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PREMIER LEAGUE: VOICI LE PREMIER JOUEUR SANCTIONNÉ POUR SIMULATION

L’attaquant d’Everton Oumar Niasse est le premier joueur de Premier League convaincu de duperie réussie d’un arbitre. L’international sénégalais a simulé un penalty inexistant après un contact avec Scott Dann lors du match à Crystal Palace (2-2) samedi passé.

L’incident a été examiné par une commission comprenant un ancien entraîneur, un ancien joueur et un ancien arbitre. Le trio regarde les images de façon indépendante et si les trois membres sont unanimes sur la simulation, alors le joueur est suspendu deux matches.

Niasse, 27 ans, qui avait par ailleurs inscrit le 2e but de son équipe, est donc le premier à avoir mis les trois juges d’accord. Il a jusque ce mardi 19 heures pour aller en appel de la décision.

Le principe des sanctions rétroactives pour simulation a été adopté en début de saison par la Fédération anglaise (FA).

En octobre, Shaun Miller, l’attaquant de Carlisle United (division 4), a été le premier joueur suspendu. Par contre Richarlison, l’attaquant brésilien de Watford qui avait été accusé de simulation lors d’un match contre Arsenal, n’a finalement fait l’objet d’aucune sanction.

La NG

Après la Ligue des Champions, la Premier League aussi va adapter ses horaires

Nouvelles dispositions en Premier League où des rencontres se dérouleront désormais le samedi soir.

Petit bouleversement dans les horaires de la Premier League dès la saison prochaine. Pour la première fois des rencontres auront lieu, le samedi en soirée.
Abonnée au football de l'après-midi, la Premier League était l'un des rares championnats européens à n'organiser aucun match le samedi en soirée. Ce sera terminé pour la saison 2019-2020. Mais ça ne deviendra pas la règle non plus: seuls huits matchs par saison auront lieu le samedi à 20h45.

Les motifs de ce changement? Ils sont dictés par BT Sport et Sky qui ont obtenu les droits pour la diffusion et qui souhaitent plus de visibilité encore...

Walfoot

Droits TV : la Premier League lance un nouvel appel d’offres

Rien n’est trop grand pour la Premier League ! Championnat le plus lucratif de la planète sur le plan des droits télévisés, la PL a lancé un nouvel appel d’offres pour la période 2019-2022 selon le Telegraph, avec 7 différents packs pour les diffuseurs avec de nouveaux horaires, le samedi soir à 20h45 notamment.

Toujours d’après le quotidien britannique, les dirigeants anglais espèrent obtenir une revalorisation du chèque perçu (5,9 milliards d’euros). BT Sport et Sky Sports, les deux principaux diffuseurs, sont évidemment à l’affût. Tout comme les géants d’Internet Amazon et Facebook, qui étudient toujours la possibilité de diffuser du sport en live sur leurs réseaux.

Plusieurs voix plaident pour l'arbitrage vidéo après deux erreurs

Il a beaucoup été question d'arbitrage vidéo, samedi en Premier League, après deux erreurs qui ont pénalisé Southampton et Swansea, deux équipes à la lutte pour le maintien.

L'assistance vidéo à l'arbitrage (VAR) a été introduite pour la première fois en Angleterre cette semaine en Cup puis en League Cup mais elle n'est pas encore opérationnelle en Premier League. Dommage, ont estimé en substance les entraîneurs de Southampton et de Swansea, Mauricio Pellegrino et Carlos Carvalhal, car le système aurait sans doute permis d'éviter les grossières erreurs d'arbitrage dont ils estiment avoir été victimes alors que leurs équipes, respectivement 16e et 20e du classement, luttent pour le maintien.

Watford a égalisé (2-2) contre Southampton à la dernière minute grâce à un but inscrit de la main par l'ex-Rennais Abdoulaye Doucouré, tandis que Swansea aurait dû bénéficier d'un penalty à 0-0 pour une main dans la surface à Newcastle (1-1). Les mal classés en colère ont reçu le soutien de Frank Lampard, ancien milieu international de Chelsea : «Vivement la VAR !»

L'Angleterre explose ses records de transferts hivernaux

Alors qu'il reste encore Une trentaine d'heures avant la fin du mercato, le transfert de Laporte a fait battre à l'Angleterre son record de dépenses en janvier. Avec des dossiers chauds comme Aubameyang et Giroud qui ne sauraient tarder à être officialisés, ce record va être explosé.

1) 2018 : 317 millions d'euros
2) 2011 : 255 millions d'euros
3) 2017 : 251 millions d'euros
4) 2008 : 200 millions d'euros
5) 2016 :195 millions d'euros

La DH

Droits TV : La BBC conserve les résumés de matches de Premier League

En attendant le résultat complet de l'appel d'offres des droits télé domestiques de la Premier League, la BBC a annoncé qu'elle conservait le lot des résumés de matches jusqu'en 2022.

Pas de flambée de prix pour le premier lot de l'appel d'offres des droits télé de la Premier League pour 2019-2022. Mardi, celui des résumés de matches a été conservé par la BBC pour un total de 211,5 M£ (241 M€) sur trois ans, soit une augmentation de 7,5 M£ (8,5 M€) par rapport au contrat en cours.

Rapidement, la chaîne a annoncé la bonne nouvelle à ses téléspectateurs sur les réseaux sociaux. La célèbre émission Match Of The Day, présentée par Gary Lineker, pourra ainsi continuer de proposer les meilleurs moments des rencontres dans ses deux versions hebdomadaires.

Richard Scudamore, le patron de la Ligue, s'est également réjoui de ce nouvel accord permettant à son Championnat de conserver une grande visibilité : « Nous sommes très heureux de prolonger notre partenariat avec BBC Sport jusqu'en 2022. Ils font un excellent travail en rendant accessible la Premier League à des millions de supporters à travers le Royaume-Uni via des programmes de très grande qualité ».

Ces prochains jours, la Premier League dévoilera les résultats des lots des matches en direct. Sky et BT, diffuseurs actuels pour 2,3 Mds€ par saison, devraient à nouveau se partager les rencontres. Reste à savoir à quel prix...

La Premier League dépense 491 millions d’euros en janvier, un record

Les transferts de Virgil van Dijk (84 millions) et de Aymeric Laporte (65 millions) ont alimenté la caisse cet hiver.

La Premier League, championnat anglais de football, aura dépensé la somme record de 491 millions d’euros lors de ce mercato hivernal 2018, doublant presque la précédente marque de 2011.

Les 20 clubs ont, selon le cabinet d’audit Deloitte, dépensé pas moins de 172 millions d’euros lors de la seule dernière journée, lors de laquelle Arsenal a attiré l’attaquant gabonais du Borussia Dortmund Pierre-Emerick Aubameyang pour une somme estimée à 64 millions. Tottenham a enregistré l’arrivée de Lucas Moura (PSG) pour 28 millions, Chelsea celle d’Olivier Giroud (Arsenal) pour 20 millions et Swansea City celle d’Andre Ayew (West Ham) pour le même montant.

Le Néerlandais Virgil Van Dijk, passé de Southamption à Liverpool pour 84,5 millions d’euros, un record pour un défenseur, constitue le transfert le plus cher de ce mercato.

La NG

La Premier League pourrait soulager les joueurs en instaurant une trêve hivernale

La BBC annonce que la Premier League envisage sérieusement d'instaurer une trêve hivernale à sa compétition. Considéré comme le championnat le plus éprouvant du monde, la Premier League pourrait donc répondre aux doléances des joueurs, qui sont nombreux à exiger la création de cette période de repos.

Va-t-on enfin mettre la Premier League sur pause? Le championnat anglais, réputé pour sa difficulté physique, pourrait en effet instaurer une trêve hivernale dès la saison 2019-2020. Selon la BBC, les négociations sont en cours pour la vente des nouveaux droits TV. Dans ce cadre, les organisateurs de la compétition britannique envisagent d'instaurer ce fameux break hivernal comme une règle à part entière.

Notons que le principe du Boxing Day serait maintenu. Les joueurs de Premier League joueraient bien pendant les fêtes mais bénéficieraient ensuite d'un mois complet sans rencontres, pendant le mois de janvier. Une information qui devrait enchanter les cadres de la compétition, qui sont nombreux à se plaindre du rythme imposé par le calendrier national.

RTL

Le racisme augmente dans le foot anglais

Un organisme de surveillance a fait cette conclusion.

Les incidents liés au racisme et à l’homophobie dans le football anglais sont en nette hausse, selon le rapport publié mercredi par l’organisme de surveillance Kick It Out, qui décompte une hausse de 59 % dans les cas de discrimination à la mi-saison.

Plus de 300 rapports concernant 282 cas de discrimination ont été recensés par l’organisme avant la fin de l’année 2017, contre 177 incidents l’an dernier à la même époque.

Cette augmentation est d’autant plus forte dans le milieu professionnel, puisque 131 de ces 282 incidents ont eu lieu dans les quatre premières divisions du pays, représentant une hausse de 75 % par rapport à la saison dernière, selon Kick It Out.

« Nous savons jusqu’où le football est arrivé (en termes de lutte contre le racisme, NDLR) mais nous savons aussi combien il reste de travail à effectuer », a réagi Roisin Wood, directrice de l’organisme.

