L'équipe national d'Angleterre.

les Anglais grièvement blessés à Marseille rapatriés

Les deux Anglais grièvement blessés à Marseille le 11 juin en marge du match de l'Euro-2016 contre la Russie se trouvaient toujours vendredi dans un état grave, mais ont quitté l'hôpital pour être rapatriés au Royaume-Uni, a annoncé une source proche du dossier à l'AFP.

Le plus gravement blessé des deux supporters, un homme de 51 ans, a quitté vendredi l'hôpital où il était soigné depuis sa violente agression près du Vieux-Port, a précisé cette source.

Il devait être transféré dans le sud de l'Angleterre, près de sa famille, a-t-elle précisé. Le supporter, paralysé du côté gauche du corps, conservera "très probablement" de lourdes séquelles de son agression, a-t-elle précisé.

Il avait été roué de coups, frappé notamment avec une barre de fer lors de violentes "chasses aux Anglais" - selon les termes du procureur - menées par des hooligans russes venus en découdre dans le centre de Marseille.

Malgré des centaines d'heures de vidéosurveillance étudiées et la mobilisation des enquêteurs marseillais, ses agresseurs n'ont toujours pas été identifiés.

Le parquet a ouvert une information judiciaire pour "violence en réunion avec arme, ayant entraîné une infirmité permanente", a précisé une source judiciaire vendredi.

Un autre supporter avait été gravement blessé, quoique pris en charge dans un état légèrement moins préoccupant. Il a quitté jeudi la France pour le Royaume-Uni "dans un état clinique toujours grave", a précisé la source proche du dossier.

Au total, les violences qui ont débuté dans la nuit du jeudi au vendredi 10 juin, puis se sont poursuivies le vendredi avant de culminer le samedi du match, avaient fait 35 blessés, en grande majorité britanniques.

RTL

LE PRÉSIDENT DE WEST HAM NE VEUT PAS D'UN SÉLECTIONNEUR ÉTRANGER

Après la démission de Roy Hodgson, à la suite de l’élimination de l’Angleterre en huitièmes de finale de l’Euro, la sélection anglaise est à la recherche de son successeur. Un temps favori des bookmakers, Gareth Southgate aurait refusé le poste, et depuis des voix s’élèvent outre-Manche pour que Slaven Bilić, l’entraîneur de West Ham, récupère ce poste de sélectionneur.

Le co-président de West Ham, David Gold, ne veut pas laisser partir son entraîneur croate, qui a terminé à une jolie septième place la saison dernière. Interrogé par The SunSport, Gold, en voulant défendre son protégé, s'est laissé aller à une petite remarque en adéquation avec le Brexit et ses 79 ans : « Je ne suis pas impartial parce que je ne voudrais pas que nous perdions Slaven. Mais je ne veux pas d’un sélectionneur étranger en Angleterre. Nous l'avons déjà fait avant et je ne pense pas que cela nous a aidés. Pourquoi avoir un entraîneur étranger ? La prochaine étape sera de vouloir un Allemand en attaque ou un défenseur italien. »

L'ISLANDE BALAYÉE PAR LA FRANCE, LINEKER SE MOQUE DE L'ANGLETERRE SUR TWITTER

Alors que l’Islande craquait complètement contre la France, Gary Lineker s’est fendu d’un tweet acerbe contre l’équipe d’Angleterre, qui avait été balayée par l’Islande en huitièmes de finale de l’Euro.

Parfois, un tweet vaut mieux qu’un long discours. C’est ce que s’est certainement dit l’ancien international anglais et présentateur de Match of The Day sur la BBC, Gary Lineker. Pendant que l’Islande, qui avait éliminé l’Angleterre au tour précédent (1-2), était balayée par la France, Lineker n’a pas manqué l’occasion d’envoyer un uppercut à l’équipe nationale anglaise au travers d’un tweet assez acerbe.



On peut traduire cette déclaration comme ceci : «  Je ne comprends pas pourquoi nous étions si critiques avec l’Angleterre. Regardez la difficulté avec laquelle la France joue contre l’Islande  ».

Pour rappel, la France a facilement battu l’Islande 5-2. Voilà qui est envoyé.

La NG

Wenger ne sait pas ce qu’il fera après Arsenal


Après l’élimination prématurée de l’Angleterre à l’Euro 2016, la liste des candidats au poste de sélectionneur, laissé vacant par Roy Hodgson, commence à s’agrandir. La Fédération anglaise sonderait d’ailleurs Arsène Wenger, qui ne sait pas s’il prolongera avec Arsenal à la fin de son contrat en 2017.

Roy Hodgson, le désormais ex-sélectionneur de l’Angleterre, a fait les frais de l’humiliante élimination de son équipe face à l’Islande (2-1) en huitièmes de finale de l’Euro 2016. La Fédération anglaise lui cherche donc un successeur pour préparer la prochaine Coupe du monde en 2018.

Présent dans la short-list des candidats, Arsène Wenger a indiqué sur BeIN Sports ne pas être fixé sur son avenir à la fin de son contrat avec Arsenal en 2017. "Je ne sais pas ce que je ferai après", a confié le consultant de la chaîne.

Wenger : « Plutôt jeune, avec beaucoup de potentiel »

La Fédération britannique doit commencer à s’inquiéter en vue de l’échéance en 2018. En effet, elle a déjà essuyé le refus de Gareth Southgate et aucun entraineur ne s’est réellement manifesté pour briguer le poste de sélectionneur. Le coach des Gunners a décrit la sélection anglaise comme « plutôt jeune, avec beaucoup de potentiel ». Un peu comme Arsenal, non ?

STEVEN GERRARD FUTUR COACH DES U19 ?

Selon Sky Sports, Steven Gerrard devrait discuter avec la Fédération anglaise pour prendre en charge les U19 et participer au débat sur le futur sélectionneur des A.

Avec 114 sélections au compteur et quatorze années avec les Three Lions, Steven Gerrard n’a jamais caché son amour pour le maillot anglais, même s’il n’a rien gagné avec. A 36 ans, l’ancienne légende de Liverpool pourrait raccrocher les crampons à la fin de l’année 2016, après deux saisons chez les Los Angeles Galaxy. Mais le milieu de terrain pense déjà à son avenir, et selon Sky Sports, il serait entré en discussion avec la Fédération anglaise pour un éventuel poste d’entraîneur des U19. Il fait également partie d’une liste d’anciens joueurs qui participeront aux débats pour trouver le successeur de Roy Hodgson, dont le contrat n’a pas été renouvelé suite à l’élimination des Three Lions en huitièmes de finale de l’Euro contre l’Islande. En plus des U19 anglais, Gerrard pourrait également prend en charge les U21 de Liverpool.

Euro 2016 : un supporter anglais soutenant l'Islande poignardé à Paris

'homme de 25 ans a été agressé à coups de couteau près de la gare du Nord par un déséquilibré. Ses jours ne sont pas en danger. Son agresseur a quant à lui été interpellé par un policier en repos.

Peu de temps après le coup de sifflet final du quart de finale de l'Euro de football entre la France et l'Islande, un supporter anglais «soutenant l'équipe d'Islande» a été poignardé dimanche soir dans le quartier de la gare du Nord, à Paris, a révélé Le Parisien ce lundi. Selon une source policière, ses jours ne sont pas en danger.
L'homme de 25 ans était avec sa compagne au moment où il a été agressé rue Dunkerque, dans le Xe arrondissement de la capitale. Il présentait de profondes plaies au niveau de l'abdomen, larges d'environ deux centimètres. Transporté à l'hôpital de la Pitié-Salpétrière, il a été «opéré [dans la nuit de dimanche à lundi], le pronostic vital n'est pas engagé», selon la même source. «Quand il a été frappé, j'ai entendu sa femme qui poussait un effroyable cri. L'auteur des coups de couteau, un gaillard d'environ 1,90 mètre, s'est tenu immobile quelques instants devant lui, avant de s'éloigner tranquillement, comme si de rien n'était», a rapporté un témoin au Parisien.
Interpellé par un policier en repos

L'employé d'une brasserie à proximité s'est alors lancé à la poursuite de l'agresseur. Sur sa course, il croise un policier hors service qui circule à moto. Le fonctionnaire va alors se précipiter sur l'auteur des coups de couteau et l'immobiliser jusqu'à l'arrivée des renforts. Selon la compagne de la victime, citée par Le Parisien, «un différend verbal» serait à l'origine de l'agression. Pour la police, en revanche, le «mobile n'est encore pas défini» L'auteur présumé serait originaire du sous-continent indien, et ne serait pas supporter de foot.
D'après Le Parisien, l'homme ne parlerait pas français et n'aurait aucun papier d'identité sur lui. Il a finalement été conduit à l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police. «Ce n'est visiblement pas quelqu'un qui a toute sa tête», a affirmé un fonctionnaire. L'enquête a été confiée au service de l'accueil et de l'investigation de proximité du Xe arrondissement de Paris.

Aimé Jacquet : "L'Angleterre a eu le résultat qu'elle mérite"

L'Angleterre, éliminée par l'Islande à l'Euro 2016, "a eu le résultat qu'elle mérite", estime Aimé Jacquet, sélectionneur français champion du monde 1998, expliquant que "les meilleurs internationaux du monde" jouent en Premier League au détriment des jeunes anglais, ce mercredi dans un entretien à la Fifa.

