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RD CONGO : LA FIFA AURAIT DONNÉ SON FEU VERT À ARTHUR MASUAKU

Arthur Masuaku aurait obtenu le feu vert de la FIFA pour changer de nationalité sportive en faveur de la RD Congo.

A 24 ans, Arthur Masuaku va enfin pouvoir porter les couleurs de la RD Congo. Selon Léopard Leader Foot et diverses sources congolaises, la FIFA a donné une suite positive à la demande de changement de nationalité sportive du latéral gauche de West Ham, passé précédemment par les sélections de jeunes tricolores. Contactée depuis, la Fédération congolaise de football (Fecofa) n’a toutefois pas confirmé. « Jusqu’hier, Nous ne sommes pas entrés en possession d’un quelconque document », a déclaré Grégoire Badi Elonga, le secrétaire général de l’instance à foot.cd.


« Je suis né en France mais j’ai choisi les Léopards car j’ai souhaité apporter ma contribution pour aider le Congo à jouer la Coupe du Monde. C’était une occasion d’écrire l’histoire. Malheureusement cela ne se fera pas pour 2018, mais il y a d’autres objectifs qu’il faudra essayer d’atteindre prochainement », déclarait en janvier dernier l’ancien Valenciennois, qui espère venir renforcer les troupes congolaises en vue des éliminatoires de la CAN 2019.

Evra dans le dur, les fans dénoncent l'imposture

A nouveau titulaire ce samedi face à Swansea, Patrice Evra a connu un match difficile. Une défaite 4-1 et un remplacement dès la mi-temps au sein d’une équipe qui plonge à nouveau avec huit buts encaissés en deux rencontres. Autant dire que les fans de West Ham et les suiveurs de la Premier League ont rapidement trouvé le coupable dans des messages très sarcastiques sur les réseaux sociaux.

« Zabaleta (l’autre arrière latéral) et Evra, on cherche vraiment les ennuis. Ils ont l’âge combiné de Sir Alex Ferguson », déplore ainsi un fan des Hammers. « J’aurais juré qu’Evra devait jouer aujourd’hui », explique un internaute pour qui l’ancien marseillais a été transparent. « Deux matchs pour Evra, quatre buts encaissés à chaque fois, on devient plus réguliers », « Quand on aligne Evra d’entrée deux matchs de suite, on mérite de descendre » ou enfin « Evra est fini, les gens pensaient que c’était encore le Evra de Manchester United, c’était il y a 10 ans » ont balancé des internautes visiblement pas du tout convaincus par les performances de l’arrière gauche français, qui à 36 ans, continue toutefois d’avoir la confiance – relative – de son entraineur à West Ham. L'ancien marseillais va devoir réagir, sous peine de gâcher sa dernière tentative de come-back après son limogeage par l'OM à l'automne dernier.

West Ham condamné à 34 000€ d'amende pour manquement au réglement antidopage

La Fédération anglaise (FA) a condamné West Ham à 34 000€ d'amende pour manquement au réglement antidopage, ce mercredi.

La Fédération anglaise (FA) a infligé une amende de 34 000€ à West Ham, pour un manquement au règlement antidopage. West Ham était dans le viseur de la FA depuis le 20 février, après avoir oublié de donner les informations sur la localisation de ses joueurs à trois reprises sur les douze derniers mois. «Cette violation concerne le club d'un point de vue administratif et ne concerne en aucun cas nos joueurs», s'était rapidement défendu le club dans un communiqué.

West Ham : colère et pacte avec le diable

Deux ans après le déménagement au stade olympique et les rêves d’Europe, West Ham flirte avec la relégation et sombre dans la colère alors que ses dirigeants entretiennent des relations étroites avec d’anciens hooligans.

Le dernier week-end de football a montré tout ce qu’il y a de plus beau mais également de plus inquiétant dans ce que représente le football d’aujourd’hui : de l’hommage sublime de toute l’Italie au capitaine de la Fiorentina, Davide Astori, disparu soudainement, à la colère des supporters lillois qui ont envahi le terrain pour s’en prendre à leurs propres joueurs ou à la manifestation de mégalomanie et de dangerosité du propriétaire du PAOK en Grèce, arme à la ceinture. Et l’Angleterre, qu’on citait en parfait exemple sur des plateaux TV français, n’a pourtant pas échappé à ce regain de violence dans un football où les supporters se sentent de plus en plus délaissés, pour rester poli.

A Arsenal, le public de l’Emirates stadium qui, il y a un an, exprimait sa colère avec des pancartes "Wenger Out" et des banderoles accrochées aux avions, a laissé place à la politique du silence. Dimanche face à Watford (3-0), jamais une affiche de championnat en journée n’avait attiré aussi peu de monde dans un stade où régnaient la résignation et les sièges vides. A West Ham, quelques énergumènes ont pénétré sur la pelouse du London Stadium ou stade olympique ou toute autre dénomination qui n’a rien d’une enceinte de football après le premier but concédé par leur équipe face à Burnley (0-3).

L’un a été chassé manu militari par le capitaine des Hammers, Mark Noble, excédé. Un autre est allé jusqu’à planter un drapeau de corner dans le rond central avant que plusieurs centaines ne tournent leur colère vers la director’s box – tribune présidentielle – quittée sous la pression populaire par David Sullivan et David Gold, les deux co-propriétaires majoritaires du club londonien. Une atmosphère toxique qui a même poussé les remplaçants de Burnley à accueillir sur leur banc des enfants effrayés par toute cette tension.

Quand l’un de ses présidents négocient avec un ancien hooligan
La raison de cette colère est assez simple à première vue. Les supporters ne se reconnaissent plus dans leur club qui a perdu son stade – le Boleyn Ground -, son quartier d’Upton Park et tout ce qui faisait son identité par la même occasion. En vantant le déménagement deux ans auparavant, les dirigeants avaient admis une montée des prix, certes, mais pour le bien de tous et surtout du club qui, avec davantage de recettes et de moyens, pourrait recruter de grands joueurs, accrocher les places européennes et viser, un jour, pourquoi pas, la Ligue des Champions.

Mais, depuis ce changement de stade, les dirigeants ont peu investi (32 M€ de dépenses nettes en transferts) et le retour sur terre a été brutal. Septième en 2016 au moment de quitter son antre, l’un des anciens temples du football anglais, West Ham a terminé onzième en 2017 et pointe, aujourd’hui, à la seizième place, seulement trois points au-dessus de la zone rouge.

Mais il y a bien plus grave, aujourd’hui, que ces promesses non tenues car la montée de la tension va bien au-delà de ce qui s’est passé sur le terrain, samedi. Depuis plusieurs semaines, l’idée d’une marche de protestation dans les rues de Stratford avait germé chez les supporters et notamment le Real West Ham Fans (Real WHF). Un groupe fondé par d’anciens membres de l’Inter City Firm (ICF), l’un des plus célèbres groupuscules de hooligans au monde qui a sévi dans les années 70-80 et au début des années 90 sans jamais avoir réellement disparu.

Alerté par la mairie de l’arrondissement de Newham dans lequel est situé Stratford et le stade, le club de West Ham a organisé plusieurs rencontres avec les représentants d’une quinzaine de groupes de supporters courant février et notamment un rendez-vous secret au domicile de Sullivan en présence, entre autres, d’Andy Swallow, un ancien membre de l’ICF. A l’issue d’un second meeting avec Karen Brady, la vice-présidente du club, qui s’est félicitée du débat positif et constructif, le Real WHF a annulé la marche, ce qui a provoqué la surprise et la colère parmi de nombreux supporters et notamment la West Ham United Independent Supporters’ Association (WHUISA), fort de ses 1500 membres.

