Foot US
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Foot US
Bonjour petit passage pour parler d'un de mes sport US préféré (derrière le hockey)
La saison vient de se finir et les Packers de Green Bay ont battus les Steelers.
En France, Rouen a une équipe qui est bonne (pas aussi bonne que le Baseball ou le Hockey/glace) et je viens de voir que le club de Caen (les Conquérants) faisaient aussi du Flag un dérivé de Foot US, sans contact. Et je me laisserais bien tenter quand j'y serais
La saison vient de se finir et les Packers de Green Bay ont battus les Steelers.
En France, Rouen a une équipe qui est bonne (pas aussi bonne que le Baseball ou le Hockey/glace) et je viens de voir que le club de Caen (les Conquérants) faisaient aussi du Flag un dérivé de Foot US, sans contact. Et je me laisserais bien tenter quand j'y serais
chevrinho- Gunner
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Localisation : Ferme de mr Seguin
Emploi/loisirs : Assedic, Rsa, donnez argent!!!
Humeur : BEEEEEEEEEEEHH!!!!!
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Mes autres équipes préférées: FCR, Arsenal, Boca Junior,Santos et olympique de chevres.........
Re: Foot US
Au lieu defaire un topic sur un sport de tarlouze tu pouvais pas mater West ham-Liverpool????
Marado06- Administrateur Hammer
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Re: Foot US
Bah c'était pas à 14h30 ? c'est ce que j'ai vu sur l'equipe.fr !!!!!!
Bon bah allons-y ^^
Edit : bah ouais c'est fini branle-couille qu'est-ce que tu me racontes ?
Je parlais avec mes parents à cet heure ci (et d'ailleurs en leur montrant le dessin ils sont vachement moins contre pour le tatouage ^^ Fin de l'aparté : en MP si tu veux)
Bon bah allons-y ^^
Edit : bah ouais c'est fini branle-couille qu'est-ce que tu me racontes ?
Je parlais avec mes parents à cet heure ci (et d'ailleurs en leur montrant le dessin ils sont vachement moins contre pour le tatouage ^^ Fin de l'aparté : en MP si tu veux)
chevrinho- Gunner
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re
a st etienne on a 1 équipe de foot us , division 2 , pour l instant ils sont 1er !!!
je passe les voirs souvent vu qu il y a pas mal de pote a moi qui joue !!
je passe les voirs souvent vu qu il y a pas mal de pote a moi qui joue !!
I.C.F.M- Super Hammer
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Mes autres équipes préférées: A.S. St. Etienne, Celtic Glasgow, Panathinaikos.
Re: Foot US
Super Bowl 50 : unique en son genre
Le Super Bowl fête son 50e anniversaire dimanche à San Francisco. C’est l’évènement sportif télévisuel le plus populaire en Amérique du Nord. L’an dernier lors de l’affrontement entre les Patriots et les Seahawks, plus de 114 000 000 de téléspectateurs ont regardé le match à la télévision.
Le Super Bowl symbolise les États-Unis. C’est une célébration du sport américain. C'est à la fois le match de championnat du football américain et aussi le plus gros party sportif de l’année. Le football est la passion des Américains comme le hockey l’est pour nous au Canada. Une saison de football aux États-Unis débute en septembre et se termine en janvier ou février. Les écoles secondaires évoluent le vendredi soir, la NCAA et les universités jouent le samedi et la NFL occupe maintenant les jeudis, dimanches et lundis. C’est vraiment difficile pour nous de comprendre comment les États-Unis vibrent au timbre de la NFL. Malgré de sérieuses et fréquentes difficultés hors terrain depuis deux ou trois ans, la NFL demeure intraitable. Sa popularité ne cesse de croître. Peu importe le nombre de crises dues au comportement des joueurs, les dossiers de violences conjugales, et avec en plus les nombreuses blessures à la tête menant à des commotions cérébrales, la NFL attire les investisseurs, les équipes prennent de la valeur, les produits se vendent, les stades sont pleins, les audiences télé augmentent et la parité existe, ce qui donne de l’espoir aux 32 équipes d’année en année.
La NFL est aussi la ligue la plus riche au monde, et ce, même si le football américain reste relativement méconnu pour plus de 200 pays dans le monde. Et le Super Bowl représente la culmination, la célébration suprême de la puissance de ce produit sportif. Le Super Bowl est une plateforme extraordinaire pour les sportifs, les partenaires commerciaux, les entreprises, les partisans et les médias qui s'y associent.
Tout le monde veut y participer
Outre le match de football, c'est-à-dire l'affrontement sportif, c'est quoi le Super Bowl? Comment mesurer son ampleur et son rayonnement?
Depuis la tenue du tout premier Super Bowl diffusé par CBS et NBC en 1967, match qui vit les Packers de Green Bay, dirigés par le légendaire Vince Lombardi, l'emporter 35-10 contre les Chiefs de Kansas City, l'événement a exponentiellement grandi durant les 50 dernières années. Les billets en 1967 coutaient 12 $ chacun et maintenant, le prix varie entre 850 et 3000 $ selon l’emplacement des sièges. C’est devenu le plus gros happening sportif en Amérique du Nord, et de loin. Pour comprendre la dimension du Super Bowl et son impact médiatique, prenons l’exemple de la musique et des artistes invités annuellement pour produire le spectacle de la mi-temps. Ce dimanche, le groupe britannique Coldplay sera la tête d’affiche de ce spectacle. Et à la veille d’une tournée mondiale prochaine, Coldplay ne recevra aucun cachet de la part de la NFL pour ce spectacle. Et ce fut le même cas pour Katy Perry, Paul McCartney, U2 et bien d’autres. Pourquoi? Simplement parce que la NFL n’a pas besoin de payer qui que ce soit pour cette chance unique de participer au « show » de la mi-temps. Parce qu’on vous garantit pas moins de 100 millions de personnes devant leur téléviseur pour assister au spectacle. Et l'importance de cette notoriété y joue pour beaucoup pour les artistes parce que la portée médiatique et le prestige associé au Super Bowl valent leur pesant d’or.
En fait, le Super Bowl, c'est un pôle magnétique où l'on voit converger les célébrités, les gens d’affaires riches, bref, tout le jet set mondial pour voir évoluer les deux meilleurs clubs de la NFL. Chacun profite de l'évènement pour marquer à sa façon son univers. Les athlètes y entrent dans la légende : de Bart Starr en 1967 à Cam Newton en 2016! Au fil des années, Joe Namath, Terry Bradshaw, Roger Staubach, Joe Montana, Steve Young, Jerry Rice, Doug Williams, Tom Brady et Peyton Manning sont tous devenus légendaires grâce à ce match décisif. Et dans l'univers de la publicité, la plateforme offerte par le Super Bowl est devenue la plus prestigieuse porte d'entrée pour un produit ou une entreprise. Cela coûte énormément cher pour y annoncer, mais c'est l'occasion parfaite pour tenter de définir ou redéfinir un produit, une marque ou encore l'image d'une entreprise.
Le rayonnement
Le rayonnement qu'offre le Super Bowl à ces entreprises dans le marché américain justifie l'importance que l'on accorde à la publicité qu'on y présente. Vingt des vingt émissions de télé les plus regardées de l'histoire aux États-Unis sont celles des Super Bowls du passé. Il s'agit de plus de téléspectateurs que les meilleures audiences des épisodes de M*A*S*H, Friends ou même de Seinfeld. En fait, l'an passé, le Super Bowl XLIX fut l'émission de télé le plus regardée de toute l'histoire télévisuelle américaine avec 114 millions de spectateurs en moyenne selon Nielsen (un sommet à 120 millions à la fin du match). ESPN a rapporté qu'à un moment donné durant la rencontre, plus de 89 % des résidents de Seattle regardaient le match en direct. C'est ce succès télévisuel qui permet à la NFL de vendre de la publicité en 2016 à raison de 5 millions de dollars US pour une pub de 30 secondes. À titre comparatif, c'est 125 fois plus dispendieux que pour le premier Super Bowl en 1967.
Le volet digital devient aussi essentiel. NBC, diffuseur officiel l'an dernier, révélait que plus de 1,3 million de spectateurs avaient visionné le match en ligne sur son site. Pendant le match, 28 millions de tweets ont été écrits et Facebook a même créé un site spécial pour le Super Bowl. YouTube y consacre dorénavant une chaîne qui présente essentiellement les nouveaux commerciaux qu'on lance au Super Bowl : Adblitz. L'an passé, plus de 840 millions de minutes de publicité du Super Bowl ont été vues sur ce site.
Le plus lucratif
Le Super Bowl, c'est aussi l'événement sportif d’une journée le plus lucratif de la planète. Les Jeux olympiques, la Coupe du monde de soccer ou encore la Coupe du monde de rugby rejoignent beaucoup de consommateurs, mais ces compétitions se déroulent sur plusieurs jours voire plusieurs semaines. Avec des projections de revenus de plus de 620 millions de dollars US en une seule journée dimanche, on peut comprendre l'engouement que l’évènement suscite pour les partisans mais aussi pour les entreprises. Rien ne se compare au football aux États-Unis. Une association avec le Super Bowl garantit une visibilité sans précédent dans le plus gros marché commercial de la planète.