"Il y a eu des surprises, comme le pays de Galles, l'Islande, l'élimination de l'Angleterre, commente Jacquet. On voit l'exemple de l'Angleterre qui a eu le résultat qu'elle mérite. Les Italiens ont connu ça quand ils faisaient venir les meilleurs internationaux du monde. Leurs jeunes ne jouaient plus. Nous, on a la chance en France d'avoir le contraire".

L'ancien entraîneur, aujourd'hui âgé de 74 ans, a "aimé voir la combativité de toutes ces petites équipes (galloise, islandaise)".

"Chaque nation a son orgueil, sa présence et ne se laisse pas battre comme ça. Je suis très heureux de voir ça parce qu'on a souvent tendance à dire que le football, c'est l'argent. Mais là, ce ne sont pas les clubs, ce sont les équipes nationales et c'est un visage complètement différent", conclut-il.

RTBF

SIR ALEX FERGUSON PENSE À SAM ALLARDYCE

Alors que la Fédération Anglaise de football est à la recherche du successeur de Roy Hodgson, Sir Alex Ferguson a donné son avis sur la question à Sky Sports. Pour l’ancien entraîneur de Manchester United, Sam Allardyce serait le meilleur candidat anglais.

Alors que les éliminatoires de la Coupe du Monde 2018 démarrent en septembre prochain, l’Angleterre doit se trouver un sélectionneur dans les plus brefs délais. Si Gareth Southgate était considéré de par son poste à la tête des espoirs, ce dernier a refusé et oblige l’état-major de la FA à chercher le bon profil. Sir Alex Ferguson a profité d’un entretien accordé à la chaîne britannique Sky Sports pour donner un avis clair sur la question. L’ancien entraîneur de Manchester United voit bien Sam Allardyce venir succéder à Roy Hodgson à la tête des Three Lions. « C’est très difficile de penser à l’homme idéal (pour le poste), il y a seulement trois entraîneurs anglais en Premier League, assure Sir Alex Ferguson. Avec l’expérience de Sam (Allardyce), c’est un choix évident. Si c’est Sam, c’est très bien. Ils doivent prendre quelqu’un avec les capacités requises, la bonne approche tactique et l’envie de prendre la sélection nationale. Dieu merci, je n’ai pas à faire le choix, parce qu’il est difficile. Mais le meilleur candidat anglais est Sam. » Or il est tout à fait possible que la FA se tourne une nouvelle fois vers un étranger, comme elle l’a fait avec Sven-Göran Eriksson et Fabio Capello.

Roberto Mancini tenté par le poste de sélectionneur, Harry Redknapp hors course

Alors que Harry Redknapp était annoncé comme un candidat crédible pour le poste de sélectionneur de l'Angleterre, les médias anglais font désormais état d'une possibilité de voir Roberto Mancini à ce poste.

Alors qu’il lui reste un an de contrat à l’Inter Milan, Roberto Mancini va-t-il prendre les rênes des Three Lions ? Selon le Guardian, le technicien italien, passé par Manchester City, pourrait être tenté par le poste, vacant depuis le départ de Roy Hodgson. La Fédération anglaise a fait savoir à Harry Redknapp, un temps annoncé comme favori, qu’il ne serait pas le candidat élu.

Un candidat en pôle pour reprendre l’Angleterre

Après Roberto Mancini, Laurent Blanc, Sam Allardyce voire Arsène Wenger, un nouveau prétendant est venu s’ajouter à la liste des possibles successeurs de Roy Hodgson. Selon l’ancien attaquant allemand Oliver Bierhoff, Jürgen Klinsman serait en discussions avec la fédération anglaise (FA). « Ce serait une bonne prise. Il n’est pas toujours facile à gérer parce qu’il veut changer les choses. Mais il apporte de la motivation. Il a le courage de prendre des décisions difficiles », a assuré Bierhoff à propos de son ex-coéquipier en sélection allemande.

Ancien sélectionneur de la Mannschaft, à la tête des États-Unis depuis 2011, Klinsmann (51 ans) serait même le favori pour prendre les rênes des Three Lions, selon le Daily Star.Sous contrat avec Team USA jusqu’à la Coupe du monde 2018, il pourrait néanmoins anticiper son départ en raison de ses relations tendues avec le président de la fédération américaine Sunil Gulati.

KLINSMANN LIBRE DE SON CHOIX

Alors que Jürgen Klinsmann est dans la short-list pour prendre la tête de l’Angleterre, la Fédération Américaine de football serait disposée à libérer son sélectionneur, selon le Sunday People.

La recherche d’un nouveau sélectionneur touche à son terme pour la Fédération Anglaise de football (FA). Principale cible des dirigeants du football anglais, Jürgen Klinsmann est l’actuel sélectionneur des Etats-Unis. Mais la Fédération Américaine de football serait ouverte à l’idée de libérer l’ancien sélectionneur allemand pour qu’il reprenne en main les Three Lions, selon le quotidien Sunday People. Un poste qui est désormais en balance entre Jürgen Klinsmann et Sam Allardyce.

Arsène Wenger «n'exclurait jamais» de devenir le sélectionneur de l'Angleterre

Arsène Wenger, sous contrat avec Arsenal jusqu'en 2017, n'a pas exclu la possibilité d'entraîner un jour l'équipe d'Angleterre.

Arsène Wenger a confié qu’il n’était pas contre l’idée d’entraîner l’équipe d’Angleterre, mais une fois seulement son contrat avec Arsenal terminé. Le Français était le premier choix de la fédération anglaise (FA) pour remplacer Roy Hodgson, mais son contrat chez les Gunners n’expirera qu’à la fin de la saison 2016/17 et il y a très peu de chances pour qu’il parte avant cette échéance.

«Est-ce que je pourrais entraîner l’Angleterre ? Pourquoi pas ? Je ne l’exclurais jamais, mais je suis heureux et concentré avec mon club, a déclaré Wenger lors d’une interview à beIN Sports. J’ai encore une année avec Arsenal et je suis avec eux depuis longtemps. J’ai toujours respecté tous mes contrats et je vais continuer à le faire. Que ferai-je après ça ? Honnêtement, je ne sais pas.»

La FA espérait initialement pouvoir nommer Gareth Southgate, l’entraîneur des Espoirs anglais, pour un intérim d’un an en attendant l’arrivée de Wenger. Mais ce plan a dû être abandonné après que Southgate a décliné ce rôle. Parmi les favoris pour prendre la succession de Roy Hodgson figurent désormais Jürgen Klinsmann, Eddie Howe.

Pourquoi le profil de Laurent Blanc a séduit l’Angleterre

Roy Hodgson démissionnaire, l'équipe d'Angleterre se cherche un nouveau sélectionneur. Et si le nom d'Arsène Wenger a rapidement été cité pour prendre les commandes des Three Lions, celui de Laurent Blanc a également été nommé. Mais que pensent nos voisins d'outre-Manche du Cévenol ?

Sevrée de trophées majeurs depuis son Mondial 1996, la sélection anglaise a une nouvelle fois dû remiser ses ambitions au placard. Sortis dès la phase de poules lors du Mondial brésilien en 2014, les partenaires de Wayne Rooney ont cette fois-ci échoué dès les huitièmes de finale. Contre la modeste équipe d’Islande, qui plus est. Humiliée, la sélection britannique est donc rentrée chez elle la tête basse et sans son sélectionneur Roy Hodgson, démissionnaire. Un énième constat d’échec qui a poussé la fédération anglaise (FA) à se mettre en quête d’un nouveau sélectionneur. Et visiblement, les Français ont la cote de l’autre côté du Channel. En effet, si le nom d’Arsène Wenger n’a pas tardé à être cité, des rumeurs insistantes font également état d’un intérêt de la FA pour un certain Laurent Blanc.
A peine débarqué de son poste d’entraîneur du Paris Saint-Germain, le Cévenol est-il réellement un candidat sérieux ou une simple piste faite par déduction, au vu de sa situation ? Interrogé par nos soins, le journaliste de Skysports Kaveh Solhekol explique que le nom de l’ex-coach du PSG n’a pas été sorti du chapeau par hasard. « La FA veut à tout prix trouver le bon coach pour ce poste. Un des noms qui a été cité est celui de Laurent Blanc parce qu’il a un très bon bilan avec le Paris Saint-Germain et aussi parce qu’il a été un très grand joueur. En plus, il a passé une saison à Manchester United. Le sentiment en Angleterre c’est qu’il n’y a pas assez de bons managers anglais qui ont l’expérience et la réussite pour occuper ce poste. Donc beaucoup de personnes pensent qu’il faut un entraîneur étranger et Laurent Blanc fait partie des grands noms annoncés, tout comme Arsène Wenger. »
Des défauts qui peuvent coûter cher à Blanc

