir la loi, et donc, les sanctions en cas de nouveau débordement.
« La PFA est heureuse de prendre cette initiative. Nous ferons du lobbying auprès du gouvernement pour qu’il augmente les sanctions contre les personnes reconnues coupables d’infractions racistes en football. Cela comprend de prononcer des peines privatives de liberté. Il doit y avoir une dissuasion plus importante. Trop c’est trop. Ce sont des crimes de haine. », avait tonné Gordon Taylor, directeur du syndicat, à l’issue du match du 22 décembre dernier entre Chelsea et Tottenham au terme duquel Antonio Rudiger avait été victime de cris racistes. Un homme avait d’ailleurs été arrêté par la police anglaise dans cette affaire.
Le syndicat des joueurs anglais milite pour des sanctions allant jusqu’à des peines de prison pour les supporters coupables de comportements racistes.
Le Daily Mail affirme que la lutte contre le racisme va prendre une nouvelle dimension. En effet, d’après cette source, le syndicat des joueurs anglais (PFA) milite pour des sanctions allant jusqu’à des peines de prison pour les supporters coupables de comportements racistes dans les stades. Le Mail affirme que la PFA a décidé de présenter son projet devant les autorités anglaises dans l’optique de durcir la loi, et donc, les sanctions en cas de nouveau débordement.
« La PFA est heureuse de prendre cette initiative. Nous ferons du lobbying auprès du gouvernement pour qu’il augmente les sanctions contre les personnes reconnues coupables d’infractions racistes en football. Cela comprend de prononcer des peines privatives de liberté. Il doit y avoir une dissuasion plus importante. Trop c’est trop. Ce sont des crimes de haine. », avait tonné Gordon Taylor, directeur du syndicat, à l’issue du match du 22 décembre dernier entre Chelsea et Tottenham au terme duquel Antonio Rudiger avait été victime de cris racistes. Un homme avait d’ailleurs été arrêté par la police anglaise dans cette affaire.
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Premier League : les arbitres priés d'utiliser les moniteurs de bord de terrain pour les cartons rouges
Le corps arbitral de la Premier League a reçu l'instruction d'utiliser davantage les moniteurs de bord de terrain, et moins le VAR, pour les décisions relatives aux expulsions.
Ce vendredi, les arbitres de Premier League ont reçu l'instruction de l'organisme responsable des matchs d'élite anglais, la Professional Game Match Officials Limited (PGMOL), d'utiliser davantage les moniteurs de bord de terrain pour les décisions relatives aux cartons rouges.
Selon l'organisme, rapporte Reuters, les arbitres devraient s'en remettre au VAR dans la plupart des cas et continuer à utiliser les moniteurs avec parcimonie. Néanmoins, les arbitres ont désormais pour directive de visualiser l'action sur un moniteur au bord du terrain dans deux cas de figure : lors du passage d'un carton jaune à un carton rouge ou, à l'inverse, pour un déclassement d'un rouge à un jaune.
Samedi dernier, contre Crystal Palace (1-1), l'attaquant d'Arsenal Pierre-Emerick Aubameyang a vu son carton jaune, attribué par l'arbitre Paul Tierney, transformé en rouge par les officiels du centre du VAR à Stockley Park, dans l'ouest de Londres. L'arbitre aurait pu prendre la même décision seul grâce à un moniteur.
L'entraîneur de Manchester City, Pep Guardiola, pense que les officiels sur le terrain devraient avoir plus d'autonomie grâce aux moniteurs situés au bord du terrain. « C'est un geste positif, a déclaré vendredi Guardiola au sujet des nouvelles instructions du PGMOL. L'arbitre prendra lui-même ses responsabilités. J'aime ça. » Même constat pour l'entraîneur de Liverpool, Jurgen Klopp : « La seule raison de les avoir, c'est de les utiliser. Je ne sais pas pourquoi ils n'ont pas été utilisés jusqu'à présent. »
Le corps arbitral de la Premier League a reçu l'instruction d'utiliser davantage les moniteurs de bord de terrain, et moins le VAR, pour les décisions relatives aux expulsions.
Ce vendredi, les arbitres de Premier League ont reçu l'instruction de l'organisme responsable des matchs d'élite anglais, la Professional Game Match Officials Limited (PGMOL), d'utiliser davantage les moniteurs de bord de terrain pour les décisions relatives aux cartons rouges.
Selon l'organisme, rapporte Reuters, les arbitres devraient s'en remettre au VAR dans la plupart des cas et continuer à utiliser les moniteurs avec parcimonie. Néanmoins, les arbitres ont désormais pour directive de visualiser l'action sur un moniteur au bord du terrain dans deux cas de figure : lors du passage d'un carton jaune à un carton rouge ou, à l'inverse, pour un déclassement d'un rouge à un jaune.
Samedi dernier, contre Crystal Palace (1-1), l'attaquant d'Arsenal Pierre-Emerick Aubameyang a vu son carton jaune, attribué par l'arbitre Paul Tierney, transformé en rouge par les officiels du centre du VAR à Stockley Park, dans l'ouest de Londres. L'arbitre aurait pu prendre la même décision seul grâce à un moniteur.
L'entraîneur de Manchester City, Pep Guardiola, pense que les officiels sur le terrain devraient avoir plus d'autonomie grâce aux moniteurs situés au bord du terrain. « C'est un geste positif, a déclaré vendredi Guardiola au sujet des nouvelles instructions du PGMOL. L'arbitre prendra lui-même ses responsabilités. J'aime ça. » Même constat pour l'entraîneur de Liverpool, Jurgen Klopp : « La seule raison de les avoir, c'est de les utiliser. Je ne sais pas pourquoi ils n'ont pas été utilisés jusqu'à présent. »
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La Premier League à la recherche de jeunes avant le Brexit
Ce vendredi entre en vigueur la sortie du Royaume-Uni de l'Union Européenne, une date clé pour le football anglais. Selon 'The Telegraph', les experts conseillent aux clubs d'en profiter pour faire signer des jeunes (de 16 à 17 ans) en ces derniers jours de mercato, puisque après la fin de celui-ci, la législation ne leur permettra plus.
La Premier League avait la permission de recruter des joueurs de 16 ou 17 ans originaires d'un pays appartenant à l'Union Européenne ou à l'Espace Écononique Européen, mais cette situation est sur le point de disparaître.
Ce vendredi 31 janvier, le 'Brexit' entre en vigueur, la sortie du Royaume Uni de l'accord continental. Ce qui, pour le moment, interdirait l'incorporation de joueurs mineurs dans les clubs anglais.
Même s'il est possible que la FIFA fasse, à l'avenir, une exception pour que cette possibilité perdure, 'The Telegraph' rapporte que les clubs s'apprêtent à recruter des jeunes prometteurs avant que n'arrive cette date cruciale, sur recommandation de leurs experts en droit.
Jake Cohen, avocat spécialisé dans le sport et Owens Jones, expert en droit sportif concernant l'immigration, expliquent au quotidien anglais que la meilleure chose à faire est de profiter de l'opportunité du mercato au lieu d'attendre une nouvelle régulation de la FIFA.
"Il y a beaucoup de confusion. Je conseillerais aux clubs de ne pas attendre que la FIFA leur donne une opportunité", signale Cohen, tandis que Jones complète : "Ce que je comprends c'est que ça sera la dernière chance pour les clubs de recruter des jeunes de 16 ou 17 ans, à moins d'un changement".
L'exemple typique est celui de Chelsea. Dès leur sanction pour irrégularités dans le recrutement de mineurs levée, les 'blues' ont annoncé Bryan Fiabema, attaquant norvégien de 16 ans, pour une somme autour d'un million d'euros.
Ce vendredi entre en vigueur la sortie du Royaume-Uni de l'Union Européenne, une date clé pour le football anglais. Selon 'The Telegraph', les experts conseillent aux clubs d'en profiter pour faire signer des jeunes (de 16 à 17 ans) en ces derniers jours de mercato, puisque après la fin de celui-ci, la législation ne leur permettra plus.
La Premier League avait la permission de recruter des joueurs de 16 ou 17 ans originaires d'un pays appartenant à l'Union Européenne ou à l'Espace Écononique Européen, mais cette situation est sur le point de disparaître.
Ce vendredi 31 janvier, le 'Brexit' entre en vigueur, la sortie du Royaume Uni de l'accord continental. Ce qui, pour le moment, interdirait l'incorporation de joueurs mineurs dans les clubs anglais.
Même s'il est possible que la FIFA fasse, à l'avenir, une exception pour que cette possibilité perdure, 'The Telegraph' rapporte que les clubs s'apprêtent à recruter des jeunes prometteurs avant que n'arrive cette date cruciale, sur recommandation de leurs experts en droit.
Jake Cohen, avocat spécialisé dans le sport et Owens Jones, expert en droit sportif concernant l'immigration, expliquent au quotidien anglais que la meilleure chose à faire est de profiter de l'opportunité du mercato au lieu d'attendre une nouvelle régulation de la FIFA.