« Des recherches récentes ont montré que les crimes de haine sont en hausse. Si cela arrive dans la société, cela se reflétera dans le football », a-t-elle ajouté, expliquant également que ces incidents étaient rendus « plus virulents et ciblés » avec l’utilisation des réseaux sociaux.

Parmi les incidents recensés, plus de la moitié sont des cas de racisme, un sur cinq d’homophobie et un sur dix d’antisémitisme.

Récemment, plusieurs clubs de Premier League ont été ciblé pour ce genre d’incidents. Les supporters de Chelsea ont été accusés d’antisémitisme après des chants entendus lundi lors de la défaite des Blues face à Watford, alors même que le club avait lancé quelques jours plus tôt une campagne de sensibilisation.

West Ham, de son côté, vient de se séparer de son responsable du recrutement Tony Henry, accusé d’avoir tenu des propos racistes révélés dans le journal britannique The Daily Mail.

La NG

Amazon prêt à s’offrir les droits de la Premier League

Géant de la vente en ligne, Amazon souhaite diversifier sa gamme. Après avoir décidé de se lancer dans la création de séries télévisées, le groupe américain envisagerait d’acheter les droits TV de la Premier League et ainsi renverser le duo Sky/BT qui se partage actuellement le gâteau. Amazon a donc présenté son dossier au siège de la Premier League comme l’affirme le Mirror.

Des propos confirmés par le Guardian qui explique également que Facebook, Google et Netflix qui avaient eux aussi montré un intérêt ne se porteront pas candidats. Amazon ne risque cependant pas de bouleverser totalement le paysage de la Premier League puisque Sky et BT devraient rester majoritaires jusqu’en 2022. Le géant américain devrait soumettre une offre pour l’un des forfaits les moins attractifs. Si les résultats peuvent tomber aujourd’hui, un second tour risque d’être organisé et l’annonce officielle devrait être effective en début de semaine prochaine.

Et si la puissance de la Premier League était son pire ennemi en Europe ?

Pour la première fois de l'histoire, il y aura cinq représentants d'un même pays en huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Les clubs anglais, qui ont bénéficié d'une place supplémentaire suite à la victoire de Manchester United en Europa League, ont réalisé un carton plein en phase de groupes. Pourront-ils confirmer ou rentreront-ils dans le rang au printemps comme ces dernières années ?

Cela fait dix ans exactement qu'une formation de sa royale majesté n'a pas réussi à triompher tant en championnat que sur la scène européenne. Manchester United avait été couronné à Moscou face à Chelsea en plein âge d'or du football british. Entre 2005 et 2009, Liverpool, Arsenal, Man U et Chelsea se sont succédés en finale. Avec deux Coupes aux Grandes Oreilles à la clé.

La suite a été moins glorieuse. Il y a encore eu la défaite des Reds Devils face au Barça de Messi (2011) et le sacre des Blues de Di Matteo (2012). Et puis le déclin s'est amorcé. Malgré une puissance financière toujours plus grande, les résultats ne sont plus au rendez-vous avec tout juste deux présences (Chelsea en 2014 et City en 2016) dans le dernier carré à se mettre sous la dent. On n'oubliera pas les victoires de Chelsea (2013) et Manchester United (2017) et la finale de Liverpool (2016) en Europa League. Mais les deux derniers cités, largués en championnat (respectivement 8e et 6e) avaient tout misé sur cette compétition pour sauver leur saison. Comme un indice supplémentaire de l'impossibilité de briller sur les deux tableaux pour les Anglais.

Dans le même temps, le Real Madrid (en 2017), le FC Barcelone à trois reprises (2009, 2011 et 2015) le Bayern Munich (2013) et l'Inter Milan (2010) y sont parvenus. Comment expliquer cette différence ? Le calendrier surchargé, la densité du championnat, l'intensité des rencontres ou l'absence de trêve hivernale, voilà autant de facteurs qui influencent certainement les performances anglaises.

La Premier League rime avec spectacle, tradition et transferts à coup de millions. Mais il n'y a pas que des avantages à évoluer dans les Iles. Les clubs anglais doivent se "farcir" trois compétitions nationales (PL, FA Cup, League Cup), une de plus que la plupart de leurs rivaux étrangers. De quoi augmenter le nombre de matches à disputer. Chelsea détient, d'ailleurs actuellement, la palme avec 41 rencontres au compteur. Si les clubs espagnols et Paris rivalisent au niveau du total, ce n'est pas le cas des autres huitièmes de finalistes. Manchester City a par exemple joué 9 matches de plus que Bâle, son adversaire.

A nombre de rencontres, il faut ajouter l'intensité des matches. C'est difficile à quantifier. Mais les rencontres sans temps mort, les duels et les actions qui passent d'un rectangle à l'autre sont depuis des années la véritable marque de fabrique du championnat anglais.

En attendant, les joueurs tirent sur la corde et serrent les dents. "Je me suis senti fatigué depuis la première minute", a, par exemple confié Kevin De Bruyne à Het Laatste Nieuws le week-end dernier après le partage contre Burnley. "Je l'ai déjà dit. Les dix premiers matches de la saison, tu te sens super bien, les dix suivants, tu es ok. Et le reste tu te sens misérable. Nous n'avons que 15 ou 16 joueurs disponibles. Nous ne pouvons pas faire autrement". Ce n'est pas pour rien que Pep Guardiola et Antonio Conte ont accordé quelques jours de congé à leurs joueurs cette semaine.

L'absence de trêve et donc d'une vraie plage de repos n'aide évidemment pas. Ce n'est sans doute pas un hasard si l'instauration d'une pause hivernale est envisagée par la fédération (FA) et la Ligue (EFL). Que les fans se rassurent le boxing day n'est pas menacé.

Avec six candidats au titre en début de saison, la Premier League, boostée par les droits télés (6,92 milliards pour les trois prochaines années), est aussi l'un des championnats les plus denses d'Europe. Si City (22 victoires en 26 matches) a défié la règle cette saison, les surprises sont toujours possibles. Chelsea, champion en titre, et balayé par Bournemouth et Watford peut en témoigner. Des situations rares en Liga ou en Série A.

Les clubs anglais n'ont jamais été dans une telle position de force. Quatre des cinq équipes ont terminé en tête de leur groupe et recevront donc au match retour en huitième de finale. Un atout indéniable. Comme la force du nombre. Mais est-ce que cela sera suffisant pour briser la domination espagnole et brandir le trophée le 26 mai Kiev ?

rtbf

Les premiers lots des droits TV de la Premier League vendus pour 5 milliards d’euros

Avec 40 matches encore à vendre, la Premier League peut encore égaler voire dépasser les 5,1 milliards de livres (5,75 milliards d’euros) de 2015.

Les droits TV domestiques 2019-2022 du championnat d’Angleterre sont en baisse après la vente des cinq premiers lots (sur sept), ont annoncé mardi la chaîne sportive Sky Sports, principal diffuseur, et la Premier League.

Au total, Sky et BT Sports, autre diffuseur, ont dépensé 4,464 milliards de livres (5,03 milliards d’euros) pour acheter 168 matches. La vente a pour l’instant rapporté 700 millions de livres (789 millions d’euros) de moins que lors du présent accord conclu en 2015 et courant jusqu’à la fin de la saison prochaine.

Après la vente des cinq premiers lots, le prix moyen par match déboursé par les diffuseurs est passé de 10,2 millions de livres (11,5 millions d’euros) à 9,3 millions (10,48 millions d’euros).

Principal partenaire de la ligue depuis sa création en 1992, Sky s’est à nouveau taillé la part du lion avec la diffusion des matches du vendredi, dimanche, lundi ainsi que les huit matches du samedi soir, une nouveauté pour la saison 2019-2020.

« Sky a choisi de payer 1,193 milliard de livres (1,34 milliard d’euros) par an pour le nouvel accord, soit 199 millions de livres (224 millions d’euros) en moins annuellement, soit une réduction de coût par match de 16 % par rapport à l’accord actuellement en vigueur », a écrit Sky dans un communiqué.

La NG

Premier League : Les clubs dépensent plus pour leurs joueurs blessés

Une étude a montré que les dépenses des clubs de Premier League pour leurs joueurs blessés augmentent.

D'après une étude de JLT Speciality, les clubs de Premier League ont dépensé cette saison plus de 151 millions d'euros de salaires pour des joueurs blessés. L'an dernier, sur toute la saison, le montant total était de 197 millions d'euros (175 millions de livre). Manchester United est en tête de ce classement, avec près de 17 millions dépensés.

«Avec de nombreuses blessures dues à la fatigue, ces chiffres soulèveront des questions sur les enchaînements des matches», a déclaré Duncan Fraser, chef du service sport à JLT Speciality. Une étude qui devrait relancer le débat sur la période de décembre-janvier. Pep Guardiola s'était déjà exprimé début janvier, dénonçant un «rythme infernal».

L'idée d'une trêve en hiver fait son chemin en Premier League

La perspective d'une trêve hivernale en championnat d'Angleterre de football se fait un peu concrète suite à un accord permettant le déplacement d'une journée de la Coupe d'Angleterre (FA Cup) du week-end en milieu de semaine.