Pisté pour redorer le blason des Three Lions, Blanc a l’avantage de présenter un CV où figurent pas moins de 11 titres glanés en 3 saisons passées dans la capitale française. Seul bémol, son incapacité à faire franchir un palier aux Rouge-et-Bleu en Ligue des Champions. De quoi refroidir ses courtisans anglais ? Pas vraiment. « Je pense que la FA y prêtera attention, mais Blanc a gagné des titres avec le PSG, même si ce club est très riche donc ce n’était pas le travail le plus difficile. Ils savent aussi qu’il a entraîné l’équipe de France. Les Anglais sont très impressionnés par les coaches étrangers. Les entraîneurs anglais sont agacés de voir les coaches français venir travailler en Angleterre alors qu’eux ne se voient pas donner cette chance. Donc la pression est très forte sur la FA pour trouver l’homme idéal », poursuit Solhekol.
Sur le papier, Laurent Blanc semble donc avoir un grand nombre d’atouts en main pour endosser le rôle de sérieux prétendant au poste de sélectionneur anglais s’il le désire. Toutefois, quelques facteurs ne jouent pas en sa faveur. A commencer par la maîtrise de la langue de Shakespeare pour un technicien plus habitué à manier l’Italien, voire l’Espagnol. « Ça pourrait être un réel problème. La FA voudra quelqu’un qui parle un bon anglais. Dans le passé, ils ont eu l’expérience avec Fabio Capello. Son anglais et sa communication avec les médias n’étaient pas très bons. Les médias sportifs sont très puissants en Angleterre donc il faut un manager qui sache gérer ça, il faut donc parler un très bon anglais. » Enfin, la personnalité introvertie de Blanc pourrait également lui jouer des tours. Pas franchement réputé pour ses talents de communicant, le Cévenol a souvent eu pour habitude de se refermer sur lui-même à la vue des critiques françaises. Un aspect peu en adéquation avec le profil d’un sélectionneur destiné à faire face aux très incisifs médias anglais. « En Angleterre, le poste de manager de l’équipe d’Angleterre est surnommé le "job impossible" parce qu’il y a une telle pression des médias qui aiment tout disséquer qu’il faut avoir une grosse personnalité pour être capable de dominer ou charmer les médias. Ce serait un problème pour lui si c’est le genre de personne qui rejette les médias ou qui a des sautes d’humeur. C’est un autre aspect qui sera étudié par la FA, c’est-à-dire quelqu’un qui est à l’aise avec les médias. » Laurent Blanc sait donc ce qu’il lui reste à faire s’il décide de répondre favorablement à l’intérêt de la FA.

Sunderland tance la Fédération anglaise

Sunderland reproche à la Fédération anglaise de vouloir débaucher son entraîneur, Sam Allardyce.

Sunderland n’apprécie pas que la Fédération anglaise (FA) ait entamé des discussions avec son entraîneur, Sam Allardyce, pour succéder à Roy Hodgson démissionnaire à la suite du fiasco de l’Angleterre en huitième de finale de l’Euro contre l'Islande (1-2). Le club de Premier League s’est fendu d’un communiqué, ce mercredi, dans lequel il explique que la FA lui a demandé la permission de discuter avec le technicien. «À la demande de Sam Allardyce, nous avons accepté», explique Sunderland.
Ce n’est pas pour autant que les Black Cats ont apprécié la démarche. «Sam est très précieux dans notre projet. Après une saison extrêmement difficile (Sunderland a terminé 17e et premier non relégable), nous aspirons à une période de stabilité, sur et en dehors du terrain, et nous souhaiterions conserver notre manager», a fait savoir le club.

Selon Sunderland, les spéculations actuelles autour de la position d’Allardyce «sont extrêmement dommageables» pour le club qui exhorte la Fédération «à apporter une solution rapide à ce problème.»

Personne ne veut s'offrir le maillot le plus important de l'histoire du football anglais



Le maillot frappé du N.10 de Geoff Hurst, auteur d'un triplé lors de la finale du Mondial-1966 remportée 4-2 après prolongations par l'Angleterre contre l'Allemagne, n'a pas trouvé preneur mardi lors d'une vente aux enchères à Sotheby's.

La pourtant mythique vareuse rouge, en coton et à manches longues, était évaluée à 355.000 euros mais les offres n'ont jamais atteint le prix de réserve fixé à l'avance. "C'est une pièce immensément importante et d'une grande valeur dans l'histoire du football qui avait engendré un très grand intérêt avant la vente", a réagi un porte-parole du prestigieux vendeur aux enchères. "Malheureusement, en dépit de l'admiration suscitée dans les mois précédents et des offres proposées, il n'a pas trouvé d'acheteur aujourd'hui".

A l'époque, Geoff Hurst avait profité de la blessure du titulaire d'alors Jimmy Greaves pour se faire une place dans le groupe des futurs champions du monde. En 2000, un collectionneur privé avait dû débourser près de 100.000 euros pour acquérir son maillot lors d'une vente organisée cette fois par Christie's. Il a ensuite été cédé en 2008 pour une somme inconnue à l'investisseur immobilier Andrew Leslau, qui l'avait alors assuré et qualifié de "maillot le plus important de l'histoire du football anglais".

RTL

L’Angleterre 13 eme au classement FIFA de juillet 2016.

L'arche de Wembley illuminée en hommage aux victimes de l'attentat à Nice

Le stade de Wembley à Londres va éclairer son arche aux couleurs du drapeau français vendredi soir en hommage à toutes les victimes de l'attentat commis à Nice jeudi.


Wembley avait déjà rendu hommage aux victimes des attentats du 13 novembre à Paris. (Reuters)

La France a de nouveau été frappée par un attentat jeudi soir à Nice où un individu a foncé dans la foule sur la Promenade des Anglais à Nice avec un camion. 84 personnes sont décédées et on dénombre plus de 200 blessés.

Pour rendre hommage aux victimes, Wembley illuminera vendredi soir son arche aux couleurs de la France. Le stade londonien s'était déjà paré de bleu-blanc-rouge lors du match Angleterre - France le 17 novembre dernier, quatre jours après les attentats du 13 novembre.

Vidéo : Le stade de Wembley organise des visites guidées en réalité augmentée



Le stade de Wembley organise des visites guidées en réalité augmentée

À partir du 18 juillet, le stade de Wembley en Angleterre proposera des visites guidées en réalité augmentée et en proposant du contenu vidéo à 360 degrés. Le but est de rendre plus interactive l'expérience des participants.

Participer à une visite guidée d’un stade de football n’est peut-être pas l’activité la plus fun du monde, sauf si l’on est un ultra-passionné du ballon rond. Les tribunes sont vides, l’ambiance n’a rien à voir avec celle d’un match endiablé et on ne ressent pas la même passion. Cependant, au stade de Wembley, la réalité augmentée pourrait changer la donne.

Wembley est considéré par certain comme le berceau du football. Il s’agit du lieu incontournable des grandes compétitions et toutes les finales des coupes nationales s’y jouent. Pour retranscrire au mieux l’aspect mythique du lieu, le stade s’est allié à l’opérateur britannique EE pour proposer des visites guidées loin d’être classiques.


Grâce à une application baptisée SmartGuide (qui fonctionne avec un smartphone dédié pré-programmé), les participants peuvent profiter de nombreuses informations affichées sur les écrans de leurs appareils au fil de la visite. Ainsi, par exemple, grâce à des QR codes sur les maillots des footballeurs anglais dans les vestiaires, il peuvent consulter leurs statistiques de jeu (nombre de sélections, de but marqués…).



Les visiteurs pourront en apprendre plus sur les infrastructures — telles que les écrans d’affichage — du stade simplement en les scannant. L’application permet également d’entrer dans la peau des joueurs lorsqu’ils entrent sur le terrain en recréant, en vidéo à 360 degrés, l’effervescence des spectateurs, des cameramans et des photographes en face d’eux grâce à la technologie iBeacon d’Apple. SmartGuide propose aussi de revivre certains moments historiques de Wembley, tel que le but en finale de la Coupe du monde 1966 si contesté.

L’application ne se substitue pas au guide humain. C’est ce dernier qui décide de quand le moment est opportun pour s’arrêter et inviter le groupe à consulter leurs appareils. « Il garde donc le contrôle total du rythme et du contenu de la visite », explique John Robertson, journaliste à Ars Tecnica, qui a eu l’occasion d’essayer SmartGuide. Ce dernier, séduit par l’expérience, estime d’ailleurs qu’il s’agit du futur des visites guidées.

Même les personnes qui ne sont pas fans de football pourraient y trouver leur compte puisque l’application permet aussi de revivre un concert du chanteur Ed Sheeran dans le stade, toujours en 360 degrés. Ces visites guidées seront lancées à partir du 18 juillet à l’occasion du cinquantenaire du sacre mondial de l’Angleterre (lors de la fameuse Coupe du monde 1966 mentionnée plus haut). Pour les fans des Three Lions, cela pourrait être un bon moyen d’oublier la débandade de la sélection en huitième de final de l’Euro 2016, face à l’Islande.

le successeur de Hodgson bientôt connu

Selon les informations émanant d'Angleterre, le nouveau patron des Three Lions sera connu au plus tard la semaine prochaine.

L'équipe d'Angleterre de football se trouve sans sélectionneur depuis le limogeage de Roy Hodgson à l'issue de la désastreuse campagne du dernier Euro. Les dirigeants de la fédération (FA) ont pris le temps d'étudier les différentes candidatures et sont sur le point de prendre une décision. C'est ce que rapporte le Sky Sports, indiquant que le verdict tombera très certainement la semaine prochaine.