"Il y a beaucoup de confusion. Je conseillerais aux clubs de ne pas attendre que la FIFA leur donne une opportunité", signale Cohen, tandis que Jones complète : "Ce que je comprends c'est que ça sera la dernière chance pour les clubs de recruter des jeunes de 16 ou 17 ans, à moins d'un changement".
L'exemple typique est celui de Chelsea. Dès leur sanction pour irrégularités dans le recrutement de mineurs levée, les 'blues' ont annoncé Bryan Fiabema, attaquant norvégien de 16 ans, pour une somme autour d'un million d'euros.
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LE PREMIER JOUR DU RESTE DE LA PREMIER LEAGUE
Le royaume de Sa Majesté a beau avoir placé quatre clubs en finale de coupes d’Europe l’an passé, il pourrait bientôt se sentir comme un parfait étranger sur le Vieux Continent. Brexit oblige, le Royaume-Uni ne sera plus, dès le 1er février, membre de l'Union européenne. Ouvrant une ère d’incertitudes potentiellement destructrice pour la Premier League.
Il a beau être petit et gentil, N’Golo Kanté n’aurait sans doute jamais pu rallier l’Angleterre s’il avait vécu dans un monde où l’Angleterre et l’Union européenne faisaient chambre à part. Car s’il est aujourd'hui l’un des meilleurs joueurs du monde, et que son statut (nous y reviendrons plus tard) justifierait largement qu’on lui accorde une petite dérogation, le petit joueur de Ligue 1 qu’il était en 2015, ne comptant pas la moindre sélection chez les Bleus, n’aurait sans doute jamais réuni les conditions nécessaires à l’obtention de son permis de travail sur le sol anglais. Et, comme ça, la Premier League serait passée à côté d’un joueur sensationnel.
Goodbye England
Voilà ce qui pourrait devenir la réalité de la Premier League dans un monde post-Brexit. Aujourd'hui, ce fameux permis est obligatoire pour les joueurs qui n’appartiennent pas à un pays de l’Union ou de l’Espace économique européen. Mais demain, quand le Brexit sera une réalité, il pourrait aussi le devenir pour les ressortissants des pays membres. C’est là que le casse-tête commence. Aujourd’hui, tout joueur non européen qui veut signer en Angleterre doit d’abord obtenir un Governing Body Endorsement (GBE), délivré par la Fédération anglaise de football (FA) et aux critères très élitistes. L’un des principaux critères étant la participation à un pourcentage minimal de matchs internationaux sur les 24 mois précédant la demande de permis. Son objectif, clairement affiché par la FA : recruter uniquement des sportifs « établis au plus haut niveau international, qui contribueront de façon significative au développement du football de haut niveau » en Angleterre. « Le système actuel a été pensé en sachant que les Européens pouvaient venir sans problème, explique Tiran Gunawardena, avocat londonien spécialisé dans le droit du sport. Il vise à ne laisser entrer que les meilleurs non européens. Si les règles évoluent, et que les Européens ont eux aussi besoin d’un permis de travail, ce système doit radicalement changer. »
Avec le Brexit, les joueurs qui évoluent en équipe nationale obtiendront leur permis quasiment de manière automatique. Mais les autres, ceux qui ne répondent pas aux exigences du GBE et qui représentent actuellement une majorité d’Européens évoluant dans le championnat d'Angleterre, sont menacés. Il existe bien un « exceptions panel » , qui concerne ceux dont on justifie la « valeur exceptionnelle » – par un talent hors du commun, mais aussi et surtout par un transfert ou un salaire élevé. Mais, malgré ces dérogations, des cas posent toujours problème. « En 2010, on a signé Matej Delač, un gardien croate, se souvient Christophe Lollichon, responsable du département gardiens de but au Chelsea FC. Comme la Croatie n’était pas encore rattachée à l’Union européenne en matière d'affaires sportives, il est resté neuf saisons sous contrat chez nous, sans pouvoir jouer. » Ballot. Et demain, ce sont les Européens qui risquent de faire face à ce type de casse-tête.
La ligue et les clubs ont de bonnes raisons de craindre que le Brexit ne vide le championnat de ses Européens. L’une des principales raisons pour cela concerne les jeunes : en tant que membre de l’UE, le Royaume-Uni profite en effet de l’article 19 du règlement de la FIFA, autorisant les transferts de mineurs âgés de plus de 16 ans entre pays européens. Ce texte, qui a permis à des joueurs comme Cesc Fàbregas, Gerard Piqué ou Paul Pogba de rallier des clubs anglais avant leur majorité, permet aussi aux clubs de contourner la « homegrown rule » , qui n’autorise que 17 joueurs non formés en Angleterre sur 25 inscrits. Aujourd'hui, tout joueur qui a passé au moins trois ans dans un club anglais avant ses 21 ans est, de facto, considéré comme « home-grown » (formé au pays), ce qui permet à des non-anglais (Héctor Bellerín, Nathan Ake ou Gylfie Sigurdsson, par exemple) de jouir de ce statut. Avec le Brexit, la possibilité de recruter les meilleurs jeunes européens, et de les former dans leur « academy » , pourrait s’envoler. « Si nos équipes perdent la possibilité de recruter les meilleurs jeunes, ils s'en iront au Real, au Barça ou au PSG, prédit Tiran Gunawardena. Et, d’ici leur majorité, leur prix aura explosé. Ce serait un gros désavantage compétitif. »
Préférence nationale
En coulisses, les cols blancs du foot anglais planchent déjà sur des solutions. Et c'est peu dire qu'entre la Ligue et la FA, les avis divergent. Si la première craint que la sortie de l'UE n'affaiblisse la valeur du championnat, la seconde verrait d’un bon œil l’opportunité de faire éclore au plus haut niveau plus de joueurs formés en Angleterre. En attendant que la période de transition entre l'UE et le Royaume-Uni ne dissipe le brouillard autour des futures conditions d'attribution des permis de travail, une solution envisagée par la Fédé serait de diminuer le nombre autorisé de joueurs étrangers dans les effectifs de la Premier League (de 17 à 13), gonflant donc le nombre d'Anglais dans les effectifs. En échange, les règles d’obtention du permis de travail seraient assouplies. « La Fédération a pris conscience que si elle veut rivaliser avec la qualité des joueurs formés en Espagne ou en France, il faut investir dans la formation et les infrastructures, souligne Christophe Lollichon. Les clubs ont commencé à mettre l’accent là-dessus depuis plusieurs années. » Un investissement financier et humain qui peut mettre des années à porter ses fruits.
Une perspective difficilement acceptable pour les clubs de Premier League. Avec l’impossibilité des clubs à remplir d’Européens leurs académies et leurs effectifs, cela signifierait une explosion du nombre d’Anglais dans le championnat. Un virage british qui pourrait avoir de lourdes conséquences. Tout qualitatif qu’il est, le vivier made in UK reste limité. Les meilleurs clubs britanniques sont moins menacés, car ils recrutent principalement des étrangers qui remplissent sans problème les critères d'obtention du permis de travail. Les équipes de milieu ou de bas de tableau, elles, dépendent de joueurs concernés par cette possible réforme. Et se disputeraient à prix d'or les Anglais performants. Non seulement cela dérégulerait le marché, mais cela ferait aussi perdre au championnat ses deux atouts majeurs : sa diversité et sa compétitivité. « Les fans seront intéressés par des équipes composées à majorité d’Anglais, concède Christophe Lollichon. Mais, sans les étrangers, la ligue ne pourrait pas monnayer 2 milliards ses droits télévisuels en Asie. Elle a basé sa richesse là-dessus. » Mais tout aussi important que le football soit dans la société anglaise, difficile d'imaginer un Brexit qui ne « nationalise » pas le football : « Les clubs espèrent avoir une sorte de dérogation, mais comment peut-on justifier une telle dérogation uniquement pour les footballeurs ? interroge Tiran Gunawardena. Pourquoi pas aussi pour les enseignants, les médecins, qui sont tout aussi importants que les footballeurs, si ce n’est plus ? Parce que le football est lucratif, on fait une exception pour eux ? Ça n’aurait aucun sens et ce serait un véritable scandale. L’idéal pour la Premier League serait un statu quo, mais ce n’est plus possible. »
So Foot
Le royaume de Sa Majesté a beau avoir placé quatre clubs en finale de coupes d’Europe l’an passé, il pourrait bientôt se sentir comme un parfait étranger sur le Vieux Continent. Brexit oblige, le Royaume-Uni ne sera plus, dès le 1er février, membre de l'Union européenne. Ouvrant une ère d’incertitudes potentiellement destructrice pour la Premier League.
Il a beau être petit et gentil, N’Golo Kanté n’aurait sans doute jamais pu rallier l’Angleterre s’il avait vécu dans un monde où l’Angleterre et l’Union européenne faisaient chambre à part. Car s’il est aujourd'hui l’un des meilleurs joueurs du monde, et que son statut (nous y reviendrons plus tard) justifierait largement qu’on lui accorde une petite dérogation, le petit joueur de Ligue 1 qu’il était en 2015, ne comptant pas la moindre sélection chez les Bleus, n’aurait sans doute jamais réuni les conditions nécessaires à l’obtention de son permis de travail sur le sol anglais. Et, comme ça, la Premier League serait passée à côté d’un joueur sensationnel.