" "Vous avez fait plus de dégâts dans l’est de Londres que Hitler""
Le Real WHF a prévenu quiconque s’opposerait à l’annulation des protestations et a pris pour cible le leader du WHUISA, Mark Walker, en publiant son compte Facebook sur sa propre page. Ce dernier a ainsi été pris pour cible et a reçu des messages de menaces. "C’était tout à fait effrayant. Certaines choses écrites et envoyées m’ont fait craindre pour ma sécurité", a admis Walker, dont le seul soutien offert par le club a été de déplacer ses quatre abonnements dans une autre tribune du stade.

Aujourd’hui, Walker dit ne plus vouloir se rendre aux matches et beaucoup, dans l’entourage du club, s’interrogent sur les liens entretenus par l’un des copropriétaires du club (Sullivan) avec un ancien hooligan pour négocier la paix. D’autant que le réveil d’une frange dure des supporters était déjà apparue le 24 février dernier à Anfield dans une banderole : "Brady, Sullivan et Gold, vous avez fait plus de dégâts dans l’est de Londres qu’Adolf Hitler. Dehors."

Cette montée de la violence et d’un certain fascisme inquiète au plus au haut point sur la gestion du club et n’augure rien de bon pour l’avenir de West Ham déjà menacé par la relégation six ans seulement après sa remontée en Premier League. D’autant que le calendrier qui attend les Hammers n’est pas de nature à rassurer ses supporters : lors des huit dernières journées, leur équipe accueillera les deux Manchester et se rendra à Arsenal, Chelsea et Leicester.

Bruno Constant fut le correspondant de L’Equipe en Angleterre de 2007 à 2016. Il collabore aujourd’hui avec RTL et Rfi en tant que spécialiste du football anglais et vous livre chaque sa semaine sa chronique sur la culture foot de Sa Majesté. Pour approfondir le sujet, écoutez mon Podcast 100% foot anglais sur l’actualité de la Premier League et du football britannique.

https://www.eurosport.fr/football/premier-league/2017-2018/west-ham-colere-et-pacte-avec-le-diable_sto6674626/story.shtml

WEST HAM ET LE SUPPORTER PORTE-DRAPEAU

En plantant un poteau de corner et son drapeau au centre du terrain en guise de protestation, samedi, comme l’avait fait un autre fan des Hammers en 1992, Paul Colborne a exprimé une colère des supporters pas tout à fait nouvelle.

Les supporters sont la mémoire des clubs. Paul Colborne l'a rappelé samedi de manière spectaculaire, au London Stadium, où West Ham recevait Burnley. Menacé de relégation, le club londonien venait d'encaisser deux buts en trente secondes (0-2). C'en était trop pour Colborne. D'un pas décidé, en plein match, il est allé se saisir d'un poteau de corner, est entré sur la pelouse afin de le brandir au centre du terrain.



Qu'est-ce qui a bien pu pousser à se comporter ainsi un Anglais d'apparence respectable de soixante-et-un ans? Était-ce un geste de folie de la part d'un illuminé? Paul Colborne n'était pas violent ni cagoulé, juste déterminé. Il a expliqué au Daily Mail, simplement, ce qui a motivé cet acte: "Je n'avais rien prémédité. À 2-0 pour Burnley je n'en pouvais plus, là je me suis dit que devais faire quelque chose. Une protestation pacifique et symbolique comme celle d'un autre supporter en 1992, afin de montrer que nous n'en pouvons plus".

Et de préciser la "cause" de son geste: "Les dirigeants du club nous ont menti. Je déteste ce stade, mais ils ont essayé de nous appâter en nous promettant une équipe compétitive. Au lieu de cela, on a un stade horrible [1] et une équipe qui ne montre rien. Les milliers de supporters qui se saignent pour le club ne méritent pas d'être traités comme ça".

Une réplique, 26 ans après

En février 1992, durant un West Ham-Everton, à 2-0 pour les visiteurs, un supporter londonien avait planté en plein match un poteau de corner au centre du terrain. Il protestait ainsi contre les mauvais résultats (West Ham sera relégué à l'issue de cette saison) et un projet des dirigeants de West Ham, qui consistait à obliger les supporters à acheter des actions du club avant l'achat d'un abonnement annuel et.



Cette année-là, les supporters de West Ham réclameront aussi le départ de Terry Brown, le président de l'époque, coupable à leurs yeux de la relégation et d'avoir tenté de les rançonner pour les abonnements. Samedi dernier, Terry Brown, était dans la tribune officielle, en tant que président d'honneur à vie. Conspué, insulté une deuxième fois, vingt-six ans plus tard, symbole de la rupture désormais consommée entre les pontes de West Ham et les supporters.



En 1992, Paul Colborne assistait à ce West Ham-Everton. C'était à Upton Park, le stade historique du club, en plein East End, fief de la working class de Londres. En 2016, West Ham a changé de stade, et allait changer d’époque et de statut, estimaient ses dirigeants. En particulier la vice-présidente Karren Brady qui, grâce à ses appuis chez les conservateurs (gouvernement, Boris Johnson alors maire), avait fait profiter au club d'un deal particulièrement favorable.



Depuis 2016, West Ham évolue dans l'ex-Stade olympique de Londres. Pour bon nombre de supporters, le club a dilapidé l'héritage, abimé à jamais l'image du club. C'est ce que Paul Colborne a voulu signifier.





Hooligans contre supporters

West Ham a annoncé que tous ceux qui sont entrés sur le terrain samedi après-midi seront interdits à vie du stade. Après quarante-neuf ans de fidélité au club et deux mille matches au compteur à domicile et à l'extérieur, c'en est fini pour Paul Colborne.



Les dirigeants de West Ham ont été beaucoup moins regardants quand il s'est agi d'œuvrer pour faire annuler la marche de protestation envisagée pour samedi dernier, avant le match, par plusieurs groupes de supporters. Il apparaît en effet qu'ils ont été en contact, ces dernières semaines, avec deux hooligans notoires: Andrew Swallow et Micky Morgan, fondateurs de l'Inter-City Firm en 1978, une des figures de proue du hooliganisme des années noires. Swallow et Morgan sont aujourd'hui membres du groupe "Real West Ham Fans" qui a appelé à annuler la marche, arguant d'un "dialogue positif avec les dirigeants".

Par la suite, sur Facebook, plusieurs membres du Real WHF ont, comme le rapporte The Independent, commencé à menacer de représailles physiques les supporters qui auraient des velléités de participer à la marche, ciblant particulièrement Mark Walker, président d'un autre groupe de supporters, [2], agoni d'injures et vilipendé comme "traître" et "gauchiste".



En raison des craintes suscitées pour la sécurité de la manifestation, celle-ci a finalement été reportée par les autorités. Mark Walker, inquiet pour la sienne, a fait savoir qu'il ne retournerait pas voir jouer West Ham. Lui non plus.

[1] Le Stade olympique de Londres, après de longues tractations, a été attribué à West Ham après avoir été très imparfaitement reconverti en "stade de football" à un coût exceptionnellement élevé pour la municipalité.
[2] la West Ham United Independent Supporters’ Association, reconnue par la Football Supporters’ Federation (FSF).

http://www.cahiersdufootball.net/article-west-ham-et-le-supporter-porte-drapeau-6897

Cheikhou Kouyaté, la grande déception de fans West Ham cette saison

Même s’il continue de bénéficier de la confiance de David Moyes en jouant tous les matchs comme titulaire, Cheikhou Kouyaté ne donne pas encore la plénitude de ses moyens. Ces derniers temps, le capitaine des Lions a subi les critiques de la part des supporteurs qui lui reprochaient de ne pas bien jouer.

Après 30 journées, de championnat de Premier League anglaise, les Hammers sont 16è avec 30 points, soit seulement 3 longueurs d’avance sur le premier relégable, Crystal Palace (18e). La lourde défaite dans leur antre au London Stadium, contre Burnley, a exacerbé la colère des supporters qui avaient envahi le terrain au moment où d’autres s’affrontaient dans les tribunes.