Le festival des publicités du Super Bowl
Pour les motifs énumérés plus haut, le Super Bowl est une vitrine incontournable pour présenter un produit sur le marché américain et dans le monde. L'ampleur des cotes d'écoute le justifie. Quelques-unes des plus grandes marques de la planète l'utilisent d'ailleurs pour préserver, améliorer ou régénérer leur image de marque. Qui ne se souvient pas des publicités anthologiques de Doritos et Always en 2015; Apple-Mac en 1984; Pepsi et Cindy Crawford en 1992; Joe Green et Coke en 1980; Darth Vader et Volkswagen en 2011; ou encore, les légendaires publicités de « Frogs » et « Wasssup » et « Lost Dogs » de Budweiser en 1995, 1999 et 2015 respectivement. Budweiser a toujours utilisé adroitement la plateforme du Super Bowl pour promouvoir et renforcer l'image positive de ses produits. Depuis 10 ans, Anheiser Busch a investi plus de 287 millions $ en pubs pour cet évènement.
Cependant, le Super Bowl est aussi devenu une sorte de concours de pubs où les compagnies voient les médias et la population juger leurs pubs et établir une première impression ou perception de la compagnie. Il faut bien se le dire : si un annonceur dépense 5 millions $ pour une pub de 30 secondes, cette dernière doit impérativement percuter l’audience. Parce que le coût du placement publicitaire sur CBS n’inclut pas les coûts de production de cette même pub. Car autant le match est analysé par tous les spécialistes du football dans les jours qui suivent autant la qualité des publicités est analysée avec passion par les gourous du marketing. Nationwide avec une publicité catastrophe en 2015 et GM en 2007 en savent quelque chose. Le juré fut impitoyable et le regard négatif porté à ces publicités peut coûter des dizaines si ce n'est des centaines de millions de dollars à une entreprise.
Et mon Super Bowl?
Par déformation professionnelle, je vous avouerais que je vais certainement porter attention à tous les aspects non sportifs de l'événement. Mais bon, le Super Bowl, c'est aussi et avant tout un grand match sportif. Et le football, c'est le sport qui a marqué ma jeunesse et qui m'a donné mes premières opportunités professionnelles à Penn State et dans la fameuse World League (NFL Europe). Alors, comme vous tous, je serai devant l’écran dimanche. Souhaitons-nous un match serré et enlevant. Avec un duel entre les quarts-arrières Peyton Manning et Cam Newton. De toute évidence, le Super Bowl est le plus grand événement sportif d’un jour sur la planète.
Que le spectacle commence!
Le Super Bowl fête son 50e anniversaire dimanche à San Francisco. C’est l’évènement sportif télévisuel le plus populaire en Amérique du Nord. L’an dernier lors de l’affrontement entre les Patriots et les Seahawks, plus de 114 000 000 de téléspectateurs ont regardé le match à la télévision.
Le Super Bowl symbolise les États-Unis. C’est une célébration du sport américain. C'est à la fois le match de championnat du football américain et aussi le plus gros party sportif de l’année. Le football est la passion des Américains comme le hockey l’est pour nous au Canada. Une saison de football aux États-Unis débute en septembre et se termine en janvier ou février. Les écoles secondaires évoluent le vendredi soir, la NCAA et les universités jouent le samedi et la NFL occupe maintenant les jeudis, dimanches et lundis. C’est vraiment difficile pour nous de comprendre comment les États-Unis vibrent au timbre de la NFL. Malgré de sérieuses et fréquentes difficultés hors terrain depuis deux ou trois ans, la NFL demeure intraitable. Sa popularité ne cesse de croître. Peu importe le nombre de crises dues au comportement des joueurs, les dossiers de violences conjugales, et avec en plus les nombreuses blessures à la tête menant à des commotions cérébrales, la NFL attire les investisseurs, les équipes prennent de la valeur, les produits se vendent, les stades sont pleins, les audiences télé augmentent et la parité existe, ce qui donne de l’espoir aux 32 équipes d’année en année.
La NFL est aussi la ligue la plus riche au monde, et ce, même si le football américain reste relativement méconnu pour plus de 200 pays dans le monde. Et le Super Bowl représente la culmination, la célébration suprême de la puissance de ce produit sportif. Le Super Bowl est une plateforme extraordinaire pour les sportifs, les partenaires commerciaux, les entreprises, les partisans et les médias qui s'y associent.
Tout le monde veut y participer
Outre le match de football, c'est-à-dire l'affrontement sportif, c'est quoi le Super Bowl? Comment mesurer son ampleur et son rayonnement?
Depuis la tenue du tout premier Super Bowl diffusé par CBS et NBC en 1967, match qui vit les Packers de Green Bay, dirigés par le légendaire Vince Lombardi, l'emporter 35-10 contre les Chiefs de Kansas City, l'événement a exponentiellement grandi durant les 50 dernières années. Les billets en 1967 coutaient 12 $ chacun et maintenant, le prix varie entre 850 et 3000 $ selon l’emplacement des sièges. C’est devenu le plus gros happening sportif en Amérique du Nord, et de loin. Pour comprendre la dimension du Super Bowl et son impact médiatique, prenons l’exemple de la musique et des artistes invités annuellement pour produire le spectacle de la mi-temps. Ce dimanche, le groupe britannique Coldplay sera la tête d’affiche de ce spectacle. Et à la veille d’une tournée mondiale prochaine, Coldplay ne recevra aucun cachet de la part de la NFL pour ce spectacle. Et ce fut le même cas pour Katy Perry, Paul McCartney, U2 et bien d’autres. Pourquoi? Simplement parce que la NFL n’a pas besoin de payer qui que ce soit pour cette chance unique de participer au « show » de la mi-temps. Parce qu’on vous garantit pas moins de 100 millions de personnes devant leur téléviseur pour assister au spectacle. Et l'importance de cette notoriété y joue pour beaucoup pour les artistes parce que la portée médiatique et le prestige associé au Super Bowl valent leur pesant d’or.
En fait, le Super Bowl, c'est un pôle magnétique où l'on voit converger les célébrités, les gens d’affaires riches, bref, tout le jet set mondial pour voir évoluer les deux meilleurs clubs de la NFL. Chacun profite de l'évènement pour marquer à sa façon son univers. Les athlètes y entrent dans la légende : de Bart Starr en 1967 à Cam Newton en 2016! Au fil des années, Joe Namath, Terry Bradshaw, Roger Staubach, Joe Montana, Steve Young, Jerry Rice, Doug Williams, Tom Brady et Peyton Manning sont tous devenus légendaires grâce à ce match décisif. Et dans l'univers de la publicité, la plateforme offerte par le Super Bowl est devenue la plus prestigieuse porte d'entrée pour un produit ou une entreprise. Cela coûte énormément cher pour y annoncer, mais c'est l'occasion parfaite pour tenter de définir ou redéfinir un produit, une marque ou encore l'image d'une entreprise.
Le rayonnement
Le rayonnement qu'offre le Super Bowl à ces entreprises dans le marché américain justifie l'importance que l'on accorde à la publicité qu'on y présente. Vingt des vingt émissions de télé les plus regardées de l'histoire aux États-Unis sont celles des Super Bowls du passé. Il s'agit de plus de téléspectateurs que les meilleures audiences des épisodes de M*A*S*H, Friends ou même de Seinfeld. En fait, l'an passé, le Super Bowl XLIX fut l'émission de télé le plus regardée de toute l'histoire télévisuelle américaine avec 114 millions de spectateurs en moyenne selon Nielsen (un sommet à 120 millions à la fin du match). ESPN a rapporté qu'à un moment donné durant la rencontre, plus de 89 % des résidents de Seattle regardaient le match en direct. C'est ce succès télévisuel qui permet à la NFL de vendre de la publicité en 2016 à raison de 5 millions de dollars US pour une pub de 30 secondes. À titre comparatif, c'est 125 fois plus dispendieux que pour le premier Super Bowl en 1967.
Le volet digital devient aussi essentiel. NBC, diffuseur officiel l'an dernier, révélait que plus de 1,3 million de spectateurs avaient visionné le match en ligne sur son site. Pendant le match, 28 millions de tweets ont été écrits et Facebook a même créé un site spécial pour le Super Bowl. YouTube y consacre dorénavant une chaîne qui présente essentiellement les nouveaux commerciaux qu'on lance au Super Bowl : Adblitz. L'an passé, plus de 840 millions de minutes de publicité du Super Bowl ont été vues sur ce site.
Le plus lucratif
Le Super Bowl, c'est aussi l'événement sportif d’une journée le plus lucratif de la planète. Les Jeux olympiques, la Coupe du monde de soccer ou encore la Coupe du monde de rugby rejoignent beaucoup de consommateurs, mais ces compétitions se déroulent sur plusieurs jours voire plusieurs semaines. Avec des projections de revenus de plus de 620 millions de dollars US en une seule journée dimanche, on peut comprendre l'engouement que l’évènement suscite pour les partisans mais aussi pour les entreprises. Rien ne se compare au football aux États-Unis. Une association avec le Super Bowl garantit une visibilité sans précédent dans le plus gros marché commercial de la planète.
Le festival des publicités du Super Bowl
Pour les motifs énumérés plus haut, le Super Bowl est une vitrine incontournable pour présenter un produit sur le marché américain et dans le monde. L'ampleur des cotes d'écoute le justifie. Quelques-unes des plus grandes marques de la planète l'utilisent d'ailleurs pour préserver, améliorer ou régénérer leur image de marque. Qui ne se souvient pas des publicités anthologiques de Doritos et Always en 2015; Apple-Mac en 1984; Pepsi et Cindy Crawford en 1992; Joe Green et Coke en 1980; Darth Vader et Volkswagen en 2011; ou encore, les légendaires publicités de « Frogs » et « Wasssup » et « Lost Dogs » de Budweiser en 1995, 1999 et 2015 respectivement. Budweiser a toujours utilisé adroitement la plateforme du Super Bowl pour promouvoir et renforcer l'image positive de ses produits. Depuis 10 ans, Anheiser Busch a investi plus de 287 millions $ en pubs pour cet évènement.