Goodbye England
Voilà ce qui pourrait devenir la réalité de la Premier League dans un monde post-Brexit. Aujourd'hui, ce fameux permis est obligatoire pour les joueurs qui n’appartiennent pas à un pays de l’Union ou de l’Espace économique européen. Mais demain, quand le Brexit sera une réalité, il pourrait aussi le devenir pour les ressortissants des pays membres. C’est là que le casse-tête commence. Aujourd’hui, tout joueur non européen qui veut signer en Angleterre doit d’abord obtenir un Governing Body Endorsement (GBE), délivré par la Fédération anglaise de football (FA) et aux critères très élitistes. L’un des principaux critères étant la participation à un pourcentage minimal de matchs internationaux sur les 24 mois précédant la demande de permis. Son objectif, clairement affiché par la FA : recruter uniquement des sportifs « établis au plus haut niveau international, qui contribueront de façon significative au développement du football de haut niveau » en Angleterre. « Le système actuel a été pensé en sachant que les Européens pouvaient venir sans problème, explique Tiran Gunawardena, avocat londonien spécialisé dans le droit du sport. Il vise à ne laisser entrer que les meilleurs non européens. Si les règles évoluent, et que les Européens ont eux aussi besoin d’un permis de travail, ce système doit radicalement changer. »
Avec le Brexit, les joueurs qui évoluent en équipe nationale obtiendront leur permis quasiment de manière automatique. Mais les autres, ceux qui ne répondent pas aux exigences du GBE et qui représentent actuellement une majorité d’Européens évoluant dans le championnat d'Angleterre, sont menacés. Il existe bien un « exceptions panel » , qui concerne ceux dont on justifie la « valeur exceptionnelle » – par un talent hors du commun, mais aussi et surtout par un transfert ou un salaire élevé. Mais, malgré ces dérogations, des cas posent toujours problème. « En 2010, on a signé Matej Delač, un gardien croate, se souvient Christophe Lollichon, responsable du département gardiens de but au Chelsea FC. Comme la Croatie n’était pas encore rattachée à l’Union européenne en matière d'affaires sportives, il est resté neuf saisons sous contrat chez nous, sans pouvoir jouer. » Ballot. Et demain, ce sont les Européens qui risquent de faire face à ce type de casse-tête.
La ligue et les clubs ont de bonnes raisons de craindre que le Brexit ne vide le championnat de ses Européens. L’une des principales raisons pour cela concerne les jeunes : en tant que membre de l’UE, le Royaume-Uni profite en effet de l’article 19 du règlement de la FIFA, autorisant les transferts de mineurs âgés de plus de 16 ans entre pays européens. Ce texte, qui a permis à des joueurs comme Cesc Fàbregas, Gerard Piqué ou Paul Pogba de rallier des clubs anglais avant leur majorité, permet aussi aux clubs de contourner la « homegrown rule » , qui n’autorise que 17 joueurs non formés en Angleterre sur 25 inscrits. Aujourd'hui, tout joueur qui a passé au moins trois ans dans un club anglais avant ses 21 ans est, de facto, considéré comme « home-grown » (formé au pays), ce qui permet à des non-anglais (Héctor Bellerín, Nathan Ake ou Gylfie Sigurdsson, par exemple) de jouir de ce statut. Avec le Brexit, la possibilité de recruter les meilleurs jeunes européens, et de les former dans leur « academy » , pourrait s’envoler. « Si nos équipes perdent la possibilité de recruter les meilleurs jeunes, ils s'en iront au Real, au Barça ou au PSG, prédit Tiran Gunawardena. Et, d’ici leur majorité, leur prix aura explosé. Ce serait un gros désavantage compétitif. »
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En coulisses, les cols blancs du foot anglais planchent déjà sur des solutions. Et c'est peu dire qu'entre la Ligue et la FA, les avis divergent. Si la première craint que la sortie de l'UE n'affaiblisse la valeur du championnat, la seconde verrait d’un bon œil l’opportunité de faire éclore au plus haut niveau plus de joueurs formés en Angleterre. En attendant que la période de transition entre l'UE et le Royaume-Uni ne dissipe le brouillard autour des futures conditions d'attribution des permis de travail, une solution envisagée par la Fédé serait de diminuer le nombre autorisé de joueurs étrangers dans les effectifs de la Premier League (de 17 à 13), gonflant donc le nombre d'Anglais dans les effectifs. En échange, les règles d’obtention du permis de travail seraient assouplies. « La Fédération a pris conscience que si elle veut rivaliser avec la qualité des joueurs formés en Espagne ou en France, il faut investir dans la formation et les infrastructures, souligne Christophe Lollichon. Les clubs ont commencé à mettre l’accent là-dessus depuis plusieurs années. » Un investissement financier et humain qui peut mettre des années à porter ses fruits.
Une perspective difficilement acceptable pour les clubs de Premier League. Avec l’impossibilité des clubs à remplir d’Européens leurs académies et leurs effectifs, cela signifierait une explosion du nombre d’Anglais dans le championnat. Un virage british qui pourrait avoir de lourdes conséquences. Tout qualitatif qu’il est, le vivier made in UK reste limité. Les meilleurs clubs britanniques sont moins menacés, car ils recrutent principalement des étrangers qui remplissent sans problème les critères d'obtention du permis de travail. Les équipes de milieu ou de bas de tableau, elles, dépendent de joueurs concernés par cette possible réforme. Et se disputeraient à prix d'or les Anglais performants. Non seulement cela dérégulerait le marché, mais cela ferait aussi perdre au championnat ses deux atouts majeurs : sa diversité et sa compétitivité. « Les fans seront intéressés par des équipes composées à majorité d’Anglais, concède Christophe Lollichon. Mais, sans les étrangers, la ligue ne pourrait pas monnayer 2 milliards ses droits télévisuels en Asie. Elle a basé sa richesse là-dessus. » Mais tout aussi important que le football soit dans la société anglaise, difficile d'imaginer un Brexit qui ne « nationalise » pas le football : « Les clubs espèrent avoir une sorte de dérogation, mais comment peut-on justifier une telle dérogation uniquement pour les footballeurs ? interroge Tiran Gunawardena. Pourquoi pas aussi pour les enseignants, les médecins, qui sont tout aussi importants que les footballeurs, si ce n’est plus ? Parce que le football est lucratif, on fait une exception pour eux ? Ça n’aurait aucun sens et ce serait un véritable scandale. L’idéal pour la Premier League serait un statu quo, mais ce n’est plus possible. »
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Premier League
Tableau des Transferts Premier League 2020
https://www.footballdatabase.eu/fr/competition/transferts/12101-premier_league/2019-2020
Tableau des Transferts Premier League 2020
https://www.footballdatabase.eu/fr/competition/transferts/12101-premier_league/2019-2020
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Premier League: les supporters ne sont pas satisfaits du VAR
Les décisions prises grâce à l’assistance vidéo en Angleterre ont déjà fait polémique.
Un récent sondage de la société YouGov révèle que le VAR en Premier League est loin de faire l’unanimité auprès des supporters et téléspectateurs. En effet, 1396 personnes ont répondu à ce sondage et deux tiers trouvent moins de plaisir à suivre le championnat anglais depuis l’arrivée de l’assistance vidéo.
Autre chiffre assez impressionnant : si la grande majorité estime que l’innovation technologique est utile, 60 % des sondés trouvent que le VAR fonctionne mal.
Entendre les discussions entre les arbitres, voir les images sur les écrans en même temps que les arbitres dans la cabine du VAR, voici les idées proposées par les personnes sondées pour améliorer la qualité de l’assistance vidéo en Premier League.
La NG
Les décisions prises grâce à l’assistance vidéo en Angleterre ont déjà fait polémique.
Un récent sondage de la société YouGov révèle que le VAR en Premier League est loin de faire l’unanimité auprès des supporters et téléspectateurs. En effet, 1396 personnes ont répondu à ce sondage et deux tiers trouvent moins de plaisir à suivre le championnat anglais depuis l’arrivée de l’assistance vidéo.
Autre chiffre assez impressionnant : si la grande majorité estime que l’innovation technologique est utile, 60 % des sondés trouvent que le VAR fonctionne mal.
Entendre les discussions entre les arbitres, voir les images sur les écrans en même temps que les arbitres dans la cabine du VAR, voici les idées proposées par les personnes sondées pour améliorer la qualité de l’assistance vidéo en Premier League.
La NG
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Re: Premier League,transferts, news,...
La Premier League pourrait introduire une "tolérance" pour les hors-jeu
La Premier League pourrait revoir légèrement les règles pour apprécier un hors-jeu avec l'aide de la l'assistance vidéo (VAR) en introduisant "une tolérance", a indiqué mardi le nouveau patron du championnat anglais, Richard Masters.
Très critiquées par les supporters et les journalistes en raison de nombreux buts refusés pour des hors-jeux minimalistes, la VAR et son utilisation peuvent être améliorés, a admis le dirigeant lors de l'assemblée générale de Premier League.