Pour The Times, l'accord passé entre la fédération anglaise (FA), la Premier League (FPL) et la Ligue professionnelle permettra aux clubs de bénéficier d'au moins 13 jours de congé au début février 2020. L'espoir est que la trêve permettra aux meilleurs joueurs de se reposer et d'augmenter les chances de l'Angleterre à l'Euro 2020.

Alors que la trêve hivernale a été mise en place dans plusieurs pays d'Europe depuis de nombreuses années, l'idée a jusqu'à présent été recalée au Royaume Uni. A la base de cette réticence, le désir de ne pas interférer avec la traditionnelle et rentable période de Noël.

Mais une trêve en février semble avoir été acceptée, bien que The Guardian ait rapporté que la décision finale sera prise par la FA.

RTBF

Si les three lions veulent aller loin dans un grand tournoi ça passe par une trêve en PL car aussi n on ils arrivent vidé au grand tournoi et n'y font rien !

L'arbitrage vidéo bientôt en Premier League ?

Après l'annonce de l'Ifab d'introduire l'arbitrage vidéo lors de la prochaine Coupe du monde, la Premier League pourrait suivre le pas.

Dans une interview accordée aux médias britanniques, le directeur général de la Fédération anglaise de football, Martin Glenn, a incité la Premier League à introduire l'arbitrage vidéo (VAR), alors que l'Ifab a annoncé samedi que la VAR serait utilisée durant la Coupe du monde. «Je pense vraiment que la question n'est pas "va-t-on introduire la vidéo", mais plutôt "quand va-t-on l'introduire"», a -t-il déclaré ce lundi.

S'il conçoit que le championnat d'Angleterre n'ait pas encore agit dans ce sens, Martin Glenn pense qu'il est maintenant impossible de poursuivre le statu quo. «La Premier League est la ligue la plus lucrative au monde, donc la conséquence d'une mauvaise utilisation de la VAR serait très grave, mais la conséquence de ne jamais l'utiliser alors que les enjeux sont si élevés serait aussi très mauvaise», explique-t-il.

Certains acteurs de Premier League, comme Jose Mourinho, l'entraîneur de Manchester United, s'étaient montrés favorables à la VAR ces derniers temps.

Les club de Premier League veulent réguler les frais d’agents

Alors que la FA a révélé cette semaine que les clubs anglais ont dépensé plus de 240 millions d’euros en frais d’agents l’été lors de l’année précédente, les formations de Premier League souhaitent réagir. Selon The Time un groupe travail serait sur le point d’être créé pour essayer d’endiguer cette flambée des prix. Parmi les propositions dévoilées par le quotidien britannique, celle qui ressort le plus concerne la double représentation.

Autrefois illégale dans la Perfide Albion, elle est autorisée depuis 2015 et s’est depuis développée. Cette pratique intervient lorsqu’un agent gère les intérêts d’un joueur et à un poids auprès des clubs. Ces derniers estiment que cela relève du conflit d’intérêts. L’exemple le plus flagrant est celui du transfert de Paul Pogba vers Manchester United. Représentant du joueur et très impliqué au sein des Reds Devils, il aurait touché 47 millions d’euros dans ce dossier.

Le gouvernement britannique rejette le projet de «tribune debout» de West Brom

Le club de West Bromwich avait présenté un projet de «tribune debout» dans son stade de The Hawthorns, rejeté par le gouvernement britannique.

Il n'y aura pas de tribune sans siège à The Hawthorns, le stade de West Bromwich Albion. La lanterne rouge de la Premier League espérait l'installer à temps pour la saison suivante mais le gouvernement britannique a refusé l'installation de cette tribune de 3.600 places. Le ministre des Sports Tracey Crouch a mis en avant une loi obligeant les stades à installer des tribunes assises, pour justifier ce refus.

Cette loi a été promulguée dans les années 90 à la suite du drame de Hillsborough au cours duquel 96 supporters de Liverpool sont morts. Mais, selon la BBC, le projet du club de West Brom n'aurait pas nécessité un changement de loi.

C'est pourquoi le directeur des opérations du club, Mark Miles, s'est dit «surpris» et «déçu» par la décision. «La politique du ''tout-assis'' a été établi il y a 25 ans, le football est très différent désormais, a ajouté Mark Miles. Le système que nous proposons a fait ses preuves ailleurs en Europe.»

Plusieurs stars arnaquées

Le Daily Mirror révèle ce mardi que plusieurs joueurs de Premier League ont été victimes d’une arnaque de la part de la société de conseil financier Kingsbridge. Au total, 129 footballeurs ont investi 286 M€. Le fisc anglais souhaite, selon le tabloïd, récupérer 70% du montant de ces investissements, plus les intérêts et les pénalités.

« Les footballeurs ont été diabolisés depuis des années pour leurs montages en optimisation fiscale. La vérité est que la majeure partie d’entre eux ne sait pas comment ces arrangements fonctionnent », peut-on lire. Les autorités britanniques indique que la plupart de ces montages coûtent davantage qu’ils ne rapportent à ceux qui y ont recours.

Premier League: pas d’assistance vidéo à l’arbitrage en 2018/19

Les clubs de Premier League ont voté en défaveur de l’intronisation de l’assistance vidéo dans leur championnat pour la saison à venir.

L’assistance vidéo à l’arbitrage (VAR) ne sera pas utilisée lors de la saison 2018/19 de Premier League, a annoncé vendredi La Ligue anglaise de football.

Ce système expérimenté lors de la Coupe d’Angleterre cette saison a provoqué des controverses et, même si la VAR sera en vigueur lors du Mondial-2018 en Russie cet été, les responsables de la Ligue anglaise ont estimé que de nouveaux tests sont nécessaires avant de l’introduire.

La décision a été prise lors d’une réunion des actionnaires de la Premier League à Londres lors d’un vote des 20 clubs de l’élite.

«Les clubs de Premier League clubs se sont mis d’accord aujourd’hui pour poursuivre les tests pratiqués de l’assistance vidéo à l’arbitrage (VAR) lors de la saison 2018/19,» a indiqué la Ligue dans un communiqué.

«Les clubs ont reconnu et sont reconnaissants pour les développements significatifs faits par le directeur général Mike Riley et son équipe de PGMOL», la société en charge du développement du système, ajoute le texte«.

En Espagne, il manque encore l’approbation de l’IFAB, le »Board« garant des lois du jeu de football, pour pouvoir utiliser le VAR en Liga dès le début de la saison 2018-2019.

La NG

Guardiola accuse Manchester United et Chelsea d'avoir bloqué l'assistance vidéo

Pep Guardiola estime que Manchester United et Chelsea font partie des détracteurs de l’assistance vidéo à l’arbitrage, qui ont refusé de la voir débarquer en Premier League la saison prochaine. Contrairement à Manchester City.
Il n’y aura pas d’assistance vidéo à l’arbitrage en Premier League la saison prochaine. Expérimenté cette saison en Cup et en League Cup, la VAR a suscité plusieurs polémiques et a été recalé lors d’un vote des 20 clubs de l’élite, comme l’a annoncé la Ligue anglaise ce vendredi.

Et pour Pep Guardiola, parmi les clubs récalcitrants figurent Manchester United et Chelsea.

"Ça va arriver"
"Je pense que Manchester City a accepté mais que les autres top teams, comme Manchester United et Chelsea, n’en voulaient pas", lance le coach espagnol.

"Ça va arriver, et pas seulement en Angleterre, dans le monde entier. Les arbitres doivent être aidés, poursuit Guardiola. Le système sera meilleur, plus rapide, plus efficace. Plus nous l’utiliserons, plus il sera efficace."

Wolverhampton de retour en Premier League la saison prochaine

https://www.rtbf.be/sport/football/detail_wolverhampton-de-retour-en-premier-league-la-saison-prochaine?id=9892735

L’arbitre de Real-Juve sous protection policière après des menaces

Michael Oliver, l’arbitre du quart retour de Ligue des champions Real Madrid-Juventus, qui a vu le Real se qualifier grâce à un penalty contesté dans le temps additionnel, a été placé sous protection policière après avoir fait l’objet de menaces sur les réseaux sociaux.

Depuis le penalty qu’il a sifflé dans le temps additionnel à Madrid mercredi dernier, offrant la qualification aux Madrilènes, l’Anglais Michael Oliver et sa femme Lucy sont la cible de messages insultants et menaçants sur les réseaux sociaux. Ce penalty avait été vivement contesté par Gianluigi Buffon, ce qui avait valu au gardien et capitaine de la Juve d’être exclu. Le légendaire gardien de but avait ensuite déclaré que le jeune arbitre de 33 ans avait «  un sac poubelle à la place du cœur  ».

Au moment où le directeur de jeu avait sifflé ce penalty, la Juventus, battue à Turin à l’aller 3-0, menait 3-0 au stade Santiago Bernabeu, et les deux équipes se dirigeaient tout droit vers la prolongation. Depuis ce fameux penalty, Oliver et sa famille sont victimes de messages injurieux voire menaçants sur les réseaux sociaux. Le numéro de téléphone du portable de sa femme a été posté sur un réseau social, et celle-ci a reçu des messages insultants et menaçants.