Selon si.com parcouru par nos confrères de EnQuête, les fans croient trouver le problème de West Ham durant l’exercice en cours. « L’un des problèmes qui les concernent le plus et sans nul doute la performance de certains de leurs joueurs, l’un des plus notables étant l’international sénégalais, Cheikhou Kouyaté », lit-on.

Pour les inconditionnels de ce club basé à Londres, l’ancien capitaine d’Anderlecht (Belgique) est bien au-dessous de son habitude. « Le niveau de production de Kouyaté a chuté de manière significative au cours de la saison en cours, laissant un certain nombre de fans vexés par l’utilisation persistante du milieu de terrain par David Moyes », a écrit le site si.com

PELLEGRINI SERAIT LA PRIORITÉ DE WEST HAM

Selon The Sun, West Ham United aurait fait de Manuel Pellegrini sa priorité pour la saison prochaine. Le technicien chilien, actuellement en Chine sur le banc du Hebei China Fortune, serait prêt à revenir en Angleterre (il est passé par Manchester City entre 2010 et 2013) à une condition : si les Hammers se maintiennent en Premier League. 17e du championnat anglais avec deux petits points d’avance sur la zone rouge, West Ham va devoir lutter jusqu’au bout pour s’offrir les services du tacticien de 64 ans.

Evra déguisé en lapin pour la bonne cause

https://sport.sfr.fr/football/premier-league/west-ham-evra-deguise-en-lapin-pour-la-bonne-cause.html

David Moyes entretient le flou sur l’avenir de Joao Mario

Samedi, West Ham a remporté une victoire capitale face à Southampton (3-0) dans l’optique de la course au maintien. Une victoire qui a porté l’empreinte d’Arnautovic, double buteur, mais également de Joao Mario qui a inscrit son premier but sous ses nouvelles couleurs. Prêté cet hiver par l’Inter, le milieu portugais s’acclimate doucement à la Premier League.

Pour le moment, son avenir est assez flou, lui qui possède une option d’achat adossée à son contrat. Dans des propos relayés par le Times, son entraîneur David Moyes n’a pas donné d’indication quant à son avenir. « Je ne veux pas commenter cela maintenant, car je ne prendrai pas de décisions maintenant. Je prendrai le temps, regarder ce que l’on a, et regarde où est-ce que l’on va ». Patience donc.

Une tendance se dessine pour Moyes

La direction de West Ham United aurait pris position en ce qui concerne l'avenir immédiat de David Moyes, nommé entraîneur suite au départ de Slaven Bilic.

Dixit le Daily Mirror, les Hammers songeraient à conserver le technicien écossais au-delà de cette saison. Sous contrat jusqu'en juin, l'ancien coach d'Everton et de Manchester United ne resterait qu'à la condition que le club londonien se maintienne en Premier League. Vainqueurs de Southampton le weekend dernier (3-0), les coéquipiers de Patrice Evra figurent à la quatorzième position avec une marge de cinq points sur la zone rouge.

L’hommage de Patrice Evra à la Juve

Éliminée mercredi en quart de finale de Ligue des Champions après une grosse performance sur la pelouse du Real Madrid, la Juventus Turin a vu un ancien joueur de la maison, Patrice Evra, aujourd’hui à West Ham, lui rendre hommage via un compte Twitter.

« Je suis vraiment fier d’avoir endossé ce maillot quand je vois comment vous avez joué hier ! Décrochez ce septième scudetto d’affilée », a-t-il posté, photo de lui sous le maillot bianconero à l’appui. La Vieille Dame appréciera sans doute !

Une prolongation et du pouvoir pour Moyes à West Ham ?

Avec sept points d’avance sur la zone de relégation, West Ham devrait encore jouer en Premier League la saison prochaine. Si bien que la direction du club londonien espère prolonger David Moyes, arrivé en sauveur après le limogeage de Slaven Bilic.

Difficile d'évaluer le bilan global de David Moyes en Premier League, tantôt brillant avec Everton, tantôt décevant chez les Red Devils ou à Sunderland. L'entraineur écossais a débarqué en novembre dernier à Londres pour tenter de sauver West Ham du naufrage après le limogeage de Slaven Bilic. Mais là encore, l'ancien "Chosen One" (l’Elu) de Manchester United alterné le bon et le mauvais avec six victoires et huit défaites en 22 rencontres (30 buts marqués, 36 encaissés). Sauf improbable rebondissement les Hammers se maintiendront tout de même dans l'élite la saison prochaine. Une réussite obtenue tant par les qualités du groupe que par le faible niveau de certains concurrents.

Moyes ne veut pas de directeur sportif
Le maintien presque dans la poche, la direction du club londonien se tourne désormais vers le futur. Un avenir dont David Moyes devrait faire partie selon le London Evening Standard. Convaincu par le technicien, David Gold et David Sullivan envisagent donc de lui offrir une prolongation de contrat. Les deux copropriétaires de l'actuel 14e de Premier League prévoient même de renforcer la position de l'Ecossais en étendant son champ d'action lors du mercato, et en retardant la nomination d'un directeur sportif.

Si David Moyes venait à accepter cette proposition, il n'aurait plus le droit à l'erreur. Pour l’aider dans sa tâche les dirigeants chercheraient également un nouveau responsable du recrutement, après le licenciement du précédent pour des propos racistes. Avec la main sur le mercato et sur la préparation estivale des Hammers, l'entraîneur de 54 ans devra viser le top 10. Et montrer une bonne fois pour toute que sa bonne réputation en Premier League n'est pas usurpée.

Le point sur l'aventure de Patrice Evra à West Ham

https://www.francefootball.fr/news/Le-point-sur-l-aventure-de-patrice-evra-a-west-ham/896902

Tony Henry (ex-West Ham) poursuivi par la FA pour ses propos racistes

L'ancien chef du recrutement de West Ham risque une sanction.

La Fédération anglaise (FA) a décidé d'ouvrir une enquête à la suite des allégations de discrimination raciale proférées en février par Tony Henry, l'ancien directeur du recrutement de West Ham, licencié depuis par le club londonien. Dans le Daily Mail, Henry avait expliqué que la direction des Hammers souhaitait limiter le nombre de joueurs africains dans l'effectif car ils ont «une mauvaise attitude» et «causent le chaos». Inculpé de «mauvaise conduite» par la FA, ainsi que d'avoir tenu des propos «insultants et abusifs», il a jusqu'au 15 mai pour se défendre.

Moyes conquis par le "niveau incroyable" d’Evra

Malgré un faible temps de jeu et des prestations en demi-teinte depuis son arrivée à West Ham en février, Patrice Evra emballe son manager, David Moyes, qui lui dresse des louanges avant le déplacement à Leicester samedi (16h).

Patrice Evra a suivi depuis Londres la qualification de l’OM pour la finale de la Ligue Europa. Viré par le club marseillais en novembre après son altercation avec un supporter lors d’un déplacement à Guimares, le latéral gauche a rebondi à West Ham en février. Il n’a disputé que quatre matches avec les Hammers et n’a pas vraiment convaincu, avec notamment une erreur face à Manchester City la semaine dernière. Un jugement trop dur pour son manager David Moyes, conquis par l’implication de l’ancien joueur de Manchester United.

« Il a été fantastique »
« Patrice Evra a été fantastique pour le club depuis qu’il est arrivé en février, confie le manager écossais. Son professionnalisme atteint un niveau incroyable dans la manière dont il travaille et dont il se comporte dans le vestiaire. Les gens qui travaillent avec lui disent tous la même chose. Si vous regardez les matches qu’il a joués, deux d’entre eux étaient contre les meilleures équipes de ce pays : l’un face à un finaliste de la Ligue des champions (Liverpool, ndlr), l’autre contre le champion qui a roulé sur la Premier League (Manchester City). »

« Il a l’habitude de disputer des grands matches »
« Donc, je pense que vous lui devez un peu de marge de manœuvre parce que deux de ses matches étaient contre les meilleures équipes, poursuit Moyes. Nous l’avons fait jouer parce que nous savons à quel point il est bon et parce qu’il a l’habitude de disputer des grands matches dans sa carrière. » Un joli plaidoyer pour un rendement limité sur le terrain.