Cependant, le Super Bowl est aussi devenu une sorte de concours de pubs où les compagnies voient les médias et la population juger leurs pubs et établir une première impression ou perception de la compagnie. Il faut bien se le dire : si un annonceur dépense 5 millions $ pour une pub de 30 secondes, cette dernière doit impérativement percuter l’audience. Parce que le coût du placement publicitaire sur CBS n’inclut pas les coûts de production de cette même pub. Car autant le match est analysé par tous les spécialistes du football dans les jours qui suivent autant la qualité des publicités est analysée avec passion par les gourous du marketing. Nationwide avec une publicité catastrophe en 2015 et GM en 2007 en savent quelque chose. Le juré fut impitoyable et le regard négatif porté à ces publicités peut coûter des dizaines si ce n'est des centaines de millions de dollars à une entreprise.
Et mon Super Bowl?
Par déformation professionnelle, je vous avouerais que je vais certainement porter attention à tous les aspects non sportifs de l'événement. Mais bon, le Super Bowl, c'est aussi et avant tout un grand match sportif. Et le football, c'est le sport qui a marqué ma jeunesse et qui m'a donné mes premières opportunités professionnelles à Penn State et dans la fameuse World League (NFL Europe). Alors, comme vous tous, je serai devant l’écran dimanche. Souhaitons-nous un match serré et enlevant. Avec un duel entre les quarts-arrières Peyton Manning et Cam Newton. De toute évidence, le Super Bowl est le plus grand événement sportif d’un jour sur la planète.
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Re: Foot US
Les Denver Broncos remportent le 50e Super Bowl contre les Carolina Panthers
Les Denver Broncos ont gagné le troisième Super Bowl de leur histoire, grâce à la force de leur défense contre les Carolina Panthers (24-10).
Le match : crispé presque jusqu'au bout
L’adage est donc vrai, les défenses gagnent bel et bien des championnats. Celle des Denver Broncos, la meilleur de la saison régulière, a ramené à la raison Cam Newton, le tout frais MVP de la ligue et l’attaque explosive des Carolina Panthers. Ça n’a pas toujours été beau avec notamment un Peyton Manning en difficulté la plupart de la soirée au Levi’s Stadium de Santa Clara (13 sur 23 à la passe avec 141 yards, 1 interception et 1 perte de balle au sol).
Mais Von Miller (voir ci-dessous) et sa bande ont su étouffer Cam Newton tout au long de la partie. Une seule fois, les Panthers ont réellement progressé dans le camp adverse, avec au bout le touchdown de Jonathan Stewart pour recoller. Mais à cet instant, Denver menait déjà 10-0 (10-7 après le TD de Stewart), en ayant notamment provoqué une perte de balle de Newton à l’approche de sa zone d'en-but. Le reste ? Beaucoup de fautes de part et d’autres, des erreurs de mains coûteuses (comme cette passe de Newton que Ted Ginn n’a pas su capter lors du troisième quart-temps et qui s’est terminée par une interception).
Tout cela a empêché le match de vraiment décoller. Cam Newton a passé pour 245 yards mais à 16 sur 38 seulement et avec trois pertes de balle au total. Reste à savoir désormais si cette victoire est la dernière de Peyton Manning dans la NFL. Tout le laisse croire, son niveau de jeu comme ce deuxième titre personnel (en quatre Super Bowl joués). Ce succès permet en tout cas à l’un des quarterbacks marquants de l’histoire de la ligue de sortir par le haut.
Le joueur : Von Miller (Denver Broncos)
Déjà exceptionnel lors de la finale de conférence contre les New England Patriots, le linebacker de Denver a, de nouveau, éclaboussé le match. C’est d’abord lui qui a provoqué la perte de balle de Cam Newton au deuxième quart-temps pour le premier touchdown des Broncos. Puis c’est encore lui qui est venu martyriser le quarterback de Carolina, sélectionné juste devant lui lors de la draft 2011 (ils étaient numéros 1 et 2), dans le quatrième quart-temps, mettant son équipe sur orbite, à quatre yards de la zone d'en-but adverse avec au bout le touchdown du break par C.J. Anderson à trois minutes de la fin. Miller, désigné MVP de la rencontre, a terminé avec 2,5 sacks, 5 plaquages en plus des deux pertes de balles provoquées sur Newton.
. 16
Voilà seize ans désormais que le MVP de la saison régulière n'a plus été titré en fin de saison. Cam Newton, qui a obtenu ce titre individuel samedi soir, a, lui aussi, été victime de la malédiction. Le dernier joueur à avoir réussi ce doublé est Kurt Warner (St Louis Rams) lors de la saison 1999-2000.
Les Denver Broncos ont gagné le troisième Super Bowl de leur histoire, grâce à la force de leur défense contre les Carolina Panthers (24-10).
Le match : crispé presque jusqu'au bout
L’adage est donc vrai, les défenses gagnent bel et bien des championnats. Celle des Denver Broncos, la meilleur de la saison régulière, a ramené à la raison Cam Newton, le tout frais MVP de la ligue et l’attaque explosive des Carolina Panthers. Ça n’a pas toujours été beau avec notamment un Peyton Manning en difficulté la plupart de la soirée au Levi’s Stadium de Santa Clara (13 sur 23 à la passe avec 141 yards, 1 interception et 1 perte de balle au sol).
Mais Von Miller (voir ci-dessous) et sa bande ont su étouffer Cam Newton tout au long de la partie. Une seule fois, les Panthers ont réellement progressé dans le camp adverse, avec au bout le touchdown de Jonathan Stewart pour recoller. Mais à cet instant, Denver menait déjà 10-0 (10-7 après le TD de Stewart), en ayant notamment provoqué une perte de balle de Newton à l’approche de sa zone d'en-but. Le reste ? Beaucoup de fautes de part et d’autres, des erreurs de mains coûteuses (comme cette passe de Newton que Ted Ginn n’a pas su capter lors du troisième quart-temps et qui s’est terminée par une interception).
Tout cela a empêché le match de vraiment décoller. Cam Newton a passé pour 245 yards mais à 16 sur 38 seulement et avec trois pertes de balle au total. Reste à savoir désormais si cette victoire est la dernière de Peyton Manning dans la NFL. Tout le laisse croire, son niveau de jeu comme ce deuxième titre personnel (en quatre Super Bowl joués). Ce succès permet en tout cas à l’un des quarterbacks marquants de l’histoire de la ligue de sortir par le haut.
Le joueur : Von Miller (Denver Broncos)
Déjà exceptionnel lors de la finale de conférence contre les New England Patriots, le linebacker de Denver a, de nouveau, éclaboussé le match. C’est d’abord lui qui a provoqué la perte de balle de Cam Newton au deuxième quart-temps pour le premier touchdown des Broncos. Puis c’est encore lui qui est venu martyriser le quarterback de Carolina, sélectionné juste devant lui lors de la draft 2011 (ils étaient numéros 1 et 2), dans le quatrième quart-temps, mettant son équipe sur orbite, à quatre yards de la zone d'en-but adverse avec au bout le touchdown du break par C.J. Anderson à trois minutes de la fin. Miller, désigné MVP de la rencontre, a terminé avec 2,5 sacks, 5 plaquages en plus des deux pertes de balles provoquées sur Newton.
. 16
Voilà seize ans désormais que le MVP de la saison régulière n'a plus été titré en fin de saison. Cam Newton, qui a obtenu ce titre individuel samedi soir, a, lui aussi, été victime de la malédiction. Le dernier joueur à avoir réussi ce doublé est Kurt Warner (St Louis Rams) lors de la saison 1999-2000.
English Man- Administrateur Hammer
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Localisation : Charleroi
Emploi/loisirs : La mer, les gilles, le foot, U2, Indochine.
Humeur : révolutionnaire
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Feuille de personnage
Mes autres équipes préférées: Royal charleroi sporting club, Equipe national d'Angleterre, les diables rouges
Re: Foot US
Rejoindre Tom Brady dans l’histoire ? La réponse de Patrick Mahomes !
Le prochain Superbowl entre les Chiefs et les Buccaneers marquera surtout l’affrontement entre les deux quaterbacks, Patrick Mahomes et Tom Brady. Alors que ce dernier a un palmarès long comme le bras, la nouvelle star de la NFL s’est prononcé sur la possibilité d’en faire de même.
Qui des Kansas City Chiefs ou des Tampa Bay Buccaneers remportera le Superbowl ? Le 8 février prochain, les deux franchises se disputeront le trophée Vince Lombardi, le Saint Graal en NFL. Alors que les Chiefs tenteront de conserver leur couronne, les Buccaneers voudront eux être sacrés à domicile. Un sacre qui ferait alors un peu plus entrer leur quaterback, Tom Brady, dans la légende. A 43 ans, l’ancien des Patriots va disputer son 10ème Superbowl, en ayant déjà 6 victoires à son actif. Mais face à lui, il y aura un certain Patrick Mahomes, annoncé comme l’un des rares quaterbacks capables de détrôner Tom Brady.
« Ça va être dur »
Patrick Mahomes pourrait-il alors faire aussi bien que Tom Brady en NFL ? Dans des propos rapportés par FOX News, le quaterback des Chiefs a évoqué la question, expliquant : « Tout ce que vous faîtes, vous voulez le réussir et bien le faire. Ça va être dur de le faire… aller à 10 Superbowl et avoir 6 bagues de champion. Mais vous devez faire tout ce que vous pouvez pour être ce genre de personne et le meilleur joueur ».
Le prochain Superbowl entre les Chiefs et les Buccaneers marquera surtout l’affrontement entre les deux quaterbacks, Patrick Mahomes et Tom Brady. Alors que ce dernier a un palmarès long comme le bras, la nouvelle star de la NFL s’est prononcé sur la possibilité d’en faire de même.