«  Nous sommes conscients des messages menaçants postés sur les réseaux sociaux  », a déclaré un porte-parole de la police de Northumbria, une région au nord de l’Angleterre, lundi. «  Ce type de comportement est totalement inacceptable et ceux qui écrivent ces messages doivent savoir que cela pourrait constituer un crime  », a-t-il précisé. «  Les officiers de police du quartier (où habitent Oliver et sa famille, NDLR) sont en relation avec les victimes, leur ont offert leur soutien et demandent à ce que toute nouvelle offense leur soit signalée  », ajoute-t-il.

L’association des arbitres professionnels anglais (PGMOL) a condamné ces messages, tandis que Twitter a confirmé qu’il avait fait disparaître de sa plate-forme plusieurs tweets ce week-end. Oliver était samedi l’arbitre délégué du match de Championnat d’Angleterre entre Huddesrfield et Watford.

La NG

Les clubs de Premier League génèrent des profits spectaculaires

Les clubs de Premier League ont généré un bénéfice combiné avant impôts record de 500 millions de livres (575 M EUR) lors de la saison 2016-2017 grâce à ses importants droits TV domestiques, a révélé une étude du cabinet Deloitte vendredi.
Au total, les 20 clubs du Championnat d'Angleterre ont réalisé un bénéfice d'exploitation combiné d'un milliard de livres, mais ont notamment été déficitaire de plus de 400 millions sur le marché des transferts.

"Comme prévu l'an dernier, les contrats de diffusion de la Premier League, qui sont entrés en vigueur au cours de la saison 2016-2017, ont contribué à porter les revenus à des niveaux records", a expliqué Dan Jones, l'un des responsables de l'étude.

"Bien que les salaires aient augmenté de 9% pour atteindre 2,5 milliards de livres (environ 2,9 mds EUR), cette augmentation est loin d'atteindre le niveau de croissance du chiffre d'affaires", a-t-il ajouté.

"Bien que nous prévoyons que les coûts salariaux continueront d'augmenter au cours des prochaines saisons, nous ne prévoyons pas que les augmentations seront à un niveau qui pourrait mettre en péril la rentabilité de la Premier League dans son ensemble", a continué l'expert, expliquant que "les augmentations salariales les plus importantes ont tendance à se produire au cours de l'année précédant le début d'un nouvel accord" sur les droits TV.


Une manne spectaculaire de 6,92 milliards d'euros

La Premier League avait impressionné le monde du foot en 2015 en annonçant une manne spectaculaire de 6,92 milliards d'euros pour la période 2016-2019 sur les droits TV domestiques.

Les chiffres de l'accord 2019-2022 annoncés en février par la chaîne Sky Sports et la Premier League sont en légère baisse (un peu plus de 5 milliards d'euros) mais tous les lots n'ont pas été vendus et la baisse des droits domestiques pourrait être compensée par une augmentation des droits de diffusion à l'international, qui sont, eux, en hausse.

"Malgré l'absence de croissance des (droits TV domestiques) annoncés à ce jour, nous prévoyons toujours une croissance globale des revenus au cours des prochaines saisons, et si cette croissance est complétée par un contrôle prudent des coûts, nous prévoyons que des bénéfices avant impôts seront réalisés dans un avenir prévisible", a assuré Dan Jones.

Un peu plus tôt jeudi, la Ligue de football espagnole (LaLiga), principal challenger de la Premier League, a annoncé avoir enregistré la saison passée 3,6 milliards d'euros de recettes, dégageant un bénéfice avant impôts de 234 millions d'euros.

Les revenus totaux des clubs se montent à "3,662 milliards d'euros, soit une augmentation de 495 millions par rapport à la saison précédente, ce qui représente un taux de croissance de 15,6%", a encore indiqué LaLiga lors de la présentation de son bilan de la saison 2016/2017.

RTL

la «tribune debout» au Parlement britannique

Le projet de «tribune debout» sera débattu au Parlement britannique le 25 juin prochain.

La possible réapparition du principe de «tribune debout» en Premier League comme en Championship sera évoqué au Parlement britannique le 25 juin prochain. Cette décision intervient après qu'une pétition a récolté plus de 110 000 signatures sur le sujet.

Pour rappel, West Bromwich a vu son projet de tribune debout rejeté par le gouvernement le mois dernier.

Le mercato ouvrira jeudi en Angleterre !

On savait depuis quelque temps déjà que la Premier League avait l’intention d’avancer son mercato pour qu’il termine avant le début du championnat. Et on connait désormais les dates de l’ouverture et fermeture du marché outre-Manche.

Ainsi, selon Sky Sports, le mercato sera lancé dès ce jeudi 17 mai et fermera ses portes le jeudi 9 août.

La Premier League va instaurer une trêve hivernale

Les clubs anglais et la Fédération sont tombés d’accord pour instaurer une trêve hivernale de deux semaines à partir de la saison 2019-20, mettant ainsi fin à une vielle tradition de matches joués durant la période des fêtes.

C’est un chambardement qu’est en passe d'officialiser la Fédération anglaise de football (FA). Comme annoncé par The Times il y a quelques mois, une trêve hivernale de deux semaines sera instaurée à partir de la saison 2019-20, comme l’a indiqué Martin Glenn, directeur exécutif de la FA, aux conciliateurs de la Fédération. L’accord avec les clubs de Premier League sera signé la semaine prochaine et mettra ainsi un terme à une vielle tradition mais aussi à une décennie de débats sur la récupération des joueurs après cette période de matches très intenses. La FA a également accepté de faire disputer la cinquième tour de FA Cup en semaine.

Une coupure échelonnée sur deux week-ends
« Nous travaillons plus étroitement et de manière plus collaborative que jamais avec les clubs professionnels, a déclaré Glenn. Très bientôt, cela produira des dividendes avec la création d’une pause en milieu de saison, ce qui est une amélioration indispensable pour nos clubs et l’équipe d’Angleterre. » Selon Skysports, la trêve sera échelonnée sur deux week-ends avec dix équipes jouant un week-end et les dix autres le week-end suivant, permettant à chaque club d’avoir deux semaines de coupure. Même s’il n’a pas été évoqué, le fameux « Boxing Day » (26 décembre) devrait, lui, être conservé.

Amazon va retransmettre en direct des matches de Premier League à partir de 2019

L’entreprise américaine se lance dans le marché du football européen.

Amazon va diffuser en direct 20 matches par saison du Championnat d’Angleterre de football pendant trois ans à partir de 2019/2020, a annoncé jeudi la Premier League, confirmant les ambitions du géant américain dans ce domaine.

Les matches seront disponibles pour les abonnés britanniques d’Amazon Prime, le service de vidéo en ligne de l’entreprise américaine.

La NG

La Premier League, plus riche que jamais, porte le marché européen du foot

Selon Deloitte, qui a réalisé cette étude, les mirobolants contrats de diffusions signés en Angleterre comme en France ont eu un impact décisif.

Le Championnat de foot anglais se porte à merveille. La Premier League a même produit, sur la saison passée, les résultats « les plus impressionnants jamais observés », a relevé jeudi le cabinet de conseil Deloitte, laissant entrevoir une ère de stabilité financière.

Ce constat, précisent les analystes, doit s’apprécier dans le contexte d’un marché européen qui tutoie les sommets, estimé à 25,5 milliards d’euros. Il est largement porté par le « big five », surnom des cinq grands championnats européens (Angleterre, Espagne, Allemagne, France, Italie), qui a généré 14,7 milliards d’euros sur la saison 2016/17, soit 9 % de plus que la saison précédente.

Dans la galaxie très rentable du foot européen, l’Angleterre tire largement son épingle du jeu : la Premier League (7,4 milliards) pèse 86 % plus lourd que la Liga, le championnat d’Espagne. Symbole de cette solidité, cela fait désormais plus de cinq ans qu’aucun de ces clubs anglais n’a déposé le bilan.

« La situation financière du football européen semble plus saine qu’elle ne l’a été depuis un long moment, ce qui reflète la popularité mondiale de ce sport, le professionnalisme des principaux clubs et la force de la réglementation », a commenté Tim Bridge, directeur du département sport business du cabinet.

« Si la Premier League est clairement le leader du marché, nous nous attendons à observer une croissance régulière et un intérêt pour tous les championnats en Europe dans les années à venir », a-t-il ajouté.

Son collègue Dan Jones résume : « les résultats financiers de l’exercice 2016/17 sont les plus impressionnants jamais observés ».

« Juste une décennie plus tôt, 60 % des clubs de Premier League connaissaient des pertes d’exploitation », rappelle l’analyste. Aujourd’hui, « tous les clubs sont rentables ».

Richard Scudamore ne dirigera plus la Premier League en 2019

Président exécutif de la Premier League depuis près de vingt ans, Richard Scudamore a décidé de passer la main à la fin de l'année 2018.

Le patron de la Premier League, Richard Scudamore, va quitter son poste d'ici la fin de l'année. «Le football est un environnement grisant et donc difficile à abandonner quand on est si impliqué, mais ma passion pour ce que le football représente pour tant de gens, et l'impact positif qu'il peut avoir, ne diminuera jamais», a déclaré Richard Scudamore, cité dans un communiqué de la ligue anglaise.