Allardyce toujours en pole

La priorité, au début, a été donnée au recrutement d'un technicien étranger. Mais aujourd'hui ce n'est plus vraiment le cas. Si l'on se fie à ce qui se murmure de l'autre côté de la Manche c'est Sam Allardyce, le manager de Sunderland, qui serait le mieux placé pour obtenir ce poste. Les discussions ont déjà été entamées avec cet expérimenté technicien et cela a grandement irrité les responsables des Black Cats. Chez les bookmakers, Allardyce est donc le favori et juste derrière on retrouve l'Allemand, Jurgen Klinsmann, actuel coach des Etats-Unis.

Premier match de qualification pour la coupe du monde 2018.

Steve Bruce auditionné pour le poste de sélectionneur

L'actuel entraîneur de Hull City Steve Bruce a été auditionné par la commission chargée par la Fédération anglaise (FA) de désigner le successeur de Roy Hodgson, parti après le fiasco de l'Euro-2016, rapportent mardi les médias britanniques.

Bruce n'apparaît toutefois pas comme le favori pour le poste, selon ces médias. L'entraîneur de Sunderland Sam Allardyce, qui a rencontré la semaine dernière les trois membres de la commission mise en place par la FA après le départ de Hodgson à la suite de l'élimination de l'Angleterre par l'Islande en huitièmes de finale de l'Euro-2016, tiendrait la corde.

"Le club peut confirmer que Steve Bruce a entamé des discussions informelles relatives au poste de sélectionneur, même si le club n'a reçu aucune approche officielle de la part de la FA", écrit Hull City dans un communiqué mardi après-midi.

"Je pense que le prochain sélectionneur devrait être anglais. Je l'ai toujours dit, et personne n'est plus patriote que moi", a affirmé Bruce, ancien capitaine de Manchester United, aujourd'hui âgé de 55 ans, à la BBC Radio mardi. "Je suis honoré que mon nom soit évoqué. C'est un apogée (dans une carrière) d'entraîner son pays. Quel meilleur job au monde y a-t-il ?".

Deux autres noms circulent également pour le poste, ceux du jeune technicien de Bournemouth Eddie Howe et de l'ancien attaquant allemand Jurgen Klinsmann, qui entraîne actuellement les Etats-Unis.

Bruce, qui a participé la saison dernière à la remontée de Hull City dans l'élite du championnat anglais, a également été aux commandes de Wigan et de Sunderland par le passé.

Depuis la défaite inattendue de l'Angleterre face à l'Islande (2-1) et le départ consécutif de Roy Hodgson, le pays est à la recherche d'un nouveau sélectionneur.

L'Angleterre n'a plus atteint le stade des quarts de finale d'une compétition internationale depuis le Mondial-2006 en Allemagne, où la sélection était emmenée par le Suédois Sven-Goran Eriksson.

ASHLEY COLE VOTE POUR WENGER

Interrogé sur le nom du prochain sélectionneur de l’Angleterre, Ashley Cole, international entre 2001 et 2014, aimerait voir son ancien manager à Arsenal, Arsène Wenger, être nommé.

L’actualité de la semaine en Angleterre, c’est évidemment le possible transfert de Paul Pogba vers Manchester United mais également la révélation à venir du nom du successeur de Roy Hodgson, qui a quitté son poste après un Euro 2016 raté. Sam Allardyce (Sunderland) et Steve Bruce (Hull City) ont déjà été sondés par la Fédération anglaise qui privilégierait ainsi de poursuivre avec un technicien anglais. Pour le moment, seuls deux entraîneurs étrangers ont été nommés à ce poste : le Suédois Sven-Göran Eriksson (2001-2006) et l’Italien Fabio Capello (2007-2012). Ashley Cole, international anglais entre 2001 et 2014 et qui compte 107 sélections, a lui fait son choix. « Avoir un manager étranger ou garder un manager anglais, je ne sais pas quelle est la meilleure solution. Mais j’aimerais beaucoup voir quelqu’un comme Wenger prendre les rênes de la sélection », a affirmé le latéral gauche du Los Angeles Galaxy (MLS) dans un entretien accordé à Sky Sports.

Ashley Cole : « Wenger est très bon avec les jeunes »

« Il est très bon avec les jeunes, il sait comment gagner et connaît le football, a poursuivi celui qui a côtoyé l’Alsacien entre 2000 et 2006 chez les Gunners. Si vous me demandez de choisir un manager, je choisirai Arsène Wenger. Il peut permettre à nos jeunes joueurs d’évoluer à un niveau supérieur. Les joueurs qui sont actuellement en sélection sont très talentueux mais ils ont besoin d’expérience et je pense que quelqu’un comme Wenger peut leur fournir. Il le fait déjà avec Arsenal depuis plusieurs années. » Dur d’imaginer pourtant l’ancien coach de l’AS Monaco quitter son poste de manager à un an de la fin de son contrat.

La Fédération anglaise lève le voile sur l'identité du nouveau sélectionneur des Three Lions

Le directeur général de la Fédération anglaise de football (FA) Martin Glenn a promis mercredi que le nouveau sélectionneur de l'Angleterre ne serait "pas un mercenaire engagé sur le court terme", mais un technicien capable de "construire un modèle efficace".

Eliminée piteusement dès les huitièmes de finale de l'Euro-2016 par l'Islande (1-2), au terme d'un premier tour laborieux, l'Angleterre se cherche un nouveau sélectionneur après le départ de Roy Hogdson. "Nous ne voulons pas d'un mercenaire engagé sur le court terme, quelqu'un qui fasse le job pour seulement quelques années. Je veux quelqu'un qui vienne pour vraiment travailler avec l'équipe nationale A mais aussi avec les moins de 16, les moins de 17 et les moins de 18 et construire quelque chose avec eux", a déclaré Glenn. "Nous cherchons quelqu'un qui fasse du bon boulot avec l'équipe nationale mais qui s'assure aussi le développement des équipes de jeunes pour construire un modèle efficace", a-t-il ajouté.

Martin Glenn fait partie d'un panel de trois personnes chargé de désigner le nouveau sélectionneur des Three Lions. Parmi les prétendants, Sam Allardyce, actuellement entraîneur de Sunderland, et Steve Bruce, en poste à Hull City, font figure de favoris. L'Allemand Jürgen Klinsmann, sélectionneur des Etats-Unis, et Eddie Howe, entraîneur de Bournemouth, seraient également sur la liste de la FA.

"Nous progressons et nous savons ce que nous voulons. Nous sommes plutôt encouragés par ce que nous avons vu jusqu'à présent. C'est le sélectionneur de l'Angleterre, on ne peut pas se tromper et il faut que nous soyons sûrs de nous. Je ne peux pas être plus précis sur le timing, il faut qu'on fasse le bon choix", a déclaré Glenn, qui a toutefois rappelé que la recherche avait débuté il y a seulement "trois semaines".

RTL

Sam Allardyce pressenti comme sélectionneur

Sam Allardyce, l'actuel entraîneur de Sunderland, devrait être désigné sélectionneur de l'Angleterre dans les prochaines 24 heures, après le fiasco des Anglais à l'Euro, affirment mercredi soir plusieurs médias britanniques.

Allardyce, âgé de 61 ans, succéderait ainsi à Roy Hodgson, qui avait démissionné après l'élimination surprise face à l'Islande (2-1) en 8e de finale de l'Euro-2016 organisé en France.

Ancien joueur professionnel, Allardyce est devenu entraîneur en 1991 et a été aux commandes de plusieurs équipes anglaises comme Newcastle, Blackburn ou West Ham.

Arrivé en octobre 2015 à Sunderland, il a réussi de haute lutte à maintenir l'équipe en Premier League, avec une 17e place, et deux petits points d'avance sur le premier club relégué Newcastle.

Le technicien, qui avait été pressenti il y a dix ans pour le poste avant de voir Steve McClaren finalement choisi, avait rencontré la semaine dernière les membres de la commission chargée de désigner le nouveau sélectionneur.

Selon les médias britanniques, sa nomination sera officialisée jeudi par la direction de la Fédération anglaise (FA).

L'autre candidat régulièrement cité était Steve Bruce, l'entraîneur de Hull, qui avait été auditionné lui aussi.

Son club de Hull et celui de Sunderland, où officie Allardyce, avaient demandé à la Fédération de prendre rapidement sa décision pour leur permettre de trouver le plus vite possible un remplaçant afin de préparer la saison, qui démarre le 13 août.

Allardyce aurait été chaudement recommandé par l'emblématique Alex Ferguson, l'ancien entraîneur de Manchester United, d'après les médias britanniques.

Mercredi après-midi, le directeur général de la Fédération, Martin Glenn, a assuré que le nouveau sélectionneur ne serait "pas un mercenaire engagé sur le court terme", mais un technicien capable de "construire un modèle efficace".

"Je veux quelqu'un qui vienne pour vraiment travailler avec l'équipe nationale A, mais aussi avec les moins de 16, les moins de 17 et les moins de 18 et construire quelque chose avec eux", avait réclamé Glenn.

Eddie Howe, l'entraîneur de Bournemouth, et L'Allemand Jürgen Klinsmann, sélectionneur des Etats-Unis, étaient également régulièrement cités parmi les noms inscrits sur la short-list de la FA.

Après les expériences Sven-Goran Eriksson (2001-2006) et Fabio Capello (2008-2012), la FA semblait décidée à privilégier une piste anglaise.

RTL

Big Sam....j suis sur le Cul!!