Qui des Kansas City Chiefs ou des Tampa Bay Buccaneers remportera le Superbowl ? Le 8 février prochain, les deux franchises se disputeront le trophée Vince Lombardi, le Saint Graal en NFL. Alors que les Chiefs tenteront de conserver leur couronne, les Buccaneers voudront eux être sacrés à domicile. Un sacre qui ferait alors un peu plus entrer leur quaterback, Tom Brady, dans la légende. A 43 ans, l’ancien des Patriots va disputer son 10ème Superbowl, en ayant déjà 6 victoires à son actif. Mais face à lui, il y aura un certain Patrick Mahomes, annoncé comme l’un des rares quaterbacks capables de détrôner Tom Brady.
« Ça va être dur »
Patrick Mahomes pourrait-il alors faire aussi bien que Tom Brady en NFL ? Dans des propos rapportés par FOX News, le quaterback des Chiefs a évoqué la question, expliquant : « Tout ce que vous faîtes, vous voulez le réussir et bien le faire. Ça va être dur de le faire… aller à 10 Superbowl et avoir 6 bagues de champion. Mais vous devez faire tout ce que vous pouvez pour être ce genre de personne et le meilleur joueur ».
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Re: Foot US
FOOTBALL AMÉRICAIN – SUPER BOWL LV – KANSAS CITY – TAMPA BAY
À 43 ans, Brady défie le temps
Le quarterback a changé d’équipe mais va jouer son 10 e Super Bowl
JULIEN RASPILLER
Après 20 ans à New England, il a rejoint Tampa Bay en 2020.P.N.
Dans la nuit belge de dimanche à lundi (0h30, en direct sur Eleven Sports), les Kansas City Chiefs remettent leur titre en jeu à l’occasion du Super Bowl LV. En face, il y aura des Tampa Bay Buccaneers transfigurés par un quarterback de 43 ans en quête d’une septième bague de champion en NFL.
Tom Brady s’est donc lancé un défi : remporter un septième Super Bowl -en dix participations- pour un peu plus asseoir son record (seul le défenseur Charles Haley en a gagné cinq). Pour cela, il a compris à l’issue de la saison passée qu’il devrait quitter son équipe, les New England Patriots, ainsi que son coach principal, Bill Belichick, de toujours. L’effectif n’était plus assez compétitif pour lui permettre d’assouvir ses ambitions et le staff était réticent à l’idée de lui offrir un contrat de plusieurs années. Après vingt saisons dans les environs de Boston, le natif de Californie a donc opté pour le soleil floridien de Tampa Bay où les Buccaneers lui proposaient le bail qu’il espérait (un contrat de 50 millions de dollars sur deux ans) mais, aussi et surtout, un effectif taillé pour gagner. Le tout au service de l’entraîneur Bruce Arians (68 ans) qui voyait Brady comme le « chaînon manquant sur le terrain et qui amène la confiance qui nous faisait défaut ».
Pourtant, le pari était risqué car un seul quarterback a remporté une bague avec deux équipes différentes (Peyton Manning avec Indianapolis puis Denver) et que la franchise de Tampa Bay était moribonde depuis de nombreuses années. Sa dernière apparition en playoffs remontait à 2008 et n’y avait plus remporté le moindre match depuis le Super Bowl en 2003, le seul titre de son histoire. À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Et comme Brady veut la victoire et la gloire, il s’est jeté à corps perdu dans ce défi.
duel de rêve face à Mahomes
Un corps qui ne fait pas ses 43 ans. Le mari du top model brésilien Gisele Bundchen s’astreint depuis des années à entretenir son « outil de travail ». Étirements pour renforcer sa souplesse et régime strict, voilà sa recette miracle. « J’ai compris à quel point ce travail physique et mon alimentation étaient essentiels à ma réussite », explique le fringant quadragénaire qui se verrait bien continuer au-delà de 45 ans : « Je pense que je saurai quand il sera temps d’arrêter, je ne pourrais jamais faire les choses à moitié ! »
Des préceptes qui l’ont emmené vers ce Super Bowl LV qui se disputera au Raymond James Stadium à… Tampa Bay (ce sera la première fois de l’histoire qu’une équipe jouera cette finale à domicile) devant 22.000 spectateurs, dont 7.500 membres du personnel médical qui luttent en première ligne contre le coronavirus invités. Sauf que Brady et les « Buccs » ne partiront pas avec la faveur des pronostics car en face, ce sont les champions en titre qui se dressent devant eux : les Kansas City Chiefs. Ceux-ci s’appuieront encore sur Patrick Mahomes (25 ans), le quarterback le plus doué de sa génération et peut-être même de tous les temps s’il poursuit sur son impressionnante lancée entamée en 2017. Son équipe y croit dur comme fer et n’a pas hésité à lui offrir une prolongation de contrat de 450 millions de dollars sur les dix prochaines années. « Affronter l’un des meilleurs, voire le meilleur, quarterbacks de tous les temps dans ce qui sera son 150 e Super Bowl (sic) sera une expérience incroyable », se réjouit Mahomes, qui affiche un bilan de deux victoires pour deux défaites face à Brady. Qui prendra la main dans ce cinquième duel qui sera le plus important ?
La NG
À 43 ans, Brady défie le temps
Le quarterback a changé d’équipe mais va jouer son 10 e Super Bowl
JULIEN RASPILLER
Après 20 ans à New England, il a rejoint Tampa Bay en 2020.P.N.
Dans la nuit belge de dimanche à lundi (0h30, en direct sur Eleven Sports), les Kansas City Chiefs remettent leur titre en jeu à l’occasion du Super Bowl LV. En face, il y aura des Tampa Bay Buccaneers transfigurés par un quarterback de 43 ans en quête d’une septième bague de champion en NFL.
Tom Brady s’est donc lancé un défi : remporter un septième Super Bowl -en dix participations- pour un peu plus asseoir son record (seul le défenseur Charles Haley en a gagné cinq). Pour cela, il a compris à l’issue de la saison passée qu’il devrait quitter son équipe, les New England Patriots, ainsi que son coach principal, Bill Belichick, de toujours. L’effectif n’était plus assez compétitif pour lui permettre d’assouvir ses ambitions et le staff était réticent à l’idée de lui offrir un contrat de plusieurs années. Après vingt saisons dans les environs de Boston, le natif de Californie a donc opté pour le soleil floridien de Tampa Bay où les Buccaneers lui proposaient le bail qu’il espérait (un contrat de 50 millions de dollars sur deux ans) mais, aussi et surtout, un effectif taillé pour gagner. Le tout au service de l’entraîneur Bruce Arians (68 ans) qui voyait Brady comme le « chaînon manquant sur le terrain et qui amène la confiance qui nous faisait défaut ».
Pourtant, le pari était risqué car un seul quarterback a remporté une bague avec deux équipes différentes (Peyton Manning avec Indianapolis puis Denver) et que la franchise de Tampa Bay était moribonde depuis de nombreuses années. Sa dernière apparition en playoffs remontait à 2008 et n’y avait plus remporté le moindre match depuis le Super Bowl en 2003, le seul titre de son histoire. À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Et comme Brady veut la victoire et la gloire, il s’est jeté à corps perdu dans ce défi.
duel de rêve face à Mahomes
Un corps qui ne fait pas ses 43 ans. Le mari du top model brésilien Gisele Bundchen s’astreint depuis des années à entretenir son « outil de travail ». Étirements pour renforcer sa souplesse et régime strict, voilà sa recette miracle. « J’ai compris à quel point ce travail physique et mon alimentation étaient essentiels à ma réussite », explique le fringant quadragénaire qui se verrait bien continuer au-delà de 45 ans : « Je pense que je saurai quand il sera temps d’arrêter, je ne pourrais jamais faire les choses à moitié ! »
Des préceptes qui l’ont emmené vers ce Super Bowl LV qui se disputera au Raymond James Stadium à… Tampa Bay (ce sera la première fois de l’histoire qu’une équipe jouera cette finale à domicile) devant 22.000 spectateurs, dont 7.500 membres du personnel médical qui luttent en première ligne contre le coronavirus invités. Sauf que Brady et les « Buccs » ne partiront pas avec la faveur des pronostics car en face, ce sont les champions en titre qui se dressent devant eux : les Kansas City Chiefs. Ceux-ci s’appuieront encore sur Patrick Mahomes (25 ans), le quarterback le plus doué de sa génération et peut-être même de tous les temps s’il poursuit sur son impressionnante lancée entamée en 2017. Son équipe y croit dur comme fer et n’a pas hésité à lui offrir une prolongation de contrat de 450 millions de dollars sur les dix prochaines années. « Affronter l’un des meilleurs, voire le meilleur, quarterbacks de tous les temps dans ce qui sera son 150 e Super Bowl (sic) sera une expérience incroyable », se réjouit Mahomes, qui affiche un bilan de deux victoires pour deux défaites face à Brady. Qui prendra la main dans ce cinquième duel qui sera le plus important ?
La NG
English Man- Administrateur Hammer
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Localisation : Charleroi
Emploi/loisirs : La mer, les gilles, le foot, U2, Indochine.
Humeur : révolutionnaire
Date d'inscription : 24/11/2010
Feuille de personnage
Mes autres équipes préférées: Royal charleroi sporting club, Equipe national d'Angleterre, les diables rouges
Re: Foot US
Super Bowl: Brady vs Mahomes ou le passage de flambeau
Sports US
Fabrice Melchior
Les Tampa Bay Buccaneers reçoivent les Kansas City Chiefs ce dimanche soir (0h30). La clé du 55e SuperBowl résidera entre les mains des quarterbacks, stars de la NFL, Tom Brady (43 ans) et Patrick Mahomes (25 ans)...
