Premier League,transferts, news,...
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Re: Premier League,transferts, news,...
Retour (très) partiel du public dans les stades anglais en décembre
Le Premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé lundi un retour limité du public dans les stades dans les zones d'Angleterre les moins touchées par la pandémie de nouveau coronavirus, après la fin du confinement le 2 décembre.
Selon le gouvernement, les stades pourront accueillir jusqu'à 50% de leurs capacités avec une limite fixée à 2.000 ou 4.000 spectateurs selon les restrictions locales en place. Dans les zones les plus touchées par le virus, les matches continueront de se jouer sans public.
rtbf
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Certains clubs de Premier League pourraient à nouveau accueillir du public en décembre
Á partir du mois de décembre, Liverpool, Chelsea, Brighton et West Ham United seront les premiers clubs anglais à autoriser, avec prudence, le retour de spectateurs dans leur stade lors des matches de Premier League. Ces clubs sont situés dans des régions de "niveau deux".
Le gouvernement britannique a en effet divisé l'Angleterre en zones, en fonction de l'évolution de la Covid-19. Londres et Liverpool se situent en zone 2 alors qu'à Manchester, situé en zone 3, les deux clubs phares ne pourront pas encore compter sue le soutien de leurs fans.
Un maximum de 2000 spectateurs pourront être présents lors des matches du week-end des 5 et 6 décembre : Brighton - Southampton, Chelsea - Leeds, Liverpool - Wolverhampton et West Ham - Manchester United. C'est la première fois que des spectateurs britanniques pourront reprendre le chemin du stade depuis le mois de mars. Le match d'Europa League entre Arsenal et le Rapid Vienne du 3 décembre pourrait, lui, devenir le premier match européen joué sur sol anglais devant des supporters.
La NG
Á partir du mois de décembre, Liverpool, Chelsea, Brighton et West Ham United seront les premiers clubs anglais à autoriser, avec prudence, le retour de spectateurs dans leur stade lors des matches de Premier League. Ces clubs sont situés dans des régions de "niveau deux".
Le gouvernement britannique a en effet divisé l'Angleterre en zones, en fonction de l'évolution de la Covid-19. Londres et Liverpool se situent en zone 2 alors qu'à Manchester, situé en zone 3, les deux clubs phares ne pourront pas encore compter sue le soutien de leurs fans.
Un maximum de 2000 spectateurs pourront être présents lors des matches du week-end des 5 et 6 décembre : Brighton - Southampton, Chelsea - Leeds, Liverpool - Wolverhampton et West Ham - Manchester United. C'est la première fois que des spectateurs britanniques pourront reprendre le chemin du stade depuis le mois de mars. Le match d'Europa League entre Arsenal et le Rapid Vienne du 3 décembre pourrait, lui, devenir le premier match européen joué sur sol anglais devant des supporters.
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Premier League : les entraîneurs divisés face au retour du public
Les stades vont rouvrir progressivement en Angleterre. Pour une partie des clubs seulement et pour un nombre de personnes limité à 2 000. De quoi susciter des commentaires de la part des entraîneurs, partagés entre le souci d'équité et le plaisir de retrouver les fans.
La Grande-Bretagne a décidé d'assouplir les règles sanitaires pour les prochaines semaines, et les activités sportives vont bénéficier des dernières mesures. Cela vaut aussi pour les fans, puisqu'à partir de mercredi prochain, dans certaines zones et avec une limitation de personnes, il sera possible de retourner au stade. Mais pas partout. Dix clubs de Premier League (Liverpool, Everton, Arsenal, Chelsea, Crystal Palace, Fulham, Tottenham Hotspur, West Ham United, Brighton et Southampton) seront autorisés à accueillir jusqu'à 2 000 fans dans leurs enceintes respectives. De quoi ravir les formations de Premier League après des mois de huis clos total ? Pas forcément.
A commencer par Marcelo Bielsa, qui a donné son avis sur la question en conférence de presse. « Peut-être devrait-il y avoir une règle selon laquelle, si tous les clubs ne peuvent pas accueillir de fans, aucun n'en accueille. Il faut essayer de rendre la compétition aussi équitable que possible quand on le peut. La présence des fans a un effet sur les résultats. Les gens qui sont dans des régions à haut risque sanitaire seront pénalisés. » Faut-il se féliciter du retour progressif du public, signe d'une amélioration de la situation, ou pointer du doigt le manque d'équité, même pour une si faible présence (2 000 personnes) ? Marcelo Bielsa a visiblement choisi, et il n'est pas le seul.
Sean Dyche ironise sur le sujet
Certains autres recalés avec Leeds, que sont Newcastle, les deux clubs de Manchester, Aston Villa, West Bromwich Albion, Wolverhampton Wanderers, Leicester City, Sheffield United et Burnley l'ont également mauvaise. Steve Bruce, coach de Newcastle, a parlé d'un « avantage injuste » en faveur des clubs pouvant accueillir du public. Ce n'est par contre pas le cas de Sean Dyche, entraîneur de Burnley, qui jouera contre Arsenal le 13 décembre dans un Emirates Stadium plus animé que ces dernières semaines. Ce qui le fait plus rire qu'autre chose. « Un stade de cette taille avec 2 000 personnes... Ce sont des ramasseurs de balle ? », a-t-il ironisé de son côté.
Dans les stades ultra-modernes de certains clubs, la présence de 2 000 fans apparaît effectivement anecdotique. Mais pour les clubs qui n'ont pas franchi ce cap et qui gardent des enceintes à taille humaine, avec les tribunes proches du terrain, le ressenti ne sera pas forcément le même. Alors, faut-il réellement s'inquiéter pour l'équité ou se réjouir du retour d'une très petite partie des supporters ? « Je pense qu'il est plus question là de voir à quel point il est agréable pour les fans qui auront un billet d'assister à nouveau à un match en direct », a jugé Roy Hodgson, l'expérimenté entraîneur (73 ans) de Crystal Palace.
Les stades vont rouvrir progressivement en Angleterre. Pour une partie des clubs seulement et pour un nombre de personnes limité à 2 000. De quoi susciter des commentaires de la part des entraîneurs, partagés entre le souci d'équité et le plaisir de retrouver les fans.
La Grande-Bretagne a décidé d'assouplir les règles sanitaires pour les prochaines semaines, et les activités sportives vont bénéficier des dernières mesures. Cela vaut aussi pour les fans, puisqu'à partir de mercredi prochain, dans certaines zones et avec une limitation de personnes, il sera possible de retourner au stade. Mais pas partout. Dix clubs de Premier League (Liverpool, Everton, Arsenal, Chelsea, Crystal Palace, Fulham, Tottenham Hotspur, West Ham United, Brighton et Southampton) seront autorisés à accueillir jusqu'à 2 000 fans dans leurs enceintes respectives. De quoi ravir les formations de Premier League après des mois de huis clos total ? Pas forcément.
A commencer par Marcelo Bielsa, qui a donné son avis sur la question en conférence de presse. « Peut-être devrait-il y avoir une règle selon laquelle, si tous les clubs ne peuvent pas accueillir de fans, aucun n'en accueille. Il faut essayer de rendre la compétition aussi équitable que possible quand on le peut. La présence des fans a un effet sur les résultats. Les gens qui sont dans des régions à haut risque sanitaire seront pénalisés. » Faut-il se féliciter du retour progressif du public, signe d'une amélioration de la situation, ou pointer du doigt le manque d'équité, même pour une si faible présence (2 000 personnes) ? Marcelo Bielsa a visiblement choisi, et il n'est pas le seul.
Sean Dyche ironise sur le sujet
Certains autres recalés avec Leeds, que sont Newcastle, les deux clubs de Manchester, Aston Villa, West Bromwich Albion, Wolverhampton Wanderers, Leicester City, Sheffield United et Burnley l'ont également mauvaise. Steve Bruce, coach de Newcastle, a parlé d'un « avantage injuste » en faveur des clubs pouvant accueillir du public. Ce n'est par contre pas le cas de Sean Dyche, entraîneur de Burnley, qui jouera contre Arsenal le 13 décembre dans un Emirates Stadium plus animé que ces dernières semaines. Ce qui le fait plus rire qu'autre chose. « Un stade de cette taille avec 2 000 personnes... Ce sont des ramasseurs de balle ? », a-t-il ironisé de son côté.
Dans les stades ultra-modernes de certains clubs, la présence de 2 000 fans apparaît effectivement anecdotique. Mais pour les clubs qui n'ont pas franchi ce cap et qui gardent des enceintes à taille humaine, avec les tribunes proches du terrain, le ressenti ne sera pas forcément le même. Alors, faut-il réellement s'inquiéter pour l'équité ou se réjouir du retour d'une très petite partie des supporters ? « Je pense qu'il est plus question là de voir à quel point il est agréable pour les fans qui auront un billet d'assister à nouveau à un match en direct », a jugé Roy Hodgson, l'expérimenté entraîneur (73 ans) de Crystal Palace.
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Re: Premier League,transferts, news,...
Brexit: En 2021, tous les joueurs de Premier League devront avoir leur permis de travail
Un accord est intervenu entre le ministère de l'Intérieur britannique et les instances du football professionnel anglaises (Football Association, Premier League et EFL) au sujet des joueurs étrangers qui pourront évoluer en Angleterre après le Brexit, le 1er janvier 2021. Il sera dès lors plus difficile d'engager des joueurs étrangers.
L'autorisation sera basée sur un principe de points à obtenir. Le 1er janvier prochain, tous les footballeurs issus de l'Union européenne auront besoin d'un permis de travail pour jouer en Angleterre. Jusqu'ici, seuls les non-européens avaient besoin de celui-ci.
Pour l'obtenir, les joueurs doivent répondre à certaines exigences qui sont mesurées en points. Le fait d'être international, le niveau du club dans il évolue, le succès en compétitions continentales et le nombre de matchs joués au sein du club. Si le joueur obtient le nombre de points minimum, il reçoit automatiquement son permis de travail.
Si le nombre de points n'est pas atteint, le joueur peut bénéficier d'une autorisation spéciale auprès d'une commission.
Le nouveau système assure la présence des meilleurs joueurs tout en protégeant l'avenir des équipes nationales anglaises, car les joueurs étrangers de moins de 18 ans ne pourront plus être mis sous contrat après le Brexit.
Les nouvelles règles s'appliqueront déjà lors du prochain mercato hivernal.
Un accord est intervenu entre le ministère de l'Intérieur britannique et les instances du football professionnel anglaises (Football Association, Premier League et EFL) au sujet des joueurs étrangers qui pourront évoluer en Angleterre après le Brexit, le 1er janvier 2021. Il sera dès lors plus difficile d'engager des joueurs étrangers.
L'autorisation sera basée sur un principe de points à obtenir. Le 1er janvier prochain, tous les footballeurs issus de l'Union européenne auront besoin d'un permis de travail pour jouer en Angleterre. Jusqu'ici, seuls les non-européens avaient besoin de celui-ci.
Pour l'obtenir, les joueurs doivent répondre à certaines exigences qui sont mesurées en points. Le fait d'être international, le niveau du club dans il évolue, le succès en compétitions continentales et le nombre de matchs joués au sein du club. Si le joueur obtient le nombre de points minimum, il reçoit automatiquement son permis de travail.
Si le nombre de points n'est pas atteint, le joueur peut bénéficier d'une autorisation spéciale auprès d'une commission.
Le nouveau système assure la présence des meilleurs joueurs tout en protégeant l'avenir des équipes nationales anglaises, car les joueurs étrangers de moins de 18 ans ne pourront plus être mis sous contrat après le Brexit.
Les nouvelles règles s'appliqueront déjà lors du prochain mercato hivernal.
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Re: Premier League,transferts, news,...
Coronavirus: les clubs de Premier League au secours des plus petites divisions anglaises
Les clubs de la Premier League ont décidé d’apporter un soutien à un plan d’aide de plus de 275 millions d’euros (250 millions de livres) aux clubs anglais professionnels des divisions inférieures, tous membres de l’EFL. Ils le font pour éviter qu’une grande partie d’entre eux ne fasse faillite en raison des conséquences de la crise du Covid-19.