Les hors-jeu pourraient être l'un des domaines à l'étude "pour voir si on veut des hors-jeu très précis au niveau de l'aisselle ou du talon, ou si on veut introduire une certaine tolérance. C'est une sorte de défi technique", a-t-il déclaré à la presse.
"Nous sommes en dialogue permanent avec l'International Board (en charge des règles du jeu) au sujet (de la VAR) et de la façon dont la Premier League s'y prend par rapport aux autres et sur ce qu'on peut apprendre des autres championnats", a poursuivi M. Masters, qui a été nommé à la tête de la première division anglaise il y a deux mois.
En décembre, Aleksander Ceferin, président de l'UEFA, avait réclamé que le Board "clarifie" l'utilisation de la VAR pour les hors-jeu ou pour les mains.
Le secrétaire du Board, Lukas Brud, avait indiqué à la même époque à l'agence britannique PA que "si quelque chose n'était pas clair au premier regard, c'est que ce n'est pas évident et il ne faut pas le prendre en compte".
"En avril, il y aura une discussion plus large sur quelle VAR les clubs souhaitent pour la Premier League la saison prochaine. Je pense qu'elle est là pour rester et qu'elle sera certainement là la saison prochaine", a-t-il conclu.
La Premier League pourrait revoir légèrement les règles pour apprécier un hors-jeu avec l'aide de la l'assistance vidéo (VAR) en introduisant "une tolérance", a indiqué mardi le nouveau patron du championnat anglais, Richard Masters.
Très critiquées par les supporters et les journalistes en raison de nombreux buts refusés pour des hors-jeux minimalistes, la VAR et son utilisation peuvent être améliorés, a admis le dirigeant lors de l'assemblée générale de Premier League.
Les hors-jeu pourraient être l'un des domaines à l'étude "pour voir si on veut des hors-jeu très précis au niveau de l'aisselle ou du talon, ou si on veut introduire une certaine tolérance. C'est une sorte de défi technique", a-t-il déclaré à la presse.
"Nous sommes en dialogue permanent avec l'International Board (en charge des règles du jeu) au sujet (de la VAR) et de la façon dont la Premier League s'y prend par rapport aux autres et sur ce qu'on peut apprendre des autres championnats", a poursuivi M. Masters, qui a été nommé à la tête de la première division anglaise il y a deux mois.
En décembre, Aleksander Ceferin, président de l'UEFA, avait réclamé que le Board "clarifie" l'utilisation de la VAR pour les hors-jeu ou pour les mains.
Le secrétaire du Board, Lukas Brud, avait indiqué à la même époque à l'agence britannique PA que "si quelque chose n'était pas clair au premier regard, c'est que ce n'est pas évident et il ne faut pas le prendre en compte".
"En avril, il y aura une discussion plus large sur quelle VAR les clubs souhaitent pour la Premier League la saison prochaine. Je pense qu'elle est là pour rester et qu'elle sera certainement là la saison prochaine", a-t-il conclu.
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Re: Premier League,transferts, news,...
Premier League : la date limite du mercato estival modifiée ?
Le changement n’a pas plu à tout le monde. Depuis deux ans maintenant, le mercato estival en Angleterre ferme ses portes la veille de l’ouverture de la Premier League, alors que tous les autres championnats européens ont la possibilité d’ajouter de nouveaux joueurs à leurs effectifs jusqu’à fin août ou début septembre. Mais la majorité des clubs du Royaume de Sa Majesté ne sont visiblement pas satisfaits de cette évolution.
La BBC rapporte en effet que les pensionnaires de l’élite anglaise se sentent désavantagés par rapport aux autres formations européennes. Le média anglais précise qu’une réunion sera donc organisée ce jeudi entre les représentants des 20 équipes composant la Premier League afin de se pencher sur la question. Mais il est fort probable que l’Angleterre adopte un retour à la ’norme européenne’, soit que la fermeture du mercato estival ait lieu au même moment que ses voisins européens. Jürgen Klopp avait par exemple déclaré, en septembre dernier, qu’il se fichait de quand le marché fermait ses portes, mais que cela devrait être en même temps que les autres.
Le changement n’a pas plu à tout le monde. Depuis deux ans maintenant, le mercato estival en Angleterre ferme ses portes la veille de l’ouverture de la Premier League, alors que tous les autres championnats européens ont la possibilité d’ajouter de nouveaux joueurs à leurs effectifs jusqu’à fin août ou début septembre. Mais la majorité des clubs du Royaume de Sa Majesté ne sont visiblement pas satisfaits de cette évolution.
La BBC rapporte en effet que les pensionnaires de l’élite anglaise se sentent désavantagés par rapport aux autres formations européennes. Le média anglais précise qu’une réunion sera donc organisée ce jeudi entre les représentants des 20 équipes composant la Premier League afin de se pencher sur la question. Mais il est fort probable que l’Angleterre adopte un retour à la ’norme européenne’, soit que la fermeture du mercato estival ait lieu au même moment que ses voisins européens. Jürgen Klopp avait par exemple déclaré, en septembre dernier, qu’il se fichait de quand le marché fermait ses portes, mais que cela devrait être en même temps que les autres.
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Re: Premier League,transferts, news,...
La Premier League change les dates de son mercato estival et s’aligne à nouveau sur le reste de l’Europe
Lors des deux derniers mercatos d’été, les clubs anglais devaient boucler leurs transferts entrants avant le début du championnat, à la mi-août.
L’Angleterre de nouveau à l’heure européenne : en tout cas pour le mercato estival qui, après deux années d’expérimentation, se terminera fin août pour les clubs de Premier League, comme ce qui se fait dans les autres championnats européens.
« Lors d’une réunion des clubs en lice jeudi, les clubs de Premier League ont voté en faveur d’un changement de la date de la fermeture de la période des transferts en été pour la saison 2020-21 », a annoncé jeudi la Ligue anglaise.
« Cette date de fermeture va revenir à la date traditionnelle de fin août/début septembre. Pour l’été 2020, la date de clôture sera ainsi le 1er septembre à 16h00 GMT », a-t-elle précisé.
Depuis deux saisons, le mercato estival dans le championnat d’Angleterre prenait fin plus tôt que dans le reste de l’Europe, mi-août à la veille des premiers matches de la nouvelle saison. Mais cette mesure était particulièrement critiquée par les grands clubs du football anglais, acteurs majeurs sur le marché des transferts.
La Ligue anglaise espérait que le reste de l’Europe allait s’aligner sur sa mesure qui devait permettre aux clubs de disputer leurs premiers matches en toute sérénité, sans rumeurs de transferts, ni départs de joueurs-clefs.
La mesure a même pu affaiblir les clubs anglais en cas de transfert d’un joueur vers un autre championnat, puisqu’ils étaient dans l’impossibilité de recruter un nouveau joueur.
L’entraîneur allemand de Liverpool Jürgen Klopp était l’un des techniciens opposés à cette mesure : « C’est une bonne idée sur le papier, mais comme les autres (championnats européens) n’ont pas suivi le mouvement, cela n’a plus aucun sens », avait-il remarqué l’été dernier.
https://www.sudinfo.be/id165993/article/2020-02-06/la-premier-league-change-les-dates-de-son-mercato-estival-et-saligne-nouveau-sur
Lors des deux derniers mercatos d’été, les clubs anglais devaient boucler leurs transferts entrants avant le début du championnat, à la mi-août.
L’Angleterre de nouveau à l’heure européenne : en tout cas pour le mercato estival qui, après deux années d’expérimentation, se terminera fin août pour les clubs de Premier League, comme ce qui se fait dans les autres championnats européens.
« Lors d’une réunion des clubs en lice jeudi, les clubs de Premier League ont voté en faveur d’un changement de la date de la fermeture de la période des transferts en été pour la saison 2020-21 », a annoncé jeudi la Ligue anglaise.
« Cette date de fermeture va revenir à la date traditionnelle de fin août/début septembre. Pour l’été 2020, la date de clôture sera ainsi le 1er septembre à 16h00 GMT », a-t-elle précisé.
Depuis deux saisons, le mercato estival dans le championnat d’Angleterre prenait fin plus tôt que dans le reste de l’Europe, mi-août à la veille des premiers matches de la nouvelle saison. Mais cette mesure était particulièrement critiquée par les grands clubs du football anglais, acteurs majeurs sur le marché des transferts.
La Ligue anglaise espérait que le reste de l’Europe allait s’aligner sur sa mesure qui devait permettre aux clubs de disputer leurs premiers matches en toute sérénité, sans rumeurs de transferts, ni départs de joueurs-clefs.
La mesure a même pu affaiblir les clubs anglais en cas de transfert d’un joueur vers un autre championnat, puisqu’ils étaient dans l’impossibilité de recruter un nouveau joueur.
L’entraîneur allemand de Liverpool Jürgen Klopp était l’un des techniciens opposés à cette mesure : « C’est une bonne idée sur le papier, mais comme les autres (championnats européens) n’ont pas suivi le mouvement, cela n’a plus aucun sens », avait-il remarqué l’été dernier.
https://www.sudinfo.be/id165993/article/2020-02-06/la-premier-league-change-les-dates-de-son-mercato-estival-et-saligne-nouveau-sur
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Re: Premier League,transferts, news,...