David Moyes va-t-il rester sur le banc de West Ham ?

Arrivé en novembre dernier, David Moyes a laissé planer le doute sur son avenir à West Ham, dans l'attente d'avoir des garanties sur les ambitions du club.

David Moyes sera-t-il toujours l'entraîneur de West Ham la saison prochaine ? Ce n'est pas certain. L'ancien coach de Manchester United veut s'assurer de pouvoir jouer le haut du tableau avant de prendre une décision.

«Je veux être un manager qui se bat pour les six ou huit premières places. Nous avons besoin d'outils pour cela, je veux être sûr de pouvoir donner aux supporters ce dont ils ont besoin», a-t-il déclaré.

Moyes, qui a guidé West Ham vers la maintien après son arrivée en novembre, a assuré avoir refusé une offre d'un club rival en cours de la saison. La preuve, selon lui, qu'il aura des options en cas de départ en fin de saison. «J'ai souvent fait de bons choix et je pense que de nombreux clubs pourraient avoir besoin de moi, a-t-il ajouté. A part deux ou trois managers, il n'y a probablement personne qui a un meilleur ratio de victoires.»

ARRIVÉE DE MANUEL PELLEGRINI (HEBEI CHINA FORTUNE) ?

Selon les informations de Marca, West Ham pourrait enregistrer la venue de l’entraîneur chilien Manuel Pellegrini (Hebei China Fortune).

En Chine depuis l’été 2016, Manuel Pellegrini (64 ans) pourrait faire son grand retour en Premier League. Après deux saisons passées avec Hebei China Fortune, l’ancien coach du Real Madrid ou encore de Manchester City serait en contacts avancés avec West Ham. Selon les informations Marca, le technicien chilien serait désireux de retrouver un poste en Europe et son profil aurait été ciblé pour compenser un éventuel départ de David Moyes. En poste depuis novembre dernier, l’Ecossais ne serait pas certain de prolonger l’aventure avec les Hammers. L’affaire pourrait être bouclée la semaine prochaine.

Unai Emery annoncé comme cible de West Ham et Arsenal

Samedi soir, Unai Emery a fait ses adieux au Parc des Princes d’une manière très remarquée. Il reste désormais 1 seul match à l’Espagnol en tant qu’entraîneur du Paris Saint-Germain (le weekend prochain à Caen). Alors forcément les médias pensent à sa destination. Au lendemain de sa dernière sortie sur la pelouse parisienne, c’est la Premier League qui est évoquée.

En effet, le Sunday Express assure qu’Emery est dorénavant la piste numéro 1 pour prendre la place d’Arsène Wenger à Arsenal (6e de Premier League) cet été. Ce qui ne semble pas impossible, même si bien d’autres noms ont été annoncés pour ce poste et que l’on est encore loin d’avoir des certitude. Le journal explique tout de même que le salaire de l’Espagnol est pour le moment un souci, qui n’apparaît pas comme insurmontable.

Il y a aussi The Sun qui évoque l’avenir de l’actuel coach parisien, mais avec une destination qui fait moins rêver, puisqu’il s’agit de West Ham, 15e du championnat anglais. La mission serait donc de relancer le club, ce qui peut être moins passionnant, sauf que l’on peut penser qu’Emery vise plus haut. Il ne serait même pas la priorité dans ce cas, puisque Manuel Pellegrini, Marco Silva et Paulo Fonseca seraient aussi des cibles des Hammers.

Pour rappel, l’autre piste annoncée plusieurs fois pour Emery est celle qui mène à une signature à la Real Sociedad.

Moyes proche de la sortie, Benitez pressenti ?

Arrivé en novembre dernier pour remplacer Slaven Bilic, David Moyes aura assuré l'essentiel avec West Ham : le maintien. Mais le club ne serait pas particulièrement convaincu. Selon Sky Sports, l'ancien coach éphémère de Manchester United discute actuellement avec sa direction et la tendance serait à un départ. Plusieurs noms sont sur la liste, le plus haut semblant être Rafael Benitez, qui discute prolongation du côté de Newcastle. Vers un jeu de chaises musicales ?

West Ham et Hull City intéressés par Marco Silva

Selon le 'Mirror', l'ancien entraineur du Sporting, Hull et Watford pourrait rejoindre West Ham ou Everton la saison prochaine. Marco Silva remplacerait ainsi Sam Allardyce ou David Moyes.

L'ancien entraineur de Watford et Hull City pourrait revenir en Angleterre pour reprendre du métier. Selon le quotidien britannique 'Mirror', le technicien pourrait faire son retour la saison prochaine.

Le média cité assure que les 'Toffees' comme les 'Hammers' seraient en train de penser au recrutement du technicien portugais pour remplacer Moyes ou Allardyce.

Marco Silva s'est fait un nom en Angleterre quand il est arrivé à Hull City en janvier 2017. Alors qu'il a pris l'équipe avec seulement 13 points au bout de 20 journées, lors des 18 restantes, il a pris 21 points avec son équipe mais les trois dernières défaites ont malheureusement condamné les 'Tigers'.

A Watford, une des équipes avec laquelle il a lutté pour le maintien cette saison, son contrat s'est arrêté en janvier 2018 suite à des résultats décevants. Seulement 4 points pris sur 15 lors des 5 dernier matches de la phase aller.

Son retour en Premier League pourrait se faire du côté de West Ham ou d'Everton, l'occasion de redorer son blason suite à son dernier échec.

David Moyes quitte West Ham

L’entraîneur David Moyes a quitté West Ham après un peu plus de six mois en poste, a annoncé mercredi le club londonien de Premier League.

«  West Ham United peut confirmer que David Moyes a quitté le club à la fin de son contrat de courte durée. Il était arrivé au London Stadium en novembre avec pour seul objectif d’assurer le maintien en Premier League des Hammers  », a écrit le club de l’est de Londres dans un communiqué.

«  Lorsque David et son équipe sont arrivés, les deux parties souhaitaient que l’accent soit mis uniquement sur les six mois jusqu’à la fin de la saison, moment où une décision serait prise quant à l’avenir. Après avoir fait le point sur la situation maintenant que la campagne est terminée, nous estimons qu’il est préférable d’aller dans une autre direction  », a déclaré le coprésident du club David Sullivan.

Selon le dirigeant anglais, le club va désigner un successeur dans «  les dix prochains jours  ». Il s’agira «  d’une personnalité de haut calibre qui pourra faire évoluer West Ham United conformément à nos ambitions  », a ajouté Sullivan.

Sous la direction de Moyes, les Londoniens ont terminé à la 13e place du championnat.

La NG

Pellegrini sur les tablettes ?

Ce mercredi, West Ham a annoncé l’éviction de son entraîneur David Moyes six mois après son arrivée au chevet des Hammers. Quelques heures après l’officialisation du départ de Moyes, le nom de Manuel Pellegrini reviendrait avec insistance du côté du club londonien selon les informations de Sky Sports.

L’actuel entraîneur de l’Hebei China Fortune se trouverait parmi une liste de trois noms désignés comme favoris pour succéder à David Moyes. Pellegrini qui a remporté une Premier League et deux Coupes de la Ligue en trois saisons passées à Manchester City, devra lutter avec Rafael Benitez (Newcastle) et Paulo Fonseca (Shakhtar Donetsk).