Covid oblige, la saison en NFL, qui prendra fin ce dimanche soir, est plus que particulière. Comme dans tous les sports, en fait. Mais en football américain, le scénario semblait malgré tout écrit avant que les trois coups de la 101e saison ne soient frappés. Un scénario digne d’Hollywood, avec de la passion, des intrigues, des rebondissements et finalement, les deux héros se retrouvant face à face pour l’ultime dénouement.
En effet, en 2020, alors que Tom Brady, quarterback à succès des New England Patriots, vainqueur de 6 SuperBowls, quitte la franchise, on se dit que c’est le début de la fin du vieux briscard qui nous aura tenus en haleine depuis le début des années 2000. Mais le Californien, qui a fêté son 43e anniversaire pendant la saison estivale, a pris le temps de la réflexion. La passion du jeu, l’amour de la passe à longue distance et l’envie irrépressible de montrer qu’il n’était pas fini mais surtout qu’il était bien le GOAT, le "Greatest Of All Time" (le "meilleur de tous les temps"), l’ont poussé à choisir un ultime défi. Les offres sont tombées à la pelle. Tom Brady n’avait que l’embarras du choix. Le fringant quadragénaire a pu allier projet sportif et de vie, emmenant sa famille faire un petit tour en Floride.
Et la magie a opéré. Le projet sportif, à court terme, de Tampa s’est construit autour de Tom Brady, qui a pu se réjouir de voir Rob Gronkowski, son ancien équipier des New England Patriots, sortir de sa préretraite et se rallier à l’un de ses ultimes barouds d’honneur.
Alors oui, bien entendu, Tom Brady n’est plus aussi fringant qu’au début du siècle. Le Californien est plus prudent, moins mobile. Il doit être plus protégé et ne sort plus tellement de sa poche. Mais c’était sans compter sur la magie. De celle qui rend les exploits possibles. Avec Tom Brady à la baguette, les Tampa Bay Buccaneers, vainqueurs du SuperBowl en 2002 et qui n’ont plus été prétendants aux playoffs depuis 2007, se transforment en outsiders prêts à relever les défis : 11 victoires contre 5 défaites en saison régulière, 4 633 gagnés à la passe, 40 touchdowns. Les playoffs s’entrouvrent pour les Buccaneers, qui n’ont qu’à se féliciter de leur choix. Et cela continue, encore et encore. Ce n’est que le début. D’accord, d’accord. Washington, Saints ou même les Packers de Rodgers : rien, ni personne, ne peut se mettre en travers du scénario d’une saison finalement cousu de fil blanc.
"Tom Brady, c‘est une légende vivante du football", admire Loic Sapart, ancien espoir belge du football américain, qui a tenté sa chance dans des universités nord-américaine mais a dû mettre un terme à son rêve américain et passe les concours d’inspecteur de police. "Sur ses 21 saisons, il a disputé à 10 SuperBowls, en comptant celui-ci. Et il en a gagné 6 ! Énormément de monde le critiquait en expliquant que c’est facile de gagner des matchs avec les Patriots. Et que s’il allait jouer autre part, il ne ferait pas la même chose. Il est allé à Tampa Bay. Avec son équipe, ils sont parvenus jusqu’en playoffs, pour la première fois depuis 2007. Ensuite, ils sont allés chercher leur ticket pour le SuperBowl. En 2002, ils avaient battu les Raiders à ce stade. Brady a su prouver qu’il avait un impact considérable. Et il a 43 ans…"
Les Buccaneers à domicile : une première…
L’éternel Tom Brady disputera donc bien dans la nuit de dimanche à lundi, chez nous, son 10e SuperBowl. À 43 ans. Une performance tout simplement ahurissante. En face, le Californien retrouvera celui qui est amené à le remplacer aux manettes de la NFL, en tout cas de la destinée de celle-ci, pour la dizaine d’années à suivre. Patrick Mahomes rend 18 ans et 45 jours à son illustre aîné. Mais, même s’il a pour lui l’insouciance de la jeunesse, le Texan de 25 ans peut se targuer d’être le champion en titre. Celui qui est prêt à révolutionner non seulement sa franchise mais aussi le football américain pour les années à venir. Cela dit, Mahomes, ce n’est pas non plus le vilain méchant qu’on adorerait voir affronter le gentil héros, Tom Brady. Le quarterback des Chiefs, c’est une gueule d’ange, un beau bébé de 1,91 m pour 104 kilos, arrivé en NFL en 2017, sur la pointe des pieds, avant de s’offrir une finale de Conférence l’année suivante, rendant les armes face à… Tom Brady, pardi.
"Tom Brady est toujours là", admire Patrick Stein, qui commentera pour Eleven, en compagnie d’Antoni Coppi, son 8e SuperBowl… contre 10 disputés pour le Californien. "Au-delà de son âge, Brady a une hygiène de vie parfaite. Certains des meilleurs quarterbacks, quand ils ont passé la quarantaine, ont commencé à décliner. Mais ce n’est pas le cas de Brady. Ses performances restent sur un plateau élevé. Il montre qu’il peut s’imposer dans une autre philosophie de jeu, sans Bill Belichick comme entraîneur. Brady démontre qu’il s’en sort bien dans d’autres systèmes. Bien entendu, Brady est installé dans un confort maximum."
Brady et Mahomes sont donc prêts à se retrouver maintenant, portant chacun les espoirs de leurs franchises respectives. Petit avantage pour Tom Brady ? Outre son expérience, le Californien évoluera à domicile, ce qui constitue une première dans l’histoire de la NFL. Nous aurons bien droit à un duel de générations, une confrontation historique entre deux quarterbacks exceptionnels, deux hommes au style certes radicalement différent mais avec un seul objectif en tête : remporter le trophée Vince Lombardi.
"Même si nous sommes en pleine période de Covid-19, le SuperBowl, ce sera un truc énorme en Floride", assure Sylvain Youndjoen, Bruxellois de 22 ans qui évolue dans la ligne défensive au sein de l’Université de Georgia Tech, qui pourrait bien débarquer en NFL d’ici trois ans maximum, et dont l’Université ne se trouve qu’à 6 h 30 de Tampa Bay, ce qui en fait quasiment un régional de l’étape. "La Floride est assez ‘chill’ par rapport au Covid. Je suis persuadé que Tampa Bay peut gagner…"
Tom Brady pourrait donc bien devenir le premier quadragénaire à remporter le SuperBowl pour deux franchises différentes. Mais Patrick Mahomes, s’il vient à l’emporter dimanche, serait le premier double vainqueur à seulement 25 ans.
Brady a l’expérience qui parle pour lui : il disputera dimanche son 10e SuperBowl. Un total tout bonnement incroyable, surtout au regard des onze franchises qui n’en comptent que 9… ensemble.
"Chiefs et Buccaneers ont joué l’un contre l’autre en novembre et les Chiefs ont gagné de trois points", rappelle Loic Sapart. "Pour moi, les Chiefs vont gagner même si j’espère que l’inverse se passe pour la magnifique histoire que Tom Brady est en train d’écrire là-bas…"
Deux partout : balle au centre
Depuis le début de la saison, Tom Brady compile tout de même 5 493 yards à la passe pour 47 touchdowns, contre 5 320 et 42 touchdowns à la passe pour Mahomes, qui revêt toutefois les atours du super-héros, lui qui n’a mis qu’une semaine pour se remettre d’une commotion et mener les Chiefs vers leur deuxième SuperBowl d’affilée. Et le Texan de gratifier les Chiefs en finale de Conférence de trois touchdowns à la passe et de 325 yards gagnés. Dire que Patrick Mahomes pourrait bien devenir le premier quarterback à reconduire son titre après… Tom Brady, en 2003-04. Clin d’œil de l’histoire, vous dites ?
"C’est l’opposition entre deux quarterbacks : celui qui fait partie de l’ancienne génération contre celui de la nouvelle", remarque Patrick Stein. "À 43 ans, Tom Brady se montre peu mobile, il reste dans sa poche. Mahomes peut compter sur des qualités athlétiques plus développées, il est plus rapide et plus précis."
Brady et Mahomes, deux hommes, deux quarterbacks, deux leaders. Si leur jeu est singulièrement différent, ils sont unis par ce que tous les deux souhaitent : la victoire, au-delà de tout.
"Ils n’ont pas du tout le même style de jeu", enchérit Loic Sapart. "Brady va plus rester derrière sa ligne offensive et peu bouger tandis que Mahomes n’a pas peur de bouger hors de sa ligne offensive. Ils ont des styles bien différents mais ils obtiennent les mêmes résultats. Je pense que ça va être un passage de flambeau entre l’un des meilleurs quarterbacks de l’histoire et son successeur…"
Le SuperBowl de ce dimanche entre les Tampa Bay Buccaneers et les Kansas City Chiefs sera donc bien historique à plus d’un titre. Ce sera, en effet, la première opposition entre deux quarterbacks ayant chacun été élu meilleur joueur de NFL et d’un SuperBowl. Si on joue avec les bouliers-compteurs, Brady et Mahomes se sont, à présent, rencontrés à 4 reprises. Bien que le Californien soit le seul quarterback à avoir battu le Texan en playoffs, les compteurs sont remis à zéro avant ce SuperBowl : deux partout.