Premier League : le Brexit fait monter la pression
Depuis février, le Royaume-Uni ne fait plus partie de l'Union Européenne. Cela pose des problèmes pour les quotas de joueurs étrangers.
Le 31 janvier dernier, à minuit, c’était la fin du marché des transferts. Mais ce n’était pas la seule fin. En effet, c’est aussi à cette date que le Royaume-Uni est sorti de l’Union Européenne. On se disait bien qu’il y aurait des conséquences sur le football outre-Manche, mais on n’imaginait guère que cela créerait des querelles entre les instances. En effet, il devrait y avoir un quota de joueurs étrangers dans les équipes de Premier League dès la saison prochaine.
Actuellement, les formations évoluant en Angleterre ont droit à dix-sept joueurs étrangers par effectif. La Fédération anglaise de football (FA) est pour conserver ce nombre pour la simple et bonne raison qu’elle veut que les talents anglais se confrontent aux meilleurs joueurs du monde. « Si vous avez un système de quota qui était très différent de l’Europe, vous mettriez nos meilleurs clubs dans une position très désavantageuse car je pense que le nombre moyen de joueurs étrangers que le vainqueur le plus probable de la Ligue des Champions aurait est de 16. Donc, si nos clubs étaient inférieurs à ce nombre, ce serait un inconvénient pour eux », a d’ailleurs déclaré Richard Masters, le directeur général de la Premier League à Skysports.
Sauf qu’avec la sortie de l’UE, le chiffre autorisé devrait descendre en dessous de 16 et la FA, elle, est favorable à un assouplissement des règles autour de l’incorporation de joueurs non-européens si aucun club ne dépasse les 13 joueurs dans l’effectif. Un accord est encore assez loin d’être trouvé puisque la FA et la Premier League ne semblent pas encore être d’accord. Mais le but est en réalité ne pas freiner la progression des jeunes anglais, qui performent beaucoup mieux depuis quelques années.
Depuis février, le Royaume-Uni ne fait plus partie de l'Union Européenne. Cela pose des problèmes pour les quotas de joueurs étrangers.
Le 31 janvier dernier, à minuit, c’était la fin du marché des transferts. Mais ce n’était pas la seule fin. En effet, c’est aussi à cette date que le Royaume-Uni est sorti de l’Union Européenne. On se disait bien qu’il y aurait des conséquences sur le football outre-Manche, mais on n’imaginait guère que cela créerait des querelles entre les instances. En effet, il devrait y avoir un quota de joueurs étrangers dans les équipes de Premier League dès la saison prochaine.
Actuellement, les formations évoluant en Angleterre ont droit à dix-sept joueurs étrangers par effectif. La Fédération anglaise de football (FA) est pour conserver ce nombre pour la simple et bonne raison qu’elle veut que les talents anglais se confrontent aux meilleurs joueurs du monde. « Si vous avez un système de quota qui était très différent de l’Europe, vous mettriez nos meilleurs clubs dans une position très désavantageuse car je pense que le nombre moyen de joueurs étrangers que le vainqueur le plus probable de la Ligue des Champions aurait est de 16. Donc, si nos clubs étaient inférieurs à ce nombre, ce serait un inconvénient pour eux », a d’ailleurs déclaré Richard Masters, le directeur général de la Premier League à Skysports.
Sauf qu’avec la sortie de l’UE, le chiffre autorisé devrait descendre en dessous de 16 et la FA, elle, est favorable à un assouplissement des règles autour de l’incorporation de joueurs non-européens si aucun club ne dépasse les 13 joueurs dans l’effectif. Un accord est encore assez loin d’être trouvé puisque la FA et la Premier League ne semblent pas encore être d’accord. Mais le but est en réalité ne pas freiner la progression des jeunes anglais, qui performent beaucoup mieux depuis quelques années.
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Re: Premier League,transferts, news,...
UN NETFLIX DU FOOTBALL EN PROJET POUR LA PREMIER LEAGUE
Les dirigeants de la Premier League réfléchiraient à lancer un service de streaming «type Netflix» pour diffuser les matchs du championnat anglais.
La Premier League travaille actuellement sur un projet de plateforme streaming «type Netflix» qui pourrait révolutionner la façon dont le football est consommé. Selon les propos du nouveau PDG du championnat anglais Richard Masters ce service baptisé «Over the Top» (OTT) pourrait voir le jour d’ici 2022. En plus de voir les matches de manière traditionnelle en intégralité, il permettrait de personnaliser son offre en fonction des clubs, de ne regarder que des résumés ou des bouts matchs.
Aujourd’hui en Angleterre, pour voir l’intégralité des matchs de Premier League, il faut des abonnements à Sky Sports, BT Sport et Amazon Prime, ce qui coûte environ 912£ par an (1074€), soit 76£ par mois (89€), mais les abonnés pensent que ces prix ne sont pas justifiés et résilient leurs contrats.
«Si vous apportiez un Netflix du football, que 100 millions d’abonnés dans le monde payaient 9£ par mois, vous n’auriez aucun taux de désabonnement car personne ne pourrait résister à ce prix», explique Richard Masters. «Vous apporteriez 11 milliards de livres sterling chaque année, au lieu de 8,1 milliards tous les trois ans, et vous construiriez un modèle qui aurait d’énormes revenus, un capital de développement durable accru et une portée incroyable», ajoute-il. Avec des prix d’abonnement plus bas, cette plateforme de streaming pourrait profiter aux fans, mais aussi aux clubs qui bénéficieront d’une augmentation des revenus.
Reste désormais à savoir comment les dirigeants de la Premier League envisagent de résoudre la difficile équation des droits TV du football. Alors que ceux-ci ne cessent d’augmenter, actuellement aux alentours de 3 milliards de livres sterling (droits nationaux et à l’étranger), ils promettent un abonnement à prix très inférieurs à celui proposé aux fans aujourd’hui.
http://sport24.lefigaro.fr/scan-sport/actualites/football-vers-un-service-de-streaming-pour-la-premier-league-992539
Les dirigeants de la Premier League réfléchiraient à lancer un service de streaming «type Netflix» pour diffuser les matchs du championnat anglais.
La Premier League travaille actuellement sur un projet de plateforme streaming «type Netflix» qui pourrait révolutionner la façon dont le football est consommé. Selon les propos du nouveau PDG du championnat anglais Richard Masters ce service baptisé «Over the Top» (OTT) pourrait voir le jour d’ici 2022. En plus de voir les matches de manière traditionnelle en intégralité, il permettrait de personnaliser son offre en fonction des clubs, de ne regarder que des résumés ou des bouts matchs.
Aujourd’hui en Angleterre, pour voir l’intégralité des matchs de Premier League, il faut des abonnements à Sky Sports, BT Sport et Amazon Prime, ce qui coûte environ 912£ par an (1074€), soit 76£ par mois (89€), mais les abonnés pensent que ces prix ne sont pas justifiés et résilient leurs contrats.
«Si vous apportiez un Netflix du football, que 100 millions d’abonnés dans le monde payaient 9£ par mois, vous n’auriez aucun taux de désabonnement car personne ne pourrait résister à ce prix», explique Richard Masters. «Vous apporteriez 11 milliards de livres sterling chaque année, au lieu de 8,1 milliards tous les trois ans, et vous construiriez un modèle qui aurait d’énormes revenus, un capital de développement durable accru et une portée incroyable», ajoute-il. Avec des prix d’abonnement plus bas, cette plateforme de streaming pourrait profiter aux fans, mais aussi aux clubs qui bénéficieront d’une augmentation des revenus.
Reste désormais à savoir comment les dirigeants de la Premier League envisagent de résoudre la difficile équation des droits TV du football. Alors que ceux-ci ne cessent d’augmenter, actuellement aux alentours de 3 milliards de livres sterling (droits nationaux et à l’étranger), ils promettent un abonnement à prix très inférieurs à celui proposé aux fans aujourd’hui.
http://sport24.lefigaro.fr/scan-sport/actualites/football-vers-un-service-de-streaming-pour-la-premier-league-992539
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Re: Premier League,transferts, news,...
Droits TV : la Premier League reçoit 2,3 milliards d’euros en plus !
L’argent continue d’affluer dans le football anglais. Le championnat le plus médiatisé au monde, détenant déjà le record de vente de ses droits TV, va encore bénéficier d’une importante rentrée financière dans ses caisses. France Football nous apprend ce mardi que le réseau scandinave NENT (Danemark, Finlande, Norvège, Suède) vient de s’engager à verser 2,3 milliards d’euros à la Premier League pour retransmettre les rencontres de Liverpool, Manchester City et consorts sur la période 2022-2028.
La PL peut se réjouir de ce nouveau contrat juteux, qui profitera à un public composé seulement de 25 millions de personnes. À titre de comparaison, Canal + verse 90 millions d’euros par saison (depuis 2019 et jusqu’en 2021), pour offrir à ses abonnés les matches des cadors du Royaume de Sa Majesté, alors que Mediapro, qui débarque dans le paysage médiatique français, a arraché les droits de la Ligue 1 sur la période 2020-2024 contre un montant de 1,153 milliards d’euros par saison. Des chiffres qui démontrent que la Premier League est encore loin devant ses concurrents financièrement. Mais jusqu’où va-t-elle s’arrêter ?