MANUEL PELLEGRINI REJOINT WEST HAM

C’est désormais officiel, Manuel Pellegrini quitte Hebei China Fortune. Selon Sky Sport Italia, le coach chilien doit parapher un bail de trois ans avec West Ham.

En poste depuis deux ans, Manuel Pellegrini (64 ans) quitte officiellement Hebei China Fortune, où évoluent notamment Ezequiel Lavezzi et Javier Mascherano. Selon Sky Sport Italia, le technicien chilien va poursuivre sa carrière à West Ham. Suite au départ de David Moyes, l’ancien coach du Real Madrid ou encore de Manchester City doit parapher un bail de trois ans avec les Hammers.

Adrian (West Ham) : «Je veux être le numéro un»

Adrián était en concurrence avec Joe Hart dans le but de West Ham cette saison

La concurrence avec Joe Hart n'a pas toujours été simple. Mais Adrián est déterminé à s'imposer dans le but de West Ham. «J'aime jouer, et je veux être le numéro un, mais je dois aussi le mériter», a déclaré le portier espagnol au site internet du club londonien.

Adrián a disputé 19 matches de Premier League cette saison. Il devrait retrouver un poste de titulaire à temps plein la saison prochaine, Joe Hart faisant son retour à City. «La saison dernière pour moi a été un peu décevante et frustrante à certains moments, mais j'ai encore une année de contrat et nous verrons ce qu'on fera quand la saison sera finie», a-t-il ajouté.

Premier League: Manuel Pellegrini devient le nouveau coach de West Ham

L’entraîneur chilien s’est engagé ce lundi matin avec le club des Hammers. Il succède à l’Écossais David Moyes.

http://www.sudinfo.be/id55302/article/2018-05-22/premier-league-manuel-pellegrini-devient-le-nouveau-coach-de-west-ham

Pellegrini «Très heureux de retrouver le meilleur Championnat au monde»

Champion d'Angleterre en 2014 avec Manchester City, Manuel Pellegrini est de retour en Premier League. Le Chilien s'est engagé ce mardi pour trois saisons avec West Ham.

«Je suis très heureux de retrouver un Championnat qui est, selon moi, le meilleur au monde et je suis particulièrement ravi de signer avec West Ham» a déclaré Manuel Pellegrini, le nouveau coach des Hammers, avant de poursuivre : «Le club a connu une saison difficile et j'espère que l'on offrira un football offensif, qui plaira aux supporters. Je pense que l'on sera une bonne équipe.»

MANUEL PELLEGRINI VICTIME D’UNE ATTAQUE À MAIN ARMÉE

Le nouvel entraîneur de West Ham (Angleterre) Manuel Pellegrini a été ce samedi victime d’une attaque à main armée dans son pays d’origine, le Chili, heureusement sans conséquences.

Manuel Pellegrini profite de sa famille et de ses amis au Chili en attendant la reprise du championnat anglais avec son équipe de West Ham en août prochain. Mais ce n’est pas sans danger. Alors qu’il allait dîner avec sa femme et un couple d’amis dans un restaurant au nord de Santiago (la capitale du Chili), le nouveau manager des Hammers a été agressé par deux hommes armés sortis d’une voiture volée.


DES TIRS ÉCHANGÉS
Selon la police chilienne, les agresseurs se sont emparés du portefeuille de la femme de Manuel Pellegrini et ont pris la fuite dans leur véhicule. Pris en chasse par la police, ils ont tiré sur leurs poursuivants et ont réussi à échapper aux forces de l’ordre. Heureusement, pas de blessé. La police a retrouvé le véhicule des agresseurs, avec le portefeuille de l’épouse de l’entraîneur chilien.

LA FEMME DE PELLEGRINI A RETROUVÉ SON PORTEFEUILLE
Le lendemain, Manuel Pellegrini a réagi sur son compte Twitter et félicité le travail des forces de l’ordre locales : « Félicitations aux Carabineros (la police chilienne) pour leur réaction rapide et courageuse. J’apprécie votre soutien. J’espère que l’on va donner plus de moyens à la police pour résoudre le problème de la criminalité le plus tôt possible ».

Deux anciens joueurs du TFC ont joué à West Ham avant Diop

Issa Diop s’est engagé pour les cinq prochaines années avec West Ham, qui vient de terminer 13ème de Premier League. Le défenseur central va ainsi découvrir le London Stadium, d’une capacité de 60 000 places. Les Hammers ont accueilli 56 885 spectateurs sur la dernière dernière, soit le quatrième meilleure affluence en Angleterre.

Avant Diop, deux anciens joueurs du TFC ont porté le maillot de West Ham : Laurent Courtois et Herita Ilunga.

Le premier cité a quitté le Tèf en août 2001 pour l’Angleterre. Il n’a jamais su s’y imposer (7 matchs disputés). L’aventure a été plus heureuse pour Ilunga, qui a rejoint West Ham en 2008, après une saison passée au Tèf (d’abord en prêt, puis pour un transfert estimé à 3,5 millions). En trois ans, le défenseur a disputé 73 matchs (3 buts, 4 passes décisives).

Courtois et Ilunga sont aujourd’hui à la retraite sportive.

https://www.lesviolets.com/actu/deux-anciens-joueurs-du-tfc-ont-joue-a-west-ham-avant-diop,45543.html

CHICHARITO AUX ANGES AVEC LE MEXIQUE

Après sa victoire retentissante sur l'Allemagne (1-0), le Mexique a confirmé ce samedi en venant à bout de la Corée du Sud (2-1).

Grâce à ce résultat, le Tri a fait un grand pas vers les 8es de finale de la Coupe du monde pour la plus grande joie de son attaquant, Javier "Chicharito" Hernandez, auteur du second but de son équipe.



"Je n'ai pas de mots. La réalité dépasse nos rêves. Il faut garder notre calme, garder notre humilité et continuer de donner du plaisir au Mexique, a savouré le sociétaire de West Ham devant la presse. Nous n'oublions pas toutes les critiques subies. A partir de demain, il faut penser à la Suède." Si les Scandinaves ne perdent pas ce samedi contre l’Allemagne (0-0, en cours), le Mexique validera même son billet dès ce soir.

Le début de saison raté de l’ambitieux West Ham

Après avoir déboursé 100 M€ pour satisfaire son nouvel entraîneur Manuel Pellegrini, West Ham passe totalement à travers son début de saison, et présente une qualité de jeu déplorable. L'heure n'est pas encore à l'alarmisme, mais le calendrier n'est pas simple.

C’est à la fois prometteur et terriblement dangereux. Un mercato estival copieux non seulement ne garantit rien mais ajoutera très vite de la pression en cas de mauvais résultats initiaux. C’est ce qui arrive actuellement à West Ham, dont le mercato a été unanimement considéré comme réussi, avec un habile mélange entre joueurs de Premier League confirmés (Jack Wilshere, Fabianski), promesses européennes (Felipe Anderson, Issa Diop) ou joueurs en quête d’une seconde chance (Yarmolenko, Carlos Sanchez, Lucas Perez). Ce qui donnait de la confiance aux fans des Hammers était surtout l’identité du coach, Manuel Pellegrini, à la volonté assumée de proposer du beau jeu et de trancher avec l’identité récente du club.

Mais voilà, tout ce bel attelage n’y arrive pas. Quatre matches de Premier League et quatre défaites. Certes, dans le lot, il y avait deux déplacements périlleux à Liverpool et Arsenal. Mais West Ham a déçu deux fois à domicile, contre Bournemouth puis ce week-end face à Wolverhampton, ce qui a provoqué les sifflets du public. Alors, qu’est ce qui coince chez les Hammers ? D’abord, Pellegrini ne parvient pas à trouver la bonne formule sur son onze de départ ni le bon équilibre. Avec en premier lieu la place de Jack Wilshere, qui a alterné poste de numéro 10 dans le 4-2-3-1 et milieu axial plus défensif. Dans les deux cas, l’international anglais a déçu, en étant trop loin d’Arnautovic, titularisé en pointe depuis le début de saison, ou en n’abattant pas un travail défensif suffisant.