Quand Richard Scudamore est arrivé à son poste en 1999, les droits de retransmissions de la compétition anglaise étaient estimés à environ 670 millions de livres (761 millions d'euros). Ils atteignent aujourd'hui 5,14 milliards de livres (5,8 milliards d'euros). L'annonce de son départ intervient alors que la ligue a annoncé jeudi l'attribution des derniers lots des matches du Championnat d'Angleterre de football pendant trois ans à partir de 2019. Le conseil d'administration de la Premier League nommera son remplaçant «en temps voulu».

-L’Angleterre supprime les prolongations et instaure le VAR en Coupe de la Ligue

http://www.sudinfo.be/id58556/article/2018-06-08/langleterre-supprime-les-prolongations-et-instaure-le-var-en-coupe-de-la-ligue

-Une trêve hivernale dans le championnat d’Angleterre à partir de 2019/2020

http://www.sudinfo.be/id58481/article/2018-06-08/une-treve-hivernale-dans-le-championnat-dangleterre-partir-de-20192020

PL : le VAR testé après la trêve internationale

Le VAR va faire son arrivée en Premier League. Selon Sky Sports, l’assistance vidéo aux arbitres sera testée après la trêve internationale, sur quinze matchs de championnat. Cela commencera le 15 septembre, lors des cinq rencontres prévues à 16 heures. L’objectif est de l’introduire définitivement d’ici la saison 2019-2020.

Le Telegraph apporte plus de précision sur la manière dont le VAR sera utilisé. En effet, contrairement à la France, l’Italie, l’Espagne, l’Allemagne et le Portugal, où il est aussi en place, l’arbitre central ne pourra pas communiquer avec ses assistants vidéos. La Premier League va donc imiter les principaux championnats européens. L’UEFA songerait aussi à l’installer en Ligue des Champions, mais pas avant l’année prochaine.

Une nouvelle règle à l’étude pour le mercato en Premier League !

Les dirigeants de la Premier League réfléchiraient à modifier le versement des commissions d'agents lors des transferts. Une démarche qui offrirait notamment un réel bol d'oxygène aux clubs sur le plan financier.

C’est ce qu’on pourrait appeler une redistribution des cartes. Selon les informations de Sky Sports, les hautes sphères de la Premier League réfléchiraient à modifier quelque peu les règles en matière de mutations de joueurs. Jusqu’à présent, quand un joueur changeait de club lors du mercato estival ou hivernal, cela entraînait automatiquement pour les clubs le versement d’une commission aux agents des nouvelles recrues. Ce mode de fonctionnement pourrait évoluer dans les prochaines semaines, puisque les dirigeants de la Premier League souhaiteraient que les joueurs versent désormais ces commissions à leurs conseils à la place des clubs.

Une réunion est prévue ce jeudi pour évoquer cette possibilité qui soulagerait clairement les finances des clubs. Si cette proposition était validée, cela devrait cependant provoquer des dommages collatéraux comme la volonté des joueurs d’obtenir des salaires encore plus confortables pour payer leurs agents. Du côté des clubs, on estime tout de même que cette mesure réduirait sensiblement les frais colossaux engendrés par les transferts de certains joueurs, notamment pour le versement de ces fameuses commissions aux agents. Pour preuve, l’année dernière, les clubs de football anglais et gallois ont déboursé pas moins de 220 millions de livres sterling aux agents.

Les joueurs voués à régler la facture

Si ces changements étaient adoptés, un agent comme Mino Raiola, qui a empoché pas moins de 41 millions de livres de commissions pour le transfert de Paul Pogba à Manchester United, se verrait indemniser cette commission par son client et non plus par les clubs concernés. Bien décidés à entériner cette proposition, les dirigeants de la Premier League auraient déjà rencontré des avocats spécialisés dans le domaine, pour être certains que celle-ci ne soit pas inquiétée sur le plan juridique. En parallèle, l’objectif avoué d’une telle démarche demeure limpide : limiter le nombre de mutations d’un même joueur sur la durée, pour que son agent bénéficie de moins bonnes commissions payées par les clubs.

En transmettant la responsabilité aux joueurs de verser eux-mêmes les commissions liées aux transferts, ces derniers devraient ainsi moins prendre la poudre d’escampette lors des mercatos. Ceux-ci échelonneraient le montant des commissions sur la durée de leur contrat. Les clubs n’auraient donc plus à payer les agents lors de la finalisation d’un transfert, ou encore pour une prolongation de contrat. Une sacrée bouffée d’oxygène donc pour les écuries de Premier League. Reste à savoir désormais ce que pensent joueurs et agents d’une telle proposition... Cette dernière pourrait-elle faire des émules dans les autres grands championnats européens ? Affaire à suivre...

Le Brexit, une cata pour la Premier League ?

Après le Brexit, les clubs anglais devront probablement avoir plus d'Anglais dans leurs noyaux de joueurs. Et cela aura de grandes conséquences pour quelques clubs du top de la Premier League.

Lors de la première saison de la Premier League anglaise, à savoir durant la saison 1992/1993, l'Angleterre fournissait 72% des joueurs. Cette saison, le pourcentage n'est plus que de 31%.

Selon The Mail On Sunday, lorsque la Grande-Bretagne quittera l'Union Européenne, les règles sur le nombre de joueurs anglais dans chaque club risquent de changer radicalement.

Selon le tabloïd britannique, les clubs anglais de l'élite devront compter de 10 à 12 footballeurs anglais dans leurs noyaux de 25 joueurs. Si ce plan qu'élaborent ensemble la FA et la Premier League devait passer, certains grands clubs devront considérablement retoucher leurs noyaux.

Ainsi, Manchester City et Arsenal ne comptent que 6 Anglais dans leur noyau. Quant Chelsea, il n'en a que 5.

En échange d'un pourcentage plus élevé d'Anglais dans les noyaux, la F.A. pourrait alléger les critères de qualité pour les footballeurs étrangers.

The Mail on Sunday a également calculé le temps de jeu obtenu cette saison par les footballeurs anglais. Lors des quatre premières journées, à Arsenal, seulement 1% du temps de jeu est revenu aux Anglais . A Chelsea à peine 4%.

https://www.proximus11.be/fr/foot/actu/article/1885981/le-brexit-une-cata-pour-la-premier-league

QUEL EST LE MAILLOT LE MOINS CHER DE PREMIER LEAGUE ? LE CLASSEMENT PAR PRIX.

https://www.footpack.fr/105954-quel-est-le-maillot-le-moins-cher-de-premier-league

Susanna Dinnage, première femme à la tête de la Premier League

La Premier League a nommé mardi Susanna Dinnage, directrice d'une chaîne de télévision, nouvelle présidente directrice générale, une première pour le championnat d'Angleterre.

"Susanna était le choix évident, étant donné son parcours dans la gestion d'entreprises complexes dans un contexte de transformation et de perturbation numériques", a déclaré le président du club de Chelsea, Bruce Buck, qui a dirigé la campagne de recrutement.

Actuellement présidente de la chaîne Animal Planet du groupe Discovery, Susanna Dinnage débutera dans ses nouvelles fonctions au début de l'année prochaine. Elle remplacera Richard Scudamore, patron de la Premier League depuis 19 ans.

"Avec le soutien des clubs et de l'équipe, j'ai hâte de prolonger le succès de la League pour de nombreuses années à venir", a déclaré Dinnage dans un communiqué.

Sa tâche sera notamment d'essayer de maintenir la forte hausse des droits d'image, obtenue par Scudamore au cours des vingt dernières années.

Quand Scudamore a pris les rênes de l'instance en 1999, les droits télés de la Premier League s'élevaient à 670 millions de livres sterling (environ 770 millions d'euros). Lors des dernières négociations, les droits pour la période 2019-2022 ont été cédés pour plus de 4,5 milliards de livres (5,18 milliards d'euros)...

Si la majorité de cette manne d'argent provient toujours des géants de la télévision outre-Manche Sky et BT, un nouvel acteur s'est invité: le géant du commerce électronique américain Amazon, qui a acheté 20 matches.

La nomination de Susanna Dinnage est intervenue le jour même où il a été annoncé que Buck avait demandé une contribution de 250.000 livres sterling à chacun des 20 clubs de Premier League pour constituer un parachute doré de 5 millions de livres sterling pour le patron sortant de la Premier League.

rtbf

Un parachute doré pour le président de la Premier League

Richard Scudamore va toucher plus de cinq millions d'euros de la part des clubs anglais quand il quittera la tête de la ligue anglaise, en janvier 2019.

Les clubs de Premier League ont approuvé jeudi la décision controversée d'accorder une indemnité de départ de 5 millions de livres sterling (5,6 millions d'euros) à Richard Scudamore, qui quittera la présidence de la puissante ligue anglaise de football début 2019. La Premier League a déclaré que ce parachute doré avait été proposé par son comité d'audit et de rémunération et qu'il a été « soutenu et approuvé par les clubs ». Cette indemnité a été accordée « en reconnaissance du travail exceptionnel accompli par Richard au cours des 19 dernières années », a indiqué l'instance.