Clichy - ''J'étais triste pour l'Angleterre''

http://www.madesport.com/videos/foot/premier-league/info-amical-clichy---j-etais-triste-pour-l-angleterre---34453.html

Sam Allardyce officiellement nommé sélectionneur de l'Angleterre

Au grand désarroi de Sunderland, dont il était jusque-là l'entraineur, Sam Allardyce succède à Roy Hodgson en tant que sélectionneur de l'équipe nationale anglaise de football.

Après la défaite face à l'Islande en huitèmes de finale de l'Euro 2016, Hodgson et la fédération anglaise s'étaient séparés. Selon une annonce de la Fédération Anglaise de Football, Sam Allardyce a signé un contrat jusque juin 2018 avec une compensation de 2 millions de livres pour Sunderland.

L'homme de 61 ans, originaire de Dudley, a notamment entraîné des clubs comme Newcastle United et West Ham.

Allardyce a fait l'unanimité au sein d'un "panel de sélection" composé de trois personnes dont le directeur général de la FA Martin Glenn. Il a prouvé par le passé qu'il parvenait à "obtenir les meilleurs résultats possibles des équipes qu'il a entraînées", et a "une solide réputation" d'homme qui n'a pas peur des idées novatrices, indique la FA.

"Je suis honoré d'être nommé entraîneur de l'Angleterre, ce n'est pas un secret qu'il s'agit du rôle que j'ai toujours voulu. Pour moi, il s'agit du meilleur job de tout le football anglais", a commenté le principal intéressé.

Son premier match à la tête de l'équipe "sera une rencontre amicale au stade de Wembley le 1er septembre", trois jours avant le premier choc de qualification au Mondial 2018, qui opposera l'Angleterre à la Slovaquie.

Cinq choses à savoir sur Sam Allardyce, le nouveau sélectionneur de l'Angleterre

Sam Allardyce (61 ans) a été désigné vendredi sélectionneur de l'Angleterre. Il aura pour responsabilité de relever les Three Lions après leur élimination prématurée à l'Euro. Mais qui est «Big Sam», successeur de Roy Hodgson ?

Cela fait 10 ans qu'il court après le poste de sélectionneur

En 2006 déjà, Sam Allardyce avait posé sa candidature pour prendre les rênes de la sélection anglaise à la place de Sven-Goran Eriksson, mais Steve McLaren lui avait alors été préféré. «J'aurais dû être désigné, estime-t-il dans son autobiographie publiée en 2015, sûr de ses capacités. Et vu que je suis un meilleur coach qu'à l'époque, j'espère être à nouveau dans la discussion lorsque le moment sera venu. Ce n'est pas une question de vanité : mon expérience et mon palmarès me donnent le droit d'être candidat.» Allardyce n'a pas non plus digéré le fait que McLaren, qui a échoué à qualifier les Three Lions pour l'Euro 2008, ait été remplacé l'année suivante par l'Italien Fabio Capello. «Le sélectionneur de l'Angleterre devrait être un Anglais», avait-il lâché.

Il n'utilisera plus PowerPoint

Lors de son entretien avec les dirigeants de la Fédération en 2006, Sam Allardyce avait mis toutes les chances de son côté en dînant notamment avec David Beckham à Madrid, afin de le convaincre qu'il était l'homme de la situation, et en préparant une longue présentation PowerPoint développant ses valeurs, sa vision, ses ambitions et son plan à long-terme pour la sélection. Non seulement Beckham ne l'a pas aidé (il préférait un coach ayant déjà connu la Ligue des champions ou la Coupe du monde), mais en plus, aucun projecteur n'était disponible pour diffuser sa présentation! Allardyce a donc dû imprimer tous ses diapos sur de vulgaires documents A4 en noir et blanc. Forcément, c'était moins impressionnant...

Il a eu son premier poste de coach par hasard

Tout au long de sa carrière de défenseur, longue de 20 saisons (9 à Bolton, puis de courte piges à Sunderland, Coventry, Huddersfield, Preston ou West Bromwich), Sam Allardyce a préparé sa reconversion dans le coaching en débutant sa formation dès l'âge de 26 ans. En 1991, alors qu'il s'apprête à fêter son 40e anniversaire, il reçoit un coup de fil de Joe Young, un prêtre irlandais, président du club de Limerick à la recherche d'un homme capable d'assumer la double casquette joueur-entraîneur. «Il ne me connaissait pas. Il m'a dit qu'il m'avait choisi sur la liste des coaches diplômés et disponibles. C'était une liste alphabétique... J'ai cru qu'il se foutait de moi, donc j'ai raccroché. Mais il m'a rappelé.» Il restera une saison à Limerick (1991-92), expérience qui a lancé sa carrière de coach.

Il a été champion de D4 et de D3

Sacré champion de quatrième division avec Preston North End en 1987, en tant que joueur, «Big Sam» a également décroché le titre en troisième division, dix ans plus tard, à la tête de Notts County, le plus vieux club professionnel d'Angleterre. S'il n'a jamais tutoyé les sommets en Premier League, il doit sa réputation à son travail effectué sur le banc des Bolton Wanderers. Quatre apparitions consécutives dans le Top 8 en Premier League, une finale en Coupe, une qualification pour la coupe UEFA. «J'ai adoré mon passage là-bas, raconte-t-il à The Independent. Nous avons accompli des choses que nous n'étions jamais censés accomplir.» Allardyce y est resté huit saisons (1999-2007), avant de filer à Newcastle, Blackburn (2008-10), West Ham (2011-15) puis Sunderland la saison passée.

Il a été désigné pour durer

Martin Glenn, le patron de la Fédération anglaise, a prévenu qu'il ne cherchait pas «un mercenaire engagé sur le court terme», mais un entraîneur d'expérience «capable de construire un modèle efficace, qui vienne pour travailler avec l'équipe A, mais aussi avec les U16, les U17, les U18, et construire quelque chose avec eux». Après avoir évité de justesse la relégation avec Sunderland, 17e de Premier League la saison passée, Sam Allardyce va donc pouvoir rattraper le temps perdu avec les Three Lions, et prendre le temps de reconstruite une sélection encore hantée par sa défaite face à l'Islande, en 8e de finale de l'Euro 2016.

SAM ALLARDYCE EST AUX ANGES



Fraîchement nommé sélectionneur de l'Angleterre, en remplacement de Roy Hodgson, Sam Allardyce a donné sa première interview à la tête des Three Lions. Celui qui tentera de faire oublier la déroute anglaise lors de l'Euro s'est évidemment montré ravi de sa nouvelle casquette. « J'ai le bon âge avec la bonne expérience. J'espère que je pourrais transmettre mes connaissances à l'équipe et au staff pour essayer d'avoir un groupe très heureux » , a-t-il déclaré, avant de conclure : « C'est une position privilégiée d'avoir atteint le sommet de l'arbre, le haut de l'échelle, et ce travail ne pouvait pas être plus grand. Aucun travail n'est plus grand que cela pour moi. »

ROONEY : « ALLARDYCE VA APPORTER UN STYLE DE JEU DIFFÉRENT À L'ANGLETERRE »

Wayne Rooney, le capitaine de la sélection anglaise qui a complètement pris l'eau lors du dernier Euro face à l'armada islandaise (défaite 2-1 en 8es de finale), se félicite de l'arrivée du manager de Sunderland à la tête des Three Lions. « Je pense que c'est un bon choix » , a sobrement déclaré le joueur de Manchester United, dont les propos sont relayés par le Guardian. « Il va apporter un style de jeu différent à l'Angleterre, j'espère que ça sera le bon et qu'on pourra obtenir de bons résultats sous ses ordres » , a ajouté un Rooney qui affirme par ailleurs qu'il n'a aucunement l'intention de mettre un terme à sa carrière internationale.

Je n ai que du respect pour big sam, mais son coaching va t il être payant?.....il est quand même l un des seuls entraîneurs existants a utiliser le kick and rush....

Je lui souhaite de la réussite....

Sam Allardyce, nouveau sélectionneur anglais, se dit capable d’«inverser le cours des choses»



Le nouveau sélectionneur Sam Allardyce a estimé qu’il était capable d’«inverser le cours des choses», après le fiasco de l’élimination de l’Angleterre en 8e de finale de l’Euro en France, lundi, lors de sa première conférence de presse.

«J’ai la réputation de pouvoir très rapidement inverser la tendance dans un club, mais je considère que je suis bien plus que ça […] Je peux inverser le cours des choses et, pour ce faire, je vais commencer par faire connaissance avec l’encadrement et l’équipe pour entamer cette odyssée», a déclaré le successeur de Roy Hodgson, démissionnaire après l’élimination de l’Angleterre par l’Islande en huitième de finale de l’Euro-2016.

Nommé vendredi pour deux ans, l’entraîneur à la tête de Sunderland la saison passée, a la lourde tâche de faire oublier les désillusions répétées des Three Lions ces dernières années.

«Je correspond au poste, j’espère, et j’ai de l’expérience à partager et pour pousser l’équipe et moi-même», a ajouté le technicien âgé de 61 ans.

«Le management humain est mon point fort», a assuré Allardyce. «Un, je veux que les joueurs s’amusent, deux, les rendre meilleurs qu’ils ne le sont déjà.» Quel est mon style? Pragmatique […] Ma technique d’entraînement, c’est de gagner des matches», a-t-il dit.