Pellegrini cherche la bonne formule
Les recrues ne sont non plus pas bien intégrées et on a du mal à discerner le projet de jeu, un comble au regard du CV de Pellegrini. « L’équipe ressemble à 11 étrangers rassemblés. Bien sûr, c’est partiellement dû à de nombreux changements dans un laps de temps court. Non seulement il y a eu 9 arrivées mais les joueurs doivent s’adapter aux idées d’un nouvel entraîneur. Cependant, West Ham est bien trop vulnérable à tout point de vue », a écrit Jamie Redknapp dans le Daily Mail. Peu dangereux offensivement (2 buts marqués en 4 journées) et friables défensivement (10 buts encaissés), les joueurs de Pellegrini paraissent perdus en ce début de championnat.

Avec 100 M€ dépensés, les dirigeants pourraient mettre la pression sur leur entraîneur, ce qui n’est visiblement pas encore le cas. « Il s’agit seulement de 4 matches, nous n’allons pas arrêter de nous battre maintenant. Nous commençons juste, et nous résoudrons nos problèmes. Je pense que tout le monde au sein du club est très calme », a insisté Pellegrini après la rencontre. Il lui faudra vite trouver les clés, alors que le calendrier lui réserve un déplacement à Everton puis les réceptions de Chelsea et Manchester United.

SAKHO A ABANDONNÉ SA LAMBORGHINI SUR LE PARKING DE WEST HAM... DEPUIS JANVIER

On n'est pas à une Lamborghini près... Le Daily Mail rapporte ce mardi que Diafra Sakho a abandonné son très cher véhicule sur le parking de West Ham, à son départ pour Rennes en janvier dernier. Le quotidien anglais y voit un symbole du surpaiement des joueurs de Premier League.
En janvier 2016, Diafra Sakho avait encastré sa Lamborghini dans un jardin du comté de l'Essex. Et n'a visiblement pas pris l'habitude depuis d'accorder beaucoup de soin à son véhicule. Le Daily Mail raconte ce mardi que le joueur, prêté à Bursaspor, a tout simplement abandonné sa voiture - encore une Lamborghini - sur le parking de West Ham en janvier dernier, au moment de son départ pour Rennes.

"L'effort de vendre un véhicule 220.000 euros ne valait tout simplement pas le coût'
"Il l'a achetée et laissée ici", explique une source au quotidien anglais, qui a sauté sur la petite histoire pour ouvrir un débat plus large sur les salaires mirobolants en Premier League, y compris pour des joueurs qui jouent peu. Et de souligner que "faire l'effort de vendre un véhicule 220.000 euros ne valait tout simplement pas le coût".

West Ham, club généreux en salaires... et indemnités de transferts. Le club, qui n'a pas gagné le moindre point en championnat cette saison, sort d'un été à 106 millions d'euros de dépenses. Autant dire que même en vendant la Lamborghini de Diafra Sakho, la balance ne risque pas de s'équilibrer...

Pellegrini chasse une taupe de Twitter

Manuel Pellegrini, manager de West Ham, est furieux contre un compte Twitter qui publie ses compositions d'équipe avant même de les avoir communiquées aux joueurs.

C'est le genre de faits qui ont le don de rendre fous les entraîneurs. Manuel Pellegrini, manager chilien de West Ham, voit ses compositions d'équipes fuiter sur un compte Twitter du nom de '@ExWHUemployee' et la situation commence sérieusement à l'énerver, comme le révèle le Times. Ce compte, dont la traduction est 'ancien employé de West Ham' publie depuis plusieurs mois, avant même l'arrivée de Manuel Pellegrini au club, toutes les compositions des Hammers à la perfection. En tout, ce sont plus de 60 'onze titulaire' consécutifs qui ont été mis en ligne avant même leur officialisation auprès des joueurs lors de la traditionnel réunion entre joueurs et staff quatre heures avant la rencontre. Les coulisses du club sont donc sur le qui-vive à la demande d'un entraîneur en difficulté après quatre journées : quatre défaites et une dernière place au classement de Premier League.

https://sports.orange.fr/football/angleterre/article/west-ham-pellegrini-chasse-une-taupe-de-twitter-CNT0000016yJtK.html

DAVID MOYES A DE LA RANCŒUR ENVERS WEST-HAM

David Moyes, ancien coach de Manchester United et plus récemment de West-Ham a estimé qu’il «n’aurait pas pu faire un meilleur travail» de son temps passé avec les Hammers l’an passé. Il est aujourd’hui à la recherche d’un club et a des pistes du côté de la MLS. «Je n’aurais pas pu faire un meilleur travail. C’est pourquoi je suis déçu qu’on ne m’ait pas proposé de rester. Je me serais laissé une chance jusqu’à la fin de la saison pour voir ce que j’aurais pu faire et comment les dirigeants se seraient sentis. Ça me déçoit car je n’ai même pas eu la chance d’en discuter», déclarait-il pour The Sun.

WEST HAM SUSPEND SON ENTRAÎNEUR U18 POUR UNE MANIFESTATION CONTROVERSÉE

West Ham a annoncé mercredi la suspension de l'entraîneur de son équipe U18 Mark Phillips en raison de sa participation à une manifestation controversée contre les migrants. Le technicien a pris part samedi à une marche organisée dans le centre de Londres par le Democratic Football Lads Alliance (DFLA) contre les «jihadistes de retour au pays» et «les milliers de migrants "déserteurs"», entre autres, selon la page Facebook du groupe, accusé d'être raciste et islamophobe. Sur son compte Twitter, qu'il a depuis rendu privé, Phillips a expliqué que la DFLA n'était pas «d'extrême droite», ni responsable des affrontements avec la police et des manifestants antifascistes qui ont eu lieu samedi.

Ces tweets ont été repérés par l'association Kick It Out, qui combat les discriminations dans le foot, et signalés à la Fédération anglaise. Mais comme il semble que Phillips n'a pas enfreint la loi, l'affaire a été transmise à son employeur, West Ham. «West Ham est un club de football ouvert à tous. Qu'importent leur sexe,leur âge, leurs origines, leurs compétences, leur religion ou leur orientation sexuelle, tous les membres du notre groupe de supporters sont chaleureusement accueillis au London Stadium», écrit West Ham dans un communiqué. «Nous avons une politique de zéro tolérance envers toutes formes de comportement violent ou grossier», a ajouté le communiqué des Hammers. En février, West Ham avait renvoyé son responsable des recrutements, Tony Henry, pour avoir accusé certains joueurs africains de «provoquer le chaos» et affirmé que les Hammers «ne veulent plus d'Africains».

ZLATAN TROLLE WEST HAM : "ILS N’ONT PAS LES MOYENS DE ME PAYER"

https://rmcsport.bfmtv.com/football/zlatan-trolle-west-ham-ils-n-ont-pas-les-moyens-de-me-payer-1551707.html

La folie Issa Diop s'empare de West Ham

https://www.lesviolets.com/actu/la-folie-issa-diop-s-empare-de-west-ham,47071.html

L'entraîneur des U18 de West Ham réintégré après une suspension liée au racisme

Mark Phillips, l'entraîneur des U18 de West Ham, a été réintégré au club après une suspension liée au racisme. Ce n'est pas une première chez les Hammers.

West Ham a réintégré dans ses fonctions l'entraîneur de son équipe des moins de 18 ans, suspendu le 17 ocotbre en raison de sa participation à une manifestation controversée contre les migrants, a annoncé lundi le club 13e de Premier League. Le 13 octobre, Mark Phillips avait pris part à une marche organisée dans le centre de Londres par le Democratic Football Lads Alliance (DFLA) contre les « jihadistes de retour au pays » et « les milliers de migrants déserteurs », entre autres, selon la page Facebook du groupe, accusé d'être raciste et islamophobe.