"Je dirais en résumé que ce sont les favoris, les Kansas City Chiefs, face au favori, Tom Brady", conclut Patrick Stein. "Les Chiefs sont tellement forts collectivement. Mahomes, c’est la nouvelle star. Il évolue dans un système qui met ses qualités en avant. Je souhaite à Mahomes la même longévité que celle de Brady. Mais son jeu est plus à risques. On verra par après, à la suite des coups, comment son jeu va évoluer…"
La DH
Sports US
Fabrice Melchior
Les Tampa Bay Buccaneers reçoivent les Kansas City Chiefs ce dimanche soir (0h30). La clé du 55e SuperBowl résidera entre les mains des quarterbacks, stars de la NFL, Tom Brady (43 ans) et Patrick Mahomes (25 ans)...
Covid oblige, la saison en NFL, qui prendra fin ce dimanche soir, est plus que particulière. Comme dans tous les sports, en fait. Mais en football américain, le scénario semblait malgré tout écrit avant que les trois coups de la 101e saison ne soient frappés. Un scénario digne d’Hollywood, avec de la passion, des intrigues, des rebondissements et finalement, les deux héros se retrouvant face à face pour l’ultime dénouement.
En effet, en 2020, alors que Tom Brady, quarterback à succès des New England Patriots, vainqueur de 6 SuperBowls, quitte la franchise, on se dit que c’est le début de la fin du vieux briscard qui nous aura tenus en haleine depuis le début des années 2000. Mais le Californien, qui a fêté son 43e anniversaire pendant la saison estivale, a pris le temps de la réflexion. La passion du jeu, l’amour de la passe à longue distance et l’envie irrépressible de montrer qu’il n’était pas fini mais surtout qu’il était bien le GOAT, le "Greatest Of All Time" (le "meilleur de tous les temps"), l’ont poussé à choisir un ultime défi. Les offres sont tombées à la pelle. Tom Brady n’avait que l’embarras du choix. Le fringant quadragénaire a pu allier projet sportif et de vie, emmenant sa famille faire un petit tour en Floride.
Et la magie a opéré. Le projet sportif, à court terme, de Tampa s’est construit autour de Tom Brady, qui a pu se réjouir de voir Rob Gronkowski, son ancien équipier des New England Patriots, sortir de sa préretraite et se rallier à l’un de ses ultimes barouds d’honneur.
Alors oui, bien entendu, Tom Brady n’est plus aussi fringant qu’au début du siècle. Le Californien est plus prudent, moins mobile. Il doit être plus protégé et ne sort plus tellement de sa poche. Mais c’était sans compter sur la magie. De celle qui rend les exploits possibles. Avec Tom Brady à la baguette, les Tampa Bay Buccaneers, vainqueurs du SuperBowl en 2002 et qui n’ont plus été prétendants aux playoffs depuis 2007, se transforment en outsiders prêts à relever les défis : 11 victoires contre 5 défaites en saison régulière, 4 633 gagnés à la passe, 40 touchdowns. Les playoffs s’entrouvrent pour les Buccaneers, qui n’ont qu’à se féliciter de leur choix. Et cela continue, encore et encore. Ce n’est que le début. D’accord, d’accord. Washington, Saints ou même les Packers de Rodgers : rien, ni personne, ne peut se mettre en travers du scénario d’une saison finalement cousu de fil blanc.
"Tom Brady, c‘est une légende vivante du football", admire Loic Sapart, ancien espoir belge du football américain, qui a tenté sa chance dans des universités nord-américaine mais a dû mettre un terme à son rêve américain et passe les concours d’inspecteur de police. "Sur ses 21 saisons, il a disputé à 10 SuperBowls, en comptant celui-ci. Et il en a gagné 6 ! Énormément de monde le critiquait en expliquant que c’est facile de gagner des matchs avec les Patriots. Et que s’il allait jouer autre part, il ne ferait pas la même chose. Il est allé à Tampa Bay. Avec son équipe, ils sont parvenus jusqu’en playoffs, pour la première fois depuis 2007. Ensuite, ils sont allés chercher leur ticket pour le SuperBowl. En 2002, ils avaient battu les Raiders à ce stade. Brady a su prouver qu’il avait un impact considérable. Et il a 43 ans…"
Les Buccaneers à domicile : une première…
L’éternel Tom Brady disputera donc bien dans la nuit de dimanche à lundi, chez nous, son 10e SuperBowl. À 43 ans. Une performance tout simplement ahurissante. En face, le Californien retrouvera celui qui est amené à le remplacer aux manettes de la NFL, en tout cas de la destinée de celle-ci, pour la dizaine d’années à suivre. Patrick Mahomes rend 18 ans et 45 jours à son illustre aîné. Mais, même s’il a pour lui l’insouciance de la jeunesse, le Texan de 25 ans peut se targuer d’être le champion en titre. Celui qui est prêt à révolutionner non seulement sa franchise mais aussi le football américain pour les années à venir. Cela dit, Mahomes, ce n’est pas non plus le vilain méchant qu’on adorerait voir affronter le gentil héros, Tom Brady. Le quarterback des Chiefs, c’est une gueule d’ange, un beau bébé de 1,91 m pour 104 kilos, arrivé en NFL en 2017, sur la pointe des pieds, avant de s’offrir une finale de Conférence l’année suivante, rendant les armes face à… Tom Brady, pardi.
"Tom Brady est toujours là", admire Patrick Stein, qui commentera pour Eleven, en compagnie d’Antoni Coppi, son 8e SuperBowl… contre 10 disputés pour le Californien. "Au-delà de son âge, Brady a une hygiène de vie parfaite. Certains des meilleurs quarterbacks, quand ils ont passé la quarantaine, ont commencé à décliner. Mais ce n’est pas le cas de Brady. Ses performances restent sur un plateau élevé. Il montre qu’il peut s’imposer dans une autre philosophie de jeu, sans Bill Belichick comme entraîneur. Brady démontre qu’il s’en sort bien dans d’autres systèmes. Bien entendu, Brady est installé dans un confort maximum."
Brady et Mahomes sont donc prêts à se retrouver maintenant, portant chacun les espoirs de leurs franchises respectives. Petit avantage pour Tom Brady ? Outre son expérience, le Californien évoluera à domicile, ce qui constitue une première dans l’histoire de la NFL. Nous aurons bien droit à un duel de générations, une confrontation historique entre deux quarterbacks exceptionnels, deux hommes au style certes radicalement différent mais avec un seul objectif en tête : remporter le trophée Vince Lombardi.
"Même si nous sommes en pleine période de Covid-19, le SuperBowl, ce sera un truc énorme en Floride", assure Sylvain Youndjoen, Bruxellois de 22 ans qui évolue dans la ligne défensive au sein de l’Université de Georgia Tech, qui pourrait bien débarquer en NFL d’ici trois ans maximum, et dont l’Université ne se trouve qu’à 6 h 30 de Tampa Bay, ce qui en fait quasiment un régional de l’étape. "La Floride est assez ‘chill’ par rapport au Covid. Je suis persuadé que Tampa Bay peut gagner…"
Tom Brady pourrait donc bien devenir le premier quadragénaire à remporter le SuperBowl pour deux franchises différentes. Mais Patrick Mahomes, s’il vient à l’emporter dimanche, serait le premier double vainqueur à seulement 25 ans.
Brady a l’expérience qui parle pour lui : il disputera dimanche son 10e SuperBowl. Un total tout bonnement incroyable, surtout au regard des onze franchises qui n’en comptent que 9… ensemble.
"Chiefs et Buccaneers ont joué l’un contre l’autre en novembre et les Chiefs ont gagné de trois points", rappelle Loic Sapart. "Pour moi, les Chiefs vont gagner même si j’espère que l’inverse se passe pour la magnifique histoire que Tom Brady est en train d’écrire là-bas…"
Deux partout : balle au centre
Depuis le début de la saison, Tom Brady compile tout de même 5 493 yards à la passe pour 47 touchdowns, contre 5 320 et 42 touchdowns à la passe pour Mahomes, qui revêt toutefois les atours du super-héros, lui qui n’a mis qu’une semaine pour se remettre d’une commotion et mener les Chiefs vers leur deuxième SuperBowl d’affilée. Et le Texan de gratifier les Chiefs en finale de Conférence de trois touchdowns à la passe et de 325 yards gagnés. Dire que Patrick Mahomes pourrait bien devenir le premier quarterback à reconduire son titre après… Tom Brady, en 2003-04. Clin d’œil de l’histoire, vous dites ?
"C’est l’opposition entre deux quarterbacks : celui qui fait partie de l’ancienne génération contre celui de la nouvelle", remarque Patrick Stein. "À 43 ans, Tom Brady se montre peu mobile, il reste dans sa poche. Mahomes peut compter sur des qualités athlétiques plus développées, il est plus rapide et plus précis."
Brady et Mahomes, deux hommes, deux quarterbacks, deux leaders. Si leur jeu est singulièrement différent, ils sont unis par ce que tous les deux souhaitent : la victoire, au-delà de tout.
"Ils n’ont pas du tout le même style de jeu", enchérit Loic Sapart. "Brady va plus rester derrière sa ligne offensive et peu bouger tandis que Mahomes n’a pas peur de bouger hors de sa ligne offensive. Ils ont des styles bien différents mais ils obtiennent les mêmes résultats. Je pense que ça va être un passage de flambeau entre l’un des meilleurs quarterbacks de l’histoire et son successeur…"
Le SuperBowl de ce dimanche entre les Tampa Bay Buccaneers et les Kansas City Chiefs sera donc bien historique à plus d’un titre. Ce sera, en effet, la première opposition entre deux quarterbacks ayant chacun été élu meilleur joueur de NFL et d’un SuperBowl. Si on joue avec les bouliers-compteurs, Brady et Mahomes se sont, à présent, rencontrés à 4 reprises. Bien que le Californien soit le seul quarterback à avoir battu le Texan en playoffs, les compteurs sont remis à zéro avant ce SuperBowl : deux partout.