La Premier League a maintenu une partie de ses revenus grâce aux importants droits de télévision, les ligues inférieures n’en disposent pas. L’aide se compose de 55 millions d’euros de dons aux clubs de D3 (Ligue One) et D4 (League Two). La Premier League aidera, grâce à un don de 17 millions d’euros, l’EFL à obtenir un prêt sans intérêt à hauteur de 220 millions d’euros de la Championship (D2). Chaque club pourra demander un prêt maximal de 9,2 millions d’euros remboursable jusqu’en juin 2024.
«Tous les clubs de football continuent à subir des pertes financières importantes en raison de la pandémie, mais les actionnaires de la Premier League ont unanimement accepté de fournir un financement et un soutien supplémentaires aux clubs de l’EFL en réelle détresse financière» a déclaré Richard Masters, CEO de la Premier League.
La NG
Les clubs de la Premier League ont décidé d’apporter un soutien à un plan d’aide de plus de 275 millions d’euros (250 millions de livres) aux clubs anglais professionnels des divisions inférieures, tous membres de l’EFL. Ils le font pour éviter qu’une grande partie d’entre eux ne fasse faillite en raison des conséquences de la crise du Covid-19.
La Premier League a maintenu une partie de ses revenus grâce aux importants droits de télévision, les ligues inférieures n’en disposent pas. L’aide se compose de 55 millions d’euros de dons aux clubs de D3 (Ligue One) et D4 (League Two). La Premier League aidera, grâce à un don de 17 millions d’euros, l’EFL à obtenir un prêt sans intérêt à hauteur de 220 millions d’euros de la Championship (D2). Chaque club pourra demander un prêt maximal de 9,2 millions d’euros remboursable jusqu’en juin 2024.
«Tous les clubs de football continuent à subir des pertes financières importantes en raison de la pandémie, mais les actionnaires de la Premier League ont unanimement accepté de fournir un financement et un soutien supplémentaires aux clubs de l’EFL en réelle détresse financière» a déclaré Richard Masters, CEO de la Premier League.
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Covid-19 : La Premier League refuse d'avoir accès au vaccin avant la population
La semaine dernière, le gouvernement anglais donnait le feu vert à la Premier League pour ainsi offrir aux clubs de Londres et de Liverpool la possibilité d’accueillir à nouveau 2000 supporters dans leurs enceintes respectives. Si ce n’est qu’un début, le gouvernement britannique a récemment fait savoir qu’il serait le premier pays au monde à approuver un vaccin Pfizer/BionTech. Si ce dernier a été mis en place pour la semaine prochaine, au moment du retour de certains supporters, The Telegraph nous informe que la Premier League n’essaiera en aucun cas de fournir des vaccins aux footballeurs avant même qu’ils ne soient proposés à la population.
De plus, l’organisation aurait indiqué qu’elle s’opposerait aux clubs qui tenteraient de se fournir ce vaccin plus rapidement que prévu grâce à des entreprises privées. La ligue a affirmé que le système de tests mis en place est extrêmement efficace et qu’il faudra donc attendre quelques jours avant que l’ensemble de la population ne puisse en profiter. En cas de réussite, l’objectif de la ligue serait d’atteindre une capacité de remplissage des stades de 50% avant même que le vaccin ne soit diffusé à l’ensemble de la population. Toutefois, les stades ne seront eux pas remplis à nouveau tant que le vaccin n’aura pas fait effet et que les mesures de distanciation sociale ne seront pas assouplies.
La semaine dernière, le gouvernement anglais donnait le feu vert à la Premier League pour ainsi offrir aux clubs de Londres et de Liverpool la possibilité d’accueillir à nouveau 2000 supporters dans leurs enceintes respectives. Si ce n’est qu’un début, le gouvernement britannique a récemment fait savoir qu’il serait le premier pays au monde à approuver un vaccin Pfizer/BionTech. Si ce dernier a été mis en place pour la semaine prochaine, au moment du retour de certains supporters, The Telegraph nous informe que la Premier League n’essaiera en aucun cas de fournir des vaccins aux footballeurs avant même qu’ils ne soient proposés à la population.
De plus, l’organisation aurait indiqué qu’elle s’opposerait aux clubs qui tenteraient de se fournir ce vaccin plus rapidement que prévu grâce à des entreprises privées. La ligue a affirmé que le système de tests mis en place est extrêmement efficace et qu’il faudra donc attendre quelques jours avant que l’ensemble de la population ne puisse en profiter. En cas de réussite, l’objectif de la ligue serait d’atteindre une capacité de remplissage des stades de 50% avant même que le vaccin ne soit diffusé à l’ensemble de la population. Toutefois, les stades ne seront eux pas remplis à nouveau tant que le vaccin n’aura pas fait effet et que les mesures de distanciation sociale ne seront pas assouplies.
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Re: Premier League,transferts, news,...
Tottenham, Chelsea, Arsenal... Les stades de football à Londres à nouveau interdit au public
Le retour d'un nombre limité de supporters pour les matchs à domicile des clubs londoniens de Premier League n'a pas duré longtemps.
Tottenham, Chelsea, Arsenal... Les stades de football à Londres à nouveau interdit au public AP
A partir de mercredi, la capitale anglaise figurera à nouveau dans le troisième niveau de risque en raison d'une augmentation du nombre d'infections au coronavirus. Dans le 'Tier 3', les événements sportifs et autres événéments 'live' ne peuvent se tenir en présence de public.
Depuis le 2 décembre, les matchs de Premier League à Londres pouvaient accueillir maximum 2.000 spectateurs. Le nombre correspondait au niveau 2. Au niveau 1, 4.000 spectateurs peuvent assister aux rencontres du plus haut niveau professionnel.
En raison de ces nouvelles mesures, Tottenham Hotspur, Chelsea, Arsenal, West Ham United, Crystal Palace et Fulham joueront à nouveau à huis clos leurs rencontres à domicile. Liverpool, Everton, Southampton et Brighton sont les seuls clubs de Premier League à pouvoir jouer à domicile avec du public.
La DH
Le retour d'un nombre limité de supporters pour les matchs à domicile des clubs londoniens de Premier League n'a pas duré longtemps.
Tottenham, Chelsea, Arsenal... Les stades de football à Londres à nouveau interdit au public AP
A partir de mercredi, la capitale anglaise figurera à nouveau dans le troisième niveau de risque en raison d'une augmentation du nombre d'infections au coronavirus. Dans le 'Tier 3', les événements sportifs et autres événéments 'live' ne peuvent se tenir en présence de public.
Depuis le 2 décembre, les matchs de Premier League à Londres pouvaient accueillir maximum 2.000 spectateurs. Le nombre correspondait au niveau 2. Au niveau 1, 4.000 spectateurs peuvent assister aux rencontres du plus haut niveau professionnel.
En raison de ces nouvelles mesures, Tottenham Hotspur, Chelsea, Arsenal, West Ham United, Crystal Palace et Fulham joueront à nouveau à huis clos leurs rencontres à domicile. Liverpool, Everton, Southampton et Brighton sont les seuls clubs de Premier League à pouvoir jouer à domicile avec du public.
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Premier League: les clubs ont voté pour deux remplacements supplémentaires en cas de commotion cérébrale
Les clubs de Premier League, le championnat anglais de football, ont voté jeudi en faveur de l’introduction de deux remplacements supplémentaires par match et par équipe en cas de commotion cérébrale à partir de janvier, a déclaré l’instance dans un communiqué.
Si une équipe effectue un changement pour commotion, son adversaire aura le droit d’effectuer lui aussi un remplacement supplémentaire au même moment, quel que soit le nombre de joueurs qu’elle aura déjà changés.
Dans un cas extrême, on pourrait donc avoir jusqu’à sept remplacements par match et par équipe. L’International Board (Ifab), garant des lois du jeu, avait indiqué mercredi vouloir tester à partir de janvier des remplacements supplémentaires dans les matches en cas de suspicion de commotion.
Un système de remplacement permanent a été préféré à un remplacement temporaire afin de mettre le joueur à l’abri d’un deuxième choc, d’éviter toute pression pour qu’il reprenne le match et de donner davantage de temps pour évaluer sa santé.
Davantage de remplaçants sur la feuille de match
Indépendamment de cela, les clubs de Premier League ont également voté pour que le nombre de remplaçants sur la feuille de match soit porté de sept à neuf à partir de la 14e journée qui débute samedi et jusqu’à la fin de la saison 2020-2021.
La NG
Les clubs de Premier League, le championnat anglais de football, ont voté jeudi en faveur de l’introduction de deux remplacements supplémentaires par match et par équipe en cas de commotion cérébrale à partir de janvier, a déclaré l’instance dans un communiqué.
Si une équipe effectue un changement pour commotion, son adversaire aura le droit d’effectuer lui aussi un remplacement supplémentaire au même moment, quel que soit le nombre de joueurs qu’elle aura déjà changés.
Dans un cas extrême, on pourrait donc avoir jusqu’à sept remplacements par match et par équipe. L’International Board (Ifab), garant des lois du jeu, avait indiqué mercredi vouloir tester à partir de janvier des remplacements supplémentaires dans les matches en cas de suspicion de commotion.
Un système de remplacement permanent a été préféré à un remplacement temporaire afin de mettre le joueur à l’abri d’un deuxième choc, d’éviter toute pression pour qu’il reprenne le match et de donner davantage de temps pour évaluer sa santé.
Davantage de remplaçants sur la feuille de match
Indépendamment de cela, les clubs de Premier League ont également voté pour que le nombre de remplaçants sur la feuille de match soit porté de sept à neuf à partir de la 14e journée qui débute samedi et jusqu’à la fin de la saison 2020-2021.
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Les joueurs professionnels en Angleterre veulent continuer à poser le genou à terre
Le syndicat des footballeurs professionnels en Angleterre a indiqué que les joueurs souhaitaient continuer à poser le genou à terre avant les matches pour protester contre le racisme.
Le syndicat des footballeurs professionnels en Angleterre (PFA) a indiqué, vendredi, que les joueurs étaient « massivement » favorables au fait de continuer de s'agenouiller avant les matches en signe de solidarité contre l'inégalité raciale. Une enquête avait été menée suite à une série d'incidents où les supporters de Millwall, Colchester United et Cambridge United, notamment, avaient hué ce geste.
« Le but des discussions et de l'enquête était de s'assurer que nous continuions à représenter ce que les joueurs voulaient sur cette question, a souligné le directeur de la PFA, Jason Lee. Nous pouvons maintenant faire avancer cette position avec autorité lors du dialogue avec les médias, les clubs et la Ligue de football ».
Le syndicat des footballeurs professionnels en Angleterre a indiqué que les joueurs souhaitaient continuer à poser le genou à terre avant les matches pour protester contre le racisme.
Le syndicat des footballeurs professionnels en Angleterre (PFA) a indiqué, vendredi, que les joueurs étaient « massivement » favorables au fait de continuer de s'agenouiller avant les matches en signe de solidarité contre l'inégalité raciale. Une enquête avait été menée suite à une série d'incidents où les supporters de Millwall, Colchester United et Cambridge United, notamment, avaient hué ce geste.
« Le but des discussions et de l'enquête était de s'assurer que nous continuions à représenter ce que les joueurs voulaient sur cette question, a souligné le directeur de la PFA, Jason Lee. Nous pouvons maintenant faire avancer cette position avec autorité lors du dialogue avec les médias, les clubs et la Ligue de football ».
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La Premier League à l’épreuve du Brexit dès le 1er janvier: quelles conséquences pour les clubs?
Trois ans et demi après avoir été votée, la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne sera effective au 1er janvier, une échéance qui ne sera pas sans effet sur la Premier League, même si certains clubs espèrent avoir trouvé la parade. Au cours des dernières années, le poids des joueurs estampillés UE dans le championnat anglais n’avait fait que croître.
Selon une étude de l’Observatoire du football du Centre international des études sportives (CIES) en mars 2019, la part des minutes jouées par des joueurs d’Europe continentale était passée de 36 à 45 % entre la saison 2009/2010 et 2018/2019 et la part des buts inscrits de 39,2 à 43,3 %.
Une tendance qui devrait s’atténuer, voire s’inverser à partir de janvier, avec la concrétisation du Brexit et la fin de la libre circulation des joueurs.
Depuis le référendum qui a scellé le Brexit, le 23 juin 2016, les clubs ont déjà ressenti un premier effet important avec la fonte de leur pouvoir d’achat.
La livre sterling, qui valait 1,3072 euro le jour du vote, ne vaut plus aujourd’hui qu’environ 1,10 euro.
Plus chers, les joueurs européens vont en plus être soumis à compter du 1er janvier, comme les Africains, Sud-Américains ou Asiatiques, à l’obtention d’un permis de travail attribué sur la base d’un système de points en fonction de leur expérience internationale, du niveau de leur club d’origine et de ses résultats.
Plus de N’Golo Kanté ni de Paul Pogba ?
Ce système permettra à la Premier League « de continuer à être en mesure de recruter les meilleurs joueurs pour rester compétitive et stimulante », veut croire son patron Richard Masters.
Mais il affectera surtout les clubs moins importants ou écossais qui recrutent des stars en devenir plutôt que confirmées.
Il existe bien une commission indépendante qui pourra accorder une dérogation, mais avec ce système, les recrutements par Leicester de Riyad Mahrez en provenance du Havre en 2014 ou de N’Golo Kanté à Caen en 2015 n’auraient pas été possibles.
« On va sans doute regarder le marché britannique plutôt qu’ailleurs. Je pense qu’il sera difficile après la fin de l’année de faire venir des joueurs du continent », a admis le manager du Celtic Glasgow Neil Lennon.
Le Brexit signifiera aussi que l’interdiction de recruter des mineurs imposée par la Fifa, mais autorisée au sein de l’UE sous conditions, s’appliquera aux clubs britanniques.
On ne verra plus débarquer outre-Manche des Paul Pogba ou des Cesc Fabregas à 16 ans. Le nombre de joueurs étrangers de 18 à 21 ans sera aussi limité à 6 par an.
Une source appréciable de revenus réguliers qui s’envole pour certains clubs.
Les ventes de joueurs comme Brahim Diaz, Pablo Maffeo ou Rony Lopes avaient rapporté près de 40 M EUR à Manchester City ces dernières années, même s’ils ont joué moins de 30 matches en équipe première à eux trois.
Mais les clubs anglais ne sont pas restés les bras croisés pendant ces trois années et demie.
Holdings tentaculaires
Ils ont déjà commencé à recentrer leur détection de jeunes sur les talents locaux, qui deviennent une denrée très recherchée.
Si cela pourrait avoir des effets vertueux sur la sélection nationale à terme en donnant aux jeunes joueurs britanniques davantage d’exposition – c’est du moins ce qu’espère la fédération anglaise (FA) – cela renforcera encore les difficultés des clubs modestes à conserver leurs espoirs les plus prometteurs.
Plusieurs clubs ont aussi créé ces dernières années de véritables holdings contrôlant des équipes dans plusieurs pays, voire sur plusieurs continents.
On pense évidemment au Manchester City Group, organisation tentaculaire aux ramifications en Inde, en Chine, au Japon, en Australie, aux Etats-Unis, mais surtout en Espagne, en Belgique ou, depuis peu, en France (Troyes, D2).
Mais des clubs plus modestes comme Leicester, qui contrôle Louvain en Belgique, ou Sheffield United, qui vise le rachat de Châteauroux, après avoir pris le contrôle des Belges du Beerschot, s’y sont aussi mis.
« Là où le Beerschot va nous aider à l’avenir, c’est que s’il y a des joueurs qui nous intéressent mais pour qui on ne peut pas avoir de visas (…) on pense que leur donner du temps dans le championnat belge les aidera » à devenir internationaux et remplir les conditions pour un permis de travail, avait récemment expliqué Stephen Bettis, le président de Sheffield United.
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Le foot anglais à nouveau sous la menace du Covid
Manchester City décimé par des cas de Covid, matches reportés, le football anglais se retrouve à nouveau sous le menace de la pandémie qui s'accélère dans le pays, incitant certains à réclamer une interruption des compétitions.
Comme la saison passée, le Championnat d'Angleterre risque-t-il de voir son calendrier morcelé et chamboulé par le coronavirus ?
La question se pose de nouveau alors que le nombre de tests positifs au Covid-19 au sein des clubs de l'élite anglaise, la Premier League, a atteint son plus haut niveau, sur sept jours, depuis le mois de mai.
Dix-huit joueurs et membres de l'encadrement ont fait l'objet d'un test PCR positif. Ce chiffre est à relativiser, puisque 1.479 joueurs et membres du staff ont été testés entre le 21 et le 27 décembre, mais il n'en reste pas moins inquiétant: la prévalence en Premier League est supérieure à celle des grandes villes les plus touchées d'Angleterre.
Une série de reports dans les prochains jours n'est plus à exclure, à l'image de ce qu'il s'est passé pour le duel Everton–Manchester City, prévu lundi et stoppé seulement quatre heures avant son coup d'envoi, alors que plusieurs cas de Covid étaient recensés au sein de l'équipe de Pep Guardiola et de l'encadrement.
- "Mettre en pause" -
Mercredi, c'est Tottenham-Fulham qui a été reporté à son tour, après une "hausse significative" des cas positifs et des "joueurs présentant des symptômes" dans les rangs de Fulham, a indiqué la Premier League.
Des cas positifs ont également été signalés à Sheffield United et la programmation du choc entre Chelsea et Manchester City, dimanche, est également incertaine.
Dans les divisions inférieures, les reports et cas positifs se multiplient depuis plusieurs jours, si bien qu'une suspension générale des compétitions est évoquée.
Elle a même été demandée par Sam Allardyce, nouvel entraîneur de West Bromwich Albion en Premier League.
Après la défaite de son équipe à domicile contre Leeds (0-5), Allardyce a appelé les autorités à appliquer un "circuit break" ("disjoncteur") afin de ralentir le rythme de propagation de l'épidémie.
"Quoiqu'on fasse, même avec beaucoup de tests, avec le port des masques, avec le lavage des mains, on continue d'être contaminés à travers le pays", a regretté "Big Sam".
"La santé de chacun est ce qu'il y a de plus important. Quand j'entends que la nouvelle variante du virus se transmet 70% plus rapidement, la meilleure chose à faire est de mettre en pause la saison", a-t-il martelé.
- Le risque FA Cup -
Avant cette semaine, seul un match de Premier League (Newcastle–Aston Villa début décembre), avait été reporté.
A ce stade, le calendrier du championnat n'a donc guère été touché. Mais la saison 2020-21 a commencé un mois plus tard que les exercices précédents, en raison du décalage jusqu'à juillet de la saison précédente, suspendue à la fin du printemps.
L'entraîneur de Manchester United Ole Gunnar Solskjaer redoute l'impact d'une pause sur un calendrier déjà compressé: "Je ne vois pas l'intérêt de faire un +break+, quel que soit son nom. Quand allons-nous jouer les matches ?", s'est-il interrogé.
Alors que la situation sanitaire au Royaume-Uni est alarmante depuis l'apparition du variant du coronavirus, synonyme d'explosion des cas positifs qui ont atteint un niveau historique cette semaine, un rendez-vous dans le calendrier fait craindre le pire.
Du 8 au 10 janvier, les clubs de l'élite entrent en lice en FA Cup, la prestigieuse Coupe d'Angleterre, et vont se déplacer ou rencontrer des clubs de divisions inférieures qui n'ont pas les mêmes protocoles sanitaires, quand ils en ont.
Quatorze duels entre des clubs de Premier League et de divisions inférieures sont au programme, autant de "clusters" possibles. Mais la Premier League s'est voulue rassurante mercredi en annonçant que "les tests pour ces clubs (des divisions inférieures) seront pris en charge".
rtl
Manchester City décimé par des cas de Covid, matches reportés, le football anglais se retrouve à nouveau sous le menace de la pandémie qui s'accélère dans le pays, incitant certains à réclamer une interruption des compétitions.
Comme la saison passée, le Championnat d'Angleterre risque-t-il de voir son calendrier morcelé et chamboulé par le coronavirus ?
La question se pose de nouveau alors que le nombre de tests positifs au Covid-19 au sein des clubs de l'élite anglaise, la Premier League, a atteint son plus haut niveau, sur sept jours, depuis le mois de mai.
Dix-huit joueurs et membres de l'encadrement ont fait l'objet d'un test PCR positif. Ce chiffre est à relativiser, puisque 1.479 joueurs et membres du staff ont été testés entre le 21 et le 27 décembre, mais il n'en reste pas moins inquiétant: la prévalence en Premier League est supérieure à celle des grandes villes les plus touchées d'Angleterre.
Une série de reports dans les prochains jours n'est plus à exclure, à l'image de ce qu'il s'est passé pour le duel Everton–Manchester City, prévu lundi et stoppé seulement quatre heures avant son coup d'envoi, alors que plusieurs cas de Covid étaient recensés au sein de l'équipe de Pep Guardiola et de l'encadrement.
- "Mettre en pause" -
Mercredi, c'est Tottenham-Fulham qui a été reporté à son tour, après une "hausse significative" des cas positifs et des "joueurs présentant des symptômes" dans les rangs de Fulham, a indiqué la Premier League.
Des cas positifs ont également été signalés à Sheffield United et la programmation du choc entre Chelsea et Manchester City, dimanche, est également incertaine.
Dans les divisions inférieures, les reports et cas positifs se multiplient depuis plusieurs jours, si bien qu'une suspension générale des compétitions est évoquée.
Elle a même été demandée par Sam Allardyce, nouvel entraîneur de West Bromwich Albion en Premier League.
Après la défaite de son équipe à domicile contre Leeds (0-5), Allardyce a appelé les autorités à appliquer un "circuit break" ("disjoncteur") afin de ralentir le rythme de propagation de l'épidémie.
"Quoiqu'on fasse, même avec beaucoup de tests, avec le port des masques, avec le lavage des mains, on continue d'être contaminés à travers le pays", a regretté "Big Sam".
"La santé de chacun est ce qu'il y a de plus important. Quand j'entends que la nouvelle variante du virus se transmet 70% plus rapidement, la meilleure chose à faire est de mettre en pause la saison", a-t-il martelé.
- Le risque FA Cup -
Avant cette semaine, seul un match de Premier League (Newcastle–Aston Villa début décembre), avait été reporté.
A ce stade, le calendrier du championnat n'a donc guère été touché. Mais la saison 2020-21 a commencé un mois plus tard que les exercices précédents, en raison du décalage jusqu'à juillet de la saison précédente, suspendue à la fin du printemps.
L'entraîneur de Manchester United Ole Gunnar Solskjaer redoute l'impact d'une pause sur un calendrier déjà compressé: "Je ne vois pas l'intérêt de faire un +break+, quel que soit son nom. Quand allons-nous jouer les matches ?", s'est-il interrogé.
Alors que la situation sanitaire au Royaume-Uni est alarmante depuis l'apparition du variant du coronavirus, synonyme d'explosion des cas positifs qui ont atteint un niveau historique cette semaine, un rendez-vous dans le calendrier fait craindre le pire.
Du 8 au 10 janvier, les clubs de l'élite entrent en lice en FA Cup, la prestigieuse Coupe d'Angleterre, et vont se déplacer ou rencontrer des clubs de divisions inférieures qui n'ont pas les mêmes protocoles sanitaires, quand ils en ont.
Quatorze duels entre des clubs de Premier League et de divisions inférieures sont au programme, autant de "clusters" possibles. Mais la Premier League s'est voulue rassurante mercredi en annonçant que "les tests pour ces clubs (des divisions inférieures) seront pris en charge".
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Mes autres équipes préférées: Royal charleroi sporting club, Equipe national d'Angleterre, les diables rouges
Re: Premier League,transferts, news,...
Le Brexit ou le début du déclin de la Premier League : "Pas sûr que les droits télé étrangers rapportent encore 2 milliards"
Elle sera bientôt lointaine l’époque où de jeunes footballeurs belges traversaient la Manche avant même de fêter leurs 18 ans. C’est par exemple ce qu’ont fait Charly Musonda Jr, Dedryck Boyata, Jason Denayer ou encore Julien Ngoy et Thibaut Verlinden. Mais aussi d’autres jeunes talents internationaux devenus des superstars mondiales comme Gérard Piqué et Paul Pogba à Manchester United ou Cesc Fabregas à Arsenal. Le Brexit va tout révolutionner.
Les représentants des 27 États membres de l’Union européenne ont donné leur aval ce lundi à l’application provisoire, à partir du 1er janvier, de l’accord post-Brexit. Et les conséquences seront énormes sur la Premier League.
"D’abord, les joueurs plus jeunes que 21 ans ne pourront plus si facilement rejoindre des clubs anglais", analyse Jesse De Preter, l’agent de Roberto Martinez et, via son agence Quadrans Football Management, de plusieurs joueurs, dont Jason Denayer et Thomas Foket. "La limite est fixée à seulement six jeunes par saison par club. Le but est que les clubs anglais misent tout sur des jeunes joueurs anglais."
En plus de cette limitation, les joueurs de moins de 18 ans ne pourront plus être transférés vers l’Angleterre avant d’atteindre la majorité. "La Fifa avait fait une exception pour les membres de l’Union européenne qui pouvaient transférer des jeunes à partir de 16 ans. Désormais, le flux de gamins de 16 ou 17 ans qui jouent en Angleterre, c’est fini."
Plus globalement, si les joueurs actuellement sous contrat n’ont rien à craindre, ce sont tous les non-Anglais désirant jouer outre-Manche qui verront leur rêve freiné. Dès le 1er janvier, ils devront répondre à des critères similaires aux non-Européens pour décrocher un permis de travail et un permis de résidence.
"Jusqu’à présent, les footballeurs de l’Union européenne étaient traités sur un pied d’égalité avec les joueurs britanniques sur base du droit à la libre circulation des citoyens, poursuit Jesse De Preter. Leur carte d’identité suffisait pour signer un contrat. Les non-Européens, eux, devaient demander un permis de travail, qu’ils n’obtenaient que s’ils répondaient à des critères stricts."
Un joueur africain, un Brésilien ou un Argentin doit par exemple montrer un CV déjà bien décoré pour obtenir ce permis. Il doit présenter 15 points dans une grille de critères bien définis tels que le nombre de matchs en équipe nationale, le temps de jeu en club, le prestige du championnat d’origine, etc.
Et là, un joueur comme Marouane Fellaini pourrait être bloqué s’il décidait d’un jour revenir en Angleterre. "Un titulaire de l’équipe nationale belge - classé numéro 1 du ranking Fifa - sera bien coté. Mais s’il joue en Chine, un championnat moins huppé, son capital points lié à son club sera moins élevé."
Si le nombre de points n’est pas atteint, le joueur peut bénéficier d’une autorisation spéciale auprès d’une commission. Mais le championnat anglais va tout de même prendre un fameux coup sur la tête. Selon une étude de l’Observatoire du football, la part des minutes jouées par des joueurs d’Europe continentale était passée de 36 à 45 % entre la saison 2009-2010 et 2018-2019 et la part des buts inscrits de 39,2 à 43,3 %.
Cela fait évidemment très peur au regard des résultats d’une autre étude menée ces dernières semaines pour simuler le nombre d’étrangers actuels qui recevraient un permis de travail selon les nouvelles règles. Le résultat est effarant : à peine un joueur sur deux. La majorité émanant de clubs moins importants ou écossais qui ont pris l’habitude de recruter des stars en devenir plutôt que confirmées.
Selon le patron de la Premier League Richard Master, ce système permettra au championnat "de continuer à être en mesure de recruter les meilleurs joueurs pour rester compétitif et stimulant". Jesse De Preter est moins optimiste. "Est-ce que les droits télé rapporteront encore 2 milliards d’euros de la part de chaînes étrangères, quand moins de joueurs étrangers seront actifs ? En ce moment, 75 à 80 % des joueurs sont étrangers…"
Une échappatoire semble toutefois déjà se dessiner. "Même s’ils ne pourront pas tous les faire jouer en match, les clubs anglais pourront faire signer autant de joueurs étrangers qu’ils veulent. Donc, ils les prêteront à d’autres clubs. Soit des clubs européens, soit des clubs anglais qui n’ont pas encore six jeunes."
Ce qui pourrait bénéficier aux clubs satellites. On pense évidemment au Manchester City Group qui gère des clubs aux quatre coins du monde mais aussi à des clubs moins riches comme Leicester, qui contrôle OHL, ou Sheffield United qui a pris le contrôle du Beerschot.
La DH
Elle sera bientôt lointaine l’époque où de jeunes footballeurs belges traversaient la Manche avant même de fêter leurs 18 ans. C’est par exemple ce qu’ont fait Charly Musonda Jr, Dedryck Boyata, Jason Denayer ou encore Julien Ngoy et Thibaut Verlinden. Mais aussi d’autres jeunes talents internationaux devenus des superstars mondiales comme Gérard Piqué et Paul Pogba à Manchester United ou Cesc Fabregas à Arsenal. Le Brexit va tout révolutionner.
Les représentants des 27 États membres de l’Union européenne ont donné leur aval ce lundi à l’application provisoire, à partir du 1er janvier, de l’accord post-Brexit. Et les conséquences seront énormes sur la Premier League.
"D’abord, les joueurs plus jeunes que 21 ans ne pourront plus si facilement rejoindre des clubs anglais", analyse Jesse De Preter, l’agent de Roberto Martinez et, via son agence Quadrans Football Management, de plusieurs joueurs, dont Jason Denayer et Thomas Foket. "La limite est fixée à seulement six jeunes par saison par club. Le but est que les clubs anglais misent tout sur des jeunes joueurs anglais."
En plus de cette limitation, les joueurs de moins de 18 ans ne pourront plus être transférés vers l’Angleterre avant d’atteindre la majorité. "La Fifa avait fait une exception pour les membres de l’Union européenne qui pouvaient transférer des jeunes à partir de 16 ans. Désormais, le flux de gamins de 16 ou 17 ans qui jouent en Angleterre, c’est fini."
Plus globalement, si les joueurs actuellement sous contrat n’ont rien à craindre, ce sont tous les non-Anglais désirant jouer outre-Manche qui verront leur rêve freiné. Dès le 1er janvier, ils devront répondre à des critères similaires aux non-Européens pour décrocher un permis de travail et un permis de résidence.
"Jusqu’à présent, les footballeurs de l’Union européenne étaient traités sur un pied d’égalité avec les joueurs britanniques sur base du droit à la libre circulation des citoyens, poursuit Jesse De Preter. Leur carte d’identité suffisait pour signer un contrat. Les non-Européens, eux, devaient demander un permis de travail, qu’ils n’obtenaient que s’ils répondaient à des critères stricts."
Un joueur africain, un Brésilien ou un Argentin doit par exemple montrer un CV déjà bien décoré pour obtenir ce permis. Il doit présenter 15 points dans une grille de critères bien définis tels que le nombre de matchs en équipe nationale, le temps de jeu en club, le prestige du championnat d’origine, etc.
Et là, un joueur comme Marouane Fellaini pourrait être bloqué s’il décidait d’un jour revenir en Angleterre. "Un titulaire de l’équipe nationale belge - classé numéro 1 du ranking Fifa - sera bien coté. Mais s’il joue en Chine, un championnat moins huppé, son capital points lié à son club sera moins élevé."
Si le nombre de points n’est pas atteint, le joueur peut bénéficier d’une autorisation spéciale auprès d’une commission. Mais le championnat anglais va tout de même prendre un fameux coup sur la tête. Selon une étude de l’Observatoire du football, la part des minutes jouées par des joueurs d’Europe continentale était passée de 36 à 45 % entre la saison 2009-2010 et 2018-2019 et la part des buts inscrits de 39,2 à 43,3 %.
Cela fait évidemment très peur au regard des résultats d’une autre étude menée ces dernières semaines pour simuler le nombre d’étrangers actuels qui recevraient un permis de travail selon les nouvelles règles. Le résultat est effarant : à peine un joueur sur deux. La majorité émanant de clubs moins importants ou écossais qui ont pris l’habitude de recruter des stars en devenir plutôt que confirmées.
Selon le patron de la Premier League Richard Master, ce système permettra au championnat "de continuer à être en mesure de recruter les meilleurs joueurs pour rester compétitif et stimulant". Jesse De Preter est moins optimiste. "Est-ce que les droits télé rapporteront encore 2 milliards d’euros de la part de chaînes étrangères, quand moins de joueurs étrangers seront actifs ? En ce moment, 75 à 80 % des joueurs sont étrangers…"
Une échappatoire semble toutefois déjà se dessiner. "Même s’ils ne pourront pas tous les faire jouer en match, les clubs anglais pourront faire signer autant de joueurs étrangers qu’ils veulent. Donc, ils les prêteront à d’autres clubs. Soit des clubs européens, soit des clubs anglais qui n’ont pas encore six jeunes."
Ce qui pourrait bénéficier aux clubs satellites. On pense évidemment au Manchester City Group qui gère des clubs aux quatre coins du monde mais aussi à des clubs moins riches comme Leicester, qui contrôle OHL, ou Sheffield United qui a pris le contrôle du Beerschot.
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Re: Premier League,transferts, news,...
Mitrovic, Berge, Lukaku : ces transferts sortants records qu'on risque de ne plus voir après le Brexit
Les nouvelles règles imposées par la Fédération Anglaise de football pour le transfert de joueurs européens au lendemain du Brexit vont changer pas mal de choses sur le marché des transferts. Moins de jeunes étrangers et plus de place pour les purs produits britanniques, c’est bien mais les gros clubs pourront toujours dépenser leurs millions pour les meilleurs (et plus chers) joueurs de la planète. Et à côté de ça, pour les talents à confirmer et leurs clubs, dépendants des versements saisonniers importants venus de l’Angleterre, ça risque d’être plus difficile à l’avenir.
C’est donc officiel depuis ce 1er janvier, l’Angleterre n’est plus un pays de l’Union Européenne. La libre circulation des travailleurs européens n’a donc plus lieu d’être et les joueurs de foot européens sont donc maintenant soumis aux mêmes règles que le sont depuis des années les joueurs non européens. Si la question fait débat Outre-Manche, elle semble tout de même offrir pas mal d’avantages aux clubs anglais, en tout cas les plus riches.
Et oui car s’il est vrai qu’un club comme Chelsea ne pourra plus compter sur des transferts de jeunes joueurs achetés pas cher, loués pendant quelques années et puis revendu car se trouve "Chelsea" sur leur CV, les gros clubs pourront toujours se permettre toutes leurs plus grandes lubies sur le marché des transferts. Par contre, c’est vrai que dorénavant, nos voisins britanniques devront privilégier la qualité à la quantité à laquelle ils étaient habitués par le passé. Mais si demain, Manchester City veut acheter Romelu Lukaku, nouvelles règles du Brexit ou pas, le transfert se fera sans souci.
La situation des jeunes joueurs va aussi fortement changer. Les transferts de joueurs de moins de 18 ans non anglais, c’est fini. Pour les joueurs en 18 et 21 ans, c’est dorénavant trois par mercato. Une règle qui vise à pousser les clubs anglais à miser sur les jeunes de leurs centres de formations. Avec ces règles-là, difficile de croire que Romelu Lukaku, pour reprendre son exemple, aurait rejoint les Blues de Chelsea à 18 ans, comme il y a presque 10 ans.
En plus de protéger ses jeunes joueurs locaux, issus des académies, la FA essaye de protéger la suprématie de sa Premier League sur le marché des plus gros transferts. Une suprématie renforcée avec le permis automatiquement donné dans la situation où un joueur a plus de 21 ans, est issu d’un pays du top 50 de la FIFA et compte 70% de temps de jeu avec son équipe nationale sur les 24 derniers mois. Et oui, en Angleterre désormais, on veut des stars ou des maillons importants d’une bonne équipe nationale sinon, on ne passe plus la douane footballistique.
Tous les clubs anglais pas égaux
Pour la Championship où l’argent coule un peu moins qu’en Premier League, certains clubs ont basé leur modèle de recrutement sur des petits championnats où les talents coûtent moins cher. C’est le cas de Brendford (2e actuellement) où le jeune Français Bryan Mbeumo qui explose cette saison, est arrivé de Troyes en Ligue 2 contre 6 millions d’euros il y a 2 ans et vaut déjà le double. Pareil pour le club de Norwich, leader en division deux qui a misé à plusieurs reprises sur des joueurs issus des championnats nordiques comme le Finlandais Teemu Pukki arrivé de Brondby au Danemark.
Ces transactions risquent de ne plus pouvoir se faire ou en tout cas, plus aussi facilement que par le passé, puisque ces plus petits championnats, placés dans des niveaux assez bas par la FA, n’offrent pas beaucoup de points dans l’optique d’un permis de travail aux joueurs qui y évoluent. Et en Angleterre, il est bon de rappeler que plus de 100 clubs sont professionnels, car les quatre premières divisions le sont, mais seul la Premier League touche des droits faramineux grâce à la télé. Les autres reposent sur leurs abonnements de supporters et après des mois de covid, les finances sont au plus bas.
Moins d’argent pour les clubs bénéficiaires
Dans le sens inverse, pour les clubs bénéficiaires de l’abondant argent du foot anglais, les robinets risquent aussi de se fermer. Les clubs de Ligue 1 et Ligue 2 en France sont connus pour bien vendre Outre-Manche et ils vont clairement perdre au change dès ce 1er janvier. En Pro League, même si c’est dans une moindre mesure, les clubs risquent aussi d’être un peu impactés dans leurs ventes. Il ne sera plus si facile de se séparer d’un Sander Berge contre 24 millions ou d’un Aleksandar Mitrovic, parti avant ses 21 ans contre 18 millions d’euros pour Newcastle en 2015.
Même si au final, le championnat à qui la Pro League a vendu ses joueurs records, ce n’est pas la Premier League mais la Ligue 1, il est certain que des fenêtres de transferts potentiellement ouvertes par le passé, vont désormais se fermer avec le Brexit. Pour exprimer la difficulté de l’obtention de ce permis de travail, on peut prendre l’exemple de deux joueurs de notre championnat : Percy Tau, le Sud-Africain acheté par Brighton à l’Union il y a un an et demi et qui n’a toujours pas de permis de travail ou Taiwo Awoniyi, le Nigérian, ancien prêt mouscronnois, venu de Liverpool en recherche de temps de jeu mais aussi et surtout de points pour son permis de travail. Seul réconfort pour certains joueurs peut-être déjà inquiets par ses nouvelles règles : la FA se laisse le droit de les réévaluer à la fin de la saison pour les durcir ou au contraire, les assouplir.
https://www.rtbf.be/sport/football/belgique/jupilerproleague/detail_mitrovic-berge-lukaku-ces-transferts-records-sortants-qu-on-risque-de-ne-plus-voir-apres-le-brexit?id=10664051
Les nouvelles règles imposées par la Fédération Anglaise de football pour le transfert de joueurs européens au lendemain du Brexit vont changer pas mal de choses sur le marché des transferts. Moins de jeunes étrangers et plus de place pour les purs produits britanniques, c’est bien mais les gros clubs pourront toujours dépenser leurs millions pour les meilleurs (et plus chers) joueurs de la planète. Et à côté de ça, pour les talents à confirmer et leurs clubs, dépendants des versements saisonniers importants venus de l’Angleterre, ça risque d’être plus difficile à l’avenir.
C’est donc officiel depuis ce 1er janvier, l’Angleterre n’est plus un pays de l’Union Européenne. La libre circulation des travailleurs européens n’a donc plus lieu d’être et les joueurs de foot européens sont donc maintenant soumis aux mêmes règles que le sont depuis des années les joueurs non européens. Si la question fait débat Outre-Manche, elle semble tout de même offrir pas mal d’avantages aux clubs anglais, en tout cas les plus riches.
Et oui car s’il est vrai qu’un club comme Chelsea ne pourra plus compter sur des transferts de jeunes joueurs achetés pas cher, loués pendant quelques années et puis revendu car se trouve "Chelsea" sur leur CV, les gros clubs pourront toujours se permettre toutes leurs plus grandes lubies sur le marché des transferts. Par contre, c’est vrai que dorénavant, nos voisins britanniques devront privilégier la qualité à la quantité à laquelle ils étaient habitués par le passé. Mais si demain, Manchester City veut acheter Romelu Lukaku, nouvelles règles du Brexit ou pas, le transfert se fera sans souci.
La situation des jeunes joueurs va aussi fortement changer. Les transferts de joueurs de moins de 18 ans non anglais, c’est fini. Pour les joueurs en 18 et 21 ans, c’est dorénavant trois par mercato. Une règle qui vise à pousser les clubs anglais à miser sur les jeunes de leurs centres de formations. Avec ces règles-là, difficile de croire que Romelu Lukaku, pour reprendre son exemple, aurait rejoint les Blues de Chelsea à 18 ans, comme il y a presque 10 ans.
En plus de protéger ses jeunes joueurs locaux, issus des académies, la FA essaye de protéger la suprématie de sa Premier League sur le marché des plus gros transferts. Une suprématie renforcée avec le permis automatiquement donné dans la situation où un joueur a plus de 21 ans, est issu d’un pays du top 50 de la FIFA et compte 70% de temps de jeu avec son équipe nationale sur les 24 derniers mois. Et oui, en Angleterre désormais, on veut des stars ou des maillons importants d’une bonne équipe nationale sinon, on ne passe plus la douane footballistique.
Tous les clubs anglais pas égaux
Pour la Championship où l’argent coule un peu moins qu’en Premier League, certains clubs ont basé leur modèle de recrutement sur des petits championnats où les talents coûtent moins cher. C’est le cas de Brendford (2e actuellement) où le jeune Français Bryan Mbeumo qui explose cette saison, est arrivé de Troyes en Ligue 2 contre 6 millions d’euros il y a 2 ans et vaut déjà le double. Pareil pour le club de Norwich, leader en division deux qui a misé à plusieurs reprises sur des joueurs issus des championnats nordiques comme le Finlandais Teemu Pukki arrivé de Brondby au Danemark.
Ces transactions risquent de ne plus pouvoir se faire ou en tout cas, plus aussi facilement que par le passé, puisque ces plus petits championnats, placés dans des niveaux assez bas par la FA, n’offrent pas beaucoup de points dans l’optique d’un permis de travail aux joueurs qui y évoluent. Et en Angleterre, il est bon de rappeler que plus de 100 clubs sont professionnels, car les quatre premières divisions le sont, mais seul la Premier League touche des droits faramineux grâce à la télé. Les autres reposent sur leurs abonnements de supporters et après des mois de covid, les finances sont au plus bas.
Moins d’argent pour les clubs bénéficiaires
Dans le sens inverse, pour les clubs bénéficiaires de l’abondant argent du foot anglais, les robinets risquent aussi de se fermer. Les clubs de Ligue 1 et Ligue 2 en France sont connus pour bien vendre Outre-Manche et ils vont clairement perdre au change dès ce 1er janvier. En Pro League, même si c’est dans une moindre mesure, les clubs risquent aussi d’être un peu impactés dans leurs ventes. Il ne sera plus si facile de se séparer d’un Sander Berge contre 24 millions ou d’un Aleksandar Mitrovic, parti avant ses 21 ans contre 18 millions d’euros pour Newcastle en 2015.
Même si au final, le championnat à qui la Pro League a vendu ses joueurs records, ce n’est pas la Premier League mais la Ligue 1, il est certain que des fenêtres de transferts potentiellement ouvertes par le passé, vont désormais se fermer avec le Brexit. Pour exprimer la difficulté de l’obtention de ce permis de travail, on peut prendre l’exemple de deux joueurs de notre championnat : Percy Tau, le Sud-Africain acheté par Brighton à l’Union il y a un an et demi et qui n’a toujours pas de permis de travail ou Taiwo Awoniyi, le Nigérian, ancien prêt mouscronnois, venu de Liverpool en recherche de temps de jeu mais aussi et surtout de points pour son permis de travail. Seul réconfort pour certains joueurs peut-être déjà inquiets par ses nouvelles règles : la FA se laisse le droit de les réévaluer à la fin de la saison pour les durcir ou au contraire, les assouplir.
https://www.rtbf.be/sport/football/belgique/jupilerproleague/detail_mitrovic-berge-lukaku-ces-transferts-records-sortants-qu-on-risque-de-ne-plus-voir-apres-le-brexit?id=10664051
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Premier League: Le virus redistribue les cartes
Le championnat anglais est plus que jamais frappé par le coronavirus. Deux rencontres de la semaine écoulée ont d’ailleurs été reportées : Tottenham - Fulham et Everton - Manchester City.
"Nous avions assez de joueurs pour jouer à Everton mais le jour du match, le virus était à l’intérieur de notre club", commente Pep Guardiola qui a dû déplorer des tests positifs au coronavirus chez Kyle Walker et Gabriel Jesus ainsi que chez trois autres cadres dont les noms n’ont pas encore été révélés. Même si l’on sait déjà qu’il ne s’agit a priori pas de Kevin De Bruyne.
"J’ai donc appelé Carlo Ancelotti pour lui exposer la situation", poursuit le manager espagnol. "Nous pouvions jouer, mais nous aurions pu contaminer des joueurs d’Everton sans savoir si d’autres cas allaient être détectés chez nous."
Depuis lundi, la situation semble s’être améliorée. Plus aucun cas n’a été détecté à City et les entraînements ont pu reprendre en vue du déplacement à Chelsea. Mais avec des restrictions supplémentaires. "Nous sommes moins en contact avec les joueurs, on ne va plus dans les vestiaires. Ils nous voient juste sur le terrain."
Toujours est-il que c’est avec un groupe déforcé que Kevin De Bruyne et les siens se rendent chez un concurrent direct. "Nous avons effectué de nouveaux tests et nous espérons qu’ils seront tous négatifs mais le problème est toujours là", poursuit Guardiola. "Jetez un œil à Newcastle. J’ai parlé au coach Steve Bruce. Il m’a expliqué à quel point c’était difficile pour son club qui comptait près de 20 personnes infectées. Cela peut arriver ici, à Fulham, partout."
Cette même équipe de Fulham qui n’est d’ailleurs pas encore certaine de pouvoir jouer son match de dimanche à Burnley. "Je ne veux pas entrer dans les détails, mais nous avons eu un certain nombre de tests positifs", a annoncé le manager Scott Parker. "Je ne sais pas si le match de Burnley va être joué ou non. Nous avons eu des tests au cours des derniers jours. Nous verrons…"
L’entraîneur de Denis Odoi n’est en tout cas pas favorable à un maintien du match. "Le bien-être et la sécurité des joueurs, de leurs familles, c’est ça le plus important. Nous devons donc aussi faire attention dans tous les lieux où nous allons, y compris face aux équipes adverses."
Des cas positifs ont également été signalés à Sheffield United. Le hasard, la malchance et parfois un peu de naïveté peuvent rapidement faire circuler la Covid-19. Et dans de tels cas, ce sont des équipes entières qui sont déstabilisées en plein milieu de la saison, mais qui doivent continuer à jouer.
On comprend mieux pourquoi plusieurs voix se sont élevées pour réclamer une suspension provisoire de la Premier League. Après la défaite de son équipe à domicile contre Leeds (0-5), le coach de West Brom Sam Allardyce a par exemple appelé les autorités à appliquer un "circuit break" ("disjoncteur") afin de ralentir le rythme de propagation de l’épidémie.
La DH
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Re: Premier League,transferts, news,...
La Premier League va se poursuivre, malgré le nouveau confinement total en Angleterre
La Premier League anglaise de football va se poursuivre, malgré l'annonce d'un nouveau confinement total dans le pays par le Premier ministre Boris Johnson, lundi soir.
Selon Sky Sports, le gouvernement fait une exception pour les sports dits d'élite, afin de permettre la poursuite l'entraînement et le déroulement des matchs à huis clos.
Il va sans dire que les protocoles sanitaires stricts contre le Covid-19 restent en vigueur dans les sports en question.
La Premier League a dû reporter plusieurs rencontres ces dernières semaines en raison de la multiplication des cas de contamination au sein de certains clubs.
Lors du premier confinement total, la Premier League avait dû s'arrêter le 13 mars avant de pouvoir reprendre trois mois plus tard le 17 juin.
La DH
La Premier League anglaise de football va se poursuivre, malgré l'annonce d'un nouveau confinement total dans le pays par le Premier ministre Boris Johnson, lundi soir.
Selon Sky Sports, le gouvernement fait une exception pour les sports dits d'élite, afin de permettre la poursuite l'entraînement et le déroulement des matchs à huis clos.
Il va sans dire que les protocoles sanitaires stricts contre le Covid-19 restent en vigueur dans les sports en question.
La Premier League a dû reporter plusieurs rencontres ces dernières semaines en raison de la multiplication des cas de contamination au sein de certains clubs.
Lors du premier confinement total, la Premier League avait dû s'arrêter le 13 mars avant de pouvoir reprendre trois mois plus tard le 17 juin.
La DH
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Re: Premier League,transferts, news,...
Premier League: 40 cas positifs au coronavirus depuis le 28 décembre
Quarante personnes – joueurs et membres de staff confondus – ont été testées positives au coronavirus après les 2.295 tests effectués entre le 28 décembre et le 3 janvier, a communiqué la Premier League mardi.
Trois matches ont été reportés entre ces deux dates: Burnley -–Fulham, Everton -–Manchester City et Tottenham -–Fulham. Début décembre, un premier match du championnat d’Angleterre avait dû être reporté pour cause de Covid-19 Aston Villa -–Newcastle.
«En raison d’un nombre relativement faible de tests positifs dans la grande majorité des clubs, la Ligue continue de faire confiance au protocole mis en place et soutenu par le gouvernement afin de respecter le calendrier actuel», a déclaré la Premier League dans un communiqué.
C’est la première fois qu’un tel nombre est atteint lors des tests effectués en Premier League. Lundi soir, le Premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé un nouveau confinement total dans le pays mais cela n’affectera pas la D1 anglaise de football. Lors du premier confinement total, la Premier League avait dû s’arrêter le 13 mars avant de pouvoir reprendre trois mois plus tard, le 17 juin.
vers l'avenir
Quarante personnes – joueurs et membres de staff confondus – ont été testées positives au coronavirus après les 2.295 tests effectués entre le 28 décembre et le 3 janvier, a communiqué la Premier League mardi.
Trois matches ont été reportés entre ces deux dates: Burnley -–Fulham, Everton -–Manchester City et Tottenham -–Fulham. Début décembre, un premier match du championnat d’Angleterre avait dû être reporté pour cause de Covid-19 Aston Villa -–Newcastle.
«En raison d’un nombre relativement faible de tests positifs dans la grande majorité des clubs, la Ligue continue de faire confiance au protocole mis en place et soutenu par le gouvernement afin de respecter le calendrier actuel», a déclaré la Premier League dans un communiqué.
C’est la première fois qu’un tel nombre est atteint lors des tests effectués en Premier League. Lundi soir, le Premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé un nouveau confinement total dans le pays mais cela n’affectera pas la D1 anglaise de football. Lors du premier confinement total, la Premier League avait dû s’arrêter le 13 mars avant de pouvoir reprendre trois mois plus tard, le 17 juin.
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LA PREMIER LEAGUE STOPPÉE ? DERNIÈRES INFOS
L'inquiétude grandit, en Angleterre, après la mutation du Covid-19 et l'explosion des cas positifs.
Le spectre d’une nouvelle interruption du football est revenu de l’autre côté de la Manche, après une période des fêtes toujours très médiatisée. La mutation du Covid-19 a fait exploser le nombre de joueurs contrôlés positifs dans les différentes divisions du pays. Une montée qui n’échappe pas à la Premier League. Concrètement, cette saison 2020-21 peut-être être interrompue ? Éléments de réponse.
Les acteurs de Premier League souhaitent-ils arrêter ?
C’est justement le cœur du débat. Depuis la propagation d’une nouvelle souche du virus, plusieurs présidents et entraîneurs de clubs ont fait part de leur désir de mettre le football entre parenthèses, à l’image du manager de West Bromwich Albion Sam Allardyce. « J’ai 66 ans et la dernière chose que je veux est d’attraper la Covid, avait-il lancé fin décembre. Je suis très préoccupé pour moi et le football en général. Si c’est ce qu’il faut faire, nous devons le faire. Nous avons eu un cas positif cette semaine et il semble se transmettre peu importe les efforts que nous faisons. »
Face à cette première catégorie, un autre camp se dessine avec les têtes fortes de la Premier League. En tête de liste, Ole Gunnar Solskjaer, d’ordinaire plutôt discret. « Je ne vois pas l’intérêt de faire un break, quel que soit son nom. Quand allons-nous jouer les matches ?« , s’est interrogé l’entraîneur de Manchester United, qui affirme avoir une entière confiance dans le protocole mis en place par l’instance.
Il est à noter que les rivaux United et Liverpool se rejoignent sur ce coup. Jürgen Klopp ne dit pas autre chose : « Nous savions qu’il y aurait une deuxième vague cet hiver et en plus de cela, nous avons eu le défi de Noël, où il était plus difficile pour les gens de s’isoler. Il est donc compréhensible que les chiffres augmentent. Je pense que la compétition peut continuer et je pense que c’est aussi important parce que les gens veulent la regarder. Et nous sommes isolés contrairement au reste de la société. »
Comment les clubs de Premier League s’organisent-ils ?
Si toutes les écuries britanniques ont conservé des mesures de sécurité très poussées lors des derniers mois, ce protocole n’a pas pu empêcher la prolifération de la nouvelle souche du virus. Les mesures les plus radicales émergent. Aston Villa a annoncé ce jeudi la fermeture de son centre d’entraînement, Bodymoor Heath.
« Aston Villa peut confirmer que le Club a fermé son terrain d’entraînement Bodymoor Heath après une importante épidémie de coronavirus, a précisé le club de Birmingham. Un grand nombre de joueurs et d’employés de l’équipe première ont été testés positifs lundi et se sont immédiatement mis à l’isolement. Une deuxième série de tests a été effectuée immédiatement et a engendré des résultats positifs aujourd’hui. L’entraînement de l’équipe première avant le match de la FA Cup de demain avec Liverpool a été annulé. Des discussions sont en cours entre les représentants médicaux du Club, de la Football Association et de la Premier League ».
Ce bouleversement de l’aménagement des semaines types de la structure professionnelle a des conséquences inévitables sur la compétition officielle. La photographie du classement du championnat est déjà faussée par de multiples reports. Elle pourrait l’être dans des proportions encore plus notables dans quelques semaines.
Combien de temps le football serait arrêté si la Premier League le décide ?
Selon les informations de plusieurs médias britannique, comme le très fiable Telegraph, une première interruption de deux semaines serait envisagée. La Premier League devrait prochainement se prononcer officiellement. En attendant, la majorité des clubs vont devoir continuer à bricoler avec des effectifs amoindris, s’ils continuent bien à jouer le weekend…
L'inquiétude grandit, en Angleterre, après la mutation du Covid-19 et l'explosion des cas positifs.
Le spectre d’une nouvelle interruption du football est revenu de l’autre côté de la Manche, après une période des fêtes toujours très médiatisée. La mutation du Covid-19 a fait exploser le nombre de joueurs contrôlés positifs dans les différentes divisions du pays. Une montée qui n’échappe pas à la Premier League. Concrètement, cette saison 2020-21 peut-être être interrompue ? Éléments de réponse.
Les acteurs de Premier League souhaitent-ils arrêter ?
C’est justement le cœur du débat. Depuis la propagation d’une nouvelle souche du virus, plusieurs présidents et entraîneurs de clubs ont fait part de leur désir de mettre le football entre parenthèses, à l’image du manager de West Bromwich Albion Sam Allardyce. « J’ai 66 ans et la dernière chose que je veux est d’attraper la Covid, avait-il lancé fin décembre. Je suis très préoccupé pour moi et le football en général. Si c’est ce qu’il faut faire, nous devons le faire. Nous avons eu un cas positif cette semaine et il semble se transmettre peu importe les efforts que nous faisons. »
Face à cette première catégorie, un autre camp se dessine avec les têtes fortes de la Premier League. En tête de liste, Ole Gunnar Solskjaer, d’ordinaire plutôt discret. « Je ne vois pas l’intérêt de faire un break, quel que soit son nom. Quand allons-nous jouer les matches ?« , s’est interrogé l’entraîneur de Manchester United, qui affirme avoir une entière confiance dans le protocole mis en place par l’instance.
Il est à noter que les rivaux United et Liverpool se rejoignent sur ce coup. Jürgen Klopp ne dit pas autre chose : « Nous savions qu’il y aurait une deuxième vague cet hiver et en plus de cela, nous avons eu le défi de Noël, où il était plus difficile pour les gens de s’isoler. Il est donc compréhensible que les chiffres augmentent. Je pense que la compétition peut continuer et je pense que c’est aussi important parce que les gens veulent la regarder. Et nous sommes isolés contrairement au reste de la société. »
Comment les clubs de Premier League s’organisent-ils ?
Si toutes les écuries britanniques ont conservé des mesures de sécurité très poussées lors des derniers mois, ce protocole n’a pas pu empêcher la prolifération de la nouvelle souche du virus. Les mesures les plus radicales émergent. Aston Villa a annoncé ce jeudi la fermeture de son centre d’entraînement, Bodymoor Heath.
« Aston Villa peut confirmer que le Club a fermé son terrain d’entraînement Bodymoor Heath après une importante épidémie de coronavirus, a précisé le club de Birmingham. Un grand nombre de joueurs et d’employés de l’équipe première ont été testés positifs lundi et se sont immédiatement mis à l’isolement. Une deuxième série de tests a été effectuée immédiatement et a engendré des résultats positifs aujourd’hui. L’entraînement de l’équipe première avant le match de la FA Cup de demain avec Liverpool a été annulé. Des discussions sont en cours entre les représentants médicaux du Club, de la Football Association et de la Premier League ».
Ce bouleversement de l’aménagement des semaines types de la structure professionnelle a des conséquences inévitables sur la compétition officielle. La photographie du classement du championnat est déjà faussée par de multiples reports. Elle pourrait l’être dans des proportions encore plus notables dans quelques semaines.
Combien de temps le football serait arrêté si la Premier League le décide ?
Selon les informations de plusieurs médias britannique, comme le très fiable Telegraph, une première interruption de deux semaines serait envisagée. La Premier League devrait prochainement se prononcer officiellement. En attendant, la majorité des clubs vont devoir continuer à bricoler avec des effectifs amoindris, s’ils continuent bien à jouer le weekend…
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112 personnes positives au Covid dans les trois divisions inférieures à la Premier League
112 joueurs et membres du personnel de clubs ont été testés positifs au Covid sur 3 507 personnes testées dans les trois divisions inférieures à la Premier League avant le troisième tour de la FA Cup.
La Ligue anglaise, qui régit les trois divisions inférieures à la Premier League, a déclaré vendredi que 112 personnes avaient été testées positives au Covid-19 lors de la dernière série de tests.
Les tests de cette semaine ont inclus 66 clubs qui disputeront le troisième tour de la FA Cup, tandis que les six clubs restants qui ne figuraient pas seront testés avant leurs matchs de championnat.
L'entraîneur de Brentford positif
« A la suite de la dernière série de tests obligatoires de Covid-19, la Ligue peut confirmer que 3 507 joueurs et membres du personnel de club de 66 clubs ont été testés au cours de la semaine dernière avec 112 personnes positives », a déclaré la Ligue dans un communiqué.
En deuxième division, le club de Brentford, a déclaré que son entraîneur Thomas Frank avait été testé positif jeudi, deux jours après la défaite 2-0 en demi-finales de la Coupe de la Ligue à Tottenham.
112 joueurs et membres du personnel de clubs ont été testés positifs au Covid sur 3 507 personnes testées dans les trois divisions inférieures à la Premier League avant le troisième tour de la FA Cup.
La Ligue anglaise, qui régit les trois divisions inférieures à la Premier League, a déclaré vendredi que 112 personnes avaient été testées positives au Covid-19 lors de la dernière série de tests.
Les tests de cette semaine ont inclus 66 clubs qui disputeront le troisième tour de la FA Cup, tandis que les six clubs restants qui ne figuraient pas seront testés avant leurs matchs de championnat.
L'entraîneur de Brentford positif
« A la suite de la dernière série de tests obligatoires de Covid-19, la Ligue peut confirmer que 3 507 joueurs et membres du personnel de club de 66 clubs ont été testés au cours de la semaine dernière avec 112 personnes positives », a déclaré la Ligue dans un communiqué.
En deuxième division, le club de Brentford, a déclaré que son entraîneur Thomas Frank avait été testé positif jeudi, deux jours après la défaite 2-0 en demi-finales de la Coupe de la Ligue à Tottenham.
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LA PREMIER LEAGUE ET LES « FOUINES » ANTI-COVID
Les clubs de Premier League vont devoir accepter la présence d'officiels dans leurs vestiaires, pour vérifier le respect des règles anti-Covid.
Alors que l’Angleterre s’est reconfinée totalement ce mercredi, et ce jusqu’à la fin du mois de février au moins, la Premier League continue. Mais pour s’assurer que toutes les règles anti-Covid sont bien respectées par l’ensemble des acteurs, les dirigeants de la ligue souhaitent que leurs officiels puissent accéder aux vestiaires des équipes. Une décision qui ne fait pas plaisir aux clubs, qui craignent la divulgation d’informations sur les choix tactiques de leurs entraîneurs, juste avant les rencontres.
Voir aussi : La Premier League stoppée ? Dernières infos
Comme le précise le Dailymail, qui révèle l’information ce vendredi, les clubs de PL ont ainsi reçu une liste de « consignes d’urgence« , qui détaille le protocole de sécurité sanitaire souhaité. Les jours de match, chaque équipe devra ouvrir son vestiaire à un officiel qui aura tout loisir de vérifier le bon respect des consignes sanitaires. Sont par exemple interdits « les poignées de main, ainsi que les enlacements lors des célébrations de but ». Les clubs ont également été prévenus que la plus grande rigueur serait appliquée et que le non-respect des consignes serait sévèrement sanctionné.
Pas de douche après l’entraînement
Parmi les autres recommandations (déjà existantes ou non) que les « fouines » anti-Covid observeront de près, celles concernant les remplaçants qui devront porter constamment leur masque, sauf à l’échauffement. Interdiction également de prendre une douche après tout entraînement, sauf si la personne habite à plus d’une heure de distance. Chaque joueur doit arriver avec son propre kit d’entraînement. Spécifiquement à la Premier League, des tests Covid seront effectués deux fois par semaine.
Enfin, ces fameuses brigades de vérification auront également la possibilité d’avoir accès à tous les endroits où les joueurs se trouvent lorsque ces derniers sont en déplacement et logent dans des hôtels. Seule restriction : la chambre des joueurs. Tout n’est pas encore perdu, mais ces règles intrusives pourraient bien faire râler davantage au fil du temps.
Les clubs de Premier League vont devoir accepter la présence d'officiels dans leurs vestiaires, pour vérifier le respect des règles anti-Covid.
Alors que l’Angleterre s’est reconfinée totalement ce mercredi, et ce jusqu’à la fin du mois de février au moins, la Premier League continue. Mais pour s’assurer que toutes les règles anti-Covid sont bien respectées par l’ensemble des acteurs, les dirigeants de la ligue souhaitent que leurs officiels puissent accéder aux vestiaires des équipes. Une décision qui ne fait pas plaisir aux clubs, qui craignent la divulgation d’informations sur les choix tactiques de leurs entraîneurs, juste avant les rencontres.
Voir aussi : La Premier League stoppée ? Dernières infos
Comme le précise le Dailymail, qui révèle l’information ce vendredi, les clubs de PL ont ainsi reçu une liste de « consignes d’urgence« , qui détaille le protocole de sécurité sanitaire souhaité. Les jours de match, chaque équipe devra ouvrir son vestiaire à un officiel qui aura tout loisir de vérifier le bon respect des consignes sanitaires. Sont par exemple interdits « les poignées de main, ainsi que les enlacements lors des célébrations de but ». Les clubs ont également été prévenus que la plus grande rigueur serait appliquée et que le non-respect des consignes serait sévèrement sanctionné.
Pas de douche après l’entraînement
Parmi les autres recommandations (déjà existantes ou non) que les « fouines » anti-Covid observeront de près, celles concernant les remplaçants qui devront porter constamment leur masque, sauf à l’échauffement. Interdiction également de prendre une douche après tout entraînement, sauf si la personne habite à plus d’une heure de distance. Chaque joueur doit arriver avec son propre kit d’entraînement. Spécifiquement à la Premier League, des tests Covid seront effectués deux fois par semaine.
Enfin, ces fameuses brigades de vérification auront également la possibilité d’avoir accès à tous les endroits où les joueurs se trouvent lorsque ces derniers sont en déplacement et logent dans des hôtels. Seule restriction : la chambre des joueurs. Tout n’est pas encore perdu, mais ces règles intrusives pourraient bien faire râler davantage au fil du temps.
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Re: Premier League,transferts, news,...
L'Autre Regard: le football anglais va-t-il perdre la tête ?
Le jeu de tête sera-t-il, un jour, interdit dans le football ? On en est loin. Mais l’idée ne surprendrait pas Ryan Mason, ancien joueur de Tottenham et de Hull City qui, en 2018, a été obligé de mettre un terme à sa carrière suite à un choc frontal avec le défenseur Gary Cahill. Depuis, l’ex-international anglais s’est fait le porte-parole d’une lutte qui prend une grande ampleur en Grande-Bretagne. De nombreuses études tendent, il est vrai, à prouver que les duels aériens et les contacts répétés du crâne avec le ballon peuvent être à la base de graves problèmes cérébraux. Plusieurs figures du football britannique - dont Sir Alex Ferguson - viennent d’ailleurs de signer une lettre ouverte réclamant à leur gouvernement une étude pointue pour analyser les relations entre les coups de tête et la démence. Ce syndrome a été la cause du récent décès de Nobby Stiles.
Et le légendaire Bobby Charlton, autre héros mythique de la World Cup 66 de Wembley, est également touché par le même mal. Historiquement, le football britannique a toujours été l’apôtre du jeu aérien. C’est dans son ADN, c’est même sa marque de fabrique. Il fut une époque où, dans le championnat anglais, le ballon touchait presque davantage les têtes des joueurs que leurs pieds ! Du coup, qui sait si le port du casque n’y deviendra pas obligatoire comme dans le football américain, où les dangers cérébraux sont également, de longue date, montrés du doigt !
La DH
Le jeu de tête sera-t-il, un jour, interdit dans le football ? On en est loin. Mais l’idée ne surprendrait pas Ryan Mason, ancien joueur de Tottenham et de Hull City qui, en 2018, a été obligé de mettre un terme à sa carrière suite à un choc frontal avec le défenseur Gary Cahill. Depuis, l’ex-international anglais s’est fait le porte-parole d’une lutte qui prend une grande ampleur en Grande-Bretagne. De nombreuses études tendent, il est vrai, à prouver que les duels aériens et les contacts répétés du crâne avec le ballon peuvent être à la base de graves problèmes cérébraux. Plusieurs figures du football britannique - dont Sir Alex Ferguson - viennent d’ailleurs de signer une lettre ouverte réclamant à leur gouvernement une étude pointue pour analyser les relations entre les coups de tête et la démence. Ce syndrome a été la cause du récent décès de Nobby Stiles.
Et le légendaire Bobby Charlton, autre héros mythique de la World Cup 66 de Wembley, est également touché par le même mal. Historiquement, le football britannique a toujours été l’apôtre du jeu aérien. C’est dans son ADN, c’est même sa marque de fabrique. Il fut une époque où, dans le championnat anglais, le ballon touchait presque davantage les têtes des joueurs que leurs pieds ! Du coup, qui sait si le port du casque n’y deviendra pas obligatoire comme dans le football américain, où les dangers cérébraux sont également, de longue date, montrés du doigt !
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Re: Premier League,transferts, news,...
La Premier League convaincue qu'elle pourra finir la saison
La Premier League est confiante en la probabilité pour la saison de football d'aller jusqu'à son terme, a annoncé le championnat anglais jeudi.
Le Royaume-Uni est actuellement confronté à un nombre croissant de morts liés à la Covid-19. "Le monde du football a une responsabilité et pendant cette période critique, il appartient à toutes les personnes impliquées de s'assurer qu'elles respectent les règles gouvernementales et les protocoles sanitaires. Etant donné que nous respectons les règles sanitaires, nous sommes aujourd'hui convaincus que, avec le soutien de tous, nous parviendrons à finir la saison 2020-2021 en mai", a rapporté la Premier League dans un communiqué conjoint avec l'English Football League (D2), la Fédération (FA) et la Super League féminine.
Mercredi, le Royaume-uni a recensé un triste record de 1.564 décès dus à la Covid-19 en une seule journée.
La DH
La Premier League est confiante en la probabilité pour la saison de football d'aller jusqu'à son terme, a annoncé le championnat anglais jeudi.
Le Royaume-Uni est actuellement confronté à un nombre croissant de morts liés à la Covid-19. "Le monde du football a une responsabilité et pendant cette période critique, il appartient à toutes les personnes impliquées de s'assurer qu'elles respectent les règles gouvernementales et les protocoles sanitaires. Etant donné que nous respectons les règles sanitaires, nous sommes aujourd'hui convaincus que, avec le soutien de tous, nous parviendrons à finir la saison 2020-2021 en mai", a rapporté la Premier League dans un communiqué conjoint avec l'English Football League (D2), la Fédération (FA) et la Super League féminine.
Mercredi, le Royaume-uni a recensé un triste record de 1.564 décès dus à la Covid-19 en une seule journée.
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Re: Premier League,transferts, news,...
Premier League: le projet sur les remplacements supplémentaires pour commotion approuvé
Le championnat d’Angleterre sera le premier à introduire ce type de changements.
La ligue professionnelle de football anglaise a donné mercredi le feu vert pour une période d’essai de deux remplaçants supplémentaires en cas de commotion cérébrale en Premier League. L’objectif est de protéger les joueurs contre les séquelles.
L’International Football Association Board (IFAB), qui régit les règles du jeu, avait déjà approuvé la période d’essai en décembre. En vertu de la nouvelle règle, les clubs sont autorisés à effectuer deux remplacements supplémentaires en cas de blessure à la tête, même si le nombre de remplacements permis a été atteint. Si une équipe remplace un joueur qui a subi une commotion cérébrale, l’équipe adverse aura le droit d’effectuer un nouveau changement, quel que soit le nombre de remplacements déjà effectués. En théorie, il est possible pour chaque équipe de faire sept remplacements.
La date de début de la période d’essai n’est pas encore fixée mais la Premier League a avancé qu’elle la fixera lorsque tous les détails, y compris le traitement des « informations médicales personnelles », auront été convenus avec l’IFAB et la Fifa.
https://www.sudinfo.be/id312761/article/2021-01-20/premier-league-le-projet-sur-les-remplacements-supplementaires-pour-commotion
Le championnat d’Angleterre sera le premier à introduire ce type de changements.
La ligue professionnelle de football anglaise a donné mercredi le feu vert pour une période d’essai de deux remplaçants supplémentaires en cas de commotion cérébrale en Premier League. L’objectif est de protéger les joueurs contre les séquelles.
L’International Football Association Board (IFAB), qui régit les règles du jeu, avait déjà approuvé la période d’essai en décembre. En vertu de la nouvelle règle, les clubs sont autorisés à effectuer deux remplacements supplémentaires en cas de blessure à la tête, même si le nombre de remplacements permis a été atteint. Si une équipe remplace un joueur qui a subi une commotion cérébrale, l’équipe adverse aura le droit d’effectuer un nouveau changement, quel que soit le nombre de remplacements déjà effectués. En théorie, il est possible pour chaque équipe de faire sept remplacements.
La date de début de la période d’essai n’est pas encore fixée mais la Premier League a avancé qu’elle la fixera lorsque tous les détails, y compris le traitement des « informations médicales personnelles », auront été convenus avec l’IFAB et la Fifa.
https://www.sudinfo.be/id312761/article/2021-01-20/premier-league-le-projet-sur-les-remplacements-supplementaires-pour-commotion
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Re: Premier League,transferts, news,...
Coronavirus: huit cas positifs en Premier League après une nouvelle série de tests
C’est le chiffre le plus faible depuis la mi-décembre.
La dernière batterie de tests en Premier League a débouché sur huit cas positifs au coronavirus sur les joueurs du championnat d’Angleterre, a annoncé la Ligue anglaise lundi.
Entre le 18 et 24 janvier, 2.518 tests ont été conduits pour 8 cas positifs, soit le plus faible nombre depuis la semaine du 14 au 20 décembre.
La première vague de tests en 2021, entre le 1 et 3 janvier, avait révélé 12 cas positifs sur 984 échantillons, alors que la seconde, les 4 et 10 janvier, a mis en évidence 36 contaminations sur 2.593 tests. Entre le 11 et 17 janvier, 3.115 tests ont été conduits pour 16 cas positifs.
La NG
C’est le chiffre le plus faible depuis la mi-décembre.
La dernière batterie de tests en Premier League a débouché sur huit cas positifs au coronavirus sur les joueurs du championnat d’Angleterre, a annoncé la Ligue anglaise lundi.
Entre le 18 et 24 janvier, 2.518 tests ont été conduits pour 8 cas positifs, soit le plus faible nombre depuis la semaine du 14 au 20 décembre.
La première vague de tests en 2021, entre le 1 et 3 janvier, avait révélé 12 cas positifs sur 984 échantillons, alors que la seconde, les 4 et 10 janvier, a mis en évidence 36 contaminations sur 2.593 tests. Entre le 11 et 17 janvier, 3.115 tests ont été conduits pour 16 cas positifs.
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Premier League: le projet pilote des remplacements supplémentaires pour des commotions débute le 6 février
Les clubs auront le droit d’effectuer jusqu’à deux remplacements supplémentaires en cas de blessures à la tête.
Le projet pilote de deux remplacements supplémentaires de joueurs victimes de commotions cérébrales débutera le 6 février en Premier League, le championnat d’Angleterre de football. L’objectif est de protéger les joueurs contre des dommages permanents, a précisé vendredi la Premier League.
Le Board du football international (IFAB), garant des lois du jeu, avait déjà donné son accord en décembre pour cette période d’essai. Grâce à cette nouvelle règle, les clubs peuvent effectuer deux remplacements supplémentaires en cas de blessure à la tête, même si tous les remplacements normaux ont déjà été épuisés. Si une équipe remplace un joueur qui a subi une commotion cérébrale, l’équipe adverse aura le droit de faire rentrer un joueur supplémentaire, quel que soit le nombre de remplacements déjà effectués.
Il peut donc y avoir jusqu’à cinq remplacements par équipe. Malgré de nombreuses critiques, seuls trois remplacements sont autorisés en Angleterre. De nombreux autres pays, dont la Belgique, sont passés à cinq remplacements depuis le début de la crise du coronavirus pour éviter une surcharge physique auprès des joueurs.
Le football féminin anglais débutera également ce projet pilote à partir du 6 février. En FA Cup, il sera d’application lors des huitièmes de finale prévus du 9 au 11 février. La période d’essai du projet pilote durera jusqu’au terme de la saison avec une possibilité de prolonger jusqu’à la saison prochaine.
La NG
Les clubs auront le droit d’effectuer jusqu’à deux remplacements supplémentaires en cas de blessures à la tête.
Le projet pilote de deux remplacements supplémentaires de joueurs victimes de commotions cérébrales débutera le 6 février en Premier League, le championnat d’Angleterre de football. L’objectif est de protéger les joueurs contre des dommages permanents, a précisé vendredi la Premier League.
Le Board du football international (IFAB), garant des lois du jeu, avait déjà donné son accord en décembre pour cette période d’essai. Grâce à cette nouvelle règle, les clubs peuvent effectuer deux remplacements supplémentaires en cas de blessure à la tête, même si tous les remplacements normaux ont déjà été épuisés. Si une équipe remplace un joueur qui a subi une commotion cérébrale, l’équipe adverse aura le droit de faire rentrer un joueur supplémentaire, quel que soit le nombre de remplacements déjà effectués.
Il peut donc y avoir jusqu’à cinq remplacements par équipe. Malgré de nombreuses critiques, seuls trois remplacements sont autorisés en Angleterre. De nombreux autres pays, dont la Belgique, sont passés à cinq remplacements depuis le début de la crise du coronavirus pour éviter une surcharge physique auprès des joueurs.
Le football féminin anglais débutera également ce projet pilote à partir du 6 février. En FA Cup, il sera d’application lors des huitièmes de finale prévus du 9 au 11 février. La période d’essai du projet pilote durera jusqu’au terme de la saison avec une possibilité de prolonger jusqu’à la saison prochaine.
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Re: Premier League,transferts, news,...
l'Angleterre va imposer une limitation des têtes à l'entraînement
https://www.rtl.be/sport/football/football-etranger/football-l-angleterre-va-imposer-une-limitation-des-tetes-a-l-entrainement-1276630.aspx
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English Man- Administrateur Hammer
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Mes autres équipes préférées: Royal charleroi sporting club, Equipe national d'Angleterre, les diables rouges
Re: Premier League,transferts, news,...
Londres ne répond plus: la capitale risque de manquer le top 4 de Premier League pour la première fois en 25 ans!
Pour la première fois depuis 25 ans, la capitale risque d’être absente du top 4.
Londres ne répond plus: la capitale risque de manquer le top 4 de Premier League pour la première fois en 25 ans!
Chelsea, Arsenal, Tottenham. Ensemble, les trois clubs phares de Londres collectionnent vingt-et-un titres de champions d’Angleterre et des dizaines de podiums. À 55 reprises depuis la Première Guerre mondiale, au moins l’un d’eux figurait parmi les trois premiers du championnat à la fin de la saison.
Le phénomène s’est encore accentué depuis la création de la Premier League en 1992. C’est simple : jamais un club londonien n’a été absent du top 3 entre la saison 1995-1996 et la saison 2019-2020 qui a marqué le déclin de la capitale. Aujourd’hui, force est de constater que le pôle du sommet du championnat s’est déplacé vers le nord du pays.
Leicester City, Liverpool et, surtout, les deux clubs de Manchester monopolisent désormais le combat pour le trône d’Angleterre. Déjà lors des trois dernières saisons en s’appropriant les deux premières places (Man City et Man United en 2018, Man City et Liverpool en 2019, Liverpool et Man City en 2020) mais encore plus cette année.
Et ce n’est pas le 9-0 (record égalé) passé par les Red Devils, mardi, à Southampton qui contredira la tendance.
Hors du top 5, Arsenal (31 pts), Chelsea (33) et Tottenham (33) sont déjà complètement largués dans la course pour le titre avec les deux Manchester (44). Même le top 4 semble difficilement accessible pour le moment.
Symboliquement, c’est d’ailleurs la surprenante équipe de West Ham qui porte haut les couleurs de Londres en faisant mieux que ses prestigieux cousins avec sa 5e place actuelle.
Ne voir aucun club londonien qualifié pour la prochaine Ligue des champions semble de plus en plus réaliste. Ce scénario ne s’est pourtant jamais produit depuis l’ouverture de la compétition à 32 clubs en 1999. Les Gunners, les Blues et les Spurs ont même participé à quatre finales depuis lors, avec un titre à la clef. Celui de Chelsea face au Bayern de Daniel Van Buyten en 2012.
Neuf ans plus tard, Londres ne répond plus. Seul Chelsea, qui affrontera l’Atletico Madrid, est encore en lice dans les huitièmes de finale qui débutent le 16 février. Tottenham et Arsenal doivent se contenter de l’Europa League. Un probable avant-goût de la saison prochaine.
À moins que l’un de ces trois clubs ne réalise une remontée spectaculaire au classement. La forme d’Arsenal ne plaide pas en sa faveur. Tottenham et Toby Alderweireld, qui restent sur deux défaites et attendent impatiemment le retour d’Harry Kane, pourraient y croire en battant leurs voisins ce jeudi soir.
Mais les Blues semblent quand même les mieux armés pour créer cet hypothétique exploit. Un électrochoc est espéré grâce à l’arrivée de Thomas Tuchel et au départ de Frank Lampard. Seul le manager allemand détient la clef pour parvenir à enfin lancer la machine bleue et ses stars recrutées à des prix exorbitants l’été dernier. Timo Werner (53 millions) et Kai Havertz (80 millions) en pôle, eux qui ne sont que l’ombre d’eux-mêmes depuis leur arrivée à Stamford Bridge.
Reste à voir si Tuchel trouvera le trou de la serrure…
La DH
Mes Hammers sont 5 eme pour le moment suis très content de leur saison moi
Pour la première fois depuis 25 ans, la capitale risque d’être absente du top 4.
Londres ne répond plus: la capitale risque de manquer le top 4 de Premier League pour la première fois en 25 ans!
Chelsea, Arsenal, Tottenham. Ensemble, les trois clubs phares de Londres collectionnent vingt-et-un titres de champions d’Angleterre et des dizaines de podiums. À 55 reprises depuis la Première Guerre mondiale, au moins l’un d’eux figurait parmi les trois premiers du championnat à la fin de la saison.
Le phénomène s’est encore accentué depuis la création de la Premier League en 1992. C’est simple : jamais un club londonien n’a été absent du top 3 entre la saison 1995-1996 et la saison 2019-2020 qui a marqué le déclin de la capitale. Aujourd’hui, force est de constater que le pôle du sommet du championnat s’est déplacé vers le nord du pays.
Leicester City, Liverpool et, surtout, les deux clubs de Manchester monopolisent désormais le combat pour le trône d’Angleterre. Déjà lors des trois dernières saisons en s’appropriant les deux premières places (Man City et Man United en 2018, Man City et Liverpool en 2019, Liverpool et Man City en 2020) mais encore plus cette année.
Et ce n’est pas le 9-0 (record égalé) passé par les Red Devils, mardi, à Southampton qui contredira la tendance.
Hors du top 5, Arsenal (31 pts), Chelsea (33) et Tottenham (33) sont déjà complètement largués dans la course pour le titre avec les deux Manchester (44). Même le top 4 semble difficilement accessible pour le moment.
Symboliquement, c’est d’ailleurs la surprenante équipe de West Ham qui porte haut les couleurs de Londres en faisant mieux que ses prestigieux cousins avec sa 5e place actuelle.
Ne voir aucun club londonien qualifié pour la prochaine Ligue des champions semble de plus en plus réaliste. Ce scénario ne s’est pourtant jamais produit depuis l’ouverture de la compétition à 32 clubs en 1999. Les Gunners, les Blues et les Spurs ont même participé à quatre finales depuis lors, avec un titre à la clef. Celui de Chelsea face au Bayern de Daniel Van Buyten en 2012.
Neuf ans plus tard, Londres ne répond plus. Seul Chelsea, qui affrontera l’Atletico Madrid, est encore en lice dans les huitièmes de finale qui débutent le 16 février. Tottenham et Arsenal doivent se contenter de l’Europa League. Un probable avant-goût de la saison prochaine.
À moins que l’un de ces trois clubs ne réalise une remontée spectaculaire au classement. La forme d’Arsenal ne plaide pas en sa faveur. Tottenham et Toby Alderweireld, qui restent sur deux défaites et attendent impatiemment le retour d’Harry Kane, pourraient y croire en battant leurs voisins ce jeudi soir.
Mais les Blues semblent quand même les mieux armés pour créer cet hypothétique exploit. Un électrochoc est espéré grâce à l’arrivée de Thomas Tuchel et au départ de Frank Lampard. Seul le manager allemand détient la clef pour parvenir à enfin lancer la machine bleue et ses stars recrutées à des prix exorbitants l’été dernier. Timo Werner (53 millions) et Kai Havertz (80 millions) en pôle, eux qui ne sont que l’ombre d’eux-mêmes depuis leur arrivée à Stamford Bridge.
Reste à voir si Tuchel trouvera le trou de la serrure…
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Re: Premier League,transferts, news,...
Wenger inquiet pour l’avenir de la Premier League
L’ancien manager d’Arsenal, Arsène Wenger, s’est exprimé au sujet de l’avenir de la Premier League. Il estime que celle-ci pourrait perdre son leadership dans un futur proche.
Arsène Wenger ne se montre guère optimiste pour l’avenir de la Premier League. « Le reste de l’Europe a un rêve, détruire la supériorité de la Premier League. Quand nous parlons de la Super League, c’est cet objectif derrière » estime le technicien français.
Le Brexit en cause
Pour l’ancien Gunner, le Brexit est l’une des autres raisons de se déclin annoncé : « Nous avons toujours su à Arsenal que la Premier League était la cible. Le Brexit sera un désavantage pour les clubs anglais et rendra les choses plus difficiles. Le Brexit pourrait être le début d’une moindre domination de l’Angleterre » a-t-il ajouté.
L’ancien manager d’Arsenal, Arsène Wenger, s’est exprimé au sujet de l’avenir de la Premier League. Il estime que celle-ci pourrait perdre son leadership dans un futur proche.
Arsène Wenger ne se montre guère optimiste pour l’avenir de la Premier League. « Le reste de l’Europe a un rêve, détruire la supériorité de la Premier League. Quand nous parlons de la Super League, c’est cet objectif derrière » estime le technicien français.
Le Brexit en cause
Pour l’ancien Gunner, le Brexit est l’une des autres raisons de se déclin annoncé : « Nous avons toujours su à Arsenal que la Premier League était la cible. Le Brexit sera un désavantage pour les clubs anglais et rendra les choses plus difficiles. Le Brexit pourrait être le début d’une moindre domination de l’Angleterre » a-t-il ajouté.
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