Sur son compte Twitter, Phillips avait alors expliqué que la DFLA n'était pas « d'extrême droite », ni responsable des affrontements avec la police et des manifestants antifascistes qui ont eu lieu samedi. Ces tweets avaient été repérés par l'association Kick It Out, qui combat les discriminations dans le foot, et signalés à la Fédération anglaise. Mais comme il semble que Phillips n'a pas enfreint la loi, l'affaire a été transmise à son employeur, West Ham. En février, West Ham avait renvoyé son responsable des recrutements, Tony Henry, pour avoir accusé certains joueurs africains de « provoquer le chaos » et affirmé que les Hammers « ne veulent plus d'Africains ».

Mécontent de jouer le maintien, Marko Arnautovic a des envies d'ailleurs

Buteur des Hammers de West Ham, Marko Arnautovic souhaite désormais viser plus haut et disputer la Ligue des Champions, selon les propos de son agent.
Arrivé à West Ham durant l'été 2017 contre la somme de 23 millions d'euros, un record pour le club, Marko Arnautovic n'avait pas perdu de temps pour devenir un élément indispensable des Hammers, inscrivant onze buts en Premier League pour sa première saison.

Déjà auteur de cinq réalisations en dix rencontres lors de cet exercice, le puissant attaquant autrichien n'est toutefois pas satisfait de sa situation Outre-Manche. En effet, les Hammers occupent la 13ème place du championnat anglais... Très peu pour le principal intéressé. Ainsi, peu séduit par la perspective de jouer le maintien à l'aube de ses 30 ans, Marko Arnautovic aurait pour intention de quitter le club.

"Un joueur comme lui ne devrait pas lutter contre la relégation"
"Marko aime beaucoup jouer pour West Ham. Il aime ce club et les fans. Mais il y a toujours ce sentiment que cela ne peut pas être la fin. Et tout le monde devrait comprendre cela (...) Il doit jouer pour une meilleure équipe. Marko est prêt pour la prochaine étape. Un joueur comme lui ne devrait pas lutter contre la relégation. Il devrait jouer pour les spots internationaux", a déclaré son agent et frère, Danijel Arnautovic, dans des propos accordés au Guardian.

Toujours d'après son agent, celui qui compte 75 sélections pour l'Autriche aurait pour intention de rejoindre un club plus huppé et disputant la Ligue des Champions si possible. Interrogé sur la possibilité de le voir partir très prochainement, c'est à dire lors du prochain mercato d'hiver, ce dernier s'est d'ailleurs montré confiant. "C'est possible. J'étais déjà très, très proche l'été dernier", a-t'il déclaré. Le message à ses courtisants est passé.

MANUEL PELLEGRINI : « SI SAMIR NASRI EST EN FORME, NOUS ESSAIERONS DE LE CONSERVER »

Suspendu jusqu’en janvier 2019, Samir Nasri s’entraîne actuellement du côté de West Ham. Manuel Pellegrini a évoqué le cas de l’international français en conférence de presse.

La fin de la traversée du désert approche pour Samir Nasri. Suspendu jusqu’en janvier 2019 pour usage de produits prohibés, l’ancien Marseillais n’a plus joué le moindre match depuis novembre 2017. Sans club suite à son départ d’Antalyaspor en janvier dernier, l’international français est actuellement à l’essai à West Ham. L’ancien Gunner s’entraîne dans le but de retrouver une condition physique optimale mais, pour l’instant, rien ne garantit que les Hammers lui proposeront un contrat. Interrogé à ce sujet en conférence de presse, Manuel Pellegrini a mis les choses au point : « Samir Nasri travaille ici avec nous, a d’abord reconnu le technicien chilien. Cela fait longtemps qu’il est suspendu, mais nous lui donnons un coup de main pour qu’il retrouve les terrains. J’espère que, d’ici la fin de l’année, il sera en forme et, si c’est le cas, nous essaierons de le conserver ici à West Ham. » Si cela se concrétise, Nasri découvrira un troisième club de Premier League après avoir évolué pour Arsenal (2008-2011) et Manchester City (2011-2016).

Samir Nasri justifie le choix West Ham

C’était dans l’air du temps depuis quelques semaines, c’est désormais officiel, Samir Nasri s’est engagé avec West Ham après un essai de plusieurs semaines. Interrogé par le site officiel du club londonien, l’ancien international tricolore a expliqué les raisons qui l’ont poussé à revenir en Angleterre.

Le 28 aout 2016, Samir Nasri disputait son dernier match de Premier League avec Manchester City. Quelques jours plus tard, il s’envolait pour Séville avant de rejoindre à la surprise générale le club turc d’Antalyaspor. Le début des problèmes pour l’ancien Marseillais qui allait être suspendu plusieurs mois pour une sombre affaire de dopage. Mais aujourd’hui à 31 ans, c’est un homme tout neuf qui s’apprête à revenir en Angleterre. Mis à l’essai durant plusieurs semaines pour jauger de son état de forme physique et psychologique, l’ancien international tricolore s’est engagé pour six mois avec West Ham.

Manuel Pellegrini, qui connait bien le joueur pour avoir remporté un titre de champion d’Angleterre avec lui ne tarit pas d’éloges sur le milieu offensif tricolore. « Je suis très heureux d’accueillir Samir à West Ham United. C’est un joueur que je connais bien du temps où nous étions ensemble à Manchester City et je suis heureux de travailler à nouveau avec lui. Il a travaillé très dur ici ces dernières semaines pour améliorer sa condition physique après une longue période sans jouer, et il est maintenant déterminé à revenir au meilleur de sa forme », a-t-il expliqué avant d’ajouter : « Samir va nous donner une autre dimension dans notre jeu offensif. C’est un joueur très technique, avec une excellente qualité sur le ballon et qui a la capacité de créer des différences dans des matchs importants. Il a déjà une très bonne expérience de la Premier League et nous espérons qu’il aura un impact positif sur l’équipe d’ici la fin de la saison. »

Mais pourquoi avoir pris le pari de revenir dans un club ambitieux de Premier League après plusieurs mois d’absence ? Sur le site officiel des Hammers, le nouveau n°18 du club londonien donne quelques éléments de réponse : « On choisit un club et un projet pour leur ambition et je pense que West Ham a tout pour être l’un des plus grands clubs de Londres, c’est certain. Je veux dire, il y a 60 000 personnes à chaque match à la maison, nous jouons dans le stade olympique. Et il y a des propriétaires qui veulent investir et avoir une bonne équipe. Tout est là pour faire de grandes choses. » Avant d’expliquer son bonheur de revenir en Premier League deux ans et demi après l’avoir quitté. « Je reviens dans la ligue la plus compétitive au monde, avec une équipe pleine d’ambition avec un manager que je connais. C’est le meilleur travail au monde et je suis vraiment excité à ce sujet », a déclaré Samir Nasri. Reste à savoir quand il sera prêt physiquement au rude combat de la Premier League et surtout comment il parviendra à s’intégrer dans le vestiaire des Hammers. Manuel Pellegrini a sans doute déjà sa petite idée sur le sujet…

« Je ne suis plus le même homme »

Samir Nasri : « Manuel Pellegrini a été le facteur le plus important pour moi dans le fait de rejoindre West Ham. J'étais suspendu jusqu'au 1er novembre et je n'étais pas autorisé à m'entraîner au sein d'installations professionnelles. Lorsque vous êtes joueur, vous voulez que le manager connaisse vos qualités et vous désire parce qu'il est celui qui va vous faire jouer dans l'équipe et qu'il connaît votre qualité.