Mais, «pour que ce voyage soit couronné de succès, il faudra que tout le monde pousse dans le même sens», a continué l’ancien entraîneur de West Ham, Bolton, Blackburn et Newcastle.

Enfin, l’ancien défenseur n’a pas souhaité s’exprimer sur le maintien du capitaine Wayne Rooney (30 ans) en sélection, très critiqué par la presse anglaise après l’Euro. «Il est bien trop tôt pour prédire quoi que ce soit et je ne vais pas prendre de décision tant que je n’ai pas rencontré les joueurs et l’encadrement», a affirmé Allardyce, détendu.

L’entraîneur anglais a été nommé par la Fédération anglaise dix ans après une première tentative: en 2006, la Fédération lui avait préféré Steve McLaren pour succéder au Suédois Sven-Goran Eriksson.

Vers l'avenir

PL : Allardyce demande la fin du Boxing Day

Intronisé sélectionneur de l’Angleterre pour succéder à Roy Hodgson, Sam Allardyce a demandé à la Premier League d’introduire une trêve hivernale, ce qui supprimerait de fait le traditionnel Boxing Day. Pour lui, une pause en décembre serait bénéfique pour les joueurs
« Je suis un défenseur de la trêve à mi-saison depuis 10 ans », déclare Sam Allardyce. « La demande physique et mentale pour les joueurs est très importante. Une pause aiderait les joueurs et aiderait l’équipe nationale. Janvier et Février est toujours la période la plus difficile » indique l’ancien entraîneur de Sunderland.

Ah non mister sam!!! Vive le boxing day!!!!

Marado06 a écrit:Ah non mister sam!!! Vive le boxing day!!!!

entierement d'accord avec toi ont ne touche pas au boxing day

Et comment Thure!!! C est le meilleur moment de l année!!!!

Le Boxing day cela fait partie de la PL le bléme c'est que tant que pas de trêve les Three Lions arriverons toujours cuit au grand tournoi de juin !!!! (a part peut etre a la coupe du monde au Qatar)

J suis d accord mon didier.....faudrait eventuellement terminer le championnat fin avril debut mai....

Dur de choisir: Voir l england champion d un tournoi majeur au detriment du boxing day???.....c est comme choisir la peste ou le cholera.....

Il faut choisir entre les deux mais pas évident ou alors réduire la PL de 2 équipes la on s'aurait donné une tréve par exemple a mi janvier et on garde le boxing day

Les joyaux chiffrés de la couronne anglaise


© Getty Images

Les données abondent au sujet de la Coupe du Monde de la FIFA, Angleterre 1966™. Le pays qui l'a gagnée, l'auteur d'un triplé en finale, le joueur qui a reçu le trophée Jules Rimet des mains de la reine Elizabeth II : vous connaissez probablement beaucoup d'anecdotes sur les champions du monde 1966. Mais vous ne savez peut-être pas tout…

30 ans après le sacre de l'Angleterre, deux moments de cette campagne ont été immortalisés par les paroles de la chanson Three Lions de David Baddiel, Frank Skinner et The Lightning Seeds, qui avait atteint la première place du hit-parade. "Bobby belting the ball" fait référence à la frappe ultrasonique de Bobby Charlton contre le Mexique, tandis que "Nobby Dancing" est une allusion à la manière dont Nobby Stiles a célébré la victoire finale en faisant danser le trophée Jules Rimet dans une main et son dentier dans l'autre !

25 ans et 109 jours : c'est l'âge qui fait de Bobby Moore le deuxième capitaine le plus jeune à soulever la Coupe du Monde. En 1978, Daniel Passarella avait 78 jours de moins lorsqu'il a remporté le trophée mondial avec l'Argentine. Le capitaine le plus âgé en la matière est l'Italien Dino Zoff, qui avait 40 ans et 133 jours lorsqu'il a brandi le trophée en 1982.

16 : c'est le nombre de rencontres internationales disputées par Jack Charlton en 1966, un record pour un joueur anglais au cours d'une même année calendaire. Ce chiffre est d'autant plus impressionnant que l'arrière central de Leeds United n'a fait ses débuts pour l'Angleterre qu'en 1965, à l'âge de presque 30 ans.

15 minutes : c'est le temps qu'il restait avant le coup d'envoi de la demi-finale entre l'Angleterre et le Portugal lorsque le préparateur Harold Shepherdson a réalisé qu'il avait oublié d'acheter les chewing-gums qu'il avait l'habitude de donner au gardien Gordon Banks pour frotter sur ses gants afin d'en améliorer l'adhérence. Shepherdson piqua un sprint depuis le tunnel jusqu'au premier marchand de journaux, acheta l'indispensable gomme, et réussit à rejoindre le bord de la pelouse de Wembley à temps.

14 points de suture : telle a été l'addition pour Jimmy Greaves, qui abordait la compétition avec à son compteur 43 buts en 50 capes, après le dernier match de groupe de l'Angleterre, contre la France. "L'Angleterre ne gagnera pas la Coupe du Monde sans Greaves", avait averti Jimmy Hill, ancien joueur reconverti comme présentateur de télévision. L'ancien avant-centre de l'AC Milan et qui avait ensuite rejoint Tottenham a manqué les matches contre l'Argentine et le Portugal, avant d'être déclaré apte au service pour la finale. Malgré une pression populaire énorme pour l'utiliser en finale à la place de Geoff Hurst, qui au coup d'envoi du match contre l'Allemagne de l'Ouest n'avait inscrit que deux buts en sélection, le sélectionneur Alf Ramsey décida de s'en tenir à une formule gagnante. Bien lui en prit. En finale, Hurst devint le premier joueur de l'histoire - et le seul à ce jour - à inscrire un triplé en finale d'une Coupe du Monde.

12 heures et une minute : c'est le temps de jeu pendant lequel Gordon Banks n'a pas concédé de but jusqu'au penalty converti par Eusebio pour le Portugal à la fin de la demi-finale. Après avoir été battu par un tir puissant de l'Écossais Jimmy Johnstone, Banks avait gardé sa cage inviolée contre la Yougoslavie et la Finlande avant la Coupe du Monde, puis face à l'Uruguay, au Mexique, à la France et à l'Argentine pendant la compétition. Ces 721 minutes d'invincibilité de Gordon Banks sont toujours un record à battre pour un gardien avec l'Angleterre.

11 ans et 49 jours : c'est le temps pendant lequel Ian Callaghan aura dû patienter avant d'être de nouveau utilisé avec l'Angleterre après avoir obtenu sa deuxième sélection contre la France, pour le dernier match de poule. L'écart entre ces deux apparitions est le plus long de l'histoire pour un international anglais.

10 heures du soir : c'est l'heure à laquelle immanquablement le sélectionneur Alf Ramsey entrait dans la salle où ses joueurs disputaient une partie de cartes ou regardaient un film. Le sélectionneur lançait alors un "bonne nuit messieurs" puis, peu importe que la partie ou le film soient terminés ou non, éteignait la lumière.

8 sélections : c'est le nombre de capes que cumulaient Martin Peters et Geoff Hurst, auteurs à eux deux des quatre buts anglais en finale, au coup d'envoi de la Coupe du Monde 1966. Les auteurs des quatre buts brésiliens dans la finale suivante totalisaient quant à eux 220 sélections au coup d'envoi de Mexique 1970 !

7 victoires consécutives contre l'Allemagne de l'Ouest : c'était le bilan de l'Angleterre après la victoire finale. Depuis un 3:3 dans la première confrontation entre les deux pays en 1930, les Three Lions s'étaient toujours imposés, inscrivant au passage 21 buts, pour 7 concédés. Mais après la finale 1966, l'Allemagne de l'Ouest s'est imposée trois fois de suite.

7 votes : c'est la marge avec laquelle l'Angleterre, en 1960, a gagné le droit d'organiser la Coupe du Monde. Ironie de l'histoire, dans ce scrutin, l'Angleterre avait battu l'Allemagne de l'Ouest 34-27.

4 tonnes : c'est le poids de la sculpture de la Coupe du Monde, une statue de bronze près du stade Upton Park à Londres qui représente une photographie emblématique prise peu de temps après le sacre de l'Angleterre. Le monument représente Bobby Moore, perché sur les épaules de Geoff Hurst et de Ray Wilson, brandissant le trophée, avec Martin Peters juste derrière. Moore, Hurst et Peters jouaient tous les trois pour West Ham, tandis que dans le camp allemand, le club le plus représenté était le Borussia Dortmund (Hans Tilkowski, Siggi Held et Lothar Emmerich). Cette statue est l'œuvre de Philip Jackson, par ailleurs sculpteur de la reine Elizabeth II. Elle mesure près de cinq mètres de haut et a été inaugurée par le prince Andrew en 2003. Jackson s'est toutefois quelque peu écarté du cliché original, sur lequel par exemple Wilson apparaît grimaçant. "J'étais le plus âgé de l'équipe, je venais de disputer 120 minutes, et Bobby était un grand gaillard." Sur la statue, Wilson sourit.

3 équipes ont soulevé le trophée mondial sans avoir réussi à gagner leur premier match dans la compétition. L'Angleterre est la première, avec un match nul 0:0 face à l'Uruguay en guise d'entrée en matière en 1966. Même score pour l'Italie face à la Pologne en 1982. Quant à l'Espagne, championne du monde en 2010, elle avait débuté sa campagne par une défaite face à la Suisse, 1:0.