L’argent continue d’affluer dans le football anglais. Le championnat le plus médiatisé au monde, détenant déjà le record de vente de ses droits TV, va encore bénéficier d’une importante rentrée financière dans ses caisses. France Football nous apprend ce mardi que le réseau scandinave NENT (Danemark, Finlande, Norvège, Suède) vient de s’engager à verser 2,3 milliards d’euros à la Premier League pour retransmettre les rencontres de Liverpool, Manchester City et consorts sur la période 2022-2028.
La PL peut se réjouir de ce nouveau contrat juteux, qui profitera à un public composé seulement de 25 millions de personnes. À titre de comparaison, Canal + verse 90 millions d’euros par saison (depuis 2019 et jusqu’en 2021), pour offrir à ses abonnés les matches des cadors du Royaume de Sa Majesté, alors que Mediapro, qui débarque dans le paysage médiatique français, a arraché les droits de la Ligue 1 sur la période 2020-2024 contre un montant de 1,153 milliards d’euros par saison. Des chiffres qui démontrent que la Premier League est encore loin devant ses concurrents financièrement. Mais jusqu’où va-t-elle s’arrêter ?
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Re: Premier League,transferts, news,...
Scandale en Premier Legue: certains clubs demandent jusqu'à 830 euros pour permettre aux enfants de monter sur la pelouse
La pratique fait polémique en Angleterre.
L'image est souvent belle. De jeunes enfants qui montent sur la pelouse avant le coup d'envoi d'une rencontre de leur équipe favorite en tenant la main d'une de leurs idoles. Mais comme le révèle le quotidien britannique Telegraph, certains clubs de Premier League et de Championship n'hésitent pas à faire payer les parents pour que leur enfant puisse profiter de ce moment magique. Tout cela alors que les clubs anglais sont déjà richissimes: ils possèdent tous une valeur totale supérieure à 100 millions d'euros. Pour les plus riches d'entre eux, cette valeur s'élève même à plus d'un milliard d'euros. D'autant plus que chaque saison, les clubs anglais reçoivent au minimum 90 millions d'euros en droits TV, en fonction de leur classement à la fin de la saison et du nombre de rencontres diffusées en direct.
Malgré ces montants titanesques, certains clubs n'hésitent pas à faire payer pour que les enfants puissent monter sur la pelouse aux côtés de leurs idoles. La palme revient à West Ham qui demande jusqu'à 830 euros, pour certains matches, à chaque enfant pour pouvoir vivre ce moment magique.
D'autres clubs comme Everton (800 euros), Leicester City (670 euros), Tottenham (450 euros), Wolverhampton (440 euros), Crystal Palace (417 euros), Brighton (340 euros) et Burnley (334 euros) utilisent cette pratique.
A contrario, dans neuf clubs de Premier League, dont les membres du G5 (Man City, ManU, Chelsea, Liverpool et Arsenal), les enfants ne doivent rien débourser pour pouvoir monter sur la pelouse.
La polémique a enflé en Angleterre à tel point que le président des commissions Digitale, Culture, Média et Sport du Parlement britannique, Julian Knight plaide pour l'interdiction de payement, ou du moins à des tarifs acceptables pour les familles. A l'heure actuelle, seules les familles les plus aisées peuvent se permettre d'offrir à leur enfant la chance de monter sur la pelouse avec leur joueur favori. Un point de vue que partage la Fédération des supporters (FSA).
La Dh
C'est pas nouveau mais c'est là que l'on vois qu'il y a que l'argent qui compte dans le foot !!! Bien triste...
La pratique fait polémique en Angleterre.
L'image est souvent belle. De jeunes enfants qui montent sur la pelouse avant le coup d'envoi d'une rencontre de leur équipe favorite en tenant la main d'une de leurs idoles. Mais comme le révèle le quotidien britannique Telegraph, certains clubs de Premier League et de Championship n'hésitent pas à faire payer les parents pour que leur enfant puisse profiter de ce moment magique. Tout cela alors que les clubs anglais sont déjà richissimes: ils possèdent tous une valeur totale supérieure à 100 millions d'euros. Pour les plus riches d'entre eux, cette valeur s'élève même à plus d'un milliard d'euros. D'autant plus que chaque saison, les clubs anglais reçoivent au minimum 90 millions d'euros en droits TV, en fonction de leur classement à la fin de la saison et du nombre de rencontres diffusées en direct.
Malgré ces montants titanesques, certains clubs n'hésitent pas à faire payer pour que les enfants puissent monter sur la pelouse aux côtés de leurs idoles. La palme revient à West Ham qui demande jusqu'à 830 euros, pour certains matches, à chaque enfant pour pouvoir vivre ce moment magique.
D'autres clubs comme Everton (800 euros), Leicester City (670 euros), Tottenham (450 euros), Wolverhampton (440 euros), Crystal Palace (417 euros), Brighton (340 euros) et Burnley (334 euros) utilisent cette pratique.
A contrario, dans neuf clubs de Premier League, dont les membres du G5 (Man City, ManU, Chelsea, Liverpool et Arsenal), les enfants ne doivent rien débourser pour pouvoir monter sur la pelouse.
La polémique a enflé en Angleterre à tel point que le président des commissions Digitale, Culture, Média et Sport du Parlement britannique, Julian Knight plaide pour l'interdiction de payement, ou du moins à des tarifs acceptables pour les familles. A l'heure actuelle, seules les familles les plus aisées peuvent se permettre d'offrir à leur enfant la chance de monter sur la pelouse avec leur joueur favori. Un point de vue que partage la Fédération des supporters (FSA).
La Dh
C'est pas nouveau mais c'est là que l'on vois qu'il y a que l'argent qui compte dans le foot !!! Bien triste...
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Re: Premier League,transferts, news,...
Le jeu de tête en football interdit à l’entraînement chez les enfants britanniques
La mesure concerne la catégorie des enfants de moins de 12 ans.
Les Fédérations anglaise (FA), écossaise et irlandaise de football vont interdire le jeu de tête durant les séances d’entraînement des enfants, dans la catégorie des moins de 12 ans et l’encadrer jusqu’aux moins de 18 ans, ont-elles annoncé lundi.
« Pas de têtes lors des entraînements dans la phase d’apprentissage de base (école primaire) », annonce la FA dans un communiqué qui détaille les nouvelles lignes directrices envoyées aux clubs.
Pour les catégories entre moins de 12 ans et moins de 16 ans, le jeu de tête ne doit être introduit à l’entraînement que de façon progressive et avec des ballons de taille adaptée et pas excessivement gonflés, ajoute la FA.
Pour les matches, en revanche, vu la faible occurrence de ce type de phase de jeu, aucune mesure particulière n’est prise.
Cette mesure fait suite à des réflexions lancées après la publication en octobre d’une étude de l’université de Glasgow menée sur d’anciens footballeurs écossais a mis en évidence que ceux-ci avaient 3,5 fois plus de chances de mourir d’une maladie neurodégénérative que la moyenne.
Le jeu d’e tête n’a pas été interdit en match chez les jeunes, car « nos recherches montrent qu’il y a en moyenne deux têtes par match chez les enfants, ce qui est donc un événement peu fréquent ».
La saison prochaine, la taille des ballons sera aussi modifiée, puisque jusqu’à la catégorie des moins de 10 ans ce sont des ballons de taille 3 (diamètre de 57 à 60 cm) qui seront utilisés, alors qu’on passait généralement à 7 ans à des ballons de taille 4 (62 à 66 cm de diamètre). Ils devront en outre être gonflés au minimum de ce qu’autorise le règlement, a ajouté la FA.
La NG
La mesure concerne la catégorie des enfants de moins de 12 ans.
Les Fédérations anglaise (FA), écossaise et irlandaise de football vont interdire le jeu de tête durant les séances d’entraînement des enfants, dans la catégorie des moins de 12 ans et l’encadrer jusqu’aux moins de 18 ans, ont-elles annoncé lundi.
« Pas de têtes lors des entraînements dans la phase d’apprentissage de base (école primaire) », annonce la FA dans un communiqué qui détaille les nouvelles lignes directrices envoyées aux clubs.
Pour les catégories entre moins de 12 ans et moins de 16 ans, le jeu de tête ne doit être introduit à l’entraînement que de façon progressive et avec des ballons de taille adaptée et pas excessivement gonflés, ajoute la FA.
Pour les matches, en revanche, vu la faible occurrence de ce type de phase de jeu, aucune mesure particulière n’est prise.
Cette mesure fait suite à des réflexions lancées après la publication en octobre d’une étude de l’université de Glasgow menée sur d’anciens footballeurs écossais a mis en évidence que ceux-ci avaient 3,5 fois plus de chances de mourir d’une maladie neurodégénérative que la moyenne.
Le jeu d’e tête n’a pas été interdit en match chez les jeunes, car « nos recherches montrent qu’il y a en moyenne deux têtes par match chez les enfants, ce qui est donc un événement peu fréquent ».
