Premier League,transferts, news,...

Chelsea - Hull : Suite à son choc avec Gary Cahill, Ryan Mason a été opéré d'une fracture du crâne

http://www.eurosport.fr/football/premier-league/2016-2017/chelsea-hull-suite-a-son-choc-avec-gary-cahill-ryan-mason-a-ete-opere-d-une-fracture-du-crane_sto6029306/story.shtml

LA PREMIER LEAGUE ANNONCE UN PARTENARIAT AVEC CADBURY

Oubliez le football-champagne, rien ne vaut le football-chocolat au lait.

À partir de la saison 2017-2018, l'entreprise de confiseries Cadbury deviendra sponsor officiel de la Premier League pour trois saisons. Le championnat anglais servira entre autres de vitrine pour son programme Health for Life, actif dans la promotion de régimes de vie sains auprès de 60 000 écoliers britanniques. La firme internationale sera également associée au trophée de la Golden Boot, qui récompense le meilleur buteur à la fin de la saison, et du Golden Glove, qui sacre le meilleur gardien.

Le directeur de la marque, Francesco Vitrano, s'est réjoui de ce partenariat : « Depuis plus d'un siècle, le rôle de Cadbury est d'apporter des petits moments de bonheur dans la vie des gens, ce qui correspond bien avec l'enthousiasme provoqué par la Premier League au quotidien. » Une joie partagée par le directeur général du championnat, Richard Masters : « Nous sommes très heureux d'entamer un nouveau partenariat avec Cadbury, l'une des marques les plus iconiques et connues dans le pays. »

Domino's Ligue 2 et Cadbury Premier League pour un repas complet.

LES TRANSFERTS SIGNÉS - CHAMPIONNAT D'ANGLETERRE

http://www.lequipe.fr/Football/EQ_TRANSFERT_ANG.html

Les salaires des joueurs les mieux payés par club (montants par semaine):

Arsenal : Mesut Özil : 164 000 €
Bournemouth : Jack Wilshere : 94 000 €
Burnley : Robbie Brady : entre 35 000 et 41 000 €
Chelsea : Cesc Fabregas : 258 000 €
Crystal Palace : Christian Benteke : 141 000 €
Everton : Romelu Lukaku : 88 000 €
Hull City : Abel Hernandez : 41 000 €
Leicester : Jamie Vardy/Riyad Mahrez : 117 000 €
Liverpool : Philippe Coutinho : 176 000 €
Manchester City : Sergio Agüero/Yaya Touré : 282 000 €
Manchester United : Wayne Rooney : 352 000 € e
Middlesbrough : Alvaro Negredo : 117 000 €
Southampton : Fraser Foster : 106 000 €
Stoke City : Xherdan Shaqiri/Marko Arnautovic : 76 000 €
Sunderland : Jermain Defoe : 82 000 €
Swansea : Fernando Llorente/Gylfi Sigurdsson : 82 000 €
Tottenham : Harry Kane/Hugo Lloris : 141 000 €
Watford : Troy Deeney : 59 000 €
West Brom : Darren Fletcher/James Morrison : 76 000 €
West Ham : Andy Carroll : 94 000 €

L'arbitre Mark Clattenburg quitte la Premier League pour l'Arabie Saoudite

L'arbitre anglais Mark Clattenburg, 41 ans, va quitter la Premier League anglaise pour rejoindre la fédération saoudienne de football.

Reconnu comme un des meilleurs arbitres au monde, Clattenburg avait officié l'année dernière lors de la finale de l'Euro, de la Ligue des Champions et de la FA Cup . "J'ai passé du bon temps en Angleterre, il est temps pour moi d'aller de l'avant", a déclaré l'intéressé sur Twitter jeudi.

"Mark est un arbitre talentueux et a contribué à l'évolution du jeu en Angleterre. Il a également inspiré tous ceux qui voulaient embraser une carrière d'arbitre", a déclaré la Premier League dans un communiqué de presse.

Après avoir effectué ses débuts en Premier League en 2004, Clattenburg était devenu arbitre international deux ans plus tard.

Belga

LE JEUNE BRADLEY, QUI EST INVITÉ SUR LES TERRAINS DE FOOTBALL ANGLAIS DEPUIS L'AGGRAVATION DE SON CANCER, A UNE NOUVELLE TUMEUR...



http://www.lanouvellegazette.be/1794714/article/2017-02-23/le-jeune-bradley-qui-est-invite-sur-les-terrains-de-football-anglais-depuis-l-ag

Bien triste courage ptit bonhomme ainsi que a ces proches

La très célèbre Premier League anglaise en péril à cause du Brexit?

La ligue la plus riche du monde serait-elle en péril à cause du Brexit? La sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne (UE) pourrait avoir des conséquences désastreuses pour les clubs anglais qui embauchent des joueurs européens.

Un texte de Robert Frosi

Le danger est plus que réel. Le Brexit pourrait jouer un rôle prépondérant dans les choix d'avenir de nombreux joueurs de la Premier League. Le statut des joueurs européens pourrait changer et devenir le même que celui des joueurs africains, asiatiques ou encore sud-américains. Cela signifie que les joueurs européens devront avoir un permis de travail pour évoluer en Premier League.

Les règles de visas pour les non-Européens s'appliqueraient alors à l'ensemble des joueurs de l'UE, avec des effets dévastateurs. Une étude indépendante réalisée par The Guardian a montré que les deux tiers des joueurs étoiles européens dans les clubs anglais ne rempliraient pas les critères et pourraient être forcés de partir.

Si tout cela se confirme, 122 des 168 joueurs européens de la Premier League devraient plier bagage.

« Ce qui va se passer, c’est que les joueurs de l’Union européenne seront déclarés comme des étrangers », souligne Pierre Rondeau, un professeur d'économie passionné par les problématiques de l'économie et de la sociologie sportive. Ils devront donc avoir un permis de travail, et pour l’obtenir, les exigences sont énormes.

La conséquence, c’est qu’il y aura moins de joueurs étrangers qui évolueront dans le championnat anglais et donc une régression du niveau de jeu. On a vu aussi que depuis le vote référendaire pour le Brexit, la livre sterling a considérablement chuté. Cette dévaluation a entraîné une diminution du pouvoir d’achat des clubs anglais.

Pierre Rondeau, professeur d'économie à l'Université Paris 1
Grande négociation à venir

Tout le monde ne se range pas forcément derrière ce scénario catastrophe, car il faut prendre en considération la puissance politique et financière de la Fédération anglaise de football.

Le scénario le plus noir que brandissent certains toucherait par exemple Arsenal, qui compte six joueurs français, Crystal Palace, qui en a cinq, et Watford, qui en a quatre. Les deuxième et troisième divisions, qui recrutent souvent à l'étranger, pourraient aussi en souffrir.

Pour l'avocat et spécialiste du droit du sport, le Français Thierry Granturco, une grande négociation va commencer entre la Fédération anglaise de football et le gouvernement avec une seule issue possible : le gouvernement devra plier et assouplir ses règles.

« Depuis des décennies, la fédération anglaise fait la pluie et le beau temps. Elle a toujours réussi à faire plier son gouvernement, ce qui explique le développement faramineux du football anglais par rapport aux autres championnats européens, mentionne M. Granturco. En sortant de l’Union européenne, on ne devra plus négocier avec Bruxelles et donc les Anglais seront seuls pour décider.

« La fédération va sans doute obtenir de son gouvernement un assouplissement des règles de circulation pour les joueurs étrangers. Si l'on regarde froidement la situation aujourd’hui, il est clair que les joueurs étrangers seraient exclus du championnat anglais. Mais avoir cette analyse, c’est ne pas considérer le pouvoir de négociation que peuvent avoir les Anglais et encore plus les dirigeants de leur fédération de football. Donc je ne suis pas vraiment inquiet quant aux conséquences négatives du Brexit sur le football anglais. »

Deux chiffres à retenir : la Premier League est la plus riche du monde, avec un peu plus de trois milliards de dollars de chiffre d'affaires, et les droits de télévision ont été signés jusqu'en 2019 pour dix milliards de dollars.

Le seul avantage que ce protectionnisme permettrait est un meilleur rééquilibrage du football européen, car le Royaume-Uni est le pays qui recrute le plus de joueurs étrangers. Mais les Anglais ne sont pas prêts à partager un gâteau aussi important.

Pertes record en Premier League en 2016

Le Financial Times estime que la Premier League pourrait enregistrer des pertes record allant jusqu'à 312 millions de livres (368 millions d'euros) sur l'année 2016.

312 millions de livres (368 millions d'euros), ce sont les pertes record que pourrait enregistrer le championnat anglais pour l'année 2016. Le FT explique ces estimations par la chute de la Livre Sterling depuis le Brexit et l'adoption de nouvelles normes comptables portant sur les produits dérivés des clubs, que la Premier League utilise habituellement pour pallier justement aux fluctuations monétaires. Or, ces produits dérivés doivent désormais être intégrés aux bilans comptables au prix du marché, bien en amont donc du moment où les transactions se font, et bien avant les fluctuations monétaires.