2 joueurs anglais ont des neveux qui ont eux aussi connu la gloire. Gordon Banks avait acheté une batterie à son neveu Nick, fils de son frère David. Nick est ensuite devenu batteur du groupe Pulp. On l'entend notamment sur le fameux Common People. Ben Cohen, dont l'oncle George Cohen était un latéral droit rapide, était quant à lui un ailier tout aussi véloce qui a fait partie de l'Angleterre vainqueur de la Coupe du Monde de Rugby 2003.

0 : c'est le nombre d'autographes signés par les joueurs anglais accompagnés de l'encadrement technique sur le trajet d'une heure qui les a menés au cinéma, la veille de la finale. Les hôtes de la compétition avaient décliné l'offre d'être hébergés dans un hôtel cinq étoiles, pour finalement dormir dans le plus modeste Hendon Hall. La veille de la finale, ils sont allés voir la comédie Ces merveilleux fous volants dans leurs drôles de machines, dans l'anonymat le plus complet. "Ça paraît invraisemblable quand vous comparez avec la situation des joueurs de foot aujourd'hui", racontait Geoff Hurst. Les piétons avaient peut-être de bonnes raisons de ne pas aborder les internationaux anglais. Dans un épisode du sitcom américain Frasier, plusieurs décennies plus tard, Daphne Moon affirme : "Mon oncle Jack avait demandé un autographe à Bobby Charlton. La réaction de Bobby a été de lui fracasser une canette de bière sur la tête. Il a eu 12 points de suture, et la canette en cadeau

Wembley 1966, le débat continue



La discussion fait rage depuis 50 ans. Le troisième but de l'Angleterre, qui a permis aux Three Lions de prendre l'avantage en prolongation pour finalement s'imposer 4:2 face à l'Allemagne de l'Ouest devant un stade de Wembley plein à ras bord dans la Coupe du Monde de la FIFA, Angleterre 1966™, a-t-il franchi la ligne ? Ce but était-il valide ?

Geoff Hurst, auteur de ce troisième but tant controversé et de deux autres réalisations lors de la finale, estime qu'il n'y a pas photo. "Je dirai à toute personne connectée au monde du football que le ballon a franchi la ligne d'au moins un mètre, point", avait confié Hurst à FIFA.com en toute confiance. L'attaquant anglais admet toutefois lui-même qu'après avoir frappé le ballon, il n'avait pas le meilleur angle de vue pour juger de façon efficace du résultat de cette action de la 101ème minute. "J'ai frappé le ballon en pivot, puis je suis tombé. J'avais une très mauvaise vision des choses et le ballon a rebondi derrière Hans Tilkowski, donc je ne l'ai pas vu. Mais vous voulez tellement croire que le ballon a franchi la ligne que vous en donneriez votre vie. J'y crois à fond depuis 50 ans. Je donne toujours comme preuve la célébration de mon coéquipier Roger Hunt. Il s'est tout de suite retourné pour aller célébrer, alors qu'il aurait pu pousser lui-même le ballon au fond des filets. Il a crié : 'Il y est'. Pour moi, le débat s'arrête là."

Cette explication est loin de convaincre Tilkowski. À ce jour, le portier allemand n'en démord pas : "Encore aujourd'hui, je suis certain à 100 % qu'il n'y a pas eu but", avait affirmé le gardien à FIFA.com. "J'ai regardé par-dessus mon épaule gauche et j'ai clairement vu que le ballon n'était pas derrière la ligne. Il a rebondi sur la ligne". De façon peu étonnante, le coéquipier de Tilkowski, Wolfgang Weber, présente la même version des faits. Le défenseur central peut prétendre avoir bien vu la scène, en position de dégager le ballon de la tête après le rebond du cuir sur la pelouse.

Enfin une réponse à la question
Ayant égalisé à la 89ème minute, permettant ainsi à l'Allemagne de disputer la prolongation, Weber avait évidemment de bonnes raisons d'être frustré en voyant le juge de ligne faire signe à l'arbitre principal que la frappe de Hurst avait complètement franchi la ligne. "Oui, j'avais une très bonne vision des choses", assurait Weber à FIFA.com. "C'est pourquoi j'étais furieux après le but. J'ai pris les bras de Bobby Charlton pour qu'il les baisse, car il était déjà en train de célébrer. Avec mes coéquipiers Siggi Heldt et Wolfgang Overath, nous nous sommes précipités vers le juge de touche pour essayer de le faire revenir sur sa décision. "Cela dit, l'Angleterre a mérité son titre de championne du monde et nous avons été un adversaire coriace en finale. C'est le football", ajoutait-il, beau joueur.

Cinquante ans plus tard, le débat qui oppose Hunt et Hurst d'un côté, Tilkowski et Weber de l'autre, aurait été clos en quelques secondes. Suite à la frappe de Frank Lampard - ironie de l'histoire, contre l'Allemagne - qui avait complètement franchi la ligne sans que le but soit accordé lors de la Coupe du Monde de la FIFA 2010 en Afrique du Sud, la FIFA a demandé à l'IFAB (International Football Association Board) de rouvrir le dossier. Des tests ont commencé en 2011 et la technologie sur la ligne de but a été approuvée par l'IFAB en 2012.

Depuis, cette technologie a été introduite avec succès dans un certain nombre de compétitions de la FIFA, parmi lesquelles la Coupe du Monde de la FIFA™, la Coupe du Monde Féminine de la FIFA™, la Coupe des Confédérations de la FIFA et la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA. Elle est également dans certains championnats comme la Premier League (Angleterre), la Ligue 1 (France), la Bundesliga (Allemagne), la Serie A (Italie), dans certains matches d'Eredivisie (Pays-Bas). La technologie sur la ligne de but a également été utilisée lors de l'UEFA EURO 2016. "L'arrivée de la technologie sur la ligne de but est une bonne chose. En football, la question de savoir s'il y a but ou pas est la plus importante de toutes. On n'a pas le droit de se tromper dans la réponse", conclut Weber.

1966, un été inoubliable



À l'échelle de notre planète, 50 années paraissent bien insignifiantes. Dans le monde du football, en revanche, il s'agit presque d'une éternité. Au cours de la semaine qui vient de s'écouler, FIFA.com s'est plongé dans un monde, qui, s'il est totalement différent de celui que nous connaissons aujourd'hui, n'en demeure pas moins illuminé de personnages et d'histoires encore bien présents dans nos têtes.

La Coupe du Monde de la FIFA, Angleterre 1966™ a été remarquable en de nombreux points et pour célébrer son cinquantième anniversaire, nous avons proposé nombre d'articles, de vidéos et de photos retraçant l'inoubliable histoire de cette compétition organisée dans la mère patrie du ballon rond.

La performance la plus marquante est peut-être celle que personne n'a été en mesure d'égaler au cours des 12 Coupes du Monde suivantes : il s'agit bien sûr du hat-trick de Sir Geoff Hurst en finale. L'ancien attaquant anglais est revenu dans une vidéo sur son triplé légendaire, mais aussi et surtout sur le fameux "but de Wembley" qui lui a été accordé après que sa frappe a heurté la barre puis rebondi, d'après l'arbitre, derrière la ligne.

Cette réalisation s'est révélée décisive dans la conquête du titre suprême et c'est ainsi que tout au long de cette semaine, les Three Lions ont été mis à l'honneur. Jimmy Armfield, coéquipier de Hurst, a par exemple souligné la camaraderie régnant au sein de la sélection et évoqué la visite bienvenue sur le tournage d'un James Bond. Nous nous sommes également lancés dans une analyse en chiffres du seul sacre de l'Angleterre à ce jour, avant de vous expliquer comment les souvenirs de 1966 pouvaient aider à combattre la maladie d'Alzheimer.

Mais le pays hôte n'a pas été la seule star du tournoi. Eusébio a ainsi consolidé son statut d'icône nationale en hissant le Portugal jusqu'à la troisième place grâce à ses neuf buts. Les remarquables prestations de la Panthère noire ont d'ailleurs gardé une place à part dans la mémoire d'Antonio Simoes, jeune international à l'époque et à l'origine d'une anecdote savoureuse quant au statut du maillot floqué du 13.

Si le match pour la troisième place a permis au Portugal de décrocher son meilleur classement en Coupe du Monde, c'est aussi le cas de leur adversaire ce jour-là, puisque ni l'Union soviétique, ni la Russie n'ont jamais pu faire mieux que ce quatrième rang. Aujourd'hui encore, le latéral Vasily Danilov estime que sa formation aurait pu, aurait dû faire mieux avec quelques ajustements plus judicieux. Lui, Lev Yachine et leurs coéquipiers ont néanmoins pu rencontrer la reine en guise de consolation.

Entre 1958 et 1970, le football mondial a incontestablement été dominé par le Brésil. Angleterre 1966 aurait pu lui permettre de se parer d'une troisième couronne consécutive, mais le terrain en a finalement décidé autrement et nous avons tenté de comprendre les raisons de l'échec auriverde. Nous sommes aussi allés visiter l'exposition dédiée à la compétition au Musée du Football mondial de la FIFA. Celle-ci abrite notamment le calepin bien particulier d'un arbitre, sans oublier une bouteille de champagne restée inexplicablement fermée.