Pour rassembler la somme totale, d'abord évoquée par le président de Chelsea, Bruce Buck, proche allié de Scudamore et président du comité d'audit et de rémunération, les vingt clubs de l'élite devront s'acquitter de 250 000 livres chacun. Une décision fortement critiquée par la Fédération des supporters de football, qui regroupe les fans outre-Manche. « Les fans s'opposent fermement au ''parachute doré'' et nous exhortons les clubs à ne pas prendre une décision qui est extrêmement impopulaire auprès des supporters. »

Scudamore, qui touche un salaire de 2,5 millions de livres par an, a par ailleurs accepté de rester - « à titre consultatif » - à la disposition de la nouvelle patronne de la Premier League, Susanna Dinnage, qui sera la première femme à ce poste à partir de janvier 2019.

Accord de principe pour l’arbitrage vidéo en Premier League

L’arbitrage vidéo dès la saison prochaine en Angleterre ?

Les clubs de l’élite anglaise ont donné leur «accord de principe» pour l’introduction de l’assistance-vidéo à l’arbitrage (VAR) dès la saison prochaine, a annoncé la Premier League jeudi.

L’instance doit désormais formellement demander l’autorisation à la FIFA et l’Ifab, l’instance internationale garante des lois du jeu, d’introduire la VAR, actuellement testée en Angleterre en FA Cup et en Coupe de la Ligue.

La NG

Premier League : le mercato estival fermera ses portes plus tôt !

Jeudi, les présidents des clubs de Premier League se sont réunis lors d’une assemblée à Londres afin de voter pour la mise en place de la VAR la saison prochaine. Seulement, cette réunion entre les différents acteurs des clubs anglais a également mené à une seconde mesure, qui avait déjà été prise cette saison, et qui concernera le mercato d’été et les dates de clôture du marché des transferts.

En effet, selon le Guardian, qui cite une source de la Premier League, les clubs anglais auront une période plus courte pour recruter, comme ce fut le cas cette saison puisque le mercato s’était arrêté le 9 août dernier. L’info a été officiellement confirmée ce vendredi et le mercato anglais fermera ses portes le jeudi 8 août 2019 à 17h heure locale. Les dirigeants de Premier League ont acté cette décision et ce, même si certains clubs souhaitaient revenir à une fin de mercato le 31 août...

Sky achète les droits de la deuxième division pour 668 millions d'euros

La chaîne de télévision anglaise diffusera la compétition pendant les cinq prochaines années, malgré les réticences de la majorité des clubs.

La chaîne de télévision Sky Sports a acquis les droits de la deuxième division anglaise de football pour les cinq prochaines années et pour 595 millions de livres (668 millions d'euros), a annoncé lundi l'instance dirigeante de ce championnat, l'English Football League (EFL).

Quinze clubs de Championship - le nom de la deuxième division - voulaient refuser l'offre de Sky, arguant que le contrat portait sur une trop longue période et qu'il ne rapportait pas assez d'argent. Mais pour l'EFL, l'offre de Sky était la meilleure sur la table pour les clubs, qui pourront par ailleurs proposer leurs propres services de streaming aux supporters pour certains matches.

« Après avoir examiné la question, ses implications et les risques associés, le conseil d'administration de l'EFL est heureux d'avoir conclu la bonne transaction pour l'EFL et ses clubs », a indiqué Debbie Jevans, présidente par intérim de l'EFL. L'accord a été approuvé à l'unanimité par le conseil d'administration de l'EFL.

Avec cet accord, Sky pourra diffuser 138 matches par saison. Ce total devra inclure un minimum de 20 matches de League One ou de League Two, les troisième et quatrième divisions outre-Manche, également chapeautées par l'EFL.

Brexit : ça se tend entre la FA et la Premier League...

À l'heure où le Royaume-Uni négocie les conditions du Brexit, la fédération anglaise (FA) souhaitait profiter de la sortie de l'Europe des Britanniques pour imposer un plus gros quota de joueurs britanniques en Premier League. Et sans surprise, cette mesure passe mal chez les dirigeants du championnat anglais.

Le Brexit (sortie du Royaume-Uni de l’Europe) inquiète. Lors des récents sondages, une majeure partie des Britanniques affichent de plus en plus leurs regrets face à la mesure votée en juin 2016. Une tendance qui se vérifie également dans le monde du football anglais, et plus particulièrement chez les dirigeants de la toute puissante Premier League. Pour rappel, la fédération anglaise de football (FA) avait saisi la balle « brexitienne » au rebond pour tenter d’imposer des quotas.

L’objectif est simple : diminuer le nombre de joueurs étrangers présents au sein des effectifs et donc augmenter ceux des locaux et faire ainsi la part belle aux talents locaux ou formés dans les centres de formation anglais ou gallois entre 16 et 21 ans. Pour ce faire, la FA a pensé à introduire une période de transition afin que tout soit mis en place à partir de 2020, à savoir un nombre maximum de 13 "étrangers" (sur 25 éléments) par club. Une volonté de promouvoir le football britannique qui devait toutefois s’accompagner d’une révision des modalités d’attribution de visas et du permis de travail pour ne pas handicaper davantage la venue des joueurs "étrangers".

La Premier League ne veut pas du Brexit !

Mais chez les décideurs de la Premier League, ça ne passe pas. Le Times révèle d’ailleurs aujourd’hui qu’un conflit oppose clairement la PL à la FA. En clair, les dirigeants du championnat anglais, considéré avec la Liga comme l’une des deux plus grandes ligues de football du monde, espèrent que le gouvernement créera une "bulle" pour éviter que la Premier League ne soit impactée par cette restriction d’"étrangers" jugée trop nocive à l’image de marque du championnat. En effet, la PL explique qu’elle emploie pas moins de 12 000 personnes, qu’elle attire pas moins de 700 000 "visiteurs" par an et que les taxes payées par l’ensemble de la Premier League rapportent plus de 3,7 milliards d’euros à l’Etat. Un rejet du Brexit clairement expliqué par un membre de la PL hier soir.

« Il n’y a pas de preuve selon lesquelles des quotas plus importants que ceux existants aujourd’hui auraient un impact positif pour nos équipes nationales (A, U20, U19, etc). Actuellement, il y a des règles qui limitent au sein des clubs le nombre de joueurs n’ayant pas été formés localement. Nous travaillons aussi avec les clubs sur un processus de développement de joueurs qui serait bénéfique pour toutes les catégories de la sélection anglaise. Tout ceci a été prouvé par les victoires des U17 et des U20 en Coupe du Monde, et par la demi-finale atteinte lors du Mondial 2018. Nous avons également discuté avec la ligue écossaise qui est d’accord avec nous sur le fait que le Brexit ne devrait pas être utilisé pour affaiblir les équipes britanniques. » C’est dit !

PREMIER LEAGUE: LE BUSINESS DES ENFANTS MASCOTTES BAT SON PLEIN

La BBC a révélé les tarifs pratiqués par les clubs anglais pour permettre aux enfants de rentrer sur la pelouse avec les joueurs, avant le coup d’envoi d’un match de football. Cela existe aussi bien en Premier League qu’en Championship, où les prix sont parfois plus élevés.

Tout s’achète, tout se vend. Même le rêve d’un gamin, dont l’unique souhait est d’accompagner son joueur préféré sur la pelouse, le jour d’un match officiel de Premier League. Heureusement, d'après les éclaircissements apportés par le BBC, tous les clubs ne s’adonnent pas à la pratique, connue de tous depuis quelques années.

Les plus grands comme Arsenal, les deux Manchester ou encore Liverpool, offrent toujours gratuitement cette chance aux plus jeunes, tout sourire et habillés aux couleurs du club. Mais d’autres, à l’instar d’Everton, Leicester et West Ham, par exemple, font payer le prix fort aux parents. Et tant pis pour les valeurs de partage et de loyauté piétinées sur l’autel de l’élitisme.

West Ham ajuste ses prix
Car tous les supporters n’ont pas les moyens de se payer ce privilège. Les prix exorbitants écartent de fait tout un pan de la société. Everton réclame près de 800 euros pour deux à trois matches par an pour accéder à ce que plusieurs clubs ont déjà qualifié de "cadeau ultime". West Ham ajuste ses tarifs et réclame 777 euros à l’occasion des matches contre les six premiers du championnat, moins pour les autres.

530 euros par match en Championship
Jugée "scandaleuse au pays de Galles", cette politique n’en est pas moins pratiquée par Swansea, dont les tarifs sont seulement devancés par trois écuries de Premier League. Or, les Swans évoluent en deuxième division. Et encore, généreux dans leur miséricorde, les dirigeants gallois ont décidé de baisser les tarifs après la relégation du club l’été dernier, à raison de 530 euros par match de Championship pour ce souvenir impérissable. Trop aimable.

La Premier League, poumon économique en danger ?

En plus de raviver la flamme d’un football anglais en perte de vitesse à la fin des années 1980, la Premier League – nom donné à l’élite du ballon rond outre-Manche – fait également le bonheur des caisses du pays. L’attractivité de la Premier League est sans égal sur le Vieux continent, tous sports confondus. Transferts, droits TV, billetteries… Les 20 clubs qui la composent drainent des milliards de livres sterling. Leur valeur cumulée est ainsi estimée à 13 milliards d’euros.