"Je dirais en résumé que ce sont les favoris, les Kansas City Chiefs, face au favori, Tom Brady", conclut Patrick Stein. "Les Chiefs sont tellement forts collectivement. Mahomes, c’est la nouvelle star. Il évolue dans un système qui met ses qualités en avant. Je souhaite à Mahomes la même longévité que celle de Brady. Mais son jeu est plus à risques. On verra par après, à la suite des coups, comment son jeu va évoluer…"
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Re: Foot US
L'avertissement de Patrick Mahomes avant le Super Bowl !
Patrick Mahomes II a prévenu : son équipe devra se méfier de Vita Vea, le défenseur des Buccaneers, ce dimanche lors du Super Bowl.
Le Super Bowl LV approche à grand pas. Dans la nuit de dimanche à lundi (0h30), les Chiefs de Patrick Mahomes II, champions en titre, défieront les Buccaneers de Tom Brady dans leur antre, le Raymond James Stadium. Si Tampa Bay sera la première équipe de l'histoire de la NFL à accueillir le Super Bowl de son propre stade, le quarterback de Kansas City est davantage inquiété par une grande menace dans la défense adverse : Vita Vea, l'un des éléments clés des Buccaneers.
« Je vais devoir le surveiller pour éviter qu’il ne ruine notre match »
Dans des propos relayés par Touchdown Actu, Patrick Mahomes II a expliqué en conférence de presse que Vita Vea serait le principal joueur à éviter dans les rangs de Tampa Bay ce dimanche : « Il est le genre de gars dont vous devez savoir tout le temps où il est. Il est évidement très efficace contre le jeu au sol, mais il est également très bon pour mettre la pression sur un quarterback », a déclaré le MVP de la saison régulière 2018 au sujet du défenseur des Buccaneers, pesé à 157 kg. « Vous ne voyez pas beaucoup de gars, à cette position, capable de perturber le lanceur comme ça. C’est un joueur spécial et je vais devoir le surveiller constamment pour éviter qu’il ne ruine notre match. ».
Patrick Mahomes II a prévenu : son équipe devra se méfier de Vita Vea, le défenseur des Buccaneers, ce dimanche lors du Super Bowl.
Le Super Bowl LV approche à grand pas. Dans la nuit de dimanche à lundi (0h30), les Chiefs de Patrick Mahomes II, champions en titre, défieront les Buccaneers de Tom Brady dans leur antre, le Raymond James Stadium. Si Tampa Bay sera la première équipe de l'histoire de la NFL à accueillir le Super Bowl de son propre stade, le quarterback de Kansas City est davantage inquiété par une grande menace dans la défense adverse : Vita Vea, l'un des éléments clés des Buccaneers.
« Je vais devoir le surveiller pour éviter qu’il ne ruine notre match »
Dans des propos relayés par Touchdown Actu, Patrick Mahomes II a expliqué en conférence de presse que Vita Vea serait le principal joueur à éviter dans les rangs de Tampa Bay ce dimanche : « Il est le genre de gars dont vous devez savoir tout le temps où il est. Il est évidement très efficace contre le jeu au sol, mais il est également très bon pour mettre la pression sur un quarterback », a déclaré le MVP de la saison régulière 2018 au sujet du défenseur des Buccaneers, pesé à 157 kg. « Vous ne voyez pas beaucoup de gars, à cette position, capable de perturber le lanceur comme ça. C’est un joueur spécial et je vais devoir le surveiller constamment pour éviter qu’il ne ruine notre match. ».
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Re: Foot US
Coronavirus : La NBA interdit à ses joueurs les rassemblements pour le Super Bowl
Par crainte d'une hausse des cas de contamination au coronavirus, la NBA interdit aux joueurs, entraîneurs et autres employés de se rendre à des rassemblements pour regarder le Super Bowl ce dimanche. Les équipes en déplacement ne pourront pas quitter leur hôtel.
Chacun chez soi ! C'est ainsi que la NBA souhaite que ses joueurs regardent le Super Bowl entre les Kansas City Chiefs et Tampa Bay Buccaneers dimanche soir. Consciente des risques de contamination que peuvent entraîner même des petits rassemblements, la NBA a publié samedi plusieurs directives interdisant aux joueurs, entraîneurs et autres employés de se rendre à une fête pour le Super Bowl en dehors de leur propre maison, ou d'inviter des personnes extérieures à leur cercle familial.
Les équipes qui joueront à l'extérieur dimanche ne seront pour leur part pas autorisées à quitter leur hôtel pour regarder le match. Les franchises sont priées de prévoir une « zone privée, arrangée à l'avance, avec un petit nombre de membres de la famille testés au préalable », a déclaré la NBA.
En déplacement à New York demain, le Heat prévoit de rentrer à Miami pendant le match, alors que les années précédentes, la franchise avait fait en sorte de retarder ses vols pour permettre aux joueurs de suivre le Super Bowl.
Le Super Bowl inquiète
En janvier, 27 joueurs de la ligue ont été testés positifs en deux semaines. Ces cas de Covid-19, ainsi que les nombreux joueurs identifiés comme cas contacts ont conduit la ligue à reporter 21 matchs entre le 10 et le 27 janvier. Depuis, les résultats des tests ont évolué dans le bon sens, avec un seul nouveau joueur contaminé entre le 20 janvier et mercredi dernier. Mais la NBA reste très vigilante, comme en témoigne la situation qu'a connue Kevin Durant la nuit dernière, contraint de quitter la salle après avoir été identifié comme possible cas contact.
30 %
Le pourcentage d'Américains qui a prévu de participer à une fête pour la soirée du Super Bowl, selon un sondage du « New York Times ».
La décision de la NBA fait écho aux récentes recommandations du gouvernement américain, qui a appelé ses habitants à ne pas organiser de fêtes pour regarder le Super Bowl, qui réunit chaque année des millions de fans devant leurs télévisions.
Par crainte d'une hausse des cas de contamination au coronavirus, la NBA interdit aux joueurs, entraîneurs et autres employés de se rendre à des rassemblements pour regarder le Super Bowl ce dimanche. Les équipes en déplacement ne pourront pas quitter leur hôtel.
Chacun chez soi ! C'est ainsi que la NBA souhaite que ses joueurs regardent le Super Bowl entre les Kansas City Chiefs et Tampa Bay Buccaneers dimanche soir. Consciente des risques de contamination que peuvent entraîner même des petits rassemblements, la NBA a publié samedi plusieurs directives interdisant aux joueurs, entraîneurs et autres employés de se rendre à une fête pour le Super Bowl en dehors de leur propre maison, ou d'inviter des personnes extérieures à leur cercle familial.
Les équipes qui joueront à l'extérieur dimanche ne seront pour leur part pas autorisées à quitter leur hôtel pour regarder le match. Les franchises sont priées de prévoir une « zone privée, arrangée à l'avance, avec un petit nombre de membres de la famille testés au préalable », a déclaré la NBA.
En déplacement à New York demain, le Heat prévoit de rentrer à Miami pendant le match, alors que les années précédentes, la franchise avait fait en sorte de retarder ses vols pour permettre aux joueurs de suivre le Super Bowl.
Le Super Bowl inquiète
En janvier, 27 joueurs de la ligue ont été testés positifs en deux semaines. Ces cas de Covid-19, ainsi que les nombreux joueurs identifiés comme cas contacts ont conduit la ligue à reporter 21 matchs entre le 10 et le 27 janvier. Depuis, les résultats des tests ont évolué dans le bon sens, avec un seul nouveau joueur contaminé entre le 20 janvier et mercredi dernier. Mais la NBA reste très vigilante, comme en témoigne la situation qu'a connue Kevin Durant la nuit dernière, contraint de quitter la salle après avoir été identifié comme possible cas contact.
30 %
Le pourcentage d'Américains qui a prévu de participer à une fête pour la soirée du Super Bowl, selon un sondage du « New York Times ».
La décision de la NBA fait écho aux récentes recommandations du gouvernement américain, qui a appelé ses habitants à ne pas organiser de fêtes pour regarder le Super Bowl, qui réunit chaque année des millions de fans devant leurs télévisions.
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Re: Foot US
GRIEZMANN EN TRIBUNE POUR LE SUPER BOWL
Antoine Griezmann est un privilégié. Le joueur du Barça fera partie des spectateurs de l'événement le plus regardé de la planète : le Super Bowl. Mais huis clos oblige, ce ne sera qu'une pancarte en carton d'Antoine Griezmann, figée dans les tribunes du Raymond James Stadium de Tampa, qui aura la chance d'assister à la finale de la NFL entre les Tampa Bay Buccaneers et les Kansas City Chiefs.
https://www.sofoot.com/griezmann-en-tribune-pour-le-super-bowl-495149.html
Antoine Griezmann est un privilégié. Le joueur du Barça fera partie des spectateurs de l'événement le plus regardé de la planète : le Super Bowl. Mais huis clos oblige, ce ne sera qu'une pancarte en carton d'Antoine Griezmann, figée dans les tribunes du Raymond James Stadium de Tampa, qui aura la chance d'assister à la finale de la NFL entre les Tampa Bay Buccaneers et les Kansas City Chiefs.
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Re: Foot US
Et bien de grand Buccaneers il n’y a rien a dire ajd ils ont été meilleurs dans tout les secteurs et c’est aussi la victoire du vieux Brady face au jeunes Mahomes.