Je ne suis plus le même homme. Il y a cinq ans, j'ai commis des erreurs avec lui. Nous avons remporté le Championnat (avec City) et nous avons eu une excellente saison ensemble, mais à l'époque, je n'étais pas aussi professionnel que maintenant. J'étais jeune, immature et c'était un gros transfert pour moi. J'ai gagné deux Championnats, beaucoup d'argent, je n'étais pas concentré sur mon travail. J'ai fait certaines choses, commis des erreurs. Aujourd'hui, c'est une deuxième chance pour moi... Je suis un homme totalement différent, il l'a remarqué lorsque nous avons parlé, c'est ce qui l'a poussé à prendre cette décision. »

PELLEGRINI EXPLIQUE COMMENT IL A ÉTÉ CONQUIS PAR NASRI

Samir Nasri, qui pourrait jouer son premier match sous ses nouvelles couleurs samedi en FA Cup, semble déjà avoir la confiance de son entraîneur Manuel Pellegrini.

Samir Nasri s'apprête à retrouver les terrains, pour le plus grand plaisir de Manuel Pellegrini. L'entraîneur de West Ham, qui connaît bien le Français pour l'avoir côtoyé à Manchester City de 2013 à 2016, a expliqué en conférence de presse les raisons qui l'ont poussé à lui faire à nouveau confiance, après sa suspension de 18 mois pour infraction aux règles antidopages.

"Il a énormément de qualités"
"Je pense que le football c'est comme le vélo. Tu apprends à faire du vélo quand tu es petit, et ensuite tu ne l'oublies jamais. Je pense que Samir est un joueur très technique et qu'il jouera au football de la même manière qu'auparavant", espère-t-il.

"Je pense qu'il apportera beaucoup à l'équipe, j'y crois. Je pense qu'il sera le même joueur que quand il était jeune, parce qu'il est motivé, qu'il travaille dur et qu'il a énormément de qualités. Je suis certain qu'il sera le joueur qui saura faire la différence. Il a l'air très bien, il travaille avec nous depuis plus d'un mois. Il a perdu quelques kilos", précise-t-il.

"Il sera probablement impliqué" samedi
Après avoir été laissé sur le banc mercredi lors du match nul face à Brighton en Premier League (2-2), Samir Nasri pourrait jouer ses premières minutes sous ses nouvelles couleurs samedi, pour le match aller du 3e tour de FA Cup face à Birmingham.

"Il sera sur la feuille de match, annonce Manuel Pellegrini. Nous verrons s'il débutera le match ou s'il ne jouera que quelques minutes, mais il sera probablement impliqué dans ce match."

Pellegrini tord le coup au rumeur

L'entraineur chilien ne croit pas au départ de son attaquant star Arnautovic en Chine. Selon lui, "Ce sont toutes des rumeurs, nous savons que Marko un très bon joueur. Donc beaucoup de clubs voudront peut-être qu'il joue pour leur équipe, mais il est un joueur de West Ham et pour le moment, nous n'avons aucune nouvelle à propos de lui." Pellegrini pense que son joueur est focalisé sur le prochain derby de samedi contre Arsenal. "Marko et les autres joueurs impliqués par les transferts sont concentrés et veulent continuer à jouer. Je suis sûr que ce genre de choses est parallèle à la performance et il aura sa tête au match contre Arsenal."

Samir Nasri (West Ham) devrait faire ses débuts en Premier League face à Arsenal

Samir Nasri, arrivé à West Ham cet hiver, devrait faire ses débuts en Premier League avec West Ham samedi, face à son ancien club Arsenal.

Arrivé à West Ham cet hiver, Samir Nasri devrait faire ses débuts en Premier League ce samedi (13h30) avec les Hammers face à son ancien club, Arsenal. Le natif de Marseille a joué pendant quatre saisons (2008-2012) avec les Gunners.

« Samir a démontré qu'il est capable de jouer, et il sera impliqué dans le jeu contre Arsenal. Nous verrons s'il joue dès le début », a confié son entraîneur Manuel Pellegrini en conférence de presse, ce jeudi. L'international français (31 ans, 41 sélections, 5 buts) était titulaire samedi dernier face à Birmingham en FA Cup.

West Ham à l'amende pour un envahissement de terrain en mars dernier

Le match contre Burnley avait dégénéré, avec envahissement de terrain des supporters et menaces sur les joueurs et la direction.

West Ham a écopé mardi d'une amende de 100 000 livres (113 000 euros) infligée par la Fédération anglaise pour les incidents qui avaient accompagné sa défaite (0-3) au stade Olympique contre Burnley en Championnat en mars, un match plusieurs fois interrompu.

Des supporters avaient envahi la pelouse. L'un d'eux avait été mis à terre par Mark Noble, le capitaine des Hammers, furieux qu'on s'en prenne à son équipe. D'autres avaient dirigé leur colère vers la direction, qui avait dû s'éclipser en vitesse. Image surréaliste : un fan mécontent s'était emparé d'un poteau de corner qu'il était allé planter au centre du terrain.

Le gardien de but de West Ham United, Lukasz Fabianski, a été honoré par la Premier League pour avoir disputé 200 matches en PL.

West Ham United affichait le septième plus grand nombre de spectateurs en Europe en 2018.

Un rapport de Goal.com a révélé que les Hammers avaient attiré 1 082 468 des 19 matches de Premier League que le club avait accueillis au London Stadium l'an dernier, avec une moyenne de 56 972 par match.

Fabianski remporte le prix du footballeur polonais de l'année

Klopp se fait allumer par Pellegrini : "Il est habitué à gagner avec des buts hors-jeu"

Il y a de l'animosité entre les deux entraîneurs...

Liverpool a été tenu en échec ce lundi soir par West Ham (1-1). Une rencontre qui était une sorte de match dans le match entre les deux entraîneurs, Jürgen Klopp et Manuel Pellegrini.
Après avoir pesté sur l'arbitrage, l'Allemand a dû faire face au critique de son homologue chilien qui a rappelé la position de hors-jeu de James Milner sur le goal des Reds.

"Il est habitué à gagner avec des buts hors-jeu", a expliqué après la rencontre Manuel Pellegrini. "Il m’a battu avec un but hors-jeu de plusieurs mètres, donc il ne devrait pas se plaindre..."

Par cette phrase, l'entraîneur de West Ham faisait référence au quart de finale de Ligue des Champions entre le Borussia Dortmund (entraîné par Klopp) et Malaga (entraîné par Pellegrini) en 2013. Ce jour-là, les Allemands s'étaient imposés grâce à un but inscrit en toute fin de rencontre. "J'avais dit avant le match qu’on devait gagner et que si on pouvait aider Manchester City, ce serait tant mieux. C'est peut-être pour ça que Klopp l’a eu mauvaise."

Au classement, Liverpool reste en tête de la Premier League mais n'a plus que 3 points d'avance sur son dauphin Manchester City.

La DH

Declan Rice a remporté le prix du meilleur jeune joueur de l'année aux London Football Awards 2019.

La FA ouvre une procédure à l'encontre de Robert Snodgrass (West Ham)

Robert Snodgrass, milieu de West Ham, fait l'objet d'une procédure ouverte par la Fédération anglaise, ce lundi, après son comportement insultant envers des officiels en charge de l'antidopage.

Robert Snodgrass va devoir répondre de ses actes. La Fédération anglaise a entamé, ce lundi, une procédure envers le milieu de West Ham après son comportement abusif et ses insultes envers des membres de l'agence antidopage britannique. La scène se serait déroulée le 6 février dernier lors d'une visite des officiels au terrain d'entraînement du club.


L'international écossais a désormais jusqu'au 18 mars pour s'expliquer. Le joueur de 33 ans, qui risque un match de suspension et une amende, a inscrit quatre réalisations toutes compétitions confondues pour les Hammers cette saison.