Ensemble, Arsenal, Manchester United, Manchester City, Liverpool, Tottenham, Chelsea et consorts emploient 12 000 personnes (en équivalent temps plein) et payent plus de 3 milliards de livres de taxe par saison. Le championnat anglais attire en outre entre 700 000 touristes par saison, venus d’Europe pour beaucoup (Irlande, Norvège, France…) mais aussi d’Asie (Inde, Thaïlande), d’Afrique ou d’Amérique du Nord. Car il ne s’agit pas simplement de matches de foot : la Premier League, c’est avant tout un spectacle, retransmis dans 189 pays !


Et la Fédération anglaise (FA) ne peut rien ou presque face à la toute-puissance de la Premier League. En novembre 2018, celle-ci espérait profiter du Brexit pour réduire le nombre de joueurs étrangers autorisés dans les effectifs professionnels, afin de le passer de 17 à 12, sur un total de 25. Réponse sèche des clubs de « PL » : « Le Brexit ne doit pas être utilisé pour affaiblir les équipes de football britanniques, ni pour nuire à leur capacité à recruter des joueurs étrangers. » Affaire terminée ? Pas sûr en cas de Brexit « dur »…

Si les montants record lui ont échappé, la Premier League se caractérise par une pluie de très coûteux transferts.

1. Paul Pogba (France, Manchester United) 105 M€

2. Romelu Lukaku (Belgique, Manchester United) 84,7 M€

3. Kepa Arrizabalaga (Espagne, Chelsea) 80 M€

4. Virgil Van Dijk (Pays-Bas, Liverpool) 78,8 M€

5. Kevin de Bruyne (Belgique, Manchester United) 76 M€

LES CLUBS DE PREMIER LEAGUE S'ACCORDENT POUR PLAFONNER LE PRIX DES BILLETS VISITEURS

Les clubs de Premier League se sont mis d’accord ce jeudi pour prolonger le plafonnement du prix des billets visiteurs pour les trois prochaines saisons. La mesure, instaurée en 2016-2017, va être reconduite jusqu’en 2021-2022.

Les fans pourront donc accéder au parcage visiteurs pour un maximum de 30 livres. Le but de la mesure étant d’assurer une diversité de supporters dans les stades afin d’avoir les meilleures ambiances possibles. Elle vise à compenser les coûts de déplacement qui pèsent sur le budget de nombreux fans.

Pourquoi les clubs de Bundesliga chipent les jeunes pépites de Premier League

Depuis quelques mois, les clubs de Bundesliga viennent piquer aux cadors anglais certains de leurs meilleurs espoirs, à l'image de Jadon Sancho, qui explose au Borussia Dortmund. Explications sur la naissance de cette mode.

3 février 2018. Prêté lors du mercato hivernal par Everton, le jeune attaquant anglais Ademola Lookman entre en jeu pour la première fois sous ses nouvelles couleurs à la 78e minute du match entre le Borussia Mönchengladbach et le RB Leipzig alors que le score est de 0-0. A la 89e minute, il est servi à 30 mètres du but adverse, place une accélération et lâche une frappe croisée qui fait mouche. Le but de la victoire pour le RB Leipzig et un but symbolique pour le jeune attaquant puisque cela faisait alors quasiment 13 ans qu’un Anglais n’avait pas connu pareil bonheur en Allemagne. C’était Owen Hargreaves avec le Bayern Munich, déjà face au Borussia Mönchengladbach, en août 2005.

Beaucoup de choses ont changé depuis le passage du milieu de terrain anglais en Bavière. Ce qui ressemblait alors à une exception est en train de devenir une mode. Depuis un peu plus d’un an maintenant, les clubs allemands se régalent à venir piocher dans le réservoir anglais. Et la réussite fracassante de Jadon Sancho au Borussia Dortmund représente leur meilleure publicité. Débarqué à l’été 2017 au Signal Iduna Park, celui qui était considéré comme l’une des pépites les plus prometteuses de Manchester City a ouvert la voie. Ils sont désormais 7 à évoluer outre-Rhin : Jadon Sancho (Borussia Dortmund), Emile Smith Rowe (RB Leipzig), Keanan Bennets (Gladbach), Reiss Nelson (Hoffenheim), Rabbi Matondo (Schalke 04), Reece Oxford (Augsbourg), Chima Okoroji (Fribourg). Le succès le plus bluffant reste celui rencontré par Jadon Sancho.

Le modèle Jadon Sancho
Après une première année avec 7 titularisations et 5 entrées en jeu en Bundesliga agrémentée de plusieurs passages avec la réserve, le jeune ailier anglais, âgé de 18 ans, est devenu un élément plus régulier du onze de départ borussen sous les ordres de Lucien Favre cette saison (13 titularisations et 7 entrées en jeu en championnat), avec un bilan de 6 buts et 9 passes décisives. S’il est aujourd’hui facile de saluer le choix du joueur et le courage du BVB, Sancho a rappelé, au magazine Four Four Two qu’il s’agissait d’une vraie prise de risque.

« Pourquoi Dortmund ? C’est facile : les jeunes y ont des opportunités. Il faut remercier Dortmund, car c’est inhabituel de voir une équipe qui joue devant 80 000 personnes à chaque match à domicile faire autant confiance aux jeunes. C’était fou de voir combien de clubs me voulaient. Cela montre qu’on fait bien les choses. Mais j’ai toujours senti que Dortmund était le bon endroit pour moi. Bien sûr, c’était un grand risque. Je n’avais reçu aucune garantie sur le temps de jeu et je devais prouver que j’étais assez bon pour entrer dans l’équipe. Peu de gens étaient convaincus quand je leur ai parlé de Dortmund au début mais j’ai senti que c’était la bonne aventure pour moi. J’aime essayer de nouvelles choses, et je ne me suis pas démonté. »

Une réforme de la formation qui marche
Clairement, le succès de Jadon Sancho a encouragé les clubs de Bundesliga à poursuivre sur cette voie, tout comme il a contribué à séduire les jeunes pépites anglaises barrées dans leur club formateur. « C’est une question de mentalité puisque les clubs allemands ne rechignent pas à donner des opportunités aux jeunes éléments. Les clubs anglais essayent peu à peu de le faire mais ces changements nécessitent du temps », nous explique Aidy Ward, agent de Reece Oxford (actuellement prêté par West Ham à Augsbourg, après avoir déjà connu un prêt la saison précédent au Borussia Mönchengladbach), Raheem Sterling ou encore Alexandre Oxlade-Chamberlain. Mais pourquoi les clubs allemands se sont subitement penchés sur les promesses d’outre-Manche ? D’abord, ils ont constaté l’excellent niveau des jeunes Anglais, dont les équipes nationales ont remporté plusieurs titres majeurs ces dernières années : championnat du monde U17 (avec Jadon Sancho notamment), championnat du monde U20 ou encore championnat d’Europe U19.

Les clubs ont ensuite régulièrement envoyé des émissaires suivre les matches des académies en Angleterre. Et ils ont pu constater les effets positifs des mesures prises par la Premier League en 2012 pour améliorer la formation anglaise. Une réforme inspirée par... l’Allemagne au début des années 2000 pour relancer l’équipe nationale. Entraîneurs mieux formés, enregistrements détaillés, évaluations plus poussées et ligues U23 des meilleurs équipes juniors du pays, meilleur recrutement des talents à travers la Grande-Bretagne : tout a été fait pour que le repérage et la formation franchissent un cap.

Des jeunes toujours barrés par la concurrence
Mais voilà, l’Angleterre est confrontée à son éternel dilemme. Avec les revenus XXL notamment liés aux droits TV, les clubs anglais, qui ont investi pour améliorer la formation, préfèrent encore et toujours acheter des joueurs confirmés pour tenter d’obtenir des succès plus rapidement plutôt que de laisser leurs jeunes talents prendre de l’expérience en équipe première. Résultat, les meilleurs jeunes restent trop longtemps en couveuse et s’impatientent de plus en plus.

« Je pense que les jeunes joueurs anglais sont trop choyés, ils restent trop longtemps dans les académies - parfois jusqu’à la vingtaine, ce qui est beaucoup trop long », expliquait par exemple l’agent de joueurs James Lipett à Sky Germany. Comment Manchester City, qui dispose d’un vivier impressionnant, peut-il faire de la place au regard de la qualité de l’effectif en place ? C’est la question que se pose par exemple actuellement Phil Foden (18 ans), qui, en quelques apparitions, a laissé entrevoir tout son talent. La perspective de rallier un championnat de premier ordre plait bien plus q’un prêt en deuxième division anglaise. Revenons à Lookman et à son passage à Leipzig. L’entraîneur d’Everton, qui était alors Sam Allardyce, militait pour envoyer le jeune ailier en Championship, comme d’habitude. « Les clubs anglais sont souvent plus disposés à prêter leurs joueurs à des clubs de Championship plutôt que dans d’autres pays. Mais la tendance est en train de changer au regard du succès rencontré par les joueurs anglais en Bundesliga. C’est une situation gagnant-gagnant. », explique Aidy Ward.