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Re: Foot US
Super Bowl LV: un 7e sacre pour Tom Brady
https://www.tvanouvelles.ca/2021/02/07/un-7e-sacre-pour-tom-brady
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Re: Foot US
Les Tampa Bay Buccaneers et Tom Brady corrigent les Kansas City Chiefs et remportent le Super Bowl
Les Tampa Bay Buccaneers ont fait sensation, dimanche, en battant largement les Kansas City Chiefs (31-9) lors du 55e Super Bowl. Tom Brady a remporté son septième titre de champion.
Comme dans un rêve. Les Tampa Bay Buccaneers avaient recruté Tom Brady il y a moins d'un an. Et, dès sa première saison en Floride, le légendaire quarterback, déjà titré six fois avec les New England Patriots, a emmené les « Buccs » en play-offs, puis au Super Bowl, puis à la victoire finale. Le tout avec la manière. Car, dimanche dans leur antre du Raymond James Stadium, Brady et Tampa Bay ont corrigé les Kansas City Chiefs (31-9), les champions en titre et favoris. La belle machine offensive des Chiefs n'a rien pu faire face à la défense des Buccaneers et n'a pas pu marquer le moindre touchdown. Un scénario incroyable, inattendu.
Cinquième titre de MVP du Super Bowl pour Brady
Tom Brady a livré une impeccable prestation, lançant trois passes de touchdowns, toutes en première période, où Tampa Bay avait d'entrée mis la pression sur Kansas City. Par deux fois, Brady a trouvé Rob Gronkowski, son ancien compère des Patriots, et juste avant la pause, il a servi Antonio Brown, l'ancienne star des Pittsburgh Steelers, disparu des écrans de la NFL pendant près de deux ans, avant de retrouver la lumière avec les Buccaneers. Pour ces performances, Tom Brady a été élu MVP du Super Bowl, pour la cinquième fois de sa carrière.
Mais toute l'équipe de Tampa Bay a contribué à la victoire. Le running back Leonard Fournette a connu une belle seconde période, inscrivant le quatrième et dernier touchdown de son équipe. Et que dire de la défense des « Boucaniers » ? La première ligne défensive a complètement muselé l'attaque de Kansas City, considérée comme la plus belle de la NFL. Les Chiefs ont dû se contenter de trois petits field goals. C'est la troisième fois dans l'histoire de la super finale qu'une équipe ne parvient à marquer un touchdown (après Miami en 1972 et Los Angeles en 2019).
Soirée cauchemardesque pour Mahomes
Patrick Mahomes, le prodigieux quarterback de Kansas City, a sans doute vécu le pire match de sa carrière. Trois fois, la défense de Tampa Bay l'a sacké, et il a également concédé deux interceptions. Et cela aurait pu être plus corsé, s'il ne s'était pas débarrassé du ballon en catastrophe à plusieurs reprises. Images impressionnantes que celles d'un Mahomes véritablement poursuivi sur le terrain par les défenseurs adverses. Mais il est vrai qu'il n'a pas été aidé par une ligne offensive où manquaient plusieurs titulaires.
Avec leur quarterback bousculé de la sorte, les étoiles des Chiefs n'ont pu briller. On n'a quasiment pas vu Tyreek Hill, l'un des joueurs les plus rapides de la NFL, et le jeu au sol a été limité, hormis quelques coups d'éclat de Clyde Edwards-Helaire. Seul Travis Kelce a pu se montrer, avec 10 réceptions et 133 yards gagnés.
Kansas City a également payé cher ses errements en défense. Incapables de stopper Brady, les défenseurs ont aligné les bavures. Jugez plutôt, dans le deuxième quart-temps : une interception réussie mais aussitôt annulée pour une faute. Quelques minutes plus tard, Tampa Bay marquait un field goal, qui fut remplacé par une nouvelle série de tentatives, après une autre erreur de la défense. Et Gronkowski en profitait pour inscrire un de ses touchdowns. Puis, juste avant la pause, nouvelle faute et nouveau touchdown des Buccaneers, par Brown. Impardonnable à ce niveau.
Le deuxième titre de Tampa Bay
Pour la deuxième fois de leur histoire, les Tampa Bay Buccaneers ont enlevé le Super Bowl. Leur premier titre remontait à 2003, près de trente ans après la création de la franchise. C'est une véritable résurrection des « Buccs » qu'on n'avait plus vu en play-offs depuis treize saisons. Sans compter qu'il s'agit de la plus faible équipe de NFL au pourcentage de victoires. Mais la magie Tom Brady a opéré.
Et c'était l'année de Tampa Bay, qui a également gagné le titre en NHL et placé son équipe aux World Series de baseball. Le triomphe de dimanche est aussi celui de l'entraîneur Bruce Arians, en poste depuis la saison dernière et au profil atypique, porté sur l'humain. Le courant était tout de suite passé avec Brady, qu'Arians n'avait toutefois pas hésité à critiquer durant le championnat.
Après cette extraordinaire saison et cette démonstration au Super Bowl, on est déjà en droit de se demander ce que Brady et les Buccaneers vont nous réserver pour la prochaine saison. Celle-ci débutera dans sept mois. On trépigne déjà d'impatience.
Les Tampa Bay Buccaneers ont fait sensation, dimanche, en battant largement les Kansas City Chiefs (31-9) lors du 55e Super Bowl. Tom Brady a remporté son septième titre de champion.
Comme dans un rêve. Les Tampa Bay Buccaneers avaient recruté Tom Brady il y a moins d'un an. Et, dès sa première saison en Floride, le légendaire quarterback, déjà titré six fois avec les New England Patriots, a emmené les « Buccs » en play-offs, puis au Super Bowl, puis à la victoire finale. Le tout avec la manière. Car, dimanche dans leur antre du Raymond James Stadium, Brady et Tampa Bay ont corrigé les Kansas City Chiefs (31-9), les champions en titre et favoris. La belle machine offensive des Chiefs n'a rien pu faire face à la défense des Buccaneers et n'a pas pu marquer le moindre touchdown. Un scénario incroyable, inattendu.
Cinquième titre de MVP du Super Bowl pour Brady
Tom Brady a livré une impeccable prestation, lançant trois passes de touchdowns, toutes en première période, où Tampa Bay avait d'entrée mis la pression sur Kansas City. Par deux fois, Brady a trouvé Rob Gronkowski, son ancien compère des Patriots, et juste avant la pause, il a servi Antonio Brown, l'ancienne star des Pittsburgh Steelers, disparu des écrans de la NFL pendant près de deux ans, avant de retrouver la lumière avec les Buccaneers. Pour ces performances, Tom Brady a été élu MVP du Super Bowl, pour la cinquième fois de sa carrière.
Mais toute l'équipe de Tampa Bay a contribué à la victoire. Le running back Leonard Fournette a connu une belle seconde période, inscrivant le quatrième et dernier touchdown de son équipe. Et que dire de la défense des « Boucaniers » ? La première ligne défensive a complètement muselé l'attaque de Kansas City, considérée comme la plus belle de la NFL. Les Chiefs ont dû se contenter de trois petits field goals. C'est la troisième fois dans l'histoire de la super finale qu'une équipe ne parvient à marquer un touchdown (après Miami en 1972 et Los Angeles en 2019).
Soirée cauchemardesque pour Mahomes
Patrick Mahomes, le prodigieux quarterback de Kansas City, a sans doute vécu le pire match de sa carrière. Trois fois, la défense de Tampa Bay l'a sacké, et il a également concédé deux interceptions. Et cela aurait pu être plus corsé, s'il ne s'était pas débarrassé du ballon en catastrophe à plusieurs reprises. Images impressionnantes que celles d'un Mahomes véritablement poursuivi sur le terrain par les défenseurs adverses. Mais il est vrai qu'il n'a pas été aidé par une ligne offensive où manquaient plusieurs titulaires.
Avec leur quarterback bousculé de la sorte, les étoiles des Chiefs n'ont pu briller. On n'a quasiment pas vu Tyreek Hill, l'un des joueurs les plus rapides de la NFL, et le jeu au sol a été limité, hormis quelques coups d'éclat de Clyde Edwards-Helaire. Seul Travis Kelce a pu se montrer, avec 10 réceptions et 133 yards gagnés.
Kansas City a également payé cher ses errements en défense. Incapables de stopper Brady, les défenseurs ont aligné les bavures. Jugez plutôt, dans le deuxième quart-temps : une interception réussie mais aussitôt annulée pour une faute. Quelques minutes plus tard, Tampa Bay marquait un field goal, qui fut remplacé par une nouvelle série de tentatives, après une autre erreur de la défense. Et Gronkowski en profitait pour inscrire un de ses touchdowns. Puis, juste avant la pause, nouvelle faute et nouveau touchdown des Buccaneers, par Brown. Impardonnable à ce niveau.
Le deuxième titre de Tampa Bay
Pour la deuxième fois de leur histoire, les Tampa Bay Buccaneers ont enlevé le Super Bowl. Leur premier titre remontait à 2003, près de trente ans après la création de la franchise. C'est une véritable résurrection des « Buccs » qu'on n'avait plus vu en play-offs depuis treize saisons. Sans compter qu'il s'agit de la plus faible équipe de NFL au pourcentage de victoires. Mais la magie Tom Brady a opéré.
Et c'était l'année de Tampa Bay, qui a également gagné le titre en NHL et placé son équipe aux World Series de baseball. Le triomphe de dimanche est aussi celui de l'entraîneur Bruce Arians, en poste depuis la saison dernière et au profil atypique, porté sur l'humain. Le courant était tout de suite passé avec Brady, qu'Arians n'avait toutefois pas hésité à critiquer durant le championnat.
Après cette extraordinaire saison et cette démonstration au Super Bowl, on est déjà en droit de se demander ce que Brady et les Buccaneers vont nous réserver pour la prochaine saison. Celle-ci débutera dans sept mois. On trépigne déjà d'impatience.
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