La différence comptable serait de taille : 312 millions de perte estimée, donc, contre 638.000 livres de bénéfice qui étaient originellement attendues (750.000 euros) pour 2016. Au 31 juillet 2016, dernier jour de l'exercice fiscal du championnat, la livre sterling était évaluée à 1 dollar 32, après une chute de 12% suite au résultat du référendum sur le Brexit.

D'après le Financial Times, la Premier League avance toutefois que ces pertes n'ont pas affecté les revenus de l'organisation, ni sa capacité à verser l'argent destiné aux clubs professionnels.

Brighton monte en Premier League après 34 ans d'absence dans l'élite

Brighton a validé lundi son billet pour la Premier League à trois journées de la fin du Championship.

La montée était pratiquement assurée, elle est désormais officielle. Brighton est certain de finir dans les deux premières places du Championship, synonymes de promotion en Premier League, après sa victoire contre Wigan (2-1) lundi et le nul d'Huddersfield contre Derby. C'est la première fois que les Seagulls (les Mouettes) jouent dans l'élite depuis 1983, soit 34 ans. Newcastle tient la corde pour finir à la deuxième place.

Sky: les droits de diffusion du foot pèsent sur le bénéfice

Le groupe britannique de télévision Sky a annoncé jeudi un résultat opérationnel en baisse de 11% sur neuf mois, plombé par les droits de diffusion de la Premier League malgré une progression de son chiffre d'affaires et du nombre de ses abonnés.

Sur les neufs mois achevés au 31 mars, son bénéfice opérationnel atteint 1,013 milliards de livres (1,208 milliard d'euros), soit une baisse de 11% à taux de change constants, indique le groupe dans un rapport d'activité.

L'augmentation des droits de retransmission des matchs de la Premier League, le championnat de football anglais, a pesé sur la rentabilité. Depuis le début de l'exercice 2016/2017, ils ont bondi de 494 millions de livres par rapport à l'exercice précédent.

Depuis le début de la saison footballistique, Sky diffuse davantage de rencontres en vertu de l'entrée en application d'un nouvel accord de partage des droits télévisés de cette compétition très populaire. Il verse néanmoins 600 millions de livres de plus par saison à la Premier League.

Dans le même temps, le chiffre d'affaires à changes constants a progressé de 5% pour s'établir à 9,641 milliards de livres.

Sur le troisième trimestre, Sky a attiré 106.000 nouveaux abonnés, portant à 506.000 le nombre de nouveaux clients depuis le début de l’exercice. Ils sont désormais 22,4 millions au total au Royaume-Uni, en Irlande, en Allemagne, en Autriche et en Italie.

Dans le détail, le chiffre d'affaires a progressé de 4% au Royaume-Uni et en Irlande (+40.000 abonnés), de 10% en Allemagne et en Autrice (+73.000), et de 7% en Italie (-7.000).

"Nous avons réalisé un trimestre solide", a déclaré Jeremy Darroch, "le directeur général de Sky, bien que ce soit habituellement notre période la plus faible".

Il s'est notamment félicité d'un accord conclu avec la chaîne américaine HBO, un contrat qualifié de "majeur" par le dirigeant, et portant sur plusieurs années.

Concernant l'offre de rachat dont Sky fait l'objet de la part du géant américain des médias 21st Century Fox de la famille Murdoch, le groupe a rappelé que la secrétaire d'Etat britannique aux Médias, Karen Bradley, avait saisi le régulateur des télécoms, l'Ofcom, ainsi que l'autorité de la concurrence, le CMA (Competition and Markets Authority).

Les deux institutions devront notamment indiquer si ce rachat, qui a reçu le feu vert de Bruxelles le 7 avril, permet de maintenir la pluralité des médias. Elles doivent rendre leur rapport d'ici le 16 mai prochain.

RTL

les clubs anglais perdent de l'argent malgré des revenus records

Les clubs du Championnat d'Angleterre ont perdu un total de 110 millions de livres (132 M EUR) avant impôts malgré des revenus records de 3,6 milliards (4,3 mds EUR) lors de la saison 2015-2016, selon une étude du cabinet Deloitte publiée mercredi.

La Premier League est donc de retour dans le rouge après deux saisons de profits en 2013-2014 et 2014-2015.

Une augmentation des salaires de 12% dans les clubs de l'élite anglaise est la principale raison des pertes, selon Deloitte. Au total, les salaires de Premier League ont représenté une enveloppe de 2,3 milliards de livres (2,75 mds EUR) lors de la saison 2015-2016.

Les 20 clubs du Championnat d'Angleterre ont toutefois enregistré des revenus records de 3,6 milliards de livres (4,3 mds EUR), soit une augmentation de 9% par rapport à la saison 2014-2015.

Selon Dan Jones, directeur du Sports Business Group de Deloitte, l'amélioration des revenus est générée "pour plus de la moitié aux deux clubs de Manchester", United et City.

Manchester United est redevenu cette année le plus riche du monde devant le Real Madrid, selon l'étude annuelle du cabinet Deloitte publiée en janvier. ManU a cumulé 689 millions d'euros de revenus lors de la saison 2015-16, détrônant le Real Madrid, qui confisquait la première place du classement depuis onze ans.

Les pertes sont aussi les conséquences de plusieurs "dépenses exceptionnelles" réalisées par les clubs, a jugé Dan Jones, sans préciser la naure de ces dépenses.

"Nous nous attendons à ce que le nouveau contrat de diffusion pour les trois prochaines années génère un retour des profits pour la saison 2016-2017", a estimé Dan Jones.

La saison en cours doit voir les 20 clubs de Premier League se partager une somme estimée à environ trois milliards de livres pour ses contrats avec des médias internationaux.

RTL

N'GOLO KANTÉ ÉLU JOUEUR DE L'ANNÉE PREMIER LEAGUE, DELE ALLI MEILLEUR ESPOIR : HAZARD ET LUKAKU BATTUS (PHOTOS)

http://www.lanouvellegazette.be/1831281/article/2017-04-23/n-golo-kante-elu-joueur-de-l-annee-premier-league-dele-alli-meilleur-espoir-haza

Les "grands blessés" de Premier League: Kompany dans le top 10

Vincent Kompany n'a pas été épargné par les blessures ces dernières saisons. Suffisant pour le voir figurer dans le top 10 des joueurs les plus blessés d'Angleterre ces six dernières saisons.

Ceux qui imaginaient voir Vincent Kompany au sommet de ce classement établi par Skysports ont probablement oublié qu'il y a quelques saisons, le Diable était inamovible dans la défense des Citizens qui remportait deux titre de Premier League. Avec 647 jours d'absence cumulés depuis la saison 2011-2012, Kompany est à presque 250 jours du grand "vainqueur", Jack Wilshere, à peine 25 ans mais comptabilisant déjà 895 jours d'absence pour blessure.

Abou Diaby est assez naturellement second au classement (858 jours), suivi par Darron Gibson (792), Tony Hibbert (768), Steven Pienaar (744), Phil Jones (727), Andy Carroll (723), Kompany et enfin Daniel Sturridge (640).

walfoot

Premier League : Sunderland relégué

Six des dix derniers de la Premier League étaient concernés par les quatre matches de 16h00, samedi. Pour la lanterne rouge, Sunderland, c'est mort. Sa défaite (1-0) à domicile face à Bournemouth l'envoie en Championship (D2 anglaise).

Cette fois, ça n'est pas passé. Spécialiste des sauvetages in extremis, Sunderland jouera en Championship (D2 anglaise) la saison prochaine. Battus (1-0) samedi par Bournemouth au Stadium of Light, les Black Cats de David Moyes comptent 13 points de retard sur le premier non relégable (Hull) alors qu'il leur reste quatre matches à jouer d'ici au terme de la saison...

Encore une minute, Monsieur le bourreau ? Non ! A quelques secondes près, Sunderland aurait pu entretenir l'espoir d'un maintien à l'arraché. Mais Bournemouth a marqué dans le money time par Josh King (88e). L'attaquant des Cherries s'était déjà procuré la meilleure occasion du match, une frappe enroulée qui avait touché successivement la barre puis le poteau (21e).

92% de la saison dans le rouge

Dix-septième la saison dernière et en 2013, 16e en 2015 et en 2009, Sunderland jouait avec le feu depuis sa dernière remontée en Premier League, il y a dix ans (2007). L'équipe aux rayures rouges et blanches redescend après une année aussi noire que le pelage du chat qui lui sert de mascotte. Opta a calculé que le club de la ville portuaire du nord-est de l'Angleterre avait passé 92% de la saison en position de relégable (238 jours sur 259). Espoir pour les supporters, Sunderland rebondit vite. Le club était remonté au bout de deux ans après sa relégation de 2003 et dès la saison suivante après sa descente de 2006.

Leicester respire

Six des dix derniers de la Premier League étaient concernés par les quatre matches de 16h00. Outre Bournemouth qui passe de la 13e à la 10e place, Leicester réalise une belle opération. Les Foxes gagnent quatre rangs (11e) à la faveur de leur courte victoire (1-0) sur la pelouse de West Brom'. Servi dans l'espace par un super Okazaki, malin pour intercepter une relance, Jamie Vardy a inscrit son 12e but de la saison et donné une bonne goulée d'air au champion en titre qui restait sur trois matches sans victoire (1-0, 43e).

Premier non relégable, Hull (0-0 à Southampton) porte à trois points son avance sur Swansea, le 18e, en visite dimanche à Manchester United. West Ham (14e) a pris un bon point à Stoke (0-0 également) dans l'optique du maintien.

Cette initiative mise en place en Angleterre l'an prochain va-t-elle révolutionner le football?

La fédération anglaise a pris une décision pour le moins radicale.
Les hockeyeurs et les handballeurs le connaissent déjà. Bientôt, les footballeurs pourraient eux aussi connaître les "joies" de l'exclusion temporaire. Le Nieuwsblad annonce que la fédération anglaise testera le "banc de pénalité" dès la saison prochaine dans les catégories de jeunes et inférieures.

L'idée est de priver un joueur coupable de réclamation envers l'arbitre de jeu pendant dix minutes en lui donnant un carton jaune, toujours. La fédé aurait déjà proposé de participer au projet à près de 1000 clubs. Ceux-ci se verraient également sanctionnés de 10 livres (12 euros) par cartes.

La DH

Crystal Palace se sauve et envoie Hull City en Championship

Crystal Palace a assuré son maintien dimanche en battant Hull City (4-0), qui évoluera en deuxième division la saison prochaine.

Le bonheur de Crystal Palace a fait le malheur d'Hull City. En remportant (4-0) la finale pour le maintien lors de la 37e journée de Premier League, les joueurs de Sam Allardyce ont assuré leur présence dans l'élite anglaise pour une cinquième saison de suite, tout en envoyant le Tigers en Championship, où ils descendent en compagnie de Middlesbrough et Sunderland, officiellement relégués depuis plusieurs semaines.

Wilfried Zaha a ouvert le score dès la 3e minute, profitant d'une incroyable boulette d'Andrea Ranocchia : le défenseur italien a raté le ballon devant l'attaquant ivoirien en essayant de le dégager en touche. Christian Benteke a doublé la mise à la demi-heure de jeu (34e), coupant de la tête la trajectoire d'un corner de Jason Puncheon. Le quinzième but en Championnat de l'international belge. Luka Milivojevic (sur penalty) et Patrick van Aanholt ont enfoncé les Tigers en fin de match (85e et 90e).

Mental défaillant, absence de leader... Le péril jeune

Couvés à l’extrême dans les centres de formation, de nombreux jeunes joueurs explosent en vol dès qu’ils sont confrontés à la pression. Fatalité générationnelle ou conséquences d’une méthode d’apprentissage qu’il faut améliorer de toute urgence ?

Lake District, dans le nord-ouest de l’Angleterre. En cette journée de fin juillet, la chaleur est étouffante. Des adolescents courent pourtant d’un pas lourd, chacun portant une buche au-dessus de la tête. Au bout d’un chemin boueux, le groupe plonge dans la rivière et marche en s’aidant du courant. Ces jeunes footballeurs en herbe doivent s’en remettre à leur propre sagacité et au soutien de leurs partenaires pour relever le défi. Ici, aucun agent pour régler leurs problèmes. Pas de psychologue sportif pour consoler leur égo meurtri. Pendant trois jours, les contacts avec l’extérieur sont limités. Tous les smartphones, iPads et ordinateurs portables sont proscrits. Et les joueurs passent leur temps libre à écouter des discours de motivation dans le cadre d’ateliers de force mentale.

L’équipe des moins de 18 ans de Sheffield Wednesday participe à ce camp d’entraînement. Il a pour objectif de forger des caractères afin de surmonter l’adversité sur le terrain et surtout de renverser une inquiétante tendance, qui menace de se répandre sur tout le football anglais. Un mois plus tôt, l’équipe nationale a subi une humiliante défaite face à l’Islande (2-1) lors des huitièmes de finale de l’Euro 2016. Selon les critiques, cette génération d’enfants gâtés manque de force mentale et est incapable de gérer les situations délicates. Exaspéré, l’ancien ailier international anglais, Chris Waddle, n’hésite pas à mettre en avant ce manque évident de caractère et certaines attitudes : ''Qu’on leur ôte ces casques !'' déclare-t-il alors qu’il commente un match pour BBC Radio 5 Live.

Danny Cadamarteri, ancien espoir éphémère du foot anglais, abonde dans le sens de l’ancien Marseillais. ''Lors de ma première journée au club, tous les joueurs de l’équipe U19 de Wednesday avaient un casque sur la tête, explique-t-il à FourFourTwo. Aucun ne parlait dans les vestiaires. Ils ne communiquaient que via Facebook, Instagram ou Twitter sur leur smartphone.'' Les jeunes footballeurs d’aujourd’hui peuvent passer plus de dix ans dans les couveuses d’académies ultra-modernes. Toute une armée d’employés y veille à répondre à leurs moindres besoins. A se demander si ce cocon ne rendrait pas les joueurs trop fragiles ? Les choses étaient évidemment différentes à l’époque de Trevor Brooking. ''Lorsque j’étais joueur, nous prenions nous-mêmes nos décisions, se souvient l’ancien de West Ham, aujourd’hui âgé de 68 ans. Désormais, ils ne décident plus de rien. Les clubs embauchent des gens pour tout faire pour eux. Si vous ne prenez pas de décision en dehors du terrain, vous n’en prendrez pas balle au pied.''

L’histoire d’Adam Morgan fait pourtant office d’avertissement pour les joueurs et les clubs. Le buteur, qui avait rejoint Liverpool à l’âge de 5 ans, était décrit par la légende des Reds, Robbie Fowler, comme ''l’un des meilleurs buteurs jamais vus depuis des années''. Ses 18 buts avec les U16 en 2010-11 en faisaient un vrai espoir. Mais l’histoire entre Morgan et Anfield ne va pas se passer comme prévu. En 2013, il n’est pas conservé dans l’effectif. Trop fragile physiquement, dixit son entraîneur Brendan Rodgers. Il n’est pas prêt non plus mentalement, comme en témoigne cette scène où il part pleurer dans sa voiture. Après un bref passage par le Championship sous les couleurs de Yeovil Town, il évolue désormais dans le club semi-amateur de Curzon Ashton en 6eme division.

''Avant de rejoindre Yeovil Town, je ne m’étais jamais éloigné de chez moi, explique le joueur de 22 ans à FFT. Je n’avais jamais quitté Liverpool pendant plus de quatre ou cinq semaines. Ce changement a vraiment été brutal. Je me suis mis également beaucoup de pression. J’avais la réputation d’être un grand buteur et je me disais que je devais inscrire au moins 20 buts. J’ai perdu pied et il m’a fallu descendre de plusieurs divisions pour être à nouveau serein.'' Morgan aurait probablement été un autre joueur s’il avait bénéficié du même traitement que celui administré par Alex Fergusson aux jeunes starlettes qu’étaient les ados David Beckham, Paul Scholes ou encore Ryan Giggs.

''Sir Alex Fergusson avait pour habitude de se rendre dans les vestiaires de l’équipe réserve lors de la mi-temps et de pointer du doigt l’un des joueurs, confie Paul McGuinness, ancien entraîneur de l’équipe des moins de 19 ans. Il leur disait : 'Tu ne joueras plus pour ce club si tu ne fais pas une meilleure mi-temps'. C’était sa façon de les tester mentalement.'' Mais les vestiaires ont bien changé depuis les années 1990. ''Ce sont des environnements anti-sociaux, estime Cadamarteri. Les joueurs préfèrent bidouiller leur iPad ou envoyer des SMS plutôt que discuter. Ils ne savent plus communiquer et ne développent aucune qualité de leader. Deux paramètres pourtant essentiels face à l’adversité.''


Peut-on dire que les footballeurs modernes ont des personnalités plus complexes ? ''Ils sont surtout plus lisses et ceux qui donnaient de la voix sur le terrain ont disparu, affirme l’ancien buteur nord-irlandais Robbie Keane à FFT. Les joueurs se referment sur eux-mêmes dès qu’ils se sentent agressés. Mais ils doivent savoir faire face aux critiques.'' John Bostock est un autre jeune talent dont la fragilité mentale a freiné la carrière. Le milieu de terrain est pourtant considéré comme le nouveau prodige du football anglais lorsqu’en 2007, il fait ses débuts avec Crystal Palace. Il n’a que 15 ans et l’année suivante, il signe un contrat de 5 saisons avec Tottenham, où il rejoint d’autres nouveaux joyaux du football européen parmi lesquels Luka Modric et Gareth Bale. Mais alors que ces derniers brillent, la progression de Bostock connait un coup d’arrêt.

''Je ne jouais pas régulièrement et j’avais le sentiment que lorsque j’en avais l’opportunité, le moindre de mes mouvements était observé, révèle-t-il à FFT. C’était une véritable obsession. Au point de penser qu’on n’hésiterait pas à m’écarter du groupe si je venais à faire une erreur.'' Après cinq prêts, Bostock quitte finalement les Spurs en 2013. Son bilan avec Tottenham est famélique : aucune titularisation et seulement quatre apparitions à White Hart Lane. Il trouve alors refuge en Belgique, où il se relance en Deuxième Division avec le Royal Antwerp et le OH Leuven, avant de rejoindre la France et le RC Lens l’été dernier.

Il reconnaît aujourd’hui : quitter l’Angleterre lui a permis de prendre un peu de recul. ''Je me posais beaucoup de questions et cela me rendait fou. C’est très difficile pour un footballeur d’échouer et de ne pas répondre aux attentes. Aujourd’hui, je réalise que je n’étais pas prêt mentalement à gérer tout cela.'' Trop jeune, trop riche, pas assez pro dans sa manière de vivre ? Son histoire ne semble pas accréditer cette hypothèse. ''Je suis devenu chrétien à l’âge de 16 ans et je ne fréquentais pas les boîtes de nuit, ni buvais d’alcool. Mon régime alimentaire et mon sommeil étaient parfaits. J’avais une hygiène de vie irréprochable car je ne voulais pas avoir de regrets plus tard. Certains joueurs avaient une vie beaucoup moins saine mais ils étaient performants sur le terrain. Preuve que le mental a une grande importance. Je suis devenu obsédé par la peur d’échouer et de faire des erreurs. Sur le terrain, vous devez agir instinctivement. Les joueurs d’élite doivent être capables de gérer la pression, c’est ce qui les démarque des autres.''

Dele Alli, le joueur de Tottenham, avait 16 ans lorsqu’il a fait ses débuts professionnels avec le MK Dons. Pourquoi a-t-il réussi là où Bostock et tant d’autres ont échoué ? Une étude menée en 2012 et intitulée ''Pourquoi le talent a besoin de traumatisme'' suggère que certains épisodes douloureux vécus lors de notre enfance peuvent développer une véritable force mentale, qui se retrouve sur le terrain. Kenny, le père d’Alli, a abandonné sa famille une semaine après la naissance de son fils. Denise, la mère du jeune homme, souffre d’alcoolisme. À l'âge de 13 ans, Alli quitte le foyer familial pour aller vivre chez les parents d’un autre jeune du centre de Dons. ''Tout cela lui a permis de se forger un solide mental, a récemment déclaré Mike Dove, directeur du centre de formation du MK Dons. Il a connu une enfance difficile mais aujourd’hui, rien ne l’effraie, ni ne l’inquiète sur le terrain.''

On retrouve Paul McGuinness, l’ancien coach des jeunes de United. Et il a une autre théorie. A ses yeux, des joueurs comme Bostock et Morgan sont simplement les produits d’un système, qui ne permet pas aux jeunes de développer de force mentale avant d’être soumis à la pression de l’équipe première. ''La vie de footballeur semble extraordinaire mais elle est faite de hauts et de bas, explique-t-il. Vous devez être capable de garder la tête sur les épaules. Les joueurs doivent faire face à des défis mentaux semblables à ceux auxquels ils seront confrontés en équipe première.'' Mais comment les clubs peuvent préparer leurs joueurs à mieux gérer cette pression ?

''Les joueurs des centres de formation doivent déjà jouer plus de matchs à enjeu, et ce dès le plus jeune âge, poursuit McGuiness. Lors de compétitions telles que la FA Youth Cup, ils apprennent à jouer avec la pression et à faire des erreurs devant de nombreux spectateurs. L’équipe U19 dans laquelle évoluait Paul Pogba a remporté la FA Youth Cup en 2011. Lors de la finale, il y avait 35 000 spectateurs.'' McGuinness voit évidemment dans la préparation mentale un élément clé. ''Nous avions pour habitude de dire à Marcus Rashford que rien ne devait le surprendre en équipe première. Nous l’avons ainsi habitué à se fixer un niveau d’exigence élevé dès le plus jeune âge, en partant du principe que son heure viendrait forcément.''

La fragilité mentale ne se cantonne évidemment pas à l’Angleterre. Tom Vernon, ancien recruteur de Manchester United, est aujourd’hui président du club danois de Nordsjaelland et propriétaire de l’académie de football ghanéenne Right to Dream. ''J’ai créé cette académie il y a 16 ans et j’ai découvert que s’ils étaient doués techniquement, les joueurs manquaient de caractère, confie-t-il à FFT. Beaucoup de joueurs étaient issus de milieux très pauvres et pourtant, leur mental était fragile. Nous avons donc pensé que nous pouvions les aider en leur permettant de développer leur caractère.'' Vernon a donc lancé un programme sur huit ans et embauché un responsable de développement du caractère pour superviser ce projet. Dès l’âge de 10 ans, les joueurs apprennent ainsi à développer plusieurs aspects de leur caractère afin de progresser.

''La formation est basée sur environ 70 ouvrages, poursuit-il. Changer d’état d’esprit de Carol Dweck est très important pour nous. Le paradoxe du chimpanzé de Steve Peters également. Nous allons appliquer le contenu de ces livres au football.'' Tom Vernon ne tarde pas à reproduire ce modèle au Danemark lorsqu’il prend les rênes de Nordsjaelland en décembre 2015. ''Nous emmenons les joueurs en Afrique dès l’âge de 13 ans afin qu’ils prennent conscience des conditions de vie dans un pays du tiers-monde. Les jeunes footballeurs nettoient les chaussures des séniors. C’est un bon moyen de les sortir de leur zone de confort et de les exposer à un environnement difficile. Cela leur permet d’être plus solides mentalement sur le terrain.'' Chaque jeune Danois doit également monter un projet en rentrant à Copenhague afin de garder contact avec la réalité. ''Beaucoup aident les sans-abris, commente Vernon. Ils réalisent ainsi le privilège de leur situation.''

Si le projet est encore au stade embryonnaire au Danemark, Tom Vernon estime que les résultats sont déjà perceptibles au Ghana. ''Ils ont remporté la Milk Cup et sont champions du monde de la Nike Premier Cup, le tournoi élite mondial des moins de 15 ans. Ils ont également remporté la Gothia Cup, qui est le plus grand tournoi international juniors au monde avec pas moins de 1 600 équipes venant de 80 pays différents. Nous pensons que cette performance est en grande partie due au caractère collectif que nous avons développé au sein de ce groupe. Face à l’adversité, ils ne se plaignent pas et ils continuent de pousser.'' Difficile d’imaginer les joueurs des centres de formation de clubs en train de lire Le paradoxe du chimpanzé ou de servir un bol de soupe à un SDF. Mais selon Vernon, il est grand temps que les clubs européens aient recours à de nouvelles méthodes.

''Les clubs cèdent à tous les caprices de leurs joueurs, en grande partie pour les conserver. Mais je ne pense pas que ce soit une bonne chose car cela n’incite pas les joueurs à se dépasser. Les clubs ont de tels budgets aujourd’hui, pourquoi ne pas emmener les jeunes en Europe de l’Est, en Afrique ou en Amérique du Sud pour les sortir de leur zone de confort ? Nous avons invité plusieurs clubs de Premier League en Afrique mais tous ont décliné l’invitation pour des raisons de sécurité sanitaire.'' Reste alors l’opportunité d’un petit stage au Lake District pour une course de cross-country à l’ancienne…

Les clubs de Premier League ont gagné près de 3 milliards d'euros

Les clubs de Premier League se sont répartis environ 2,7 milliards d'euros en 2016-17. Même Sunderland, dernier, empoche la somme de 100 M€.

En 2016-17, les 20 clubs de Premier League ont gagné la somme de 2,76 milliards d'euros entre droits TV, recettes commerciales et récompenses en fonction du classement. La palme revient au champion, Chelsea, qui a empoché 173 M€, devant Manchester City (169 M€). Même la lanterne rouge Sunderland, dont les matches n'ont été télévisés qu'à huit reprises, a récolté 107 M€. C'est plus que le budget de Marseille pour la saison écoulée (100 M€), qui est pourtant le 4e de L1.

Dates d’ouvertures et de fermetures du mercato estival dans les 5 grands championnats européens :

- France : 9 juin -> 31 août
- Angleterre : 10 juin -> 31 août
- Espagne : 1er juillet -> 31 août
- Allemagne : 1er juillet -> 31 août
- Italie : 3 juillet -> 31 août

PL : de nouveaux horaires ?

La Premier League est le championnat qui rapporte le plus d’argent au monde. Les droits TV du championnat anglais ont explosé. Le dernier du championnat touche même plus d’argent que le premier de Ligue 1. Et la Premier League veut encore étendre sa suprématie.

En effet, d’après le Daily Mail, plusieurs matchs de la saison prochaine en Angleterre pourraient se jouer à 11h30 pour permettre aux pays asiatiques de diffuser les rencontres et de faire de l’audience. Toujours plus haut, toujours plus fort pour la Premier League.

Sky perd des téléspectateurs pour les matches de Premier League

Principal diffuseur de la Premier League, Sky partage les droits du Championnat anglais avec l'opérateur de télécoms BT.

Selon des chiffres dévoilés lundi par le Financial Times et confirmés par le groupe Sky à l'AFP, le nombre moyen de visionnages en direct à la télévision des matches de Premier League a reculé de 14% au cours de la saison écoulée, soit la pire baisse en sept ans. Sky et son concurrent, l'opérateur de télécoms BT, se sont partagés à l'été 2016 les droits de diffusion de la compétition pour 5,1 milliards de livres (5,8 milliards d'euros) sur trois saisons, dont 4,2 pour Sky.

«Comme nous l'avions anticipé, la manière dont les clients abordent le sport en direct change, avec une forte croissance des nouveaux supports numériques, bien que les visionnages traditionnels restent importants pour les grands rendez-vous qui comptent, a expliqué un porte-parole du groupe. Des matches de la Premier League à Game of Thrones, et de (la série) Fortitude à la F1, le choix de contenus est sans égal afin de garantir que les clients de Sky choisissent entre les différentes chaînes plutôt que d'éteindre.»

BT, qui diffuse bien moins de matches que son concurrent, a lui subi une baisse plus modeste du nombre de visionnages (2%) selon le Financial Times.

avec AFP

PREMIER LEAGUE : BIENTÔT DES MATCHS LE SAMEDI SOIR ?

La Premier League envisage d’organiser des matchs le samedi soir à partir de la saison 2019-2020.

Habituées depuis des décennies à jouer le samedi et le dimanche après-midi, ou le lundi soir (depuis 1992), les équipes de Premier League jouent depuis l’année dernière certains matchs le vendredi soir. Mais à partir de la saison 2019-2020, elles pourraient également jouer le samedi soir, à 19h45 (20h45 heure française). Ce serait en tout cas le souhait de la Premier League, car le nouveau contrat avec les diffuseurs BT Sport et Sky Sports stipule que 30 matchs supplémentaires (soit 190 au total) seront diffusés en direct à partir de 2019-20, d’où l’intérêt de trouver de nouveaux horaires. Voilà qui devrait révolutionner les samedis soirs des supporters anglais…

Les recettes des 5 grands championnats de football ont "plus que doublé" en dix ans

Les recettes cumulées de la Bundesliga allemande, la Liga espagnole, la Ligue 1 française, la Premier League anglaise et la Serie A italienne, ont "plus que doublé" lors de la décennie écoulée, pour atteindre plus de 13,4 milliards d'euros en 2015-16, selon un rapport du cabinet Deloitte publié mercredi.

Le cabinet d'audit et de conseil précise que les recettes totales du marché du football européen --c'est-à-dire le 'Big Five' et les autres championnats du Vieux continent-- représentent désormais "24,6 milliards d'euros, en hausse de 13% par rapport à 2014-15".

Les clubs de Premier League sont les mieux lotis, avec 4,9 milliards d'euros de recettes sur la saison 2015-16, explique Deloitte qui précise que "le nouvel accord sur les droits de retransmission TV, qui démarre en 2016-17, va maintenir cette domination" lors des prochaines éditions de son rapport annuel.

"La croissance des revenus des droits TV continue d'offrir une plate-forme sur laquelle les clubs leaders européens sont en mesure d'investir dans des joueurs talentueux et des infrastructures, à des niveaux record", explique Dan Jones, partner du Sports Business Group de Deloitte, dans le communiqué.

Les nouvelles répartitions des droits TV, "à des niveaux encore supérieurs en Angleterre, France et Espagne lors de la saison 2016-17, et en Allemagne en 2017-18, vont encore renforcer ces recettes".

RTBF

Le milliard (déjà) en vue pour le mercato de Premier League !

Le record du plus cher mercato estival de l’histoire, établi l’an dernier par la Premier League, devrait à nouveau être battu. Une folie à laquelle Tottenham refuse de céder.

Ils sont devenus fous. Chaque année, l’été revenu, la planète foot repousse les limites de l’entendement à l’heure d’un marché des transferts qui n’en finit plus d’établir de nouveaux records. On pensait que la Premier League, forte de ses pharaoniques droits TV, avait établi l’an passé une marque susceptible de durer… Naïfs que nous sommes, le record des 1 403M € devrait, selon le réputé cabinet Deloitte, tomber le 31 août prochain, à la clôture du mercato. Plus d’un mois encore à ce rythme effréné, alors que les clubs du championnat anglais ont déjà déboursé… 850M £ (plus de 950M €) depuis l’ouverture de la fenêtre et tutoie la barre symbolique. Vertigineux !

De Romelu Lukaku, en tête des dix transferts les plus onéreux de l’été outre Manche avec les 85M € déboursés par Manchester United, à Benjamin Mendy, dont Manchester City a fait le nouveau défenseur le plus cher de l’histoire avec les 57,5M € payés à Monaco, ou encore Alexandre Lacazette pour lequel Arsenal a cassé sa tirelire avec 60M € versés à l’OL, la Premier League dépense plus que jamais sans compter.

Mourinho lanceur d’alertes !

A la pointe de cette inflation galopante, Manchester City et Pep Guardiola ont déjà « claqué » plus de 220M € pour attirer donc Mendy sous les couleurs des Citizens, mais aussi Kyle Walker (57M €), ex-défenseur le plus cher de l’histoire, sans oublier Bernardo Silva, Danilo, Ederson et Douglas Luiz. "Ce n'est pas Manchester City qui est responsable, se défend le coach catalan. Ce sont tous les clubs qui dépensent beaucoup d'argent, juge-t-il en conférence de presse. J'aimerais qu'on dépense moins, pour les clubs en premier lieu, mais c'est le marché qui veut cela." Victimes du marché, les clubs anglais… Mouais… Un déni qui vaut aussi chez les voisins de Manchester United, à écouter son homologue José Mourinho.

"J’ai toujours pensé que le problème n’était pas le montant payé pour les top joueurs. Le problème, ce n’est pas de payer ces sommes pour Pogba ou Neymar. Le problème, c’est l’autre groupe de joueurs, explique le « Special One » dans un entretien accordé à BBC Sport. Des joueurs moins réputés, achetés aux prix forts, alors que "des transferts comme celui de Pogba, il n’y en a qu’un ou deux par marché. C’est là la dangerosité du mercato. C’est inquiétant pour moi car désormais on parle tellement facilement de 30, 40, 50 M€. (…) J’avais l’habitude de clubs qui payaient cher pour de grands joueurs. Aujourd’hui, tout le monde paie cher pour de bons joueurs."

A qui la faute, José ? En attendant, le technicien portugais se permet même de jouer les lanceurs d’alerte… "Chaque club signe de bons joueurs, chaque club investit énormément et certains clubs payent trop cher. Et en payant trop, ils créent un marché très étrange, hors de contrôle. (…) Je ne pense pas que cela tuera les grands clubs parce que les grands clubs ont toujours le potentiel et les moyens de générer autant d’argent sans se mettre en danger. Par contre, ce sera un problème pour d’autres clubs, quand ils subiront ces entrées et ces sorties d’argent. Je pense que les autorités du fair-play financier ont un gros travail à faire. Un gros travail notamment parce qu’il y a des stratégies de dissimulation", pointe du doigt le vertueux Mourinho, sans citer personne.

Du côté de Tottenham, on a choisi de ne pas céder à cette dérive incontrôlable. Les Spurs, qui construisent un nouveau stade de 61 000 places, n’ont pas signé le moindre joueur cet été: "Nous avons le devoir de gérer le club de façon appropriée", justifie le président Daniel Levy, qui juge "impossible à suivre" le rythme actuel. "Quelqu’un dépense 200M £ de plus qu’il ne gagne, éventuellement vous rattrape. Et vous ne pouvez pas suivre…" Avec un onze de départ inchangé par rapport à l’équipe qui a fini deuxième du dernier championnat derrière Chelsea (à l’exception de Kyle Walker), cela n’a pas empêché Tottenham de dominer (4-2) le PSG en amical avec un milieu de terrain de 17 ans, formé au club, dans ses rangs. "Un joueur issu du centre de formation possède cette affinité avec le club et c’est ce que les fans veulent voir." Plutôt qu’un Neymar prêt au bras de fer chaque matin…

Vers une réduction de la période du mercato estival en Angleterre

Les clubs anglais envisagent de fermer la période estivale des transferts avant le début de la saison, et non fin août comme le reste de l'Europe, a révélé mardi le Daily Telegraph.

La proposition sera discutée lors d'une réunions des clubs de l'élite anglaise, le 7 septembre à Londres, selon le journal.

La réforme sera adoptée si 14 des 20 clubs de Premier League se prononcent en sa faveur. Elle n'empêcherait toutefois pas les clubs anglais de vendre des joueurs à des clubs étrangers après la clôture du mercato anglais.

La Premier League n'a pas encore commenté les révélations du journal britannique.

Cette saison, le mercato d'été se termine le 31 août, soit près de trois semaines après le coup d'envoi de la Premier League, vendredi 11 août.

Plusieurs entraîneurs se sont prononcés publiquement en faveur de cette mesure durant le premier week-end de championnat

"Cela nous aurait aidé cette année. Ce serait logique que, quand la saison débute, la construction de l'effectif s'arrête", a jugé l'entraîneur de Liverpool Jürgen Klopp, alors que son club tente toujours d'attirer Van Dijk (Southampton) tout en essayant de conserver sa vedette Philippe Coutinho, convoité par le FC Barcelone.

"Lors de notre réunion des managers de Premier League la semaine dernière, nous en avons parlé. La majorité des clubs est pour (...) Cela pourrait se faire dès la saison prochaine", a estimé l'entraîneur de Swansea Paul Clement, qui espère lui garder le milieu Sigurdsson, convoité notamment par Everton.

RTBF

Je trouve aussi que c'est pas normal de jouer et que certain joueurs n'on plus la tête dans leur club ou que des équipes attendent des joueurs pour se renforcer pas évident de former une équipe dans ces conditions la !

Cela devrait être dans tout les championnats quand on recommence a jouer mercato fini ou alors comme avant l'arrêt Bosman fin juin fini les transfert.

Le 15 août 1992, naissait la Premier League

La Premier League fête son 25e anniversaire.

C'est en 1992 que le Championnat d'Angleterre est officiellement renommé Premier League. Et c'est précisément le 15 août, il y a 25 ans, que les premiers matches ont eu lieu.
En un quart de siècle, la compétition est devenue la ligue de football la plus médiatisée et la plus lucrative du monde.

Transferts : Le record déjà battu

Les clubs anglais ont dépensé 1,27 milliard d'euros lors de ce mercato...

La Premier League croule sous l'argent. Ce jeudi matin, à 9h00, les clubs de l'élite anglaise ont dépense 1,27 milliard d'euros de transferts selon Deloitte. Le précédent record de 1,26 (été 2016) est déjà battu alors qu'il reste une semaine de mercato !

Attends encore un peu Mon english man:
Quand west ham va se positionner Sur MOI,
ils vont tout niquer!!!!

Marado06 a écrit:Attends encore un peu Mon english man:
Quand west ham va se positionner Sur MOI,
ils vont tout niquer!!!!

La Premier League, un pont d’or pour les agents

Si les sommes échangés lors des transferts des joueurs de football augmentent de mercatos en mercatos, les agents des joueurs touchent également des lingots d’or. D’après les chiffres officiels de la Football Association, l’ensemble des transferts de joueurs des quatre premières divisions anglaises a coûté presque 11 milliards d’euros depuis six ans.

A en croire le Daily Mail, 15% de la somme a été touchée par les agents des joueurs, soit 1,62 milliard d’euros. Mais les parts ne sont pas égales. La majorité de cette somme revient aux agents les plus renommés comme Mino Raiola, Jorge Mendes ou encore le Wasserman Group, à l’origine des transferts les plus juteux.

Un mercato record pour les clubs anglais

Les clubs anglais ont passé la barre des 1,5 milliard d'euros dépensés pendant le mercato estival.

Dans le sillage de Manchester United, les clubs anglais ont dépensé une somme record sur le marché des transferts. Ils ont dépassé la barre de 1,5 milliard d'euros selon le cabinet Deloitte. Un chiffre en hausse de 23% par rapport à l'été dernier. Sur la seule journée du 31 août, 228 millions d'euros ont été échangés.

Premier League : un match le samedi soir ?

Les dirigeants de la Premier League vont se réunir à Londres cette semaine. Sujet des discussions : rajouter un horaire supplémentaire aux matches du samedi. C’est l’information que dévoile ce mardi 5 septembre le quotidien britannique The Daily Mail. Une question de quantité, quand on sait que 22 matches supplémentaires seront diffusés. La saison passée, 168 rencontres passaient à la télévision. L’objectif : atteindre les 190 matches. De ce fait, le Royaume-Uni pourrait s’arrêter de tourner le samedi, le temps d’une partie à 19h45.

Ce jour-là, les matches sont programmés à 12h30, 15 heures et 17h30. La soirée risque donc de se prolonger. Par ailleurs, les présidents de la Premier League doivent plancher sur une autre problématique : la fermeture du marché des transferts avant la date de reprise du championnat. Cette mesure enthousiasme la plupart des clubs. Pour la rendre effective, ils doivent être 14 sur 20 à voter pour.

le mercato d'été 2018 s'arrêtera avant le début de saison

Les clubs anglais ont décidé, ce jeudi, que le prochain mercato d'été s'arrêterait avant même le début de saison.

C'est une décision qui, par ricochet, risque de transformer totalement le mercato estival. Ce jeudi, les clubs anglais ont décidé, lors d'une réunion, de raccourcir la période de la période des transferts en été et de la faire s'arrêter avant même le début de la saison de Premier League.

Le mercato s'arrêtera, en Angleterre, le jeudi précédant la première journée de Championnat, à 17 heures, heure locale.

Un milliard et demi dépensés cet été… Le football anglais en éclaireur sur un mercato qui se finit plus tôt

Les clubs de la puissante Premier League anglaise se sont accordés ce jeudi pour clôturer leur mercato avant la reprise du championnat, comme l’ont réclamé plusieurs acteurs majeurs du football continental.

Les leçons du marché des transferts échevelé cet été sont tirées: les clubs de la puissante Premier League anglaise se sont accordés ce jeudi pour clôturer leur mercato avant la reprise du championnat, comme l’ont réclamé plusieurs acteurs majeurs du football continental.

La légende de Manchester United, Sir Alex Ferguson, l’avait demandé récemment: «il faudrait clore le marché des transferts avant le début de la saison pour que chacun n’attende pas de voir ses premiers résultats pour recruter».

La voix de celui qui est aujourd’hui ambassadeur des techniciens à l’UEFA a été entendue par ceux qui lui ont succédé sur les bancs de touche d’Angleterre: le prochain mercato estival fermera ses portes le jeudi 9 août 2018 (à 17h locales, soit 18h heures françaises et 16h GMT).

«C’est important que tout soit terminé avant le début du championnat», a ainsi plaidé le coach d’Arsenal, Arsène Wenger, avant l’annonce de la décision. «Même avant les matches, dans l’esprit des joueurs, il n’y a aucune clarté. Sont-ils ici? Sont-ils ailleurs? Est-ce qu’ils seront contactés l’après-midi même? Ce n’est pas une bonne façon de travailler, ce n’est pas confortable». Le dernier jour du mercato, son club avait offert 100 millions d’euros pour tenter d’attirer le Monégasque Thomas Lemar, qui a refusé.

«Si le reste de l’Europe ne le fait pas…»

Concrètement, les clubs anglais qui ont dépensé 1,5 milliard d’euros cet été au total sur le marché des transferts (et 240 M EUR rien que sur le dernier jour), pourront encore céder des joueurs «dans d’autres championnats où le mercato resterait ouvert», stipule la Premier League qui a annoncé cette décision jeudi. En revanche, impossible de faire signer de nouvelles recrues après cette date, et donc après le coup d’envoi du championnat.

Le coach de Southampton Ronald Koeman prévient: «si on le fait en Premier League et que le reste de l’Europe ne le fait pas, alors nous continuons à avoir un problème». Mais l’influente Premier League pourrait ne pas être la seule à décider de raccourcir ce mercato d’été, qui, en France par exemple, s’est étendu du 9 juin au 31 août. Un laps de temps marqué par d’innombrables feuilletons qui, de Neymar entre Barcelone et le PSG (pour 222 M EUR) à Kylian Mbappé, transféré le dernier jour de Monaco (180 M EUR, bonus inclus), n’ont pas manqué de perturber la vie des clubs.

Le madré technicien de Monaco Leonardo Jardim l’a synthétisé ainsi: le mercato, «à 20%, c’est pour acheter des joueurs pour renforcer l’équipe. Les autres 80%, c’est pour affaiblir l’adversaire et ‘mettre le bordel’dans la maison des autres».

«C’est devenu un cirque»

«Ce mercato est épuisant, c’est devenu un cirque», avait aussi regretté fin août Giuseppe Marotta, administrateur délégué de la Juventus Turin, qui disait avoir «l’accord des clubs de Serie A» en vue d’une demande «pour fixer la clôture du mercato au 31 juillet» en Italie.

Même le président de l’UEFA, Aleksander Ceferin, a pris position en faveur d’un raccourcissement de la période des transferts estivaux: «de mon point de vue, ce n’est pas une bonne chose qu’un joueur commence un championnat dans un club et joue ailleurs quand le mercato s’est refermé», a-t-il exposé dans un courrier au quotidien britannique Times.

Cette réforme, si elle se généralisait, apporterait sans doute un peu plus de rationalité à un mercato donnant parfois l’impression d’être complètement fou. Finis, par exemple, les «achats paniques» à des tarifs prohibitifs dans les dernières minutes, ou les offres démesurées pour redresser la barre après un début de saison raté, résument les experts.

Elle ne devrait toutefois pas avoir de conséquences sur l’inflation des indemnités de transfert, un autre phénomène dénoncé un peu partout en Europe, et qui a notamment poussé le syndicat des joueurs professionnels, la FifPro, à plaider en faveur d’une réforme en profondeur du marché des transferts.

David Dein : «Il faut respecter les règles» du fair-play financier

Ancien vice-président de la Fédération Anglaise de football, David Dein appelle les clubs anglais et européens à respecter le fair-play financier. L'ancien dirigeant se prononce également en faveur d'une réforme du mercato.

David Dein : «Tous les transferts devraient être finalisés avant le début de la saison. De même, il est important que le fair-play financier soit respecté, il y a des règles, il faut les respecter en Premier League comme au sein de l'UEFA. Nous ne voulons pas voir les plus riches acheter tous les joueurs de talent. C'était un miracle de voir Leicester gagner le Championnat contre toute attente, c'était un miracle, un conte de fée.»

Vadim Vasyliev veut aussi changer le mercato

Cet après-midi, les clubs anglais ont voté une nouvelle résolution concernant le mercato estival. Les formations de Premier League vont arrêter les transferts juste avant la première journée. Présent en conférence de presse, Vadim Vasyliev est d’accord avec idée.

« Je pense que nos collègues anglais ont pris une très bonne décision. Je suis 100 % pour raccourcir la période des transferts, qui n’est pas cohérente aujourd’hui. Il faut terminer le mercato avant que le championnat débute », a ainsi expliqué le Vice Président de l’AS Monaco.

Pour le patron de Manchester United, Facebook et Amazon s'intéressent à la Premier League

Ed Woodward, le patron de Manchester United, s'attend à ce que Facebook et Amazon fassent des offres lors des prochaines négociations pour les droits télé de la Premier League.

Ed Woodward, le patron de Manchester United, a déclaré lors d'une téléconférence avec des investisseurs de son club qu'il s'attendait à ce que Facebook et Amazon «entrent dans la danse» quand les prochains droits télé de la Premier League seront négociés à la fin de l'année, rapporte la BBC.

Le réseau social de Mark Zuckerberg a récemment offert 500 M€ pour les droits numériques de la Premier League indienne de cricket, une offre qui n'a pas été suffisante. Amazon a de son côté payé 42 M€ pour diffuser en direct sur Internet 10 matches de NFL cette saison.

LA FIFA VA AUTORISER LES COMMÉMORATIONS DU 11 NOVEMBRE DANS LES STADES


The Poppy day.

Le fameux Poppy day.

Il y a un an, les fédérations britanniques de football étaient mises à l’amende par la FIFA. La raison ? Les joueurs portaient des brassards noirs munis de coquelicots, symboles de l’armistice du 11 novembre 1918, et une minute de recueillement avait été organisée avant des rencontres internationales. Incluses dans « des manifestations à caractère politique » , ces commémorations avaient été bannies des stades par la FIFA, ce qui avait énormément choqué outre-Manche.

Le tort semble réparé, puisque la FIFA a révisé son jugement en accordant quelques symboles politiques d’ « un événement national ou international fort » , si toutefois les deux équipes confrontées sont d’accord. Les messages à caractère religieux ou portant atteinte personnelle ne sont, eux, toujours pas autorisés, et aucune exception ne sera faite, précise l’instance mondiale.

L'ancien propriétaire de Newcastle Freddy Shepherd est décédé

Propriétaire de Newcastle de 1997 à 2007, Freddy Sheperd est décédé ce mardi.

Propriétaire de Newcastle de 1997 à 2007 et dirigeant majeur de l'histoire du club, Freddy Sheperd est décédé ce mardi, à l'âge de 75 ans. Il avait notamment joué un rôle dans la venue d'Alan Shearer au club, et ce dernier lui a rendu hommage sur les réseaux sociaux.



RIP

le «Big Six» réclame une plus grosse part des droits TV internationaux

Les six clubs les plus riches de Premier League - Manchester City, Manchester United, Tottenham, Arsenal, Liverpool et Chelsea - veulent en finir avec la répartition égalitaire des droits TV internationaux du Championnat. Les «petits» résistent.

Est-ce la fin de la solidarité financière entre les clubs de Premier League ? Alors qu'ils se partagent les droits TV domestiques de façon très équitable (le premier du Championnat touche seulement 1,5 fois plus que le dernier), la répartition des droits vendus à l'étranger, strictement égalitaire jusqu'à présent, pourrait favoriser désormais les plus grosses écuries au détriment des plus modestes.

Depuis 25 ans, cette manne grandissante des droits étrangers est partagée en vingt parts égales. C'est encore le cas pour la période 2016-2019 pendant laquelle chaque club de l'élite perçoit chaque année 39 millions de livres (44 M€ environ). Mais six grands clubs militent pour que ce mode de calcul évolue.

Une première proposition repoussée

Alors que les droits vont encore gonfler après 2019 grâce à l'Amérique du Nord et à la Chine, Manchester City, Manchester United, Tottenham, Arsenal, Liverpool et Chelsea demandent à ce qu'il soit tenu compte de leur attractivité particulière. En clair : qu'ils touchent une part plus grande que les écuries moins connues.

Une première proposition, présentée mercredi par le patron de la Premier League, Richard Scudamore, consistant à distribuer 35% des droits en fonction du classement, a été discutée mais sans vote, la majorité des deux tiers requise pour l'adopter (au moins 14 clubs) n'ayant aucune chance d'être atteinte. Selon la BBC, toutefois, les «petits» clubs seraient prêts à un compromis. Un nouveau round de négociations est programmé dans trois semaines, début novembre.

La Premier League diffusée en direct sur Facebook ?

De quoi sérieusement inquiéter les diffuseurs traditionnels…

Une véritable révolution. Si Sky Sports et et BT Sport ont acheté, à prix d’or (6,9 milliards d’euros), les droits de diffusion de la Premier League pour les saisons 2016 à 2019, des concurrents de poids pourraient bientôt faire encore monter les enchères.

D’après Ed Woodward, le vice-président de Manchester United, qui s’exprimait la semaine dernière à New York devant des investisseurs, Facebook et Amazon auraient même déjà tenté de remporter la mise lors de cet appel d’offres.


Et les deux géants du numérique pourraient bien parvenir à leurs fins lors du prochain, pour la période 2019-2022, qui doit intervenir début 2018. Dan Reed, à la tête des partenariats sportifs de Facebook, n’a pas voulu confirmer cette volonté, mais a tout de même évoqué le sujet pour The Guardian.

L'ATP, et après ?
"La Premier League est un partenaire très important pour nous. On travaille avec eux pour les aider à atteindre leur public. Ce serait prématuré de spéculer sur la suite. Mais on continue d’avoir des relations avec eux", a-t-il mystérieusement déclaré.

Une perspective qui effraie les diffuseurs traditionnels, d’autant plus qu’Amazon a devancé Sky cet été pour acquérir en exclusivité les droits anglais du circuit ATP – hors Grands Chelems – pour 10 millions de livres annuels (11,2 millions d’euros).

Bon ba je m ouvrirai a nouveau um compte facebook sans hesiter...sauf s il fAut payer pour mater les matchs....

A propos, c Est CE putain de site qui nous a vole tous nos membres...a eux de nous dedommager..
Om leur demande combien Didier???😉😁💰💸💲

Marado06 a écrit:Bon ba je m ouvrirai a nouveau um compte facebook sans hesiter...sauf s il fAut payer pour mater les matchs....

A propos, c Est CE putain de site qui nous a vole tous nos membres...a eux de nous dedommager..
Om leur demande combien Didier???😉😁💰💸💲

Cher ...

C'est triste de voir plus personne sur le forum !

Y a des visites....
Meme si y a 1personne qui lit, ca me suffit. Vu les infos que Tu nous sort, ca interesse forcement.
Moi, vu la vie de fou que je mene, je ne vais quasiment meme plus Sur le net!!! Truc de fou......

Racisme dans le foot: la ministre des Sports met en garde la Fédération anglaise

Les ambitions de la Fédération anglaise de football (FA) d'organiser des évènements sportifs majeurs pourraient être sérieusement remises en cause si elle ne "remet pas de l'ordre" dans certains des dossiers qui la concernent, comme le racisme, a averti mardi la ministre des Sports britannique Tracey Crouch.

La ministre a notamment expliqué dans une interview au Daily Telegraph que le président de la FA, Greg Clarke avait tort de croire que les pouvoirs publics ne pouvaient pas faire grand-chose pour réguler la Fédération. La ratification prochaine du Code de gouvernance dans le sport mis en place par le gouvernement doit notamment lui donner davantage de moyens pour agir.

Mme Crouch a aussi clairement indiqué que si les choses ne changeaient pas, le gouvernement n'hésiterait pas à refuser son soutien financier, nécessaire à l'organisation de grandes manifestations sportives, comme le Championnat d'Europe féminin de 2021 ou la finale de Ligue des champions de 2023, visées par la Fédération.

Ces déclarations interviennent quelques jours après des auditions houleuses, jeudi, à la Commission parlementaire britannique chargée du sport autour du cas Mark Sampson, l'ex-sélectionneur de l'équipe d'Angleterre dames renvoyé en septembre, après des accusations de racisme. La Commission avait notamment qualifié la gestion de cette affaire par la FA de "bordélique".

Si la Fédération s'était excusée auprès des joueuses, son directeur Martin Glenn avait refusé d'admettre les erreurs de la FA dans la gestion du cas Sampson. De son côté, le président Greg Clarke avait refusé de s'excuser personnellement auprès d'Eni Aluko, l'une des joueuses victime de ces propos.

"Il faut vraiment que la FA remette de l'ordre. Cela passe par un changement de mentalités au sein de la Fédération. Il faut vraiment qu'elle soit très ferme pour s'assurer que ce qui s'est passé entre Sampson et Eni Aluko ne se reproduise pas", a expliqué la ministre.

En revanche, Mme Crouch a coupé court au demandes de certains parlementaires réclamant le départ de Clarke et Glenn.

"Même si je comprends cette position, je ne pense pas que ce soit à un ministre de dire qui doit ou pas diriger une fédération", a-t-elle déclaré.

rtl

le «Big Six» n'aura pas la part du lion sur les droits TV internationaux

Les six clubs les plus riches de Premier League - Manchester City, Manchester United, Tottenham, Arsenal, Liverpool et Chelsea - voulaient obtenir une plus grosse part des droits TV internationaux du Championnat. Le projet vient d'être enterré.

C'est une défaite pour les six clubs les plus riches de la Premier League. Manchester City, Manchester United, Tottenham, Arsenal, Liverpool et Chelsea n'ont pas réussi à obtenir une part plus importante que les autres équipes sur la vente des droits TV hors Royaume-Uni de leur Championnat.

«Pas de consensus pour un changement des règles»

Un projet dans ce sens avait été soumis début octobre aux 20 clubs de l'élite qui se partagent aujourd'hui le gateau équitablement (44 M€ par club et par an). Il prévoyait que 35% de la manne pourraient être distribués en fonction du classement. Mais la Premier League a annoncé mardi qu'il n'y avait «pas de consensus pour un changement des règles» et a annulé la réunion prévue ce mercredi pour en (re)discuter et le cas échéant passer au vote (pour être adoptée, la mesure aurait dû recueillir une majorité de 14 clubs sur 20).

Le projet du «Big Six» portait sur la période 2019-2022 qui verra encore grossir l'enveloppe actuelle de 3,35 milliards d'euros sur trois ans, grâce à la signature de contrats de diffusion en forte hausse aux Etats-Unis et en Chine.

la Premier League en guerre contre les agents

Le football anglais et plus particulièrement la Premier League sont propices aux grosses sommes d’argent dépensées par les clubs pendant les mercatos. Ce qui fait également la fortune des agents de joueurs. Un système que les dirigeants anglais veulent désormais contrôler.

La Premier League estime que les agents de joueurs s’enrichissent aux détriments des clubs via les nombreux transferts réalisés par ces derniers à chaque mercato. L’organisme qui gère l’élite du football anglais a déclaré la guerre aux agents et veut réduire leurs commissions. Pour cela, différents groupes de travail ont été créés à travers le pays révèle le Daily Mail.

La Fédération anglaise s’est joint à cette volonté commune. Ces groupes de travail devront pouvoir proposer des moyens pour s’assurer que les agents ne puissent pas devenir plus riches au détriment du football. Toutefois, la tâche s’annonce difficile tant les clubs sont dépendants de ces agents.

La Premier League demande beaucoup d'efforts physiques

Quelles équipes travaillent durement sur le terrain ? Selon une étude du journal anglais "The Daily Mirror", les distances totales parcourues font de Manchester United l'équipe la plus paresseuse de Premier League.

Dans le football, il ne faut pas être avare d'efforts. En Angleterre, on aime les courses généreuses. "The Daily Mirror" révèle quelles sont les équipes qui, sur le terrain, courent le plus.

Le plus étonnant dans ces statistiques, c'est la dernière place dans ce classement des coéquipiers de Marouane Fellaini et de Romelu Lukaku qui ont couvert 1162km. Les Red Devils doivent peut-être leur deuxième place au classement général de Premier League aux placements tactiques de José Mourinho qui économise, vraisemblablement, ses joueurs d'efforts inutiles.

En haut de ce classement des distances parcourues, on retrouve Bournemouth avec 1255,8km dans les jambes et West Bromwich, son dauphin, qui totalise 1246,8km au compteur.

20. Manchester United - 1162km
19. West Ham United - 1162.6km
18. Swansea City - 1182.0km
17. Stoke City - 1183.4km
16. Southampton - 1194.2km
15. Leicester City - 1195.1km
14. Crystal Palace - 1201.5km
13. Everton - 1209.5km
12. Newcastle United - 1213.4km
11. Liverpool - 1217.4km
10. Huddersfield Town - 1220.6km
9. Manchester City - 1225.1km
8. Brighton and Hove Albion - 1225.3km
7. Chelsea - 1233.9km
6. Arsenal - 1236.6km
5. Burnley - 1237.9km
4. Watford - 1241.3km
3. Spurs - 1245.8km
2. West Brom - 1246.8km
1. Bournemouth - 1255.8km

Walfoot

La Premier League, une passion qui coûte (très) cher

Le prix d’un abonnement en Premier League va de 112 à 1.980 euros ! Pour les places, c’est de 10 à 107 euros.
Les chiffres sont une fois de plus affolants, selon la dernière étude de la BBC sur le prix du foot en Grande-Bretagne : le supporter d’Arsenal doit sortir de sa poche entre 998 et 1.980 euros pour obtenir un précieux abonnement à l’Emirates Stadium : les Gunners étant à nouveau le club de Premier League à suivre, à défaut d’avoir le palmarès le plus huppé au cours des dernières saisons.

À Tottenham, l’abonnement le plus cher est à 1.905 euros.

C’est un autre club londonien, Chelsea, qui arrive ensuite, avec des prix d’abonnements compris entre 840 à 1.400 euros pour applaudir les exploits d’Eden Hazard et de ses équipiers. West Ham (1.295), Manchester United (1.064) et Manchester City (1.030) complètent ce classement des clubs proposant les abonnements les plus chers.

Un seul club de Premier League propose des abonnements à des prix abordables. Il s’agit d’Huddersfield, qui a retrouvé l’élite pour la première fois depuis 1972. Ce club du Yorkshire propose ainsi des season tickets compris dans une fourchette de 112 à 335 euros, alors que le club de Yeovil (League Two, soit la 4e division) est bien plus gourmand avec un prix d’abonnements compris entre 330 et 484 euros !

Les clubs anglais ont toutefois une politique de prix spécifique pour les jeunes : les 16-19 ans supporters des Gunners paieront par exemple 430 euros pour l’abonnement le moins cher, contre 998 euros au tarif normal.

De même, le discount sur un ticket peut être important : les moins de 20 ans supporters de Chelsea paieront leur billet 17 euros, contre 53 euros pour le prix le moins cher pour un adulte.

Aller assister à un match est logiquement tout aussi coûteux : le pompon de la place la plus chère revient à nouveau à Arsenal (107) devant Tottenham (84 euros).

Liverpool est le plus généreux, proposant à chaque match 500 places au prix de 10 euros aux habitants de la ville. Si Tottenham tape très haut dans pas mal de domaines, il est quand même possible d’assister à un match à partir de 22,5 euros.

L’étude de la BBC compare encore le prix d’une tasse de thé, d’un morceau de pie ou encore des maillots entre les différents clubs.

Sans surprise, les clubs les plus huppés placent la barre le plus haut pour l’achat d’une vareuse. C’est 67 euros (prix de base) pour un maillot de Manchester United ou de Manchester City, avec un petit supplément de 11 euros pour le floquer par exemple au nom de Lukaku.



P.D.-D.

La DH

Quand le champion d’Angleterre gagnait 150.900% de moins que Chelsea !

Alors que la Premier League a entamé sa 26e saison, le paysage du football a considérablement changé en Angleterre. Pour la dernière édition de la First Division en 1992, le vainqueur, Leeds, touchait… 38,9 millions de livres de moins qu’aujourd’hui !
Il y a plus de 25 ans, Leeds remportait la toute dernière édition de la Football League First League avec à la clé un chèque d’une valeur considérable à l’époque : 100 000 livres, soit 113 000 euros d’aujourd’hui. Une somme devenue dérisoire alors que les Anglais n’avaient encore rien vu avec la naissance un an plus tard pour l’explosion de la Premier League.

Un chèque et du respect

A l’époque, Manchester United est à la lutte avec Leeds United et c’est ce dernier qui s’adjuge le titre, en partie grâce à l’apport d’Eric Cantona. Il faut dire que l’homme d’affaires Leslie Silver avait injecté le double de son gain dix ans auparavant pour redresser le club et réussit son pari en défaisant le géant mancunien.

Fatalement, le président Silver brandit son chèque dans son stade d’Elland Road, un bout de carton sur lequel est inscrit « 100 000 pounds only », à savoir « seulement ». A juste titre. Le public scande ironiquement « Tu nous vois, Manchester ? ». Mais les Mancuniens n’ont pas seulement vu, ils ont surtout fait mieux.

La Premier League a fait grimper les chiffres

Un an plus tard, les clubs anglais migrent vers un nouveau championnat, la Premier League. Avec un sponsor de choix, le brassier Carling, et des droits TV négociés, les formations s’assurent une meilleure répartition en fin de saison.

Dès 1993, les Red Devils touchent ainsi presque huit fois plus que Leeds, à savoir 815 000 livres (921 000 euros). Et les zéros ne vont cesser de s’ajouter les saisons suivantes. En 1997, un deuxième contrat TV à hauteur de 670M de livres (757M€) est signé, avant qu’il ne soit réévalué à 1,2 milliard de livres (1,4 milliard d’euros) quatre années plus tard.

Les droits TV ont tout changé

Autant dire que le chèque de 100 000 pounds a rapidement été oublié. L’an dernier, c’est Chelsea qui a triomphé en Premier League et perçu 39 millions de livres (environ 44M€) de récompense, soit 150.900% de plus que Leeds !

Une « goutte d’eau » dans les 151 millions de pounds encaissés par les Londoniens (170M€), incluant les revenus de diffusion en Angleterre et à l’étranger. Cette saison, ce sera peut-être au tour de Khaldoon Al Mubarak, président de Manchester City, de se frotter les mains. Et d’encaisser un nouveau chèque record.