La saison prochaine, la taille des ballons sera aussi modifiée, puisque jusqu’à la catégorie des moins de 10 ans ce sont des ballons de taille 3 (diamètre de 57 à 60 cm) qui seront utilisés, alors qu’on passait généralement à 7 ans à des ballons de taille 4 (62 à 66 cm de diamètre). Ils devront en outre être gonflés au minimum de ce qu’autorise le règlement, a ajouté la FA.
La NG
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La Premier League, le championnat d’Angleterre, crée son propre Hall of Fame
Les deux premiers ex-joueurs qui auront l’honneur de figurer dans ce Hall of Fame seront connus le 19 mars.
La Premier League a annoncé ce jeudi la création d’un Hall of Fame pour consacrer les meilleurs anciens joueurs du championnat d’Angleterre. Les deux premiers noms seront annoncés le 19 mars.
« Depuis 1992, la Premier League a produit des joueurs de classe mondiale, qui ont été le visage de générations et ont offert le meilleur du football saison après saison », a déclaré Richard Masters, directeur général de Premier League. « Une place dans ce Hall of Fame est réservée aux meilleurs. Ce sera l’occasion pour les supporters de se remémorer et de célébrer certaines carrières tout simplement exceptionnelles ».
Les deux premiers joueurs qui seront introduit dans ce Hall of Fame seront connus le 19 mars. Ce même jour, une liste de présélectionnés sera annoncée et les supporters seront invités à participer à l’élection des prochains ex-joueurs qui entreront dans ce panthéon du championnat anglais. Pour être éligible, le joueur doit être aujourd’hui à la retraite et seule sa carrière en tant que joueur en Premier League sera prise en compte.
https://www.sudinfo.be/id169950/article/2020-02-27/la-premier-league-le-championnat-dangleterre-cree-son-propre-hall-fame
Les deux premiers ex-joueurs qui auront l’honneur de figurer dans ce Hall of Fame seront connus le 19 mars.
La Premier League a annoncé ce jeudi la création d’un Hall of Fame pour consacrer les meilleurs anciens joueurs du championnat d’Angleterre. Les deux premiers noms seront annoncés le 19 mars.
« Depuis 1992, la Premier League a produit des joueurs de classe mondiale, qui ont été le visage de générations et ont offert le meilleur du football saison après saison », a déclaré Richard Masters, directeur général de Premier League. « Une place dans ce Hall of Fame est réservée aux meilleurs. Ce sera l’occasion pour les supporters de se remémorer et de célébrer certaines carrières tout simplement exceptionnelles ».
Les deux premiers joueurs qui seront introduit dans ce Hall of Fame seront connus le 19 mars. Ce même jour, une liste de présélectionnés sera annoncée et les supporters seront invités à participer à l’élection des prochains ex-joueurs qui entreront dans ce panthéon du championnat anglais. Pour être éligible, le joueur doit être aujourd’hui à la retraite et seule sa carrière en tant que joueur en Premier League sera prise en compte.
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Re: Premier League,transferts, news,...
Et si la Premier League annulait la saison ?
Le Royaume-Uni est pour l’instant globalement épargné par la propagation du coronavirus (le premier décès lié au coronavirus vient seulement d’être annoncé). L’Angleterre notamment n’en reste pas moins vigilante et réfléchit aux mesures qui pourraient être prises dans le cas où l’épidémie se développerait massivement dans ses contrées.
Selon le Daily Telegraph, le gouvernement pourrait dès lors décider d’annuler pendant près de deux mois toute compétition sportive, dont la Premier League. Dès lors, les dirigeants de la Ligue anglaise seraient contraint de réfléchir à la manière de sceller la saison : soit en figeant le classement au moment de l’arrêt contraint (avec le titre de champion accordé à Liverpool et les trois relégués) soit en annulant purement et simplement la saison, avec pour conséquence pas de titre de champion attribué et pas de relégation pour les trois derniers !
Le Royaume-Uni est pour l’instant globalement épargné par la propagation du coronavirus (le premier décès lié au coronavirus vient seulement d’être annoncé). L’Angleterre notamment n’en reste pas moins vigilante et réfléchit aux mesures qui pourraient être prises dans le cas où l’épidémie se développerait massivement dans ses contrées.
Selon le Daily Telegraph, le gouvernement pourrait dès lors décider d’annuler pendant près de deux mois toute compétition sportive, dont la Premier League. Dès lors, les dirigeants de la Ligue anglaise seraient contraint de réfléchir à la manière de sceller la saison : soit en figeant le classement au moment de l’arrêt contraint (avec le titre de champion accordé à Liverpool et les trois relégués) soit en annulant purement et simplement la saison, avec pour conséquence pas de titre de champion attribué et pas de relégation pour les trois derniers !
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Re: Premier League,transferts, news,...
Coronavirus: la Premier League interdit de se serrer la main avant les matches
Les équipes seront alignées mais la traditionnelle poignée de main n’aura pas lieu.
Pour l’instant, la Premier League interdit les traditionnelles poignées de main avant le début des matches pour lutter la propagation du coronavirus.
En entrant sur le terrain, les deux équipes seront toujours alignées, mais les poignées de main ne seront pas autorisées jusqu’à nouvel ordre.
En Belgique, une mesure similaire sera appliquée à partir du week-end prochain. Plus tôt dans la journée, la Pro League a annoncé avoir édicté une série de mesures, notamment l’interdiction des poignées de main.
La NG
Les équipes seront alignées mais la traditionnelle poignée de main n’aura pas lieu.
Pour l’instant, la Premier League interdit les traditionnelles poignées de main avant le début des matches pour lutter la propagation du coronavirus.
En entrant sur le terrain, les deux équipes seront toujours alignées, mais les poignées de main ne seront pas autorisées jusqu’à nouvel ordre.
En Belgique, une mesure similaire sera appliquée à partir du week-end prochain. Plus tôt dans la journée, la Pro League a annoncé avoir édicté une série de mesures, notamment l’interdiction des poignées de main.
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Coronavirus: la Premier League pourrait interdire l’accès au stade aux personnes de plus de 70 ans
Les ministres anglais vont examiner un large éventail de scénarios dans l’espoir de parvenir à un plan concret de protection publique.
Les personnes de plus de 70 ans pourraient-elles, dans les prochaines semaines, ne plus être autorisées à assister à un match de Premier League ? D’après nos confrères de Sky Sports, c’est l’une des possibilités qui sera évoquée par les ministres anglais lundi à Londres.
Les autorités sportives et les diffuseurs ont, pour leur part, déjà été convoqués par le gouvernement anglais pour des discussions au sujet des plans d’urgence suite à la menace liée au coronavirus.
La NG
Les ministres anglais vont examiner un large éventail de scénarios dans l’espoir de parvenir à un plan concret de protection publique.
Les personnes de plus de 70 ans pourraient-elles, dans les prochaines semaines, ne plus être autorisées à assister à un match de Premier League ? D’après nos confrères de Sky Sports, c’est l’une des possibilités qui sera évoquée par les ministres anglais lundi à Londres.
Les autorités sportives et les diffuseurs ont, pour leur part, déjà été convoqués par le gouvernement anglais pour des discussions au sujet des plans d’urgence suite à la menace liée au coronavirus.
La NG
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Netflix va sortir une série sur la naissance du football professionnel en Angleterre (vidéo)
https://www.sudinfo.be/id171813/article/2020-03-07/netflix-va-sortir-une-serie-sur-la-naissance-du-football-professionnel-en
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Re: Premier League,transferts, news,...
Toutes les masses salariales des équipes de Premier League en 2020
Près de 2,5 milliards d’euros, c’est ce que pèsent les salaires cumulés des effectifs professionnels des vingt équipes de la Premier League anglaise, cette saison 2019-20. Soit une moyenne de 121 millions d’euros par club, comme l’équivalent supérieur mais proche d’Everton (103,3 M€). Les Toffees ont la 7e masse salariale la plus fournie de la ligue. Dans le sillage du « Big Six », avec Manchester United sur la plus haute marche ; au moins un point dominant pour les Red Devils.
121 M€ la masse salariale moyenne en Premier League saison 2020
A 332 millions de livres, soit plus de 380 millions convertis en euros, les Mancuniens dépassent même tous nos clubs français, dont le PSG pour qui les salaires valent 369,4 millions d’euros à l’addition de tous les éléments du groupe professionnel. En Premier League, l’écart est de plus de 25 entre Manchester United et Sheffield United où la masse salariale est la plus étriquée, à 15,1 millions d’euros.
A Manchester United la plus fournie devant les Reds de Liverpool
Champions ou proches de l’être, les Reds de Liverpool se hisse derrière les Mancuniens, à un peu plus de 300 millions d’euros. Manchester City avec eux complète et le podium et les équipes qui dépassent ce seuil de 300 millions pour couvrir cet exercice sportif. Les détails de chaque formation sont à lire dans le tableau complet, en page suivante.
La masse salariale des équipes de la Premier League anglaise 2O19-20
Club Masse salariale en 2020
Sheffield United 15,1 M€
Norwich City 15,9 M€
Aston Villa 27,4 M€
Wolverhampton Wanderers 37,6 M€
Brighton & Hove Albion 41,8 M€
Newcastle United 43,8 M€
Bournemouth 46,6 M€
Burnley 48,1 M€
Watford 52,9 M€
West Ham United 66,3 M€
Southampton 69,3 M€
Crystal Palace 77,1 M€
Leicester City 83,8 M€
Everton 103,3 M€
Tottenham 170,8 M€
Arsenal 257,4 M€
Chelsea 281,7 M€
Manchester City 300,1 M€
Liverpool 304,7 M€
Manchester United 382,8 M€
Près de 2,5 milliards d’euros, c’est ce que pèsent les salaires cumulés des effectifs professionnels des vingt équipes de la Premier League anglaise, cette saison 2019-20. Soit une moyenne de 121 millions d’euros par club, comme l’équivalent supérieur mais proche d’Everton (103,3 M€). Les Toffees ont la 7e masse salariale la plus fournie de la ligue. Dans le sillage du « Big Six », avec Manchester United sur la plus haute marche ; au moins un point dominant pour les Red Devils.
121 M€ la masse salariale moyenne en Premier League saison 2020
A 332 millions de livres, soit plus de 380 millions convertis en euros, les Mancuniens dépassent même tous nos clubs français, dont le PSG pour qui les salaires valent 369,4 millions d’euros à l’addition de tous les éléments du groupe professionnel. En Premier League, l’écart est de plus de 25 entre Manchester United et Sheffield United où la masse salariale est la plus étriquée, à 15,1 millions d’euros.
A Manchester United la plus fournie devant les Reds de Liverpool
Champions ou proches de l’être, les Reds de Liverpool se hisse derrière les Mancuniens, à un peu plus de 300 millions d’euros. Manchester City avec eux complète et le podium et les équipes qui dépassent ce seuil de 300 millions pour couvrir cet exercice sportif. Les détails de chaque formation sont à lire dans le tableau complet, en page suivante.
La masse salariale des équipes de la Premier League anglaise 2O19-20
Club Masse salariale en 2020
Sheffield United 15,1 M€
Norwich City 15,9 M€
Aston Villa 27,4 M€
Wolverhampton Wanderers 37,6 M€
Brighton & Hove Albion 41,8 M€
Newcastle United 43,8 M€
Bournemouth 46,6 M€
Burnley 48,1 M€
Watford 52,9 M€
West Ham United 66,3 M€
Southampton 69,3 M€
Crystal Palace 77,1 M€
Leicester City 83,8 M€
Everton 103,3 M€
Tottenham 170,8 M€
Arsenal 257,4 M€
Chelsea 281,7 M€
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Liverpool 304,7 M€
Manchester United 382,8 M€
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Re: Premier League,transferts, news,...
Coronavirus : La Premier League va passer également aux huis clos !
Une décision qui devrait être annoncée dans les heures à venir.
Si le stade de Liverpool était sold-out hier pour la réception de l'Atletico Madrid, cela ne devrait plus être le cas avant quelques semaines. D'après le Times, la fédération anglaise va imposer les matches à huis clos, et ce dès ce week-end en Premier League. En revanche, aucun match ne devrait être reporté, si ce n'est celui d'Arsenal car les joueurs ont rencontré il y a quelques jours le président de l'Olympiakos, contrôlé positif au covid-19.
Chez nous aussi, les matches à huis clos semblent devenir inévitables d'ici quelques semaines.
Footnews
Une décision qui devrait être annoncée dans les heures à venir.
Si le stade de Liverpool était sold-out hier pour la réception de l'Atletico Madrid, cela ne devrait plus être le cas avant quelques semaines. D'après le Times, la fédération anglaise va imposer les matches à huis clos, et ce dès ce week-end en Premier League. En revanche, aucun match ne devrait être reporté, si ce n'est celui d'Arsenal car les joueurs ont rencontré il y a quelques jours le président de l'Olympiakos, contrôlé positif au covid-19.
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Re: Premier League,transferts, news,...
Le plan de l’Angleterre pour mener la Premier League au bout
Face à la menace d'une suspension du championnat en raison de l'épidémie de coronavirus, l'Angleterre a pris des mesures drastiques qui devraient être officialisées au cours de la journée. L'objectif : que la saison de Premier League puisse s'achever.
Hier encore, l’Angleterre paraissait moins touchée que le reste de l’Europe. Pourtant, des mesures sanitaires strictes vont être prises pour endiguer l’épidémie de coronavirus. Et logiquement, le football va être impacté, comme dans les autres pays européens. L’Italie a décidé de suspendre la Serie A jusqu’au 3 avril, et l’Espagne va probablement suivre aujourd’hui (pour l’instant, des huis clos ont été décrétés pour les deux prochaines journées). La France se contente elle aussi de huis clos (jusqu’au 15 avril) mais pourrait faire évoluer sa réflexion au cours des prochains jours.
Du côté de la Premier League, un seul match avait été reporté jusqu’à présent. Il s’agit de Manchester City-Arsenal, prévu initialement mercredi soir. La raison ? Les joueurs d’Arsenal avaient été en contact avec Evangelos Marinakis, le propriétaire de l’Olympiacos, suite au match de Ligue Europa, qui a révélé avoir été contaminé. Les dirigeants de la Ligue anglaise affirmaient leur confiance en assurant ne pas envisager d’autres reports au cours des prochaines semaines. Pas de reports effectivement mais un drastique plan établi par le gouvernement pour éviter les rassemblements.
Pas de match dans les pubs !
Comme le révèle The Times, tous les matches de Premier League et de divisions inférieures seront joués à huis clos. C’est la conclusion majeure d’une réunion du gouvernement anglais, qui devrait être officialisée dans la journée. Ce plan se mettrait automatiquement en place une fois le cap des 500 personnes touchées passé. Hier soir, il en était recensé 460. Les autres mesures sont les suivantes : aucune rencontre ne serait diffusée dans les pubs pour éviter le rassemblement de personnes. Tous les supporters ayant des abonnements ou des places pour des matches pourront regarder le match chez eux à la télévision. La case du samedi à 16 heures sera déplacée et des matches pourront être diffusés à l’heure du déjeuner, à l’heure du thé, le dimanche et le lundi.
Du côté de la Premier League, l’objectif est de parvenir à ne reporter aucun match. Les sommes d’argent en jeu, principalement avec les diffuseurs, sont colossales et les diverses pénalités financières au cas où la Premier League n’irait pas à son terme poussent les dirigeants à anticiper au maximum pour éviter une telle issue. Le huis clos aura certes des conséquences néfastes pour les clubs, mais reste l’option la moins mauvaise.
Face à la menace d'une suspension du championnat en raison de l'épidémie de coronavirus, l'Angleterre a pris des mesures drastiques qui devraient être officialisées au cours de la journée. L'objectif : que la saison de Premier League puisse s'achever.
Hier encore, l’Angleterre paraissait moins touchée que le reste de l’Europe. Pourtant, des mesures sanitaires strictes vont être prises pour endiguer l’épidémie de coronavirus. Et logiquement, le football va être impacté, comme dans les autres pays européens. L’Italie a décidé de suspendre la Serie A jusqu’au 3 avril, et l’Espagne va probablement suivre aujourd’hui (pour l’instant, des huis clos ont été décrétés pour les deux prochaines journées). La France se contente elle aussi de huis clos (jusqu’au 15 avril) mais pourrait faire évoluer sa réflexion au cours des prochains jours.
Du côté de la Premier League, un seul match avait été reporté jusqu’à présent. Il s’agit de Manchester City-Arsenal, prévu initialement mercredi soir. La raison ? Les joueurs d’Arsenal avaient été en contact avec Evangelos Marinakis, le propriétaire de l’Olympiacos, suite au match de Ligue Europa, qui a révélé avoir été contaminé. Les dirigeants de la Ligue anglaise affirmaient leur confiance en assurant ne pas envisager d’autres reports au cours des prochaines semaines. Pas de reports effectivement mais un drastique plan établi par le gouvernement pour éviter les rassemblements.
Pas de match dans les pubs !
Comme le révèle The Times, tous les matches de Premier League et de divisions inférieures seront joués à huis clos. C’est la conclusion majeure d’une réunion du gouvernement anglais, qui devrait être officialisée dans la journée. Ce plan se mettrait automatiquement en place une fois le cap des 500 personnes touchées passé. Hier soir, il en était recensé 460. Les autres mesures sont les suivantes : aucune rencontre ne serait diffusée dans les pubs pour éviter le rassemblement de personnes. Tous les supporters ayant des abonnements ou des places pour des matches pourront regarder le match chez eux à la télévision. La case du samedi à 16 heures sera déplacée et des matches pourront être diffusés à l’heure du déjeuner, à l’heure du thé, le dimanche et le lundi.
Du côté de la Premier League, l’objectif est de parvenir à ne reporter aucun match. Les sommes d’argent en jeu, principalement avec les diffuseurs, sont colossales et les diverses pénalités financières au cas où la Premier League n’irait pas à son terme poussent les dirigeants à anticiper au maximum pour éviter une telle issue. Le huis clos aura certes des conséquences néfastes pour les clubs, mais reste l’option la moins mauvaise.
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