Désormais aidés par l’exemple Jadon Sancho, les clubs de Bundesliga se précipitent dans la brèche et étalent leurs arguments : un championnat ouvert, des stades pleins, une confiance accordée aux jeunes. Lors du dernier mercato hivernal, Manchester City a perdu un nouvel espoir, en la personne de Rabbi Matondo, chipé par Schalke 04. Ce nouveau cas est très parlant : âgé de 18 ans, il n’a pas joué un seul match avec l’équipe première de Manchester City, se contentant d’apparaître avec les U23 mancuniens mais avait déjà été appelé en sélection nationale galloise. Le Borussia Mönchengladbach, le RB Leipzig et Hoffenheim étaient également dessus et Schalke a déboursé près de 15 M€ pour le recruter, symbole de la confiance placée en ce jeune ailier. Le RB Leipzig s’est lui fait prêter par Arsenal le jeune milieu offensif Emile Smith Rowe, qui avait bénéficié d’un peu de temps de jeu avec les Gunners et qui s’avère être l’un de leurs plus grands espoirs. Pas fou, le RB Leipzig a même intégré la possibilité d’étendre le prêt d’un an, jusqu’en 2020 donc.

Des entraîneurs qui aiment la jeunesse
Autre argument en faveur des clubs allemands à l’heure d’attirer les jeunes pépites britanniques : plusieurs entraîneurs promus par leur direction proviennent des centres de formation. Et sont donc habitués à travailler avec de jeunes joueurs et à leur faire confiance. Thomas Tuchel, aujourd’hui considéré comme l’un des meilleurs entraîneurs sur la scène européenne, était ainsi passé de l’équipe junior de Mayence à l’équipe première après le limogeage de Jorn Andersen à l’été 2009. Dans la Bundesliga d’aujourd’hui, Julian Nagelsmann (31 ans, Hoffenheim), Florian Kohfeldt (36 ans, Werder Brême), Christian Streich (53 ans, Fribourg) ou Domenico Tedesco (33 ans, Schalke 04) ont tous eu des expériences dans le domaine de la formation avant d’atterrir sur les bancs de l’équipe première.

L’exemple Sancho, des entraîneurs qui aiment la jeunesse : la Bundesliga possède de beaux atouts dans sa manche, en plus d’une belle réputation outre-Manche. Cette nouvelle mode anglaise est, qui plus est, bien appréhendée par les cellules de recrutement, qui ont déjà adopté des démarches similaires dans d’autres pays par le passé. Il y a eu le marché asiatique il y a une quinzaine d’années, investi bien plus sérieusement que par les autres pays européens, tout comme le marché américain.

L’Amérique du Nord, un terrain de chasse historique
Depuis la Coupe du monde 1994 disputée sur ses terres, les États-Unis n’ont eu de cesse de progresser au niveau du football. C’est dans cette optique que de nombreux joueurs ont décidé de rejoindre l’Europe à la fin du 20e siècle et au début du 21e siècle. Avec son jeu assez offensif, la Bundesliga s’est vite présentée comme un championnat idéal pour l’épanouissement de ces Américains et certains ont fait le pari de rejoindre le pays de Goethe. Claudio Reyna (Bayer Leverkusen et VfL Wolfsburg), Frankie Hejduk (Bayer Leverkusen) et Steve Cherundolo (423 matches avec Hanovre) représentent cette première vague américaine dans le championnat allemand.

Avec la réussite de ces éléments, les clubs de Bundesliga ont continué à s’orienter vers le marché américain avec notamment les transferts de Michael Bradley (Borussia Mönchengladbach) et de Ricardo Clark (Eintracht Francfort). Ces choix payants vont inciter les clubs allemands à se tourner vers des joueurs encore plus jeunes. Schalke 04 est l’exemple le plus frappant. Voulant se développer en Amérique du Nord, le club a conclu un partenariat avec la Leverage Agency, une entité spécialisée dans le marketing sportif. Très influente, elle fait parler son réseau à travers les États-Unis pour le plus grand bien de la formation allemande.

Outre l’aspect financier, le club s’est orienté vers les académies américaines pour faire ses emplettes avec les arrivées de Weston McKennie (20 ans, FC Dallas Academy), Zyen Jones (18 ans, Atlanta Academy), Haji Wright (20 ans, libre) et Nick Taitague (19 ans, FC Richmond). Les récents transferts du Canadien Alphonso Davies (Bayern) et de Tyler Adams (RB Leipzig) suivent cette logique. Le rival historique, le Borussia Dortmund s’est également distingué en débauchant très jeune, Christian Pulisic aux Pennsylvania Classics. Un recrutement payant puisque le jeune ailier de 20 ans est devenu rapidement un cadre des Marsupiaux et va rejoindre Chelsea cet été pour 64 millions d’euros. Ce même Chelsea qui pourrait vendre une pépite formée par ses soins au Bayern Munich, Callum Hudson-Odoi, faute d’une place suffisante dans l’effectif pour son épanouissement. Tant que les Anglais accordent plus de crédit aux jeunes talents venus d’autres pays, les clubs allemands ont de beaux jours devant eux pour flairer tranquillement les bonnes affaires !

Les gardiens de Premier League avec le maillot de Gordon Banks lors de la prochaine journée ?

La mémoire de Gordon Banks, mort mardi, pourrait être honorée par ses pairs lors de la prochaine journée, les 23 et 24 février.

Une campagne se développe sur Twitter pour que tous les gardiens de Premier League portent un maillot « Gordon Banks » lors de La prochaine journée, le week-end des 23 et 24 février, en hommage au mythique gardien anglais, vainqueur du Mondial 66 et auteur d'un arrêt légendaire face à Pelé au Mondial 70. Banks est décédé mardi à 81 ans.

Lancée par le producteur de télévision britannique Danny Bayer et relayée par Gary Linecker, l'animateur de Match Of The Day, l'émission de foot de la BCC, qui trouve que ce serait un « hommage parfait », la proposition a déjà été retweetée à 11 000 reprises. Le maillot serait bleu et porterait un numéro un blanc dans le dos.

Recours pour négligence contre Nantes : Cardiff s'active pour ne pas payer le transfert de Sala

https://www.eurosport.fr/football/premier-league/2017-2018/cardiff-demande-de-l-aide-aux-autres-clubs-pour-ne-pas-payer-le-transfert-de-sala_sto7147796/story.shtml

Un service de streaming pour la Premier League anglaise ?

Le championnat de football d’Angleterre pourrait diffuser ses matchs lui‑même via son propre service de streaming.


Les vieilles habitudes semblent avoir la vie dure, mais l’OTT est venu tout bousculer et les traditions doivent s’adapter si elles veulent survivre. Pour preuve, le championnat de football d’Angleterre ‑ou Premier League‑ qui envisage lancer son propre service de streaming pour diffuser les matchs en direct.


La Premier League cherche à augmenter son chiffre d’affaires, notamment après la récente baisse des enchères pour les droits de diffusion du championnat anglais de football sur le territoire d’Outre‑Manche. Ce service style Netflix aurait dû être testé à Singapour initialement mais le projet a été annulé, les droits de diffusion des trois prochaines saisons ayant été vendus à la compagnie de télécommunications Singtel.



Simon Jordan ‑ancien président de l’équipe Crystal Palace‑ a récemment déclaré qu’un tel service, similaire à celui de la NFL (championnat de football américain), pourrait augmenter le chiffre d’affaires de diffusion jusqu’à environ 10 milliards de livres (11,4 milliards d’euros) par saison.

Source : TVB Europe

La Premier League reprendra le 10 août 2019

La date de reprise de la saison 2019-2020 de Premier League a été dévoilée : le Championnat anglais reprendra le 10 août.

La prochaine saison de Premier League débutera le 10 août 2019, ont annoncé ce jeudi les organisateurs de la compétition.

Par ailleurs, le mercato estival fermera deux jours avant, le 8 août.

STATS - Liga, Premier League, Bundesliga... Cette saison, les Frenchies ont réglé la mire

https://www.goal.com/fr/news/stats-liga-premier-league-bundesliga-cette-saison-les/1ou8hfun532o81wffz0hee8yuf

Javier Tebas : «Heureux que la Premier League pense à moi pour être son patron»

Pressenti pour devenir le prochain patron du Championnat anglais, Javier Tebas, le sulfureux président de la Ligue de football professionnel espagnole, s'est dit flatté par cet intérêt.

Principale opposant du PSG sur la scène européenne, Javier Tebas, le truculent président de la Ligue de football professionnel espagnole, est cité parmi les possibles prétendants pour prendre la tête de la Premier League.

Fair-play financier : Javier Tebas ne lâche pas le PSG
Tebas a réagi mercredi à Macao à cet intérêt du football anglais : « Je suis très heureux qu'un Championnat comme la Premier League pense à moi pour être son patron », a-t-il déclaré à l'AFP, à l'occasion d'une convention sport-business organisée dans la ville chinoise.

En revanche, à la question de savoir s'il était prêt à quitter le football espagnol pour l'Angleterre, Tebas a répondu : « Pas de commentaire. »