Enfin, vous pouvez vous imprégner de l'incroyable atmosphère qui s'est emparée du pays en cet inoubliable été 1966 et revivre certains des plus grands moments de l'épreuve grâce à cette magnifique galerie photo. En espérant que vous prendrez autant de plaisir à raviver ces souvenirs que nous avons eu à vous les conter !

Ruben Loftus-Cheek : "Je dois viser l'équipe d'Angleterre"

Passé par toutes les sélections de jeunes en Angleterre, le milieu de terrain des Blues espère maintenant pouvoir jouer un jouer pour l'équipe A.

"Je dois viser l'équipe d'Angleterre. Je ne me mets pas de pression pour atteindre cela parce que c'est une grande étape et je ne joue pas assez régulièrement ces temps-ci avec Chelsea. Mon but maintenant est de jouer autant que je le peux dans l'équipe première de Chelsea. Et puis quand je suis dans l'équipe, là je peux commencer à viser la sélection d'Angleterre, oui. Si vous jouez pour Chelsea et que vous êtes titulaire à Chelsea, vous devriez avoir une bonne chance de jouer pour l'Angleterre, car Chelsea est l'un des meilleurs clubs du monde", a confié Ruben Loftus-Cheek à Goal.com.

Lors des matches de préparation avec Chelsea, il a été testé en attaquant, au lieu de son poste habituel au milieu de terrain.

Le 29 mai dernier, il a remporté le Tournoi de Toulon avec l'Angleterre des moins de 21 ans, en battant l'équipe de France en finale. Auteur de 4 buts (dont 1 en finale) durant la compétition, il a été élu meilleur joueur du Tournoi.

Euro 2016 : l’espoir brisé de la légende Hurst

Auteur de trois buts lors de la finale de la Coupe du monde 1966 entre l’Angleterre et la RFA (4-2 a.p), Geoffrey Hurst est une légende au Royaume de Sa Majesté. Pour lui, l’élimination des Three Lions en 8es de finale de l’Euro 2016 a été pénible à supporter.

Le 27 juin dernier, Geoffrey Hurst avait assisté au naufrage de l’Angleterre face à l’Islande (1-2). Sans surprise, l’ancien attaquant britannique avait regardé ce 8e de finale de l’Euro 2016 à la télévision afin d’encourager l’escouade des Three Lions qui était dirigée par Roy Hodgson. Sa femme avait été surprise de ses multiples réactions. « Elle regarde de temps en temps les matches. Contre l’Islande le mois dernier, je ne savais pas à quel point j’étais remonté même après le match. Elle m’a dit : je ne t’ai jamais vu aussi frustré et en train de crier devant l’écran si souvent en 90 minutes. »

A vrai dire, Geoff Hurst avait bon espoir de voir l’Angleterre réaliser quelque chose de « bien » lors de ce Championnat d’Europe. Il aurait bien aimé voir Wayne Rooney et consorts aller jusqu’au bout de la compétition 50 ans après le triomphe mondial vécu avec ses partenaires de l’époque. « J’étais énervé et agacé. Je me reconnaissais en cette équipe. Elle était très dynamique. Ce fut une bonne et jeune formation avec des joueurs qui ont bien joué dans leurs clubs toute l’année. C’est très décevant si vous êtes un fan de l’Angleterre. »

Hurst n’en revenait pas
Au sujet de la prestation des Anglais, Geoffrey Hurst a eu le sentiment que l’escouade était tout simplement « inerte » et incapable de prendre l’ascendant sur les Islandais. « Wayne Rooney, notre joueur le plus expérimenté, qui est le meilleur que nous ayons eu en dix ans, contrôlait mal le ballon. Cela reflétait la manière dont toute l’équipe était. (…) Nous avons eu des coups-francs. Mais ils allaient au-delà de la ligne de but dans la zone Z (sic). » Désormais dirigée par « Big Sam » Allardyce, l’Angleterre tentera de se refaire la cerise à l’occasion du coup d’envoi des éliminatoires du Mondial 2018 dans quelques semaines. Elle aura toujours pour premier supporter Geoffrey Hurst qui avait vécu une grande histoire d’amour avec la sélection (1966-1972).

Wayne Rooney critique les choix de Roy Hodgson contre la Slovaquie

Wayne Rooney est revenu sur le choix de Roy Hodgson de faire six changements contre la Slovaquie à l'Euro. Ce qui a cassé la spirale selon lui.

Lors de l'Euro 2016, les Three Lions avaient battu le Pays de Galles pour leur deuxième match de groupe (2-1), avant d'affronter la Slovaquie;

Or, pour cette rencontre, le sélectionneur du moment, Roy Hodgson , avait fait six changements par rapport à l'équipe qui avait vaincu les Gallois. Des modifications dont Wayne Rooney avait fait les frais. Et ce dernier estime que cette revue d'effectif est dûe au résultat nul de cette rencontre (0-0). Et que ce match nul est responsable d'une mauvaise spirale, qui a conduit à l'élimination de l' Angleterre , contre l'Islande en huitième de finale.

"Nous avions perdu notre élan depuis le match contre la Slovaquie, et un tournoi de football se base sur la confiance. Vous l'avez en gagnant. C'était la décision de Roy de faire ces changements contre la Slovaquie, et de toutes façons, l'équipe qu'il a mise sur le terrain aurait dû être capable de gagner. Mais, que ce soit vrai ou faux, je voulais jouer et je ne peux pas le nier. Non je n'aurais pas mis au repos six joueurs. C'est plus de la moitié de l'équipe. C'était un pari et cela n'a pas payé", a-t-il déclaré, dans le Daily Mail.

Pourtant, le joueur de Manchester United a fini par rentrer en cours de match, mais il s'explique : "Quand je suis entré en jeu contre la Slovaquie, c'était difficile de changer le match, vraiment impossible. J'étais en train de courir juste en essayant de donner de l'énergie à l'équipe. Regardez, j'ai senti que nous manquions d'intensité, dans les courses, dans les passes, nous n'avions pas de rythme, donc c'est ce que j'ai essayé de créer. Quand vous êtes sur le banc, c'est frustrant parce que vous pensez toujours que vous pouvez apporter quelque chose de différent".

Depuis, Roy Hodgson a été démis de ses fonctions de sélectionneur, et n'a pas réagi aux propos du mancunien.

un amical France-Angleterre le 13 juin 2017

L'équipe de France et celle d'Angleterre se retrouveront pour un match amical, en juin 2017.

Les Bleus affronteront en amical l’Angleterre le mardi 13 juin 2017, au Stade de France (20 h 45), en clôture de la saison. Ce rendez-vous interviendra quatre jours après un match en Suède, le vendredi 9 juin, dans le cadre des qualifications pour la Coupe du monde 2018 (les Pays-Bas, la Bulgarie, la Biélorussie et le Luxembourg sont les autres équipes qui composent le groupe A).

Eliminatoires du Mondial 2018 : Un groupe vraiment relevé ?

Ce France-Angleterre se déroulera dix-neuf mois après la rencontre très particulière à Wembley (0-2) qui avait réuni les deux sélections le 17 novembre 2015, quatre jours après les attentats de Paris et Saint-Denis. Les deux équipes auraient pu se croiser lors de l’Euro, en quarts de finale, mais l’Islande avait éliminé l’Angleterre en huitièmes (2-1).

James Milner arrête sa carrière internationale

Le milieu de terrain de Liverpool James Milner, âgé de 30 ans, a mis un terme à sa carrière internationale, a annoncé vendredi la Fédération anglaise de football.

Milner a été sélectionné 61 fois en équipe d'Angleterre et a inscrit un but, participant à deux Coupes du monde et deux Championnats d'Europe.

"Je tiens à remercier Sam (Allardyce, sélectionneur de l'Angleterre, NDLR) d'avoir pris le temps de venir me voir pour discuter de mon avenir et de mon rôle au sein de l'équipe d'Angleterre", a déclaré Milner selon le communiqué de la Fédération.

Le milieu de terrain, également passé par Leeds, Newcastle, Aston Villa et Manchester City, a été sélectionné pour la première fois en août 2009 pour un match amical contre les Pays-Bas.

Sous le maillot des Three Lions, le polyvalent Milner ne s'est pourtant jamais imposé comme un titulaire indiscutable.

Il n'a joué que trois minutes lors de l'Euro-2016, où l'Angleterre a été éliminée par l'Islande en huitièmes de finale.

Milner a été l'un des joueurs phares de Liverpool cette saison, avec sept buts en 45 matches pour aider les hommes de Jürgen Klopp à atteindre la finale de la Coupe de la League et de la Ligue Europa.

RTBF

Après son échec en tant qu'entraîneur, Gary Neville retourne à la télé

Gary Neville va reprendre ses activités à la télévision, après ses échecs dans le rôle de manager.

Après son expérience désastreuse à la tête de Valence (décembre 2015 - mars 2016), suivie de son échec au sein du staff anglais à l'Euro, Gary Neville va quitter son rôle d'entraîneur. L'ancien défenseur de Manchester United, qui était l'un des consultants vedettes de Sky Sports avant de se lancer dans le management, va effectuer son retour sur la chaîne cette saison. Sky a officialisé la nouvelle ce dimanche, mais refuse de dévoiler quel sera son rôle exact. La crédibilité de Neville, indéniable il y a un an, a été remise en cause ces